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mille feuille et café latte (arôme)

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Ah oui, c'est vrai ! J'avais oubliée qu'il me ferait une visite demain. J'hoche la tête, toute contente parce qu'enfin, j'allais pouvoir penser un peu à moi demain. Ça fait un moment que je ne me suis pas réellement concentrer sur la médecine et ça fait aussi un moment que je repense à mes plans d'avenir. Côme confirme que la mixité c'est bien et je ris. Trop d’œstrogène, tue l’œstrogène. On a besoin d'un peu de testostérone pour équilibrer le tout ! Je mords dans ma chocolatine et prend une gorgée de mon café pour rincer ma bouche. Ça veut rien dire... mais j'ai compris ton non-sens ! Je me surprend encore à lui sourire et appuie ma joue contre mon poing en l'écoutant parler. Cet échange se fait si naturellement, c'est déstabilisant. J'suis pas sure si j'ai envie de câliner Louison ou si j'ai envie de la tuer, présentement. Parce qu'encore une fois, elle a eue raison. Le Dunster balance du lourd et je me redresse en écarquillant les yeux. Alors... t'es adopté aussi ? Si j'ai bien suivi. Je me pince les lèvres et prend une autre bouchée de la chocolatine. Remettant mon dos contre le siège, je me racle la gorge. Surdoué carrément... j'suis impressionnée ! On a au moins ça de différent... J'ai toujours eu à travailler dur pour mes notes, perso'. La conversation est fluide, Côme semblait m'accorder sa confiance. J'avais aussi l'impression que je pourrais m'ouvrir... mais j'attends encore le bon moment pour le faire. Pour l'instant, c'est plutôt de lui qu'on parle. Et quoi d'autre ? demandai-je, avide d'en savoir plus sur lui.
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Cette rencontre avec Suzy se passait bien pour le moment. Elle te ressemblait beaucoup, vous aviez trop de points communs et comme elle le disait si bien, c'était assez flippant quand même! C'était comme si tu te retrouvais avec ton Double au féminin! Or comment dire que c'était trop bizarre à vivre ! Du coup, tu ne te gênais pas pour répondre à ses questions. Tu racontais l'histoire de ta vie alors que tu avais mis longtemps à t'ouvrir avec d'autres personnes dont certaines qui étaient vraiment très proches de toi. Mais quelque chose chez elle te donnait vraiment envie de lui faire ces aveux sur ton existence de merde. Tu avais confiance en elle, chose tellement rare surtout avec une « presque » inconnue. La première réaction de la jeune femme à tes aveux, fut de te demander si tu étais adopté. « Non, j'ai juste été placé dans des familles d'accueil. Je ne me sentais jamais à ma place et de toute façon, ils me frappaient tout le temps. Mais j'avais mes livres pour rester en vie... Ils m'aidaient à m'évader surtout quand ça n'allait pas. ». Tu t'interrompis légèrement afin de boire une nouvelle gorgée de ton café puis tu repris sur le même ton de la confidence : « Je suis certes surdoué mais j'ai toujours travaillé dur pour réussir complètement. J'avais ce besoin d'apprendre, de connaître de nouvelles choses et de m'émanciper aussi, parce que j'étais assez timide. Comme j'allais au lycée à moins de 15 ans, j'étais le bon souffre douleur des caïds... ». Tu déglutis légèrement parce que te remémorer de tous ces mauvais souvenirs c'était horrible mais tu voulais finir ta tirade. « J'ai toujours eu du mal avec les filles également... Au point d'être resté vierge jusqu'à mes 25 ans en septembre. Voilà, tu sais tout sur ma vie passée... A ton tour ! ». Tu avais un peu rougi en avouant que tu étais puceau jusqu'à tes 25 ans... Non tu n'avais pas honte mais tout de même, ça te faisait bizarre d'en parler.
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C'est trop flippant, nous sommes exactement pareil. Côme me corrige et me dit qu'il a voyager de foyer d'accueil en foyer d'accueil, que ce n'était pas vraiment une adoption. Mais... c'est presque pareil. Bon, moi, j'ai eu de la chance et je suis tomber sur une famille respectueuse et qui ne me bat pas. En l'écoutant parler, je me sens mal pour lui et surtout, je ne sais pas quoi dire. Mais à la fin de sa révélation, il m'avoue qu'les livres pour lui ont été un grand échappatoire... et mon cœur a juste sauté de joie. Encore une fois, il confirme que c'est mon double. T'es un grand lecteur ? Moi aussi. Je lis depuis... depuis toujours. Quand ça va pas, j'm'en sers comme échappatoire aussi. Puis, je calme ma joie en me rendant compte de mon manque de tact. J'suis désolée... et je l'écoute encore parler. Je pourrais l'écouter pendant des heures. C'est fascinant, d'se faire un nouvel ami aussi facilement comme ça... c'est presque surréel. Il m'avoue qu'il est surdoué mais qu'il a travaillé fort toute sa vie aussi. Lorsqu'il avoue être un timide, je souris encore une fois et plonge mon nez dans ma tasse. Cette fois, avant de dire quoi que ce soit... je vais le laisser finir. Je ne devrais pas sourire, ni rire... il s'ouvre le cœur, là. S'il est vraiment timide, je sais que ça ne doit pas être facile pour lui de s'ouvrir comme ça. Pourtant, il le fait quand même... et je ne sais pas quoi en penser. Lorsqu'il me parle de fille, de virginité perdu à 25 ans et en septembre, ç'en est trop. Heureusement qu'il me dit que c'est à mon tour... Parce que j'avale ma gorgée de café de travers et tousse à travers le manche de mon chandail. Je remarque aussitôt ses joues roses et rougit à mon tour. On a vraiment creusé profond dans les détails... on s'est rendu vachement loin, pour une première rencontre. Hum... en gros ? J'suis adoptée depuis que j'ai 2 ans... eum. J'étais dans un orphelinat en Russie... Apparemment j'suis née en France, mais j'ai été kidnappée... bref, longue histoire, même moi j'suis pas trop certaine des détails, j'ai pas encore fait les tests d'ADN avec mes "parents biologique"... Je skippe très rapidement cette partie de ma vie, parce que c'est encore hyper tabou pour moi. Hum... toute ma vie j'ai eue que des amies fille... pas d'amis, garçon. J'suis comme toi trop timide... et hum, j'ai pas trop eu la "cote" non-plus avec les mecs. J'étais vierge avant mes 24 ans... et j'ai 24 ans. Et c'était aussi le mois de Septembre quand j'ai eu ma première fois. Il y en a d'autres, des points en commun, comme ça ? Je sais pas. J'suis mariée. Avouai-je timidement, en plongeant mon nez dans ma tasse. Je sirote quelques gorgées et avale difficilement celle-ci. Et enceinte. De mon mari... qui actuellement n'est pas sure qu'il veut encore de moi... et j'sais pas si c'est de ma faute, ou si c'est juste le timing... ou si c'est une autre fille... enfin bref, je sais pas... Je sais pas. Je bois une autre gorgée en sentant ma gorge se nouer. Nooooon, non, non. Hors de question que je me mette à pleurer maintenant... c'est juste, hors de question.
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Tu ne pensais pas devoir parler de ta vie dès la première rencontre, mais comme tu disais tout à l'heure, quelque chose en ce jolie jeune femme te donnait envie de t'exprimer, de te mettre à nu littéralement. « Encore un petit point commun du coup ! Je m'en sers aussi comme échappatoire... Même aujourd'hui, je m'en sers encore. Du coup, ne t'excuses pas » répondis-tu à la jeune femme alors qu'elle s'était excusée parce qu'elle avait exprimé sa joie par rapport à ton amour des livres. Par la suite, elle te laissa parler jusqu'à la fin. Tu t'ouvrais complètement à elle alors que d'habitude, tu mettais très longtemps pour parler de tes soucis personnels... Tu en venais même à lui avouer que tu avais perdu ta virginité lors de ton vingt-cinquième anniversaire et tu en rougissais même. Une fois ta tirade terminée, tu lui faisais savoir que c'était à son tour désormais. Elle toussotait un peu comme si elle venait d'avaler son café de travers et tu remarquais également ses joues rosies. Tu l'écoutas parler désormais mais dès le premier aveu, tu restas figé sur place, c'était horrible ce qu'elle avait vécu. Tu te plaignais un peu de tes premières années de vie parce que tu avais perdu ta mère mais ta nouvelle amie avait été kidnappée. Tu aimerais lui poser des questions sur cette histoire mais tu comprenais aussi qu'elle ne veuille pas trop en parler. C'était bien trop compliqué. Du coup, elle t'avouait qu'elle avait toujours eu des amies filles mais pas de garçons parce qu'elle était aussi timide que toi. Elle était restée vierge jusqu'à ses 24 ans, c'est-à-dire cette année comme toi. Oh purée ! La coïncidence encore une fois ! Vous aviez trop de points communs là ! Alors que tu t'apprêtais à réagir, elle t'annonçait qu'elle était mariée.. Tu restais un peu sur le cul, pardonnez l'expression. Elle avouait également qu'elle était enceinte de son mari... Qui semblait ne plus être à ses côtés. « Ça doit être très difficile pour toi... Depuis combien de temps es-tu enceinte ? » demandas-tu doucement, laissant parler le gynécologue en toi. Puis tu te décidas à avouer également tes déboires actuels. « Quand je te disais que j'avais des soucis avec les filles...Ce n'est pas parce que je n'avais pas la côte... C'est parce que depuis mon année de terminale, j'avais 14 ans, je suis tombé amoureux d'une fille de ma classe. Le jour de la Saint Valentin, elle m'a invité chez elle mais elle laissait dehors tout nu sous les yeux de tous les mecs qui me harcelaient au lycée... J'ai essayé de mettre fin à mes jours mais comme ça a échoué, j'ai dit que plus jamais je ne laisserais une fille obtenir plus que de l'amitié de ma part ». Tu t'interrompis légèrement avant de regarder ta tasse de café, puis tu repris sur le même ton : « J'ai tenu jusqu'à très récemment... J'ai rencontré une Cabot mais elle couche avec trop d'hommes à mon goût donc je ne sais pas si elle serait fidèle avec moi... Du coup à cause de cette peur, j'ai rencontré une fille sur tinder mais alors que nous devions être que tous les deux au Spring Break, elle est allée voir un autre. Elle dit qu'elle a des sentiments pour nous deux, mais je crois qu'elle aime plus que moi donc voilà... ». Inspirant légèrement, tu parvins à afficher un sourire pour dire : « Afin de m'éviter une grosse dépression, Louison m'a forcé à te rencontrer parce que nous pourrons nous entendre et je crois que c'est le cas. Donc je te remercie de m'écouter... »
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En fait, si je m'excuse, c'est surtout parce que je me suis laisser emporter par la folie... plutôt que rester sérieuse face à ses révélations. Il s'est fait battre par ses foyers d'accueil, c'n'était pas vraiment le moment pour moi de rire et de m'exciter à cause d'un énième point en commun. Bref, manque de tact, comme je disais. Mais Côme est extrêmement compréhensif, comme s'il sait que je n'avais pas fait exprès... et c'est tellement, tellement rafraîchissant. J'ai pour habitude de toujours avoir à m'expliquer quand je fais quelque chose de travers, toujours l'habitude de plaider ma cause. Je n'ai pas eu besoin de me justifier... ça fait du bien. Mh... quand même, je suis désolée. C'est pas évident à raconter c'que tu me dis là, je vais te laisser finir... Il mérite quand même mes excuses, j'suis pas mal élevée ! Lorsque Côme termine, il me questionne en retour et je commence à lui déballer un peu ma vie... J'ai laissée le silence planer, avant de lui avouer que j'étais mariée. J'avais l'impression, malgré tout, qu'il fallait que je lui dise. Je connais les intentions de Louison, je sais pourquoi elle m'a présentée à Côme... et peut-être que pour lui, c'est comme moi, c'est juste une rencontre amicale... j'ai quand même vraiment l'impression que j'dois le dire. Pas seulement pour lui... mais pour Sloan. J'ai l'impression de le tromper alors qu'on est plus ensemble... alors qu'il est claire depuis quelques temps maintenant, que je ne lui dois absolument rien. Il voit des filles et il "kiffe", pour reprendre ses mots. Alors pourquoi pas moi ? Pourquoi est-ce que j'ai toujours l'impression de faire quelque chose de mal ? Et pourquoi est-ce que j'ai l'impression qu'après avoir avoué ma situation amoureuse du moment à Côme, il va se lever et juste... partir ? Mon malheur va le faire fuir... c'est c'que j'me dis, mais non. Au contraire. 13 semaines. Je ne sais pas pourquoi, mais malgré ma taille, je n'ai pas l'air enceinte de 13 semaines... je n'ai pas l'air enceinte du tout. En surpoids un peu, peut-être. Je me mords la lèvre et baisse les yeux. Encore une fois, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai honte. J'ai peut-être trop révélée, pour une première rencontre... Côme dérive le sujet vers ses propres histoires de cœur et je l'écoute parler, en essayant d'oublier mes propres douleurs. Sa vie sentimentale n'a pas été facile, lui aussi... Elle a été horrible avec toi, ça ne se fait pas ! Les filles ne sont pas toutes comme ça. - la phrase toute faite, s.t.p. Il a dû l'entendre des milliers de fois, ça. "Elles ne sont pas toutes pareils". Je ne sais pas quoi dire d'autre... c'est juste vrai, quoi. Je l'écoute encore... l'une des femmes de sa vie couche avec trop d'hommes et l'autre, l'a foutu dans un triangle amoureux désagréable. Côme soupire et sourit, finalement. Je relève les yeux, avec un petit air de chien battu. J'sais pas pourquoi il me raconte tout ça... est-ce que c'est pour me distraire de mes pensées négative ? Est-ce que c'est pour se libérer la conscience, à son tour ? Est-ce qu'il a envie de chialer, lui aussi ? Il me parle de Louison, de son plan pour nous présenter et je relâche mon souffle. Je vois. Je me redresse, appuie mon dos contre la banquette. J'suis pas la meilleure oreille qui soit en ce moment... Mais si ça t'aide un peu, j'suis ravis. Je souris légèrement et pince les lèvres, avant de mordre l'intérieure de ma joue. Malgré moi, je ne peux m'empêcher de penser à Sloan, à ce qu'il fait en ce moment. On devait se voir aujourd'hui, mais j'ai décidée d'annuler notre rendez-vous pour prendre un peu de temps... Selon Liz, ça ne peut que nous faire du bien, un peu de temps séparé... et je pense qu'elle n'a pas tort. ... Tu as vraiment essayé de mettre fin à tes jours ... ? À cause d'une fille ... ? Demandai-je. Je ne juge pas... je comprends, en fait. Étrangement, je comprends très bien... Et je ne pensais pas aussi bien comprendre avant de l'entendre dire.
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La jeune femme s'excusait de s'être emportée en exprimant aussi ouvertement sa passion pour la lecture et le bien-être que ça lui procurait,mais ça ne te dérangeait tellement pas. Bien au contraire, cela montrait que même si tu faisais une vraie tirade explicative, il n'empêche que votre conversation était un véritable échange donc elle pouvait intervenir quand elle le voudrait. « En effet, ce n'est pas évident... Mais ce n'est pas grave ce que tu as dit, donc ne t'en veux pas comme ça » souris-tu avant de poursuivre mon récit, ne lésinant pas sur les détails. En gros, tu ne voulais pas être une personne trop fermée à l'égard de la brunette qui se trouvait face à toi... Tu avais confiance en elle, alors tu pourrais tout lui dire ! Du coup, lorsque tu avais terminé de parler de ta vie de merde, ce fut à son tour de déballer sa propre vie et les détails qu'elle te donnait, c'était horrible qu'elle ait vécu tout cela. Il semblerait que la vie ne vous avait guère épargné tous les deux. A la fin de ses aveux, elle disait qu'elle était mariée, ce qui te choquait un peu et te faisait demander ce que fichait son mari, mais elle te l'expliquait quelques instants plus tard. C'était la merde ce qu'elle vivait ! En plus elle était enceinte et aussitôt ton côté gynécologue faisait surface puisque tu lui demandais depuis combien de temps elle était enceinte. « Est-ce que tout va bien ? » t'enquis-tu, gardant toujours ta panoplie du docteur. Généralement, les situations aussi stressantes et bouleversantes, ce n'était pas bon pour une femme enceinte. Si tu le pouvais, il y a moyen que tu l'examines direct mais ce n'était pas le moment. Elle aurait probablement des rendez-vous avec son gynéco donc tu préférais lui dévoiler ce que l'autre connasse t'avait fait lorsque tu avais quatorze ans. Tu dévoilais même le fait que tu avais tenté de mettre fin à tes jours... Information que tu ne lâchais jamais aussi facilement ! « Je sais bien qu'elles ne sont pas toutes comme ça, mais j'ai toujours eu peur de revivre ça. Du coup, je préférais rester amis... Cela m'évitait de souffrir et comme je suis atteint d'une germaphobie... Tu sais la phobie des microbes... Ben ça m'arrangeait de ne pas trop proche des filles ». Finalement après avoir avoué tout cela, tu t'étais mis à parler de Louison, que tu comprenais mieux maintenant pourquoi elle tenait tant à ce que vous vous rencontriez, Suzy et toi. Du coup, tu venais à remercier la jeune femme de t'écouter parce que ça te soulageait de t'ouvrir comme ça. Tu ne le faisais jamais d'ordinaire. « Tu sais, il en est de même pour moi. Si tu veux discuter, je te prêterais une oreille attentive »[/color] dis-tu doucement. Finalement elle te demandait si c'était vrai... Si tu vais réellement tenter de te suicider à cause d'une fille. Tu hochas la tête en déglutissant avant de répondre : « Je crois que c'était la goutte d'eau qui a fait déborder le vase... Comme on dit. J'endurais depuis tant d'années... Cette humiliation c'était la fois de trop... ». Sans que tu ne puisses la contenir, ta voix se brisait mais tu n'allais pas pleurer. « Veux-tu parler de ce que tu ressens... ? Est-ce que tu aurais envie de... d'envisager cette possibilité extrême ? » osas-tu demander parce que tu sentais clairement dans sa question et sa détresse qu'elle pourrait peut-être avoir cette envie-là... C'était un acte désespéré mais relativement complexe. Tu en connaissais un rayon, malheureusement...
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Une complicité s'est très vite installée entre lui et moi. Côme me raconte ses déboires et je l'écoute attentivement. Il n'avait pas eu une vie facile et comme moi, toutes les sphères de sa vie étaient compliquée en ce moment. Je suis enceinte d'un homme que j'ai épousé, qui n'est même plus certain de vouloir passer le restant de ses jours avec moi... et à 13 semaines de grossesse, c'est bien trop tard pour songer à l'avortement. Non-seulement ce serait inhumain de le faire, mais en plus, j'ai eu le temps de m'y attacher... Côme me demande comment ça se passe et j'hoche la tête. Je garde le silence pendant quelques secondes, avant de daigner lui répondre : Ça va... Ma crevette est un véritable warrior, en fait. Il a survécu le hangar, le stress du chantage et plus récemment, le stress de la séparation. Le gynécologue me parle ensuite de ses propres histoires de cœurs, j'essaie de le convaincre que les filles ne sont pas toutes pareilles et il me répond qu'il préférait ne pas prendre le risque de souffrir. Je peux comprendre... mais en même temps, l'amour, quand il y a de la communication... c'est tellement beau et bon. C'est le meilleur sentiment au monde, même ! Je ne pourrais pas vivre sans lui. Côme révère sa germaphobie et je penche la tête sur le côté. Vraiment ? C'est plutôt étonnant, venant d'un médecin... Après, nous portant constamment des gants et stérilisons tous nos instruments de travail. C'est tout de même la première fois que j'entends ça, venant de la bouche d'un guérisseur. Je soupire, m'appuie contre le dossier de la banquette. Mon nouvel ami m'offre son épaule, si j'avais besoin de parler, de déballer mon sac... Je ne fais que lui sourire en échange, n'osant pas trop abuser de son aide. Puis, finalement, je repense à ce qu'il avait dit... et lui demande s'il avait réellement tenté de mettre fin à ses jours pour une fille. Ma question pourrait lui donner l'impression que je le juge, mais c'est tout l'inverse... je lui demande, probablement parce que secrètement, j'ai un peu envie de disparaître aussi... Côme répond à ma question sans être mal à l'aise et sans créer de malaise... Il est complètement ouvert. Il s'était senti humilié... et je peux le comprendre. Rester dehors, tout nu, devant des mecs qui se moquent... Je me suis sentie un peu comme ça lorsque Sloan a annulé le mariage dans une conversation groupé avec tous nos amis sur whatsapp, sans même m'en parler d'abord. Il s'agissait d'un message qui annonce que l'on reporte la cérémonie à plus tard... mais j'ai plutôt eu l'impression qu'il l'annulait. Après tout, qui fait ce genre de chose sans en parler d'abord à sa fiancée ? Enfin... femme, puisqu'on s'est marié à Vegas rien que tous les deux avant la grande cérémonie. Le Dunster réussi à me sortir de mes pensées et me demandant de parler de ce que je ressens... et en me demandant si je considère cette option "extrême" pour reprendre ses mots. Ma gorge se noue de nouveau, mon regard tremble et après plusieurs minutes de silence, j'hoche la tête timidement. Ne... ne le dit pas, s'il-te-plait. Ni à Louison, ni à personne. Je passe ma langue entre mes lèvres avant de sourire, puis relève les yeux vers Côme. Je ne sais pas si c'est par nervosité, ou si j'deviens folle, mais je me met à rire. Ma main sur ma bouche, je peine à retrouver mon calme. Excuse-moi ! J'suis juste... Excuse-moi ! C'est juste que ... J'crois qu'on a trop parlé pour une première rencontre... J'crois que j'ai jamais autant parlé de toute ma vie ! Je prends ma tasse de café pour boire une gorgée... sauf que mon café est devenu froid, c'est nul. J'suis... j'ai toujours été indépendante. J'ai mes livres, j'ai mes séries, j'ai mes jeux vidéos, mes films... C'est pas surprenant que j'ai été vierge aussi longtemps... j'suis timide, plate, mais j'cherche pas à c'qu'on me remarque tu sais, j'suis bien dans ma petite bulle... Ma cousine doit se marier pour avoir droit à son héritage, parce qu'elle est tombe facilement amoureuse, elle s'attache trop vite... et moi... J'suis indépendante, j'ai pas besoin d'homme, j'en ai jamais eu besoin... J'ai mes priorités aux bonnes places... Pourtant... Je prends une grande inspiration, puis soupire. J'suis une fille optimiste Côme. J'suis pas toujours... comme "ça"... J'refuse de me laisser tomber aussi bas. Je lui souris légèrement et encore une fois, je remplis mes poumons d'oxygène. Alors... Tu veux qu'on aille ailleurs ? Je connais un lasertag sympa, pas très loin d'ici... ! Lui demandai-je, en essayant d'alléger un peu (beaucoup) l'ambiance !
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Grâce à Louison, tu étais en train de rencontrer une jeune femme avec laquelle tu pouvais déballer ta vie sans problème, alors qu'avec d'autres, tu avais attendu des mois voire des années. Ces personnes-là se comptaient sur les doigts de la main quand même ! Bref, tu voyais bien en la jeune femme en face de toi que tu pourrais totalement lui faire confiance donc te voilà en pleine tirade explicative de ta vie si minable... Lorsque le médecin en toi s'était enquis de sa grossesse actuelle, elle te répondait d'une petite voix qu'elle allait bien. Tu la scrutais légèrement pour confirmer que malgré tout, elle semblait avoir une grossesse normale. La suite de votre conversation c'était l'évocation de vos problèmes de cœur : le sien c'était surtout à cause de son « mari » alors que de ton côté, c'était à cause de deux filles... Dont l'une que tu aimais sincèrement mais voilà. « C'est assez problématique, je ne vais pas le nier mais nous sommes suffisamment protégés des microbes pour que je ne fasse pas trop de malaise. J'ai même l'impression que l'hôpital m'immunise contre ma maladie ». C'était une constatation étrange quand même ! Il semblerait vraiment que tu ailles bien que dans un hôpital, peut-être parce que tu pourrais te soigner rapidement. Qu'importe, lorsqu'elle te demanda si tu avais réellement tenté de mettre fin à tes jours, tu ne t'étais pas défilé... Tu avais tout déballé, ce que tu ressentais à l'époque ! C'était probablement le pire moment de ta vie à cette époque-là mais maintenant, cette histoire était presque entièrement derrière toi. Du coup, par rapport à la question de Suzy, et encore plus par rapport à son état actuel, tu osais lui demander si elle envisageait réellement cette extrémité lourde en conséquences dans tous les cas de figure... « Tout ce qu'on se dira, restera entre nous Suzy » dis-tu en lui faisant une promesse solennelle tandis qu'elle se passait la langue sur les lèvres tout en affichant un sourire... Et quand elle croisa ton regard, elle s'était mise à rire avant de s'excuser parce que vous aviez bien trop parler de vos vies pour votre première rencontre. Avant que tu ne puisses réagir à cela, elle avait repris la parole et tu la laissas expliquer ce qu'elle ressentait actuellement. Elle disait qu'elle avait toujours été indépendante, que sa timidité, le fait qu'elle soit plate – un détail insignifiant à tes yeux, parce qu'elle était plutôt jolie – avaient contribué à ce qu'elle soit restée vierge aussi longtemps... Tu la laissas finir de parler, cherchant soigneusement tes mots afin d'être le plus rassurant possible. À la fin, elle te proposait de faire un lasertag... En gros, elle voulait complètement changer d'air, parce qu'elle avait révélé des choses lourdes à assimiler mais toi, tu la comprenais mieux que personne... « Je suis d'accord pour qu'on aille faire des parties de lasertag, ça fait bien trop longtemps que je n'en ai pas fait » avouas-tu avec un petit sourire avant d'inspirer longuement puis tu repris d'une voix que tu voulais la plus douce et rassurante possible : « Tu vis une situation difficile Suzy... Mais tu as bien raison, il faut que tu t'accroches. Je ne suis peut-être pas le meilleur des soutiens dans ce genre de cas mais je te soutiendrais, je ferais de mon mieux pour t'aider à t'en sortir. Je ne vais pas sortir des phrases bateaux mais comme j'ai vécu une situation similaire, n'hésites pas à venir me voir. Je ne t'abandonnerais pas... ». Sur ces mots, tu eus un réflexe, c'était celui de Suzy dans la tienne afin de lui témoigner ton plus grand soutien. En très peu de temps, en une longue conversation, tu sentais une vraie complicité entre vous comme si vos situations délicates vous rapprochaient inéluctablement.
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À l'hôpital, on pourrait presque manger parterre. Tout est toujours propre et stérilisé... et même si on y met les gens malades, nous sommes bien protégés en tant que médecin. Côme a bien raison de se sentir en sécurité là-bas... après tout, c'est un endroit où on va pour se faire soigner, pas l'inverse. Le sujet dérive complètement de sa trajectoire et je ne sais plus comment on a fait pour se rendre jusque là, mais je me suis mise à ressentir des émotions tristes et vachement déprimantes. Je n'aimais pas cette version sombre de moi... je préfère qu'on me perçoit comme une fille optimiste et souriante. Ma séparation avec Sloan est extrêmement douloureuse mais ce n'est pas une raison pour la laisser me définir ! Je souris à mon nouvel ami, avec un petit regard triste. Merci Côme... Il détient un énorme secret et je n'avais plus le choix de lui faire confiance désormais. Si quelqu'un de ma famille apprenait ce qui se passait dans mon cerveau, je ne suis même pas sure que j'aurais encore le droit de sortir dehors... ou de voir Sloan, en fait. Bref, après avoir déballée mon sac, je lui demande s'il a envie d'aller jouer au lasertag avec moi histoire qu'on se remonte un peu le moral. Pareil ! Mais bon, rien qu'à deux, ça risque d'être impossible... ils vont forcément nous mettre en équipe avec un groupe déjà présent. Je rigole un peu. Peu importe, tant que je suis contre toi ! Sinon, c'est pas drôle. Je tire la langue et reprend mon sérieux en l'écoutant parler à son tour. C'est... bizarre. C'est bizarre qu'un parfait inconnu arrive à me faire des promesses aussi spectaculaire... Il ne m'abandonnera pas, il va me soutenir... Je déplisse mon front en battant des cils rapidement, essayant de retenir mes larmes du mieux que je peux. Sloan ne me fait plus ce genre de promesse... et même s'il m'en faisait, rien ne me garanti qu'il les tiendrait. Après tout... il m'a promis "pour toujours" avec une bague au doigt alors qu'en réalité, ça n'a duré que deux semaines. Côme, qui ne sait pratiquement rien sur moi, promettait de ne pas me laisser tomber. Je baisse les yeux vers sa main dans la mienne et me mord l'intérieure de la joue. Enfin... Côme est médecin, bien sûr qu'il veut me sauver la vie même s'il ne me connait pas. Aller, on y va. Tu vas me mettre la larme à l'oeil et tout là, Louison ne serait pas fière de moi ! Lançai-je en riant, pour encore une fois essayer d'alléger l'ambiance. Je reprends possession de ma main et plonge celle-ci dans mon sac pour en sortir une bouteille de désinfectant pour les mains. Germaphobe, hm ? Je lui souris timidement.
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Pour une première rencontre, tout ce que vous étiez en train de vous avouer c'était juste énorme ! Presque toute votre vie respective venait d'être déballée sans hésitation... Comme si vous étiez des amis très proches de longues dates ! Tu lui expliquais ta maladie qui te rendait la vie un peu difficile, voire vraiment beaucoup par moments... Sauf que tu n'avais pas trop le choix, tu étais né avec celle-ci et elle s'était encore plus développée au fil des années malheureusement pour toi... Qu'importe, vous viviez des situations amoureuses légèrement chaotiques de par et d'autre, et cela semblait vous rapprocher énormément donc il allait de soi que tu lui témoignerais tout ton soutien dans cette situation même si tu ne la connaissais que depuis un jour vraiment, grâce à votre bon échange de messages la veille. Lorsqu'elle avait proposé de faire un lasertag, tu avais aussitôt accepté parce que cela vous permettriez de penser à autre chose ! Oui elle avait raison, à deux ce n'était pas drôle ! « Oui, on trouvera obligatoirement des équipes... Et t'inquiètes, tu seras peut-être ma cible favorite pendant cette partie » répliquais-tu sur le même ton avant que la situation ne redevienne très sérieuse. Tu lui faisais une promesse que tu tiendrais obligatoirement...Tu ne rompais jamais une promesse, c'était impossible ! « Elle ne serait pas fière de moi non plus, si je te faisais pleurer » rias-tu en retour avant d'accepter son désinfectant vu que tu venais de lui prendre subitement la main. « Oui, mais il semblerait que j'arrive à te toucher sans que je n'ai envie de tomber dans les pommes... »[/color]. Tu lui rendis un sourire tout en te frottant énergiquement les mains pour les nettoyer avec la solution hydroalcoolique. Une fois cela fait, tu t'étais levé suivi de près par la jeune femme. Vous quittiez les lieux après avoir payé afin de prendre la direction du lasertag ! La partie s'annonçait incroyable avec toutes les révélations du jour !

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