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Harlin ✱ Aujourd'hui c'est différent, nous avons besoin de l'un et de l'autre

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Aujourd'hui c'est différent, nous avons besoin de l'un et de l'autre
— with @Harper Eleanor F. Kennedy  

Ok. Tout va bien. Je suis allongé sur mon canapé. J’ai de la glace au niveau de la figure et pire encore. Je dois avoir des bleus sur tout le corps. Et puis. Mon père est passé me voir. Personne ne pouvait le soupçonner violent. Encore moins aussi violent que ça. Surtout pas le garde du corps qui m’a laissé seul avec lui. Difficile de se faire pardonner. Il a la main sur la glace qui est déposé sur mon œil. Je suis fatigué et soupirant. Ça arrive de tomber dans les escaliers. Encore plus de finir dans cet état. Ça va, je vais bien. Dis-je en le regardant. Pour le bleu au niveau de l’œil. Je me suis pris le coin de l'escalier. Pour les bleus. Les marches étaient violentes. Et c’est tout. Voilà. Rien à dire d’autre. Mais lui. Lui avait compris. Mais je soupire. Rien à Zeus, sinon c’est toi qui finit dans cet état. Et la porte sonne. Je peux à peine bouger qu’il me pousse dans le canapé. Je soupire. Pas un mot à Harper aussi ! Dis-je. Parce que c’était la seule qui rentrait dans l’appartement en sonnant et en rentrant. La tornade venait de débarquer. Je lui avais demandé d’apporter son maquillage pour m’éviter une honte pas possible. Et j’avais aussi peur qu’elle comprenne. Je lève les yeux vers elle. Je regarde ses mains. Tu as pris combien de tonnes de maquillage ? T’abuse… Tu ris nerveusement. En même temps. Elle aurait juste pu prendre de la chose qu’elle met sur son visage pour cacher ses imperfections. Cela aurait été plus simple.

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— with @FRANKLIN Z. DE SPOELBERCH  

Deux semaines qu'il ne m'avait pas envoyé de nouvelles. Pas un mot sur ce qui s'était passé entre nous. Mais après les messages que Franklin m’avait laissé, je devais avouer que je paniquais un peu. Je ne savais pas exactement quoi, mais quelque chose me disait qu’il y avait plus que ça. Je laissais nos histoires de côté et n’attendis pas deux secondes pour filer à ma salle de bain récupérer mon fond de teint et mon anti cernes qui avaient si bien caché ma cicatrice du Spring Break. Je mettais le tout dans mon sac à main Hermès et enfilais mon trench beige en vitesse avant de monter à l’arrière de ma Mercedes blindée. « Chez monsieur de Spoelberch. » disais-je à William, mon chauffeur qui démarra reconnaissant au timbre de ma voix qu’il fallait filer en vitesse. Une fois arrivée, je sonnais à la porte mais personne n’ouvrait. Je poussais finalement et entrais doucement. « Zéphyr ? T’es où ? » Je m’approchais finalement et vis alors le carnage sur le visage de mon meilleur ami. J’écarquilla les yeux de stupeur, mettant ma main à mes lèvres. Un léger silence alors que je m’approchais, fixant finalement son garde du corps avant de froncer les sourcils. « Vous pouvez disposer. » disais-je sur un ton mi directif mi agacé d’un geste de la main. J’observais de nouveau Zeph me rapprochant encore. Clairement, c’était des coups qu’il avait reçu. On ne tombe pas dans les escalier pour se faire ce genre de bleus au visage. « J’en sais rien, tu m’as dit que c’était pour couvrir des bleus, pas des cocards … » Délicatement et en faisant très attention, j’approchais une main de son visage, constatant les dégâts. Je savais désormais qu’il me mentait. Il essayait de couvrir quelqu’un probablement … Je commençais à y voir clair, mais n’osais encore me l’avouer à moi-même. Il riait nerveusement, mais j’étais plutôt décontenancée. « Zéphyr. Donne moi un nom. » demandais-je doucement.

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— with @Harper Eleanor F. Kennedy  

Je suis silencieux sur le canapé. L'autre a sa main au niveau de la glace. Mais ça brule. Je restes silencieux. Il ne dit l'autre. Il a juste pas intérêt. Il se lève alors que Harper arrive. J'essaie de me relever pour m'asseoir au moins. Se casser la figure dans les escaliers. Tout le monde le fait. Et voilà qu'elle renvoit l'homme de glace. Il a même pris le sachet de glaçons. Le con. Je soupire à son ton qu'elle a quand même employé. Va pas le martiriser. C'est Zeus qui me l'impose. Donc si tu continues, il va être encore plus chiant, dès qu'il me suit limite dans les toilettes, merci.  La voilà. En face de moi. Je la vois inspecter. J'ai déjà assez mal partout comme ça. Elle va pas en rajouter. Mais si. Je soupire.   Harper. Je suis tombé dans l'escalier, je me suis pris la pomme de l'escalier dans l'oeil. J'ai pas fait gaffe. Ca arrive. Enfin sauf pour moi. Je dois être l'homme le moins maladroit du monde. Et là clairement c'était mort. J'étais crâmé. A un point inimaginable. Mais je soupire une nouvelle fois. Elle regarde les dégâts sur le visage. Je fronce les sourcils Ok. Il s'appele escalier en bois et métal. Il habite chez moi. Et j'ai pas vu la marche. J'ai glissé. Je suis tombé. dis-je en essayant d'être disons convainquant. Mais c'est compliqué. Je n'allais pas lui dire que mon père m'avait foutu sur la gueule. Et qu'il était à Boston pour voir sa copine maintenant. La honte. Je baisse les yeux légèrement pour essayer de me lever quand même. Compliqué. Très compliqué. J'étais cassé de partout. Je soupire pour rester assis. J'ai l'air d'un infirme. D'un handicapé. J'en ai déjà marre sérieusement. Et je viens à peine de me poser. Je vais hurler. Mais je soupire. Mon père est passé tout à l'heure. Je te laisse deviner ce qu'il m'a fait quand il a apprit que j'ai témoigné contrelui lors de son divorce. lâches-je finalement avant de balancer un cousin du canapé. Par terre bien sur. Je n'ose même plus la regarder. J'ai honte. Je soupire légèrement.   Ne le dis pas à Zeus. J'aimerais éviter une guerre en Belgique entre mon père et le futur et présent Roi ... ajoutes-je alors que tu déposes ma main sur mon front. J'ai mal. Quel idiot je suis.  

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— with @FRANKLIN Z. DE SPOELBERCH  

Il n’allait quand même pas rester à écouter notre conversation, non ? « J’ai été gentille. » réponds-je à Zeph. Mais ce n’est pas la question. La question, c’est lui. Je l’observe sous toutes les coutures. Je suis inquiète à vrai dire. Il est roué de coups comme si on l’avait tabassé, et clairement il me ment. J’hausse les sourcils, enlevant ma main de son visage pour pointer du doigts un autre bleu dans son cou et une entaille à sa lèvre supérieure. « Oh et ça aussi c’est la c’est la pomme de l’escalier ? Et là encore ? Eh bah … » finissais-je avec une pointe d’ironie. Il se fout de ma gueule. Il n’a jamais été maladroit, mais surtout, il couvre quelqu’un. Mais je commence à comprendre tout doucement, après tout, je l’ai rejoins récemment en Belgique. J’ai vu son regard sur Zeph. Je le déteste. Mais je veux que mon meilleur ami me dise clairement son nom. Ce dernier répond sarcastiquement. « Il a bon dos ton escalier … » Et puis il sait qu’on ne me la fait pas à moi. D’ailleurs il finit par m’avouer. S’énervant contre un pauvre coussin. Mon visage se durcit à ses mots. Il ne me regarde même plus. Je me sens horriblement impuissante alors qu’une colère bouillante monte en moi. Je n’ai qu’une envie, aller dire deux mots à son père. « Je ne dirai rien à Zeus. Pour ton père, c’est une autre histoire. Il est où ? » Je prends la main de Zéphyr dans la mienne. Il ne pouvait décemment pas se rendre ce soir à l’anniversaire des DBS et le sien dans cet état. Je sortais alors l’artillerie de mon sac, énervée mais silencieuse. Bien décidée à foutre la raclée de sa vie à son père. Comment a t-il osé s’en prendre à son propre fils ? Ce lâche … Je le hais d’avoir fait ça à mon Zeph. « Tu as désinfecté avant ? » demande-je avant de toucher quoi que ce soit.

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Silencieux. Je l'observe. Elle vient d'envoyer chier l'homme de main du Roi. Je rêve. Il va la tuer. Mais je soupire. Elle vient de le faire. Et elle a l'air énervée. Le mensonge ne passe pas. Comment peut-être aussi bien me connaitre ? Elle en est presque insupportable. Elle pointe du doigt plusieurs bleus en les touchant légèrement. Je frissonne mais je grimace aussi. Ca brûle et ça fait mal. J'aurais peut-être du lui dire que j'étais tombé par terre. Et que j'ai été piétiné par des gens. Cela serait mieux passé. Mais j'essaie de me fier au mensonge. Je suis obligé. Je le dois. J'allais pas balancer mon père. Lui dire qu'il m'avait mis une raclée monumentable. Mais je suis silencieux. Je continue de m'enfoncer. Ouais. La preuve. J'en ai pleins le dos. Et ce n'était qu'une blague. Je soupire. Je suis obligé. Je m'assois légèrement. Je décide même de me mettre correctement assis. J'ai tellement mal. J'ai vraiment l'impression qu'on m'a roulé dessus. Je soupire à mes paroles. Je lui avoue. J'ai osé balancer mon père. Elle est au courant. Mais je lui demande une chose. Ne rien dire à Zeus. Il va hurler. Il va le tuer. Il va le tuer mais de ces propres mains. De façon violente et lente. Je le sais. Mais c'est Harper qui s'énerve. Je pince mes lèvres légèrement. Je suis silencieux.  J'en sais rien ... Il est sortit. Je vais le revoir que dans deux jours. Et heureusement. Je souffle légèrement. Je sens sa main prendre la mienne. Je n'ose plus la regarder. Je suis impuissant finalement. Je décide de rester assis. De déposer le sac de glaçon sur mon oeil. Je la vois tout sortir. Elle commence à me parler. Je fronce les sourcils. Non. J'ai mis que de la glace. L'autre a dit que ça gonflerait déjà Bon vu mon état, ça risquait d'être pire bientôt. Mais ce n'est qu'un détail. Je tourne enfin les yeux vers elle. Mais je les baisse aussi. Je suis honteux de cette situation. Je n'ai pas l'habitude de me battre. Encore moins d'être aussi faible face à une personne. Alors je reste de marbre. Je sais même pas si j'ai des choses pour désinfecter. C'est la bonne question en fait. Je ne sais même pas. Je tourne les yeux vers mon téléphone. Je l'observe une seconde. Puis je le repose. Je suis désolé d'avoir menti. Et que tu sois obligée de ne rien à dire à Zeus... Je veux m'excuser pour ça. Mais aussi de l'état dans mon visage et du reste. Autant dire que je mène pas large.

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Après ses mensonges, il ne tarde finalement pas à me dire la vérité. Celle que je redoutais à vrai dire. Mon visage se raidit, mes yeux se noircissent de la colère qui monte en moi. Je sens même ma main trembler tant je me contiens devant Zeph pour ne pas péter un cable. Je n’ai qu’une envie là tout de suite, étriper son père. Je fais d’ailleurs comprendre à mon meilleur ami que Zeus n’en saura rien mais que pour son père ce serait autre chose. Je n’aime pas lui cacher des choses, mais la situation ne me permettait pas de contrarier davantage Zeph. Et d’ailleurs, si Zeus était au courant, ç’aurait probablement été un carnage. Suite à sa réponse, j’organisais déjà dans ma tête mes plans pour son père. Je prends sa main dans la mienne. Je déteste qu’on lui ai fait du mal. Peut-être que si j’avais été là c’aurait été différent … Je commence finalement à sortir mes outils de camouflage signés Dior et Chanel, mais le questionne avant histoire d’être sûre qu’il ait bien tout désinfecté. Ce n’est pas le cas. Je fronce légèrement les sourcils et regarde autour de moi. Je me lève sans rien dire et pars à la recherche d’alcool dans son bar. Je reviens avec une vieille bouteille et m’asseois près de lui avant d’imbiber mon coton de whisky. « Ca devrait faire l’affaire. » dis-je avant de tamponner délicatement mon coton sur les bleus de Zeph. Il grimace. Je me mord la lèvre inférieure. Je n’ai pas envie de lui faire mal, mais c’est nécessaire. « Il le faut Zeph, sinon ça sera pire encore après. » Je déboutonne sa chemise sans lui demander la permission et constate encore pire sur son torse. Je le retourne doucement et serre la mâchoire en voyant que son dos est également roué de coups. Je passe ma main sur mon front désemparée avant de faire de même avec mon coton, contre sa peau, doucement. Je me sens terriblement mal. Je sais désormais que son père aura droit à une colère sans précédents. Je ne demande pas la permission à Zeph, je l’attendrai de pieds fermes dans deux jours. « Tu es obligé de vivre avec ce … » Je n’avais pas envie de l’insulter devant lui, mais le coeur y étais. Sinon, il vivrait carrément chez moi. Je le retourne finalement face à moi, le regardant dans les yeux. « Zeph s’il t’arrivait quelque chose, je … » je baissais les yeux. Je ne pourrais pas vivre sans lui. Et avec un père violent, j’imaginais le pire. Je soupirais, me taisais. Je déposais la bouteille de whisky au sol près du canapé, et ouvrais finalement le fond de teint, maquillant les bleus de Zeph. Heureusement que nous avions la même teinte tous les deux … Zeph est désolée. J’hoche la tête de gauche à droite. « Arrête. Juste non, ce n’est pas à toi d’être désolé mais à moi. J’aurai dû être là plus tôt aujourd’hui. »

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Je la vois qui se lève. Je soupire. Ma main se passe dans mes cheveux. J'essaie de me remettre correctement. Juste pour qu'elle puisse le faire correctement. Mais elle revient du Whisky. Je fronce les sourcils. Je la regarde faire alors qu'elle en met sur son coton. Mais je souffle. Et elle y va. Elle dépose sur pas mal de bleus. Je grimace avant de prendre la bouteille des mains.  Merci c'est bien aimable  Je bois légèrement avant de serrer les dents. Ca fait un mal de chien. Alors soupire. Elle se permet de m'enlever ma fiche. Je la regarde faire. Et je finis par la retirer entièrement. Je me retrouve finalement dos à elle. Je serre les dents. J'en mords même ma lèvre inférieure. J'ai mal. Mais il fait passé par là pour tout éviter d'être infecter ou pire. Alors je me tais. Je renonce au fait que je vais hurler. Et je retiens mes larmes. Je suis fort. Ca brule. Ca me faire tellement mal. Un silence se fait ressentir. Je souffle plusieurs fois. Comme pour reprendre mon rythme cardiaque naturel. Mais c'est pas possible. Je l'entends parler. J'en soupire.  Arrête commence pas. C'était un accident Harper ...  Je me tiens au canapé une seconde. J'ai mal mais je me calme. Elle me retourne finalement. Je me retrouves face à elle. Je l'observe. Encore. Chaque partie de son visage. Je caresse sa joue doucement. J'embrasse son autre joue.  Il m'arrivera rien. C'était rien ok. Je vais bien d'accord. C'était un accident  Je me remets correctement. Elle dépose la bouteille de Whisky. Je la regarde dans les yeux. Du moins j'essaie. Je la laisse mettre son machin. Elle doit bien le faire. Je dois avoir une gueule horrible. Ma petite gueule d'ange me manque. Je dois franchement être pas beau à regarder. J'aurais pas pu l'appeler avant. Et heureusement qu'elle est venue que tout de suite. Je l'entends s'engueuler à moitié. Je lui prends les mains. Je l'oblige presque à me regarder. Je passe ma langue sur mes lèvres.  Pourquoi ? Tu n'as rien fait Harper. C'était un accident et ça se reproduira pas. Je te le promets  Tes yeux dans les siens. Tu es sérieux. Très sérieux même. Tu lui promets une chose incertaine. Mais c'était pour la rassurer.

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Je le déshabille et il m’aide à le faire pour que je m’occupe de son dos. J’essaye d’appuyer aussi légèrement que je peux sur ses coups. Je fronce les sourcils tant l’entendre souffrir me fend le coeur. Mais je ne peux décemment pas laisser ses plaies et bleus s’infecter. Ce bâtard l’a bien amoché. Je le hais de toutes mes forces. Zéphyr me prend la bouteille des mains pour boire une gorgée. Cela ne peut pas lui faire de mal me dis-je. Il ne voit pas ce qu’il a dans le dos et heureusement. Mais je ne dis rien. D’ailleurs le silence se fait ressentir. Mais le voilà qu’il commence à excuser son père. Qu’il ne commence pas, je suis déjà sur les nerfs. « Je rêve ou … attends tu le défends là ? » Je le retourne le regardant droit dans les yeux. Je suis désemparée, en colère et horriblement inquiète pour lui. Mes yeux commencent à briller d’émotions. « Tu ne te rends pas bien compte je crois. S’il t’arrive un truc, c’est comme s’il m’arrivait la même chose à moi. » Mais il m’observe. Il ne me prend pas au sérieux ou quoi ? Je fronce les sourcils, troublée par son regard posé sur moi. Il caresse ma joue et mes yeux se ferment deux secondes. Je sens ses lèvres sur mon autre joue. Je ne peux pas. Plus me permettre de ressentir ça. Plus maintenant. Je ré-ouvre mes yeux, répondant à ses dires. « Je sais. Parce que je vais voir ton père, Zeph. Et arrête de me parler d’accident comme si j’étais une idiote. » Je dépose la bouteille de whisky au sol après m’être servie à même le goulot. Je ne peux m’empêcher de laisser mes yeux trainer quelques secondes sur son torse que trois semaines plus tôt j’ai touché dans d’autres circonstances. Je reprends mes esprits. Le maquillage. Je commence à tamponner légèrement le fond de teint sur son visage.  Je m’en veux terriblement. Si j’avais été là, je me serai mise entre lui et son père. Quitte à ce qu’il s’en prenne à moi. Mais pas Zeph. Pas lui. Je m’énerve. Et laisse tomber quelques secondes mon coton, mettant mon visage entre mes mains. « Bon sang Zeph ! Comment il a pu te faire une chose pareille ?! » Il me retire les mains du visage, les prenant dans les siennes, m’obligeant à lui faire face. Je l’observe démunie. Il me promets quoi ? Que son taré de père ne recommencera pas ? « Il est violent et plus fort que toi. Bien évidemment qu’il recommencera. » Je reprends le coton et tamponne à nouveau ses bleus, contrariée. Je n’ai pas envie qu’il se présente à l’anniversaire d’Abé et d’Ana dans cet état. Bientôt on ne voit plus que son visage à été meurtri. « Zéphyr. Promets-moi. Si jamais il te touche de nouveau, tu m’appelle direct. D’accord ? Tu n’attends pas. » De toute façon j’irai lui dire deux mots.

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Je n’allais pas l’enfoncer. Encore moins qu’il s’agisse de mon père ou n’importe qui. Je n’étais pas comme ça. Et je ne voulais pas être comme ça. J’avais eu des coups. Mais ce n’était qu’un accident. Elle me retourne. Trop rapidement. Je grimace. Et je l’observe. Elle est énervée. Elle va me tuer. Elle va me détruire. Je vais mourir. C’est obligé. Je le défends parce qu’il s’agit de mon père Harper… Et tu aurais défendu ton père aussi…  Surtout que j’étais fils unique. Le seul fils de la famille De Spoelberch. Puisque mon père n’avait que des sœurs. Autant dire que j’étais le seul homme de la famille. Je n’avais pas envie d’être privé de lui. Et encore moins de le priver de sa maitresse. Et puis s’il était heureux comme ça. Je l’étais aussi. Je baisser les yeux un instant. Je relève la tête ensuite. Je soupire légèrement. Il me n’arrivera rien Harper. Ne t’inquiète pas pour ça.  Je lui prends les mains doucement. J’essaie de la mettre à l’aise. Mais c’est compliqué. Je décide de lui embrasser la joue. Je sais qu’elle apprécie ça. J’aurais pu l’embrasser aussi tout court. Mais je ne l’ai pas fait. Je me sentirais mal après. Non. Je vais m’occuper de mon père. Tu n’as pas besoin de t’en mêler OK. C’est entre lui et moi.  Et elle pose la bouteille. Elle a l’air dévasté. Pas moi ? Non je l’avais déjà vu à l’œuvre. Frapper un homme pour son incompétence. Détruire une personne a la seule force des mots. Anéantir une âme simplement face à un geste. J’avais l’habitude. Et j’étais presque devenu comme lui. Mais je ne savais pas que cela allait la détruire elle. Harper… Ne te met pas dans un état pareil s’il te plait…  Mais elle enchaine. Je le sais tout ça. Il est violent. Plus fort que moi. Plus destructeur que moi. Mais il est beaucoup moins mâlin que je le suis. J’ai évité trois de ses coups quand même. Ce n’est pas mal. Alors je décide de ne pas répondre. Elle est au courant de ma force. Elle était aussi au courant de ma non-violence physique envers les gens. Mais elle avait parlé. J’étais légèrement grimaçant. Elle continue d’appliquer son coton. J’avais mal. Mais je ne disais rien. Les yeux fermés face à elle. Même si le regard était tombant. J’observais le canapé. Je ne me voyais pas le faire finalement. Mais lui promettre une chose impossible. C’était une promesse en l’air. Vu qu’il ne va pas le faire, je n’aurais pas besoin de t’appeler.  Parce qu’il avait eu honte.  Je l’ai vu dans son regard. Et je continue de le voir. Alors elle n’a pas de souci à se faire là-dessus.

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Je le retourne en colère et le voilà qui grimace. Je soupire avant de faire une tête légèrement décontenancée par ses mots. « … J’aurais défendu mon père, certes. Mais mon père n’aurait jamais levé la main sur moi. » Je marque un temps de pause avant de reprendre. « Et d’ailleurs … si mon père m’avait rouée de coups, qu’aurais-tu fait, toi ? » Je l’observais, curieuse de savoir ce qu’il pourrait bien répondre à ça. En tout cas, il semble bien prendre à la légère ce qu’il vient de lui arriver. Il me prend les mains pour me rassurer. En vain. Je l’observe. J’espère tellement que ce qu’il dit est vrai, mais j’ai le pressentiment horrible que ça ne sera pas la dernière fois si personne ne fait rien. Zéphyr embrasse ma joue. Automatiquement et sans vraiment m’en rendre compte, ma main se dépose sur sa joue doucement. Je la retire lorsque je me rends compte de mon geste légèrement tendu. J’acquiesce tristement, sans un mot, mais finis le visage entre les mains. Je hoche la tête de gauche à droite alors qu’il essaye tant bien que mal de me rassurer, le visage toujours enfouie entre les paumes de mes mains. Une fois qu’il a fini de me donner ses arguments pas si convainquants, je me redresse finalement et continue de couvrir ses bleus. Je suis désespérée. Je me sens impuissante. Néanmoins, je demande à Zéphyr de m’appeler s’il se passe quoi que ce soit. Même ça, il pense pouvoir passer au dessus. Je me fais plus sérieuse face à lui. « Zéphyr, c’est très simple. Je t’aurai prévenu. Si tu ne fais rien pour changer ça, soit je m’en occupe, soit tu m’oublies. » Je soupire. « Je ne peux pas … Je ne peux juste pas voir ton père te faire ces choses horribles et ne rien pouvoir faire. »

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