LUZIA FRANCISKA WOLFGANG ► cara delevingne

Je vais t’expliquer un truc mon petit Francis ! Si tu t’attends à une histoire dramatique avec des larmes et des morts tu peux partir et mettre en route netflix. J’ai rien d’une meuf qui a une vie dramatique. Je suis née à Berlin, avec un père et une mère aimante. Mes deux parents sont allemands, ma mère est vendeuse dans un magasin de prêt à porter et mon père banquier. Malgré des métiers qui sont tout de même bien, nous ne sommes pas riches, nous avons toujours vécus modestement dans les limites de nos moyens. Nous ne sommes pas malheureux, nous nous faisons plaisir de temps en temps et par-dessus tout, nous manquons de rien. Nous avons un toit, et de quoi manger. Mes parents m’ont toujours encouragé à stimuler ce qui me sert de cerveau. Déjà petite je m’interrogeais sur ce qu’il y avait autour de nous. Tout ça pour dire que mes parents ont très vite compris que j’avais de grande capacités.

Mon enfance a été très heureuse entourée de mes parents et de mon cousin Gabano, qui est plus l’équivalent d’un grand frère que d’un cousin. J’ai été à l’école primaire, mais je m’ennuyais car je finissais les exercices bien plus vite que la normal. J’ai vue des spécialiste, fais des tests et on s’est rendue compte que j’étais surdouée. Alors j’ai continué, le collège, le lycée.
Je n’ai jamais été une fille très fille on va dire. J’aime bien les trucs de mecs et les soirées à regarder star wars avec mon père c’était la base pour nous. Je suis fan grâce à lui. Les jeux vidéos aussi. Vous l’aurez compris, je n’étais pas du genre à sortir tout les soirs. Évidemment, j’avais des amis, on sortait en boîte, j’ai eus des mecs, mais les meilleures soirée ont toujours été celles en petits comités avec ces pizzas, des boissons (ouai de l’alcool je sais c’est pas légal mais je m’en tape les nibards).
Les bouquins scientifiques aussi. Je peux en dévorer des tas tellement j’aime ça, j’adore passer mes soirées à lire de la science, ça m’a toujours fascinée, et depuis petite je voulais travailler avec les étoiles et les molécules.
En ce qui concerne les mecs on ne me comprend pas toujours car je ne suis pas toujours comprise. On me trouve en général bizarre, mais je m’en fou. Toute façon je me méfie des mecs, des mecs avec des coupes mulets et des bernudas, mais surtout des mec avec des coupes mulets. En vraie j’ai pas trouvé le mec qui me comprend et qui comprendra que je ne suis pas du genre à aimer être étouffée et que l’on empêche de vivre. Je suis un électron libre je vais où je veux, je veux pas que l’on étouffe comme un feu que l’on veut éteindre.  Enfin bref le seul mec où je me sentais moi est partit aux états-unis, Gabano. Il m’a laissé, mais bon c’était le choix de sa famille, je lui en veux pas, on a toujours gardé contact. C’est pour ça que lorsque j’ai été diplômée, et que je lui ai dit que je voulais intégrer une grande école il m’a aidé. Même si je suis ce qu’on appel un génie, j’évite de le crier sur tout les toits, je veux juste être comme tout le monde et vivre. Je suis une femme qui sait ce qu’elle veut, qui défend ses droits et qui possède un sacrer caractère.
Je vis chez Gabano les week-end, sur le campus la semaine, je suis arrivée à harvard en Septembre, et voilà je remercierai jamais assez mon cousin, il gagne beaucoup d’argent je me doute que ce n’est pas en claquant des doigts, mais je m’en tape. C’est mon cousin, le seul mec qui m’a toujours respecté, même si j’aime le faire chier. Je suis assez dur avec les mecs car je suis une féministe de malade en plus d'être végétarienne. Je suis pour les droits de la femme et je serais la première à aider une autre femmes (ou même un homme hein je suis pas anti homme non plus !) en cas de besoin. Je suis une fille fiable, même si je suis assez jeune, tu pourras compter sur moi, je suis loyal et j'oublie jamais quelqu'un qui m'a aidé. La famille c'est important et les amis qui le deviennent encore plus.