Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityIn the end, it’s him and I .-- Leonaldi
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In the end, it’s him and I .-- Leonaldi

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La portière de la voiture se referme derrière moi alors que je tendais le bras vers la poignée. « J'aurais pu la fermer toute seule hein... j'ai des bras ! » Toujours un peu agacée, et comme Arthur n'est pas devant moi, c'est Pierre qui prend. J'ai eu le temps d'aller me changer, j'suis en mode zen avec un t shirt noir et un slim de la même couleur, bottines à talons hauts en prime pour un total black look. Je m'enfonce dans le siège, rêveuse. J'sais pas pourquoi j'ai fait ça. Pourquoi je lui ai donné mon numéro ce soir là, pourquoi j'ai répondu à son premier appel qui me proposer de rentrer avec lui sur Boston ? J'le savais, j'm'en rappelle bien que j'ai hésité un long moment. Ma tête frappe contre le siège, comme l'idiote que je suis. On ne devrait pas, parce que je sais comment ça se termine ce genre d'histoire là... Toujours mal ! Et là, à voir les immeubles défiler devant la vitre, je me sens terriblement seule derrière. J'avance dans mon siège, tapote à la vitre entre le chauffeur et moi. Pas de réaction. Je finis par trouver comment ouvrir la vitre. « Pierre... j'peux venir devant ? » J'sais pas s'il a le droit ou pas, et j'm'en fiche. J'ai besoin de lui parler, même si lui il ne me répond pas toujours. Il s'arrête sur le bas côté. Je descends avant qu'il n'arrive à la portière, ouvre la avant et monte en fermant la porte en vitesse. Il fait le tour de la voiture alors que je souris de mon acte de liberté. Je tourne la tête vers lui quand il remonte, un peu froissé, au volant. « Ne faites pas la gueule, j'avais même envie de prendre la place de conducteur... » Impossible de le dérider. Je lui parle de tout et de rien pendant le trajet, alors qu'il fait sûrement semblant de m'écouter. Ou alors il n'a pas le droit de me répondre ? Je n'en sais rien. Nous arrivons à la villa, Pierre sûrement plus soulagé que moi. Arthur vient juste d'arriver et descend de sa voiture en même temps que moi puisque Pierre n'a même pas encore arrêté le moteur. Toute cette histoire, ça me brasse, et pourtant quand j'le vois, je me dis que plus rien n'a d'importance. Sans réfléchir, j'enroule mes bras autour de son cou, caresse la base de ses cheveux et l'embrasse vivement, le poussant contre sa voiture avec mon bassin. Je ne l'ai quitté que ce matin, et sa langue me donne l'impression que je ne l'ai pas touchée depuis des mois. « J'ai très faim tu sais ? Je suis partie de l'aquarium super tard alors je n'ai fait que grignoter. J'espère que tu as conscience qu'il vaut mieux m'avoir en photo qu'au resto... » Oui... parce que t'as bien compris que tout était un prétexte pour ne pas venir...

@Arthur Grimaldi-D.M.
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Cette situation était inédite tout de même ! Jamais tu ne te serais douté que tu allais devoir t'engueuler au téléphone avec une amante, parce que celle-ci n'était pas encline à passer la soirée avec toi. D'ailleurs, tu ne comprenais toujours pas pourquoi elle avait voulu refuser. Néanmoins, tu sentais que tu allais avoir du boulot pour qu'elle t'obéisse au doigt et à l'oeil. Est-ce que tu voulais qu'elle t'appartienne complètement ? Peut-être bien mais ça n'était qu'une question de temps et de toute façon, tu ne te sentais pas prêt à construire quelque chose. Bref, tu avais rapidement pris congé de l'Ambassadeur de Monaco pour que tu puisses la rejoindre chez toi. Tu avais rapidement envoyé Pierre pour la récupérer, ce qui avait accentué la colère de la jeune femme... Pour ta part, tu étais au volant de ta voiture de sport, une superbe McLaren 720S que tu avais acheté dès la phase de construction du bolide. En gros, lorsque tu avais vu que les tests du véhicule étaient bien concluants, tu avais fait en sorte que l'un des rares modèles du constructeur t'appartienne. Oui quand le Prince de Monaco réclamait quelque chose, il l'obtenait sans grande difficulté. Comme là d'ailleurs, Echo allait le rejoindre sans qu'il n'ait eu besoin d'user d'une quelconque ruse pour la faire venir auprès de toi. D'ailleurs, alors tu venais d'entrer dans l'enceinte de ta villa, tu remarquais que ta voiture officielle était arrivée aussi et que la jeune femme en descendait.tu ne pus t'empêcher de rire parce qu'elle avait dû en faire voir de toutes les couleurs à ce pauvre Pierre qui n'en demandait pas tant. Tu sortis de ta voiture avec une classe digne de ton rang et elle venait directement vers toi, pour enrouler ses bras autour de ton cou, pour te pousser contre ta voiture sous l'effet de votre baiser. Pourtant la dernière fois que vous vous êtes vus, c'était pas plus tard que ce matin même. Tu lui rendais son baiser avec autant d'intensité avant d'afficher un sourire amusé. « J'espère que tu es prête à attendre quelques minutes pendant que je me mets aux fourneaux. J'ai donné congé à tout le monde pour qu'on puisse être tranquille ce soir » souris-tu avant de te détacher d'elle puis tu lui pris la main pour l'emmener à l'intérieur de ta villa. La gouvernante et le majordome étaient encore présents et vous accueillaient avec respect. Georges te faisait également savoir que ton père souhaitait s'entretenir avec toi au sujet de ta rencontre avec l'Ambassadeur quand tu aurais du temps libre le lendemain. Tu hochas la tête en signe d'approbation avant de prendre la direction de la cuisine. « Qu'est-ce que tu aimes ? » demandas-tu en arrivant sur les lieux, toujours aussi propres, comme si Germaine ne pouvait pas laisser une seule trace au sol ou sur les ustensiles de cuisine.
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Tout ce que l'on construit est trop étrange pour que mon cerveau arrive à s'y habituer. Parce que je crois que déjà, il y a ce petit lien qui m'accroche à lui. Il est tout petit, du fil de suture 5.0 sûrement, pour réparer mon cœur quand ça casse. Il est tout petit oui, mais il est déjà là, et ça, ce n'est vraiment pas bon. J'suis la meuf qui devrait te faire payer, celle qui ne donne pas suite aux appels et aux sms. J'passe pas autant de temps avec mes coups d'un soir, parce qu'ils ne durent qu'une seule soirée justement. Alors tout ça, ça me fait réfléchir. Quand je me lui laissais aller avec Kira, j'me suis un peu jetée à corps perdu la dedans. Et on sait comment ça c'est terminé. Rien. Le néant parce que c'est cette petite garce qui a pris la décision, la bonne, de tout stopper, avant moi. Je détaille le jeune homme, la fatigue à peine présente sur son visage. Je n'arrive pas vraiment à me dire que je l'ai vu le matin même, et que j'étais parti sans le réveiller. Sa bouille de bébé immortalisé, j'avais même du lui piquer une tenue de sport pour ne pas repartir avec juste mon manteau et mes escarpins à mon appartement. « Attendre ? Tu sais que ce mot existe toi ? » Je lui souris, lâche la pression sur son cou. Je suis contente d'apprendre que l'on va être que tous les deux ce soir. La nuit dernière, j'ai eu peur de croiser quelqu'un en allant faire pipi parce que vraiment, ils sont partout. Je le laisse prendre ma main et le suis pour entrer dans la villa. Je redécouvre le décors une nouvelle fois, vois toujours quelque chose que je n'avais pas vu la fois précédente. Je salue les deux personnes présentes, d'un bonsoir radieux. Comment fait-il pour avoir toujours autant de monde autour de lui ? Je lâche sa main pour qu'il s'entretienne avec son majordome, que j'ai rencontré la veille. On finit par avancer dans la cuisine alors que je m'appuie contre un plan de travail parfaitement rangé. « Je mange de tout, je ne suis vraiment pas difficile. A part ces trucs français là, les abats tout ça. » Je fais la grimace et finis par m'asseoir sur un tabouret devant l'îlot central. « Fais ce que tu as envie de manger. Un truc simple de chez toi tiens ! Et j'vais t'aider.» Parce que je n'aime pas être assistée, parce que je ne vais pas passer mon temps à t'observer comme ça. Je le regarde chercher les affaires, et finis par me lever pour m'installer derrière lui, lui octroyant une nouvelle paire de bras. Ma joue se colle contre son omoplate, alors que je regarde par dessus l'épaule du blondinet. Je finis par prendre une position plus pratique pour l'aider, à côté de lui. On se met au boulot. Alors que je lui mets un petit coup de hanche, l'idée me revient en tête. « Tu leur as demandé s'ils avaient vu mon porte feuille ? Parce que du coup, ce soir, on mange, je récupère mes affaires et je pars. » Ne pas dormir avec toi, c'est peut-être déjà un moyen de me détacher de l'emprise qu'à ton corps sur le mien.
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Alors que tu venais de raccrocher, tu te demandais pourquoi tu faisais autant de choses pour que la jeune femme vienne chez toi ce soir. Tu te doutais qu'il se passait quelque chose de passionné, de très charnel mais à tes yeux, ce n'était qu'une amante comme une autre non ? Alors pourquoi il semblerait qu'elle ait droit à une véritable exclusivité depuis que tu la connaissais ? Depuis qu'elle avait laissé son numéro de téléphone après être partie comme une voleuse de ta chambre d'hôtel, tu aurais dû l'oublier mais en fait de compte, tu lui avais envoyée un message à bord de son jet privé qui te ramenait à Boston. Or depuis, vous vous êtes revus plusieurs fois, donc on pourrait vraiment croire qu'il y avait une vraie relation qui se construisait malgré tout. Sauf que tu n'étais pas prêt à penser à cela ! Ne pas avoir l'amour de Meadow, n'être qu'un simple fiancé aux yeux de ta fiancée... Cela avait complètement amenuisé tes envies d'avoir une romance comme tout le monde. Donc pour le moment, tu n'allais pas te prendre la tête à cause de tout cela... Tu comptais profiter d'Echo au maximum et si elle ne voulait plus de toi, qui sait ce que tu pourrais ressentir... Déception, frustration, tristesse ? Probablement ! Vous arriviez donc en même temps dans la cour principalement de ton Domaine princier. Du coup, dès que tu étais sorti de ta voiture de sport, elle s'était presque précipitée vers toi afin de s'accrocher à ton cou pour que vous puissiez vous embrasser langoureusement. « Ah bon ? Je crois qu'il ne fait pas partie de mon vocabulaire » souris-tu en retour avant de lui faire savoir que vous seriez seuls ce soir. Tu avais donné congé à tout le monde. Du coup, tu lui proposais de te suivre jusqu'à ta cuisine high-tech où tu ne mettais que très rarement les pieds. Il était rare que tu prépares à manger puisque tu avais des gens que tu payais pour le faire mais tu savais néanmoins comment cuisiner. Elle te répondait qu'elle mangeait de tout sauf les abats, ce qui te fit sourire d'un air amusé. « Promis, je ne t'en ferais pas ! Je n'aime pas ça non plus » répliquas-tu avant de t'activer pour chercher les ingrédients. Elle voulait goûter à des spécialités de chez toi... « Pourquoi pas des spécialités monégasques, genre des gambas au pastis et du barbagiun » lui proposas-tu alors qu'elle s'approchait de toi pour t'offrir son aide. « Approches-toi alors » souris-tu alors qu'elle se mettait derrière toi et t'enlacer, plaçant même sa tête contre ton omoplate... C'était assez difficile de cuisiner avec elle collée contre toi, comme ça. Heureusement qu'elle finit par se mettre à côté de toi, et au moment où tu t'apprêtais à lui voler un baiser, elle te faisait rappeler les vraies raisons de sa venue. « Oui, c'était sur ma table de nuit dans la chambre... Je te ramènerais alors, si tu veux vraiment rentrer. On va manger au bord de la piscine, ça te dit ? Vu qu'il fait assez bon ce soir ». Tu proposais cela avant de déposer un baiser sur ses lèvres, puis tu retournas à la préparation de tes plats monégasques. Et comme elle voulait t'aider, tu lui tendais les gambas pour qu'elle puisse les nettoyer un peu. « Pourrais-tu préparer le riz s'il te plait ? »
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Ne pas rester pour la nuit. Oui, c'était la solution que j'avais trouvé, ma solution de facilité pour essayer d'oublier le beau blond. On n'a rien fait comme les autres, et c'est quand tout tourne bien comme ça que je me dis que je ferais mieux de m'abstenir. Je m'étais dit ce matin que j'allais bosser tard à l'aquarium ce soir, rentrer, regarder les cours d'arts visuels et me coucher. Juste me coucher. J'ai été idiote, encore une fois, puisque c'est moi qui ai envoyé le premier sms. Pourquoi j'ai perdu ce putain de porte feuille ? J'avoue que j'ai passé un petit moment, entre deux cours, sur instagram, à regarder ses photos. Je n'aurais pas du ? Mon cerveau trouve toutes les solutions pour que j'me barre d'ici, et mon cœur agit à sa place. Mais qu'est ce que je suis con. Quoiqu'il en soit, j'avais tout de même l'intention de passer un bon moment avec lui ce soir, juste une soirée sympa. « Du barba quoi ? » Je fais la moue devant ce nom étrange, que je n'ai jamais entendu de ma vie. Je le laisse me confier le tâche, suivre sa recette sagement pour une fois. Je le lâche un peu, le contourne pour m'installer à ses côtés et continuer les préparations. Je lui lâche mon idée, ma petite bombe de la soirée, et cela n'a pas l'air de le déranger plus que ça que je parte ce soir. Tant mieux. Et pourtant, je sens mon ventre se serrer quand il ne réagit pas. Je sais maintenant que mes papiers sont là, et ce léger poids disparaît d'un claquement de doigts. Il me propose de manger au bord de la piscine. « Ouais totalement ! » La piscine, on ne pouvait pas la louper. Les immenses baies vitrées ne montrent qu'elle, et ce n'est pas pour me déplaire. J'ai pourtant passé la plupart de ma journée dans l'eau des bassins de l'aquarium. Je jette un coup d’œil aux lumières dehors qui l'éclairent déjà. Il a vraiment du goût, c'est joli ici, même si la taille de la villa m'impressionnera toujours. Il se penche vers moi et m'embrasse furtivement. Quelque chose de doux et fugace. Je soupire dans un petit sourire qui se dessine sur mon visage. Mais il ne tarde pas à me ramener vers du factuel. Je m'occupe des gambas qu'il me tend, puis de la cuisson du riz. La cuisine, ça n'a jamais vraiment été mon fort. J'aime faire les desserts, les gâteaux tout ça, mais le reste est loin d'être une passion. J'me débrouille, mais sans plus quoi. Alors j'espère que je ne vais pas faire de conneries. Les préparations se passent sans encombre, et je le laisse terminer quand il n'a plus de chose à me faire faire. Je fouille dans les placards pour trouver les couverts et mettre la table dehors. Je m'accroupis et touche la température de l'eau. J'aurais du me douter qu'elle était chauffée, et c'est particulièrement agréable vu la température extérieure. J'entre de nouveau dans la cuisine, avec mon blouson. « T'aurais un plaid ? J'ai peur d'avoir un peu froid. Ou alors on mange dans ta piscine, il y fait meilleur ! » Il doit se dire que je me moque de lui à cause de notre épisode de la veille où j'ai débarqué chez lui sans rien sous mon blouson. J'avais aimé le chambrer avec mes sms et ce chauffeur de taxi un peu pervers. Errer dans l'immense espace ouvert, regarder les photos, la décoration, en attendant qu'il termine ce qui ne devrait pas mettre beaucoup de temps. Je découvre un peu son pays, m'arrête devant chaque photo que je détaille. Je remarque qu'il n'est pas fils unique, une sœur, peut-être jumelle, et un grand frère apparemment. Je reconnais ses parents sur une photo non officielle. Merci papa pour les cours à Astrée ! J'me sens étrangement passionnée par cette famille qui semble si soudée, alors que la mienne me paraît totalement décousue. Mon portable sonne, me coupe dans ma contemplation et j'avance vers mon sac pour voir qu'étrangement, mon père essaye de m'appeler. Je refuse l'appel. Papa, ce n'est vraiment pas le moment.
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La jeune femme refusait de rester pour la nuit, et finalement vu que tu acceptais de la raccompagner, tu te disais que c'était peut-être mieux ainsi parce qu'au final, tu ne savais pas vraiment quelle était la nature de vos relations à l'heure actuelle. Tu aimais bien sa compagnie et encore plus son corps de Modèle, mais il semblerait que tu t'attachais peu à peu et ça tu refusais. Non tu ne voulais plus t'attacher à une fille, tu refusais de ressentir de nouveau ce déchirement au niveau du cœur parce qu'on n'acceptait pas tes sentiments ! Plus jamais tu ne laisserais une fille obtenir ton cœur, tu valais bien mieux que cela ! Donc, si Echo voulait rentrer chez elle ce soir, tu n'y voyais aucun inconvénient... Même si cela voulait dire que tu devrais te soulager tout seul dans ton coin en pensant à elle, mais ça ne valait pas les baises avec elle. Bref, vous vous retrouviez rapidement dans ta cuisine afin que tu puisses lui préparer des spécialités de chez toi... En tant que Monégasque, tu savais préparer presque toutes les recettes importantes du Rocher. Sa réaction quand tu parlas des Barbagiuans te fit rire aux éclats ! Tout le monde réagissait comme ça en entendant ce plat typiquement monégasque. Elle venait t'aider mais avant de se mettre juste à côté de toi, elle venait t'enrouler ses bras autour de toi, puis elle te lâcha pour se mettre juste à côté. « Barbagiuans... Dans ma Langue, ça veut Oncle Jean. En fait c'est une sorte de ravioli aux légumes. C'est une inspiration de certaines recettes du Sud de la France mais les Monégasques l'ont arrangé à leur sauce. C'est devenu l'une des plus grandes spécialités de chez moi. » expliquas-tu avec minutie pour qu'elle comprenne ce que sont les Barbagiuans. Par la suite, tu lui expliquais que ses papiers avaient été retrouvés et qu'ils étaient actuellement dans ta chambre. Tu irais les récupérer après d'ailleurs, mais pour le moment tu lui proposais de manger à côté de la piscine parce qu'il faisait bon. Elle acceptait avec enthousiasme avant que tu ne te penches vers elle pour l'embrasser furtivement puis tu lui donnais les gambas à nettoyer le temps que tu prépares le reste. C'était bizarre comme image non ? C'était comme si vous étiez un couple ! Pendant que tu finissais la préparation de votre repas, elle s'était empressée de sortir les couverts et d'aller mettre la table dehors.Tout en continuant ce que tu faisais, tu la regardais et tu affichais un regard amusé alors qu'elle testait l'eau de la piscine. Quelques instants plus tard, elle revenait auprès de toi pour te demander si tu n'avais pas de plaid parce qu'elle avait peur d'avoir froid. « En effet, ça peut être envisageable de manger dans la piscine... Même si c'est autre chose que je veux manger dedans » répliquas-tu sur le même ton taquin, la provoquant un peu avant de rajouter : « Normalement sur mon canapé dans le salon il y a un grand plaid plié en triangle. ». La cuisson de vos plats était presque finie ! Tu humais avec bonheur, la bonne senteur qu'offraient tes plats. Ça te manquait vraiment ! Tu retiras ton tablier avant de rejoindre la jeune femme qui regardait tes photos de famille avec attention, refusant même de répondre à son téléphone. Tu l'enlaças légèrement en arrivant derrière son dos. « Tu sais que je suis le petit dernier des Grimaldi ? » souris-tu avant de l'embrasser dans le cou.
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L'écouter parler de son histoire culinaire, un petit bout en tout cas, le suivre dans la cuisine pour l'aider dans la préparation du repas, le laisser m'embrasser furtivement comme un enfant joueur... Tous ces gestes, ces petites actions, je ne sais pas si je devrais vraiment les faire. On agit comme un couple, avec seuls les avantages. Pas d'engueulades, de prises de bec ridicules qui nous bouffent l'esprit. Rien. Juste le plaisir d'être un peu ensemble, jusqu'au moment où il se lassera de ma petite tête blonde. Parce que ce mec, j'suis certaine qu'il est comme ça. Il s'attache et il largue, comme une merde. Il a le monde à ses pieds alors que j'essaye juste de pouvoir continuer d'étudier à Harvard. C'est ridicule. Et son air provocateur aussi. Si tu crois que je n'ai pas pensé moi même à coucher avec toi dans la piscine, c'est que tu n'as rien compris. Mon corps appelle le sien depuis qu'il a engagé la conversation à Nassau. Depuis, il n'a envie que de lui. Alors quand je vois cette putain de piscine chauffé, je sens déjà que mon corps se met en conditions pour y aller avec le blondinet. Ne me regarde pas comme ça. Ce soir, je vais partir sans que l'on se touche autre mesure. Je suis les indications pour aller chercher le plaid, observe les photos sur mon sillage. Mon objectif n'est qu'à quelques pas, mais ma curiosité me pousse à vouloir en découvrir quand même plus sur lui. Refusant l'appel de mon père, je repose mon attention sur les cadres, sursautant presque en sentant le corps chaud du jeune homme contre mon dos. « Je sais juste reconnaître les têtes couronnés et les hommes d'Etats sur des photos. Merci Papa. Il nous embrouillait l'esprit quand on devait le suivre pendant les soirées mondaines. Ma sœur avait des difficultés pour tout retenir alors qu'elle en crevait d'envie. Et moi, je m'en fichait royalement, mais tout rentrait. Alors, je lui murmurais les familles et les pays quand on devait les saluer. » Vague souvenir avec Astrée, vu comment nous sommes maintenant en froid elle et moi. Il embrasse mon cou alors qu'un léger frisson, impossible à retenir, me court le long du dos. Je penche la tête en arrière pour observer son visage. « T'as une tête de petit dernier Grimaldi, le chouchou de maman quoi. » J'attrape ses bras autour de moi. Me blottir contre lui me paraissait une bonne idée, mais mon cerveau me hurle que non. Je me retourne, toujours dans ses bras et lui vole un baiser en me mettant sur la pointe des pieds. « Tu t'entends bien avec tout le monde dans ta famille ? J'sais pas, les obligations royales tout ça...ça ne crée pas des tensions ? » Je me libère de lui, attrape le plaid et l'enroule autour de mes épaules pour pouvoir aller dehors avec lui et commencer notre dîner. Je reste surprise par l'odeur agréable qui se dégage des plats vu l'aspect de ces petits raviolis qui ne paye vraiment pas de mine ! "Ça sent, terriblement bon..." La sonnerie de mon portable me coupe à nouveau. Je m'excuse auprès d'Arthur, ramène mon portable avec moi et le mets en silencieux pour qu'il ne nous dérange plus, vitre posé face à la table.
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Ce petit moment chez toi avec Echo, c'était assez étrange quand on regarde depuis l'extérieur ! En effet, vous ressemblez vraiment à un petit couple qui partage sans problème un petit moment de détente en cuisinant ensemble, à discuter et à vous embrasser furtivement... Comme des jeunes mariés ! Tu devrais cesser tout cela avant qu'il ne soit trop tard quand même, parce que tu sentais que tu allais le regretter tôt ou tard... Elle devenait beaucoup trop importante dans ta vie et d'un côté, tu sentais que tu finirais probablement par la tromper... Fin ce n'était pas encore d'actualité et tu ne l'espérais pas parce qu'elle te suffisait amplement pour l'instant ! Vos regards qui se croisaient en disaient long sur vos intentions vis-à-vis de ce repas dans la piscine. Tu lui faisais savoir qu'il y avait un plaid dans le salon et la jeune femme s'était mise à regarder tes photos de famille. Alors que tes plats étaient presque terminés, la cuisson bien entamée et proche de son terme, tu t'étais rendu auprès d'elle pour l'enlacer. « C'est bien que ton père ait pris le temps de vous apprendre ça. Moi on m'obligeait à connaître quasiment tous les Chefs d'Etat Européens, les têtes couronnées etc. Parce que je devrais être un grand diplomate... Je dois avouer que je détestais ces cours-là aussi. Un gamin de dix ans doit s'amuser, pas apprendre l'histoire complète de la France et de Monaco. Les Stratégies guerrières des Rois... ». Tu haussas les épaules en mode « on s'en fout, ça s'est passé il y a longtemps ». Tu donnas un léger baiser dans son cou avant de sourire lorsqu'elle constata que tu avais une tête de petit dernier. « Oui, je suis le chouchou de maman. J'ai juste dix minutes de retard par rapport à Alice ma jumelle... Qui est la préférée de Papa ». Après qu'elle t'ait donné un baiser, elle te demanda si tu t'entendais bien avec les membres de ta famille. « Mon grand-frère c'est mon héros. Et ma jumelle, je l'adore mais on peut parfois s'entretuer... Par contre, mon Père et moi, c'est assez virulent parfois. ». Tu te demandais pourquoi tu parlais autant, mais au final, ça ne te dérangeait pas de parler de ta famille etc. Elle s'était détachée de toi afin de pouvoir enrouler le plaid autour de ses épaules. Pendant ce temps, tu ramenais les plats bien chauds dehors. « Tu m'en diras des nouvelles » souris-tu avant de la servir. Tu te servis également et tu attendais qu'elle goûte pour que tu puisses entamer tes plats.
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L'évocation de son enfance fait écho à la mienne, enfin, plutôt à celle de mon frère et de ma sœur aînés. Les jumeaux, ils devaient être parfaits, ils devaient tout connaître. Et moi, la petite dernière, j'étais la préférée de ma mère. Dans ma folie, dans ma joie de vivre, je crois que je rappelais l'enfance libre de Mademoiselle Leone en Italie. Ma mère a toujours été la femme de l'ombre, et encore plus depuis que mon père est le premier ministre australien. Elle n'a pas eu cette éducation stricte, alors, elle a tout de suite compris quand j'ai décidé de partir sur Paris pour faire mes études. Mon père me bouffait la vie, à partir du jour où j'ai ramené une petite amie à la maison. Je l'écoute attentivement parler de sa famille, en apprenant un peu plus sur lui. Une jumelle un peu plus âgée préférée par son père, et lui, le petit chouchou de sa maman. J'observe sa bouille de bébé en souriant. Et étrangement, je ne suis pas surprise qu'il puisse y avoir des tensions avec son père. « Virulent dans vos rapport de père à enfant... ou de Roi à Prince ? » Parce qu'il y a une grande différence, en tout cas, moi je la fais. Nous nous installons à table, guidés par l'odeur délicieuse qui se dégage des plats. J'ai tellement hâte de goûter, que le fait que mon père nous dérange encore me fait râler. Ça fait une éternité que je ne lui ai pas parlé. Et je ne sais pas ce qu'il me veut. Alors il attendra, comme d'habitude. M'enroulant un peu plus dans le plaid, je goûte sa spécialité monégasque, l'attrapant avec mes doigts. J'ai l'air de manger avec un prince ? Nan, pas vraiment. Les yeux brillent à la première bouchée. Ce tout petit truc est une tuerie, vraiment! Et mon estomac qui crie famine, grogne un peu devant mon appétit qui monte, et par l'odeur, et pas le goût. « Et tu m'dis que t'es pas un cordon bleu ?! Tu as appris à cuisiner avec qui ?» Je déguste tout, d'une lenteur que je ne me connais pas. Chaque bouchée me transporte un peu à Monaco, et je crois que parfois, j'ai fermé les yeux. Imaginer son pays, la chaleur des rues l'été, une bière sur une terrasse ombragée. Je suis presque déçue de terminer mon plat. Fini le beau voyage ! Le coude droit se pose sur la table alors que mon assiette est terminée, la tête se pose dans la paume de la main alors que j'observe Arthur terminer son assiette. Il a vraiment des beaux yeux, et ce sourire qui se dessine sur ses lèvres me ferait tomber dans les pommes. Je secoue la tête pour faire fuir mes idées de faire l'amour dans sa piscine, juste derrière moi. On pourrait se lever, et discrètement, je le pousse dedans ? Non, je dois partir maintenant. On a déjà trop parlé de nos familles, de nos pays, je ne veux pas continuer comme ça. Je me redresse doucement, me mords la lèvre inférieure, si peu convaincue par ce que je vais dire. « Merci pour ce repas. Je vais nettoyer et ranger Arthur, tu veux bien aller chercher mon porte feuille pendant ce temps s'il te plaît ? Pour que je puisse partir maintenant... » Couper court à tout, rapidement, même si ça m'fait un mal de bide terrible... 
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Il était rare que tu évoques ainsi tes relations avec les membres de ta famille, mais ce soir tu avais quelque peu envie de parler de toi à Echo, donc tu n'avais pas hésité à tout raconter. Allant presque dans les détails vis-à-vis de tes relations plutôt houleuses avec ton paternel. Elle te demandait en quoi tes rapports avec ton Paternel étaient virulents, tu devins légèrement songeur avant de répondre d'une voix grave, prenant le ton le plus franc possible mais en même temps, il exprimait assez ton amertume actuelle : « Eh bien, au début c'était surtout dans nos rapports père-fils. Comme il passait beaucoup plus de temps à chérir Alice, alors je faisais un maximum de bêtises afin qu'il me remarque. Mais il n'avait vraiment d'yeux que pour ma jumelle. Du coup, ça se ressent dans nos rapports Roi-Prince maintenant. ». Tu t'interrompis légèrement, réfléchissant à ce que tu pourrais dire ensuite puis tu repris sur le même temps : « Le futur souverain de Monaco sera ma jumelle ou moi, parce que notre frère souffre d'une maladie assez rare donc j'ai bien peur qu'il n'y laisse sa peau... ». Tu faisais un aveu mais tu préférais ne pas en dire plus pour le moment. Du coup, tu allas récupérer tes plats pour les emmener dehors alors qu'elle s'était mise sous le plaid. Tu ne ressentais pas la petite fraîcheur ambiante, non le fait de cuisiner t'avait réchauffé un peu. Tu la laissas goûter tes plats et son compliment te fit plaisir, cela te faisait apparaître un sourire sur le visage. « C'est ma gouvernante Martha qui m'a appris. Elle est trop douée ! Elle était ma nounou aussi » dis-tu devenant presque trop tendre donc tu t'empressas de manger pour masquer cela. Tout en discutant longuement, vous mangiez comme si vous étiez un vrai couple et cette situation était assez gênante. Une fois que vous aviez terminé, elle s'était mise à dire qu'elle allait nettoyer et ranger pendant que tu chercherais son porte-feuille. « Je vais te ramener ton porte-feuille, mais je ne veux pas que tu partes maintenant. » dis-tu en t'approchant d'elle pour l'embrasser avec ardeur. « Je ne peux pas te laisser partir alors que tout mon corps réclame le sien... Tu me refuserais ça ? Je te promets de te ramener chez toi, plus tard ! ». C'était presque impossible pour toi de la laisser partir maintenant.
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