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What if we hit the road? (Benjona)

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Le bruit des clés dans la serrure et celui de la porte me tire un sourire en coin. Contrairement à d’habitude, ça ne vient pas avec le cliquetis des médailles de Brabra ou les exclamations d’Eva. Et ce n’est pas parce qu’ils sont en train de faire la sieste. Il n’y a qu’un fond de musique qui passe sur la chaine audio qui dérange le silence tellement rare ici. Le bon côté étant que ça me permet de suivre à l’oreille les mouvements de mon mari qui entre. Le rythme me permettant en partie de savoir comment il se sent. Si les pas se font plus lourds parce qu’il est épuisé, s’il esquisse quelques pas de danse ou même fredonne parce qu’il est de bonne humeur… ce genre de chose.

Délaissant les tasses sur le comptoir un instant, je m’approche pour intercepter mon mari alors qu’il dépasse le coin de de la cuisine, passant mes bras autour de lui, pour le ramener près de moi et l’embrasser.

- Right on time, constatais-je dans un murmure.

Un moment, je profite encore de ses lèvres, mes mains descendant au bas de son dos avant de finalement le libérer. On pourra se faire une joute plus tard.

- Tu as le temps de prendre une douche et te changer pendant que je fais les derniers préparatifs, fis-je en me redressant légèrement. Enfile quelque chose de confo, on en a pour un petit moment sur la route, fis-je avec un sourire en coin sans donner de détails, le poussant doucement vers notre chambre.

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@Jonathan Skelton-Lynch
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►What if we hit the road?


On the road again


Mon sac en bandoulière sur mon épaule, passé en travers de mon torse, me lacère inconfortablement la peau visible de ma nuque. Sans que je fasse un geste pour remettre la sangle à sa place.
Je suis fatigué. Inexorablement. Tout le temps. Et ça me fatigue d'être fatigué. Sans que je fasse quoi que ce soit pour changer cet état. Parce que, d'une certaine façon, cette fatigue, ces "problèmes" que je dois gérer, ces responsabilités qu'il me faut endosser, sont le parfait moyen pour m'échapper d'une réalité qui m'échappe.
Si je rentre trop fatigué pour me rendre compte que j'avais, peut être, un autre chez moi avant, dont je ne me rappelle pas maintenant, c'est déjà ça de gagné.
Mais voila, depuis notre retour de vacance, et peut être même avant ça, ma fatigue commence à empiéter sur ma vie de famille. Depuis quand n'ai je pas fini une soirée le roi lion avec Eva, sans sortir mon téléphone en plein milieu, ou aller me fumer une cigarette? Une fois je me suis même endormis en plein milieu ... La petite avait même mis sa doudoune rose sur mes epaules, parce qu'elle voulait pas que j'aie froid.
Un sourire barre mes lèvres à l'évocation de ce souvenir, tandis que j'entre, pose mes clés sur la table à côté de la porte, et m'attends à entendre le boucan habituer. Peu importe la source. Une fillette qui blablate avec son chien ou son papa, le son de la télévision sur une chaine d'enfant, le bruit de pattes d'un chien qui aurait reconnu mon tour de clé...
Rien.
Bizarre.
Regardant l'heur, je me demande si je ne suis pas arrivé beaucoup trop tard. S'ils ne dorment pas déjà. Non. Seul le bruit d'une radio attire mon regard vers la cuisine.

Faisant quelques pas, j'enlève le sac, et le dépose sur une chaise de l'entré. Ma veste suit nonchalamment le même chemin, et je commence lentement à ouvrir ma chemise, quand deux bras me happent et m'approchent vers un torse fort, et des yeux bleu.
Mon sourire s'élargit. Il ne peut en être autrement avec lui.
-Tu m'attendais ? Le taquinais je, mordillant sa lèvre inférieure, la tirant dans une habitude qu'il ne connait que trop. Ses mains, aussi, suivent un chemin familier, mon corps se laisse aller contre lui, et profite de chacune de ses caresses, se dénouant instantanément, mon sourire continue à répondre à ses baisers... jusqu'a ce que ses paroles changent mon expression extasié, en une autre interrogatrice
-On va quelque part ? ma question est complètement rhétorique. Il a dit "un bout de route", il a ce regard qu'il arbore quand il me prépare quelque chose, et ... j'aime ce regard. Je sens que je vais aimer cette surprise, sauf que, pire qu'une fille Je ne sais pas quoi me mettre ... lui avouais je.

10 minutes plus tard, j'avais troqué mes habits de parfait Eliot, et mon pantalon en cuir, contre une tenue en jean, un tee shirt marin, et des baskets complétant ma tenue. Je me sens beaucoup mieux ainsi. Je me sens tellement mieux, que je m'approche de mon mari me tournant le dos, en sachant pertinemment qu'il m'a entendu approcher, et l'enlace par derrière, posant mon menton sur son dos. J'annonce Je suis prêt


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Une légère surprise de sa part. De me voir ainsi ou plus probablement de constater que je suis le seul qui l’aie accueilli. Je ne réponds à sa question par un simple son, sorte de “Hun-hun” venu de la gorge puisqu’il a déjà planté ses dents dans ma lèvre. Il ne se montre pas plus réprobateur à mes baisers et j’ai le plaisir de le sentir se détendre un peu dans mes bras.

Lorsque je le libère et lui fait mes recommandations, son changement d’expressions me tire un sourire en coin. Je me contente d’hocher la tête sans lui apporter plus de précisions. Je lui garde ça en surprise. Ça et quelques autres choses.

Un léger rire s’échappe de mes lèvres lorsqu’il m’avoue ne pas savoir quoi mettre.

- Quelque chose de confortable, Baby, répétais-je. Et même si... commençais-je en passant mes doigts négligemment sur le côté de sa fesses, la vue de ma fouine en boxer est des plus agréables et que tu serais probablement confortable, il te faudrait au minimum un pantalon et un chandail, me moquais-je en captant ses lèvres.

Un dernier baiser et je le laisse aller se changer. T’inquiètes pas Jona, y’a déjà un sac avec des vêtements de rechange dans le camion. Et je crois que j’ai eu un minimum d’expérience depuis que je le connais et vis avec lui pour ne pas avoir fait d’erreur monumentale niveau mode. Retournant à la préparation des thermos de café, j’en profite également pour ajouter deux ou trois trucs dans le sac à dos posé près du comptoir.

C’est d’ailleurs pendant que je fais la vérification de son contenu que j’entends les pas de mon mari derrière moi. Voulant cependant terminer sans perdre le fil, je ne me retourne pas tout de suite. Et quelques secondes plus tard, je n’en ai plus besoin puisqu’il est collé à moi, m’affirmant qu’il est prêt. Ma main glisse sur son bras avant d’aller enlacer ses doigts en un geste qui se veut tendre. Je me défais ensuite de son étreinte pour me retourner et le regarder. Me permettant de l’admirer plus que de juger sa tenue. Ça fait moins président de confrérie. C’est moins fils de riche. C’est un Jona plus relaxe, alors ça me convient parfaitement.

Étirant le bras, j’en récupère un thermos que je lui tends avec un sourire en coin.

- Café, indiquais-je simplement avant d’en récupérer un très semblable.

Bougeant finalement, je passe une bretelle du sac sur mon épaule avant d’entrainer Jona vers l’entrée, ma main libre posée dans le bas de son dos. Mes baskets enfilées, je récupère une simple veste sur l’un des crochets, mon manteau étant déjà dans l’un des coffres du camion. L’appartement verrouillé, j’entraine Jona dans le garage et vais jusqu’à lui ouvrir la porte côté passager puisqu’il puisse se glisser sur la banquette où le banc d’Eva a disparu.

- Eva est avec Salcha, indiquais-je. …Et Brabra, précisais-je. La puce a insisté et quand Salcha a su que Brabra - ou n’importe quel chien - tombait sur les nerfs d’Edouard, elle a semblé très intéressée à ce qu’il reste avec elles au manoir pendant notre absence, expliquais-je avec un sourire en coin, posant le sac à dos dans l’espace pour les pieds de ce côté.

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On the road again


Son pull sent le propre. Un assouplissant dont je ne connais pas le nom, parce que tout simplement, je n'y ai jamais fait attention, mais dont l'odeur est tout de suite associé à mon foyer. A ses pulls que je lui pique. A nos oreillers. A moi entre les drap de notre lit, seulement habillé du boxer qu'il aime tellement me voir porter. Ces images qui font surface dans ma tête me détendent encore plus. Graduellement. La caresse se ses mains contre mon avant bras aident au processus.
Comme si toute la journée, j'avais été crispé, et que d'un coup, tout mes muscles se détendaient. Ma respiration est moins rapide, plus profonde. Et mes frissons sont ceux de plaisir qu'il provoque en moi, et non pas de la colère ou de la peur comme c'est le cas ... la plus part du temps.
Ses doigts enlacent les miens, et je souris dans son dos, quand il me propose un thérmos de café "Tu sais parler à mon coeur" m'extasiais je, prenant le breuvage de ses mains. "Ouille, Chaud !! " criais je en prenant une gorgé, me brulant méchamment la langue au passage. Pas la première fois, pas la dernière... Pourtant, je sais que le café c'est chaud ...

Je remarque le sac sur son dos. Tandis que moi, je n'ai sur moi que mon téléphone et mon portefeuille. Pour la première fois depuis longtemps, je ne stresse pas pour un événement, puisque... apparement c'est à lui de gérer aujourd'hui, et ça, ça me fait encore plus sourire, quand suivant son geste, je prends moi aussi une veste, un peu plus chaude, au cas ou notre sortie nous emmène quelque part ou on décide de passer la nuit. Non pas qu'il ne saura pas me réchauffer...
Et je perds le fil de mes pensé, quand des images de techniques de réchauffement remontent maintenant dans ma tête. Miam.
Machinalement je montes dans le camion quand il m'ouvre la porte et .... aussi mauvais parent que cela me fait paraitre, je ne remarque l'absence de la chaise d'Eva, que quand il la mentionne. Ah ! Voila ou ils étaient passé, ils font vivre la vie dure à Metclaf.
"Oh ?" fis je " et ils vont y passer beaucoup de temps?" demandais je, intrigué par le temps qu'on va passer sur "le bout de route", sans vraiment avoir envie de le savoir. Peu importe où on va, tant que c'est avec lui.

Quelques minutes à regarder par la fenêtre, la radio passant une musique en sourdine, je reprends la parole
"Tu sais? J'aime bien Salcha" avouais je. Ne sachant pas s'il était au courant ou pas de mes sentiments envers la fausse rousse "Elle est sympa." Information inutile de ma part peut être. Aussi, me remis je à regarder le décor, me demandant pourquoi je suis entrain de parler de l'ex de mon Mari, et la mère de notre fille. Sa fille. Leurs fille.
Remontant ma manche, je lui découvre le carré blanc sur mon poignet. Comme d'habitude, je passe du coq à l'âne, ça ne le fera donc pas tilter "Tu penses quoi de mon tatouage?".
Il est caché, présentement, cela dit, je lui ai envoyé l'image du cactus que je me suis fait à l'avant bras droit. Ce canvas vierge qu'aucune aiguille n'avait touché par le passé. Merci Jonathan du passé ...

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Alors qu’il se glisse sur la banquette, j’informe Jona de l’endroit où on disparu notre fille et son meilleur ami. Manoir Skelton avec Salcha. Et très probablement sans la moindre visite d’Edouard puisque Brabra est de séjour.

- Le temps de notre absence, répondis-je à mon mari avec un sourire en coin alors que je m’installe derrière le volant.

Essaie pas Baby, je ne te dirai pas où on va. Ni combien de temps on part, puisque je ne veux pas que tu te mettes à calculer toutes les possibilités.

Un peu étonné, j’entends Jona me donner son avis sur Salcha. Je reconnais que je ne lui ai jamais demandé franchement. J’ai aussi pris l’habitude de ne pas forcer le contact entre les deux. Inconsciemment peut-être. Parce qu’elle appartient à mon passé. Même si mon passé a une fâcheuse tendance à se pointer le bout du nez depuis que je le connais.

- Elle t’aime bien aussi, le renseignais-je en regardant par la vitre arrière pour sortir le camion du garage jusqu’à la rue.

Une fois la porte passée, j’actionne la télécommande de la porte automatisée et celle-ci se ferme alors que les pneus du camion mordent l’asphalte pour faire marche avant.

- Elle s’est déjà amusée à dire à Eva que tu faisais de la magie et que tu m’avais envouté, expliquais-je en enfilant les rues pour sortir de la ville étudiante. La puce lui a dit que tu ne faisais pas de la magie, mais que tu étais un prince chevalier avec une épée glacée. Salcha a rien compris, ajoutais-je avec sourire en coin, étouffant un rire.

Quand Eva lui a affirmé tout ça avec toute la puissance de ses quatre ans, Salcha m’a regardé avec une tête qui laissait croire que la puce s’était soudainement mise à parler le japonais. Je me suis contenté de lui dire que c’était une longue histoire et après un moment de silence à me fixer, elle a décidé de ne pas insister. Je ne lui aurais pas raconté de toute façon. C’était une amie à l’époque, mais certaines choses n’ont pas besoin de se dire. Elles peuvent rester entre ma fouine et moi. Et une version conte de fée pour notre fille. De toute façon, ce n’est pas comme si j’avais la réputation d’être extrêmement bavard.

Au mouvement et à la question de mon mari, je détourne mon regard de la route pour voir son poignet, mais tout ce que j’aperçois n’est qu’un pansement blanc.

- Qu’il tombe à pic, fis-je simplement en reposant mes yeux devant, un léger sourire sur les lèvres.

Je n’ose simplement pas dire que ça calme mes pensées plus que de raisons.

- Faudra que tu me montres quand tu retireras le bandage, ajoutais-je avec un sourire en coin, pointant son poignet droit. Ça ne fait pas trop mal? Le questionnais-je.

Je n’en ai jamais eu. Et si son bras gauche est tatoué, je sais que sa fait parti des années mystères de sa vie. Ces années oubliées avant l’accident qui l’a plongé dans le coma.

- Si t’as besoin d’un gel médical quelconque, on s’arrêtera dans une pharmacie.

Suffit de me dire et ce sera régler. Parce que, y’a beau avoir une trousse de soin dans le camion, je suis pas certain qu’elle contienne de quoi l’aider. Il sait que j’ai pas de super méthode pour me soigner. Je fais simplement plus gaffe quand c’est lui et j’essaie d’être …doux. Puis, j’ai appris avec la petite aussi.

***

L’autoroute gagnée, je n’ai plus à passer les vitesses. On en aura encore pour un moment comme ça, surtout que la circulation est assez fluide contrairement à ce que j’avais prévu. Un sourire se forme au coin de mes lèvres et je glisse un regard vers mon mari.

- Jona, retire tes baskets, lui indiquais-je.

Attendant qu’il l’aie fait, même si ça peut sembler étrange, je déboucle ensuite sa ceinture sans le lui demander. M’assurant que la voie est ouverte devant moi, je me permets de tourner la tête et d’étirer le bras pour l’attirer contre moi, le faisant légèrement tourner pour qu’il puisse allongé les jambes sur la banquette. Le bras autour de sa taille, sa tête contre mon épaule, je reconnais que c’est un point qui m’avait manqué des virées improbables qu’on a pu faire.

- Mieux comme ça, non? lui demandais-je avec un vrai sourire, lui jettant un coup d’oeil.

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On the road again


Les voitures défilent aux cotés de la notre. L'air frais de la journée bien entamé, caresse mon visage, par la fenêtre ouverte à moitié. Je me sens bien !
Tellement bien que le sourire sur mes lèvres semble s'élargir tout seul. Il s'élargit encore plus, se transforme en un rire léger, quand Benji me raconte ce que la petite disait à sa maman. "Elle lui a parlé de l'épée?" demandais je "Ca me fait penser que je devrais lui parler de la reine de contré lointaine, qui a eu une princesse avec le roi." Lui dis je, songeur.
L'histoire de notre vie semble tenir notre fille en haleine. Elle adore que je la lui raconte, moi ou son Daddy, et rare sont les fois ou elle apprécie un autre livre. Du haut de ses 4 ans, elle ne se rappelle pas encore exactement la trame, ni ne sait la raconter toute seule. Mais elle se rappelle les grandes lignes, et trés vite elle a fait le rapprochement entre les personnages, et la vrai vie.
La conversation dérive vers le pansement sur mon avant bras. Ou plutôt, je la fais dévier, parce qu'il me gratte encore un peu ... beaucoup.
Cette fois mon rire est plus profond, en réponse à sa remarque "Oh mais, serait ce de l'humour mon homme?" lui demandais je, me tournant vers lui. Mes lèvres trouvent le chemin vers le coin de sa bouche, que j'embrasse."ça me semblait propice que le premier tatouage que je choisit soit... Toi" me remettant à ma place je murmure  "Tes piques cachent ta partie tendre" . Je lui ai sortit ça, un jour. En le comparant à un cactus. Et depuis, c'est ainsi que je le vois. Aussi robuste et indépendant, mais doux à l'intérieur.  "Ne t'inquiète pas pour le Gel, le tatoueur m'en a donné un tube" . Il a été extrêmement gentil, de me prendre sans rendez vous. Peut être était ce le fait que je semblais tellement surexcité. J'aurais été prêt à payer le double s'il me l'avait demander, tant je voulais avoir le tatouage la, tout de suite.

Le silence se refait, paisible, calme, tandis que la radio grésille, couvrant les sons des autres voitures. Et c'est Benji qui le romps, se remet à parler, me demandant d'enlever mes baskets. Chose que je fais sans même demander la raison, puisque aujourd'hui, je ne penses plus, j'obéis.
Tant mieux.
Ce qu'il me fait faire est juste ... "Parfait" lui répondis je dans un sourire. "Tu ne me dis donc pas ou on va? même pas un indice? quelque chose qui me mettrais sur la piste?" Non. Je m'en fou. Tant que c'est avec toi. Mais tu le sais, j'aime parler...


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De savoir que la puce défend les qualités épiques de Jona semble amusé celui-ci lorsque je lui explique ce qui s’est passé avec Salcha.

- Hum, hm, laissais-je entendre avec un vague hochement de tête en signe affirmatif à sa question.

Le sourire en coin ne quitte pas mes lèvres lorsqu’il se fait songeur sur la suite de l’histoire et comment adapter celle-ci pour l’y inclure.

- Princesse perdue, marmonnais-je sans trop y penser.

Réalisant à retardement ce que je viens de dire, je retiens un soupir. J’y connais pas grand chose pour les contes de fées. Je me débrouille tout au plus avec ce que Jona a créer et parce que c’est notre histoire. Mais je ne suis pas certain que ce soit les meilleurs termes à utiliser pour la petite. Jona pourrait transformer Brabra en valeureux destrier ou en adorable bébé dragon qu’elle applaudirait. Mais dire qu’elle était perdue ça ne lui dirait pas qu’elle n’était pas …voulue? De sa mère. Ou de nous.

…Men, je suis rendu loin. J’ai jamais été un angoissé pourtant. J’ai toujours fait avec ce qui m’arrivait dans la vie, mais ces derniers temps, ça vient par phase pour …des détails parfois. Probablement parce que j’ai plus que ma propre personne à me soucier. Marié et père. C’est parfois étrange et pourtant je ne ferait pas marche arrière.

Me demandant ce que je pense de son tatouage, j’entends ma fouine rire de ma réponse et je ne peux m’empêcher de lui offrir un regard légèrement surpris, même si j’apprécie le baiser au coin des lèvres. Qu’est-ce que j’ai dit? Ce n’est que lorsqu’il parle de pics que je réalise. Non, c’était pas volontaire ce jeu de mot. Mais je me souviens très bien de la comparaison qu’il a fait. C’est resté ancré dans ma tête, parce qu’après y avoir songer un peu, je suis obligé d’admettre, qu’en sa présence surtout, c’était totalement vrai.

- T’y es pour beaucoup dans mon comportement Baby, laissais-je entendre, glissant mes doigts jusqu’à sa joue, puis sa nuque pour lui offrir une caresse à défaut de pouvoir détourner la tête pour l’embrasser réellement. Avec ta thérapie peau contre peau.

Thérapie que je ne suis pas certain que quelqu’un d’autre aurait pu me convaincre de faire. Mais il a su rendre le tout très difficile à refuser.

***

Le sourire au coin de mes lèvres se fait un peu plus prononcé lorsque je vois Jona retirer ses baskets sans discuter. Il ne rechigne pas non plus lorsque je le déplace pour le coller contre moi. Il essaie encore de me soutirer le nom de notre destination, mais je m’obstine à me taire à ce sujet, secouant la tête en signe de négation.

- La seule chance que t’aie un indice, c’est si tu t’assoies derrière ce volant et que je te donne les indications routières, fis-je mi-sérieux.

Sois patient Baby, on a tout notre temps. Et je pense pas que tu regretteras.

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Ma thérapie peau contre peau.
Je m'en rappelle comme si c'était hier. Peut être parce qu'hier aussi on l'avait fait. A but autre que "thérapeutique", si je puis dire.
Je me rappelle de la première fois. A Miami, dans un hôtel ou on avait partagé une chambre, après en avoir pris deux. La première soirée, il voulait m'éviter de faire des cauchemars, et je n'avais pas accepté qu'il prenne le canapé. Le second soir... On avait eu un bain de minuit, qui avait finit dans la chambre... au petites heures du matin.

Je me rappelle comment, sa thérapie était autant la mienne que la sienne. Car, j'avais aussi des blessures, qu'il n'avait peut être pas découvert en ce temps la. Rien d'aussi visible que les siens. Rien d'aussi ... dramatique... selon les points de vue. Mais, depuis le premier soir, moi aussi, j'avais besoin d'aide. Besoin de comprendre ce qu'était vraiment l'amour, une famille, un ami. Quelqu'un sur lequel je pouvais compter sans restriction. Me laisser aller contre lui chaque soir, sans avoir peur, ni trop analyser.
Quand j'avais embrassé ses cicatrices, le mettant en confiance, j'apprenais à me connaitre, en même temps. Je m'apprivoisait moi même, plus que je n'apprivoisait ses réactions. Lui ai je déjà dit? L'a t il compris par la suite?
Je le regarde, de profil, et me contente de l'embrasser, de nouveau. Cherchant cette fois à atteindre sa bouche, sans le détourner de la route.
Autant éviter tout accident.
Même quand il me fait bouger contre lui, autant éviter de le distraire. Quand je parles, je fais la conversation, je sais qu'il ne va pas me "satisfaire", ou pour être plus exact, satisfaire ma curiosité, et que mes paroles vont dériver vers un autre sujet dans quelques minutes, je demande, donc, nonchalamment ou on va...
Sa réponse fait pétiller une lueur malicieuse dans mon regard :
"Alors laisse moi conduire" lui proposais je, sourire en coin.
Je pensais vouloir éviter tout accident pourtant.

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- Alors laisses-moi conduire.

Ses mots résonnent dans l’habitacle et je me permets un regard en coin dans sa direction pour voir s’il est sérieux. Mais, placé comme on l’est, c’est peine perdue. Je ne vois pas son visage. Pas plus que dans le reflet de la vitre de la portière du côté passager.

Naviguant à travers la circulation assez fluide, je finis par atteindre ce que je voulais en quelques changements de voies simples. Sans un mot, j’entre dans l’aire de repos et le traverse jusqu’à trouver une place où le museau du camion pourra s’extraire en premier et sans encombres normalement. Coupant le contact, je coince l’embrayage pour qu’on ne bouge pas.

- D’accord, tu conduis, accordais-je en le libérant et ouvrant ma portière pour lui laisser la place sur la banquette. Remets tes chaussures par contre, lui conseillais-je alors que les miennes ont rejoins l’asphalte.

Appuyé contre la portière ouverte et le chassis, j’attends calmement de savoir la réaction de mon mari. Savoir s’il osera ou non s’installer derrière le volant. Il sait que je ne laisse jamais personne conduire ce camion. La seule autre personne que moi qui se soit posé sur le banc conducteur, c’est ma mère. Par nécessité seulement. Les fois où, bourré de médoc à cause de mon bras, je n’étais que trop peu conscient pour conduire correctement. Le seul mécano du garage a y avoir toucher, c'est Brent. Et c'est encore un miracle. L'ancien proprio se fait un plaisir de m'aider quand j'ai besoin de trouver une pièce, mais sans que je n'aie besoin de préciser, il a compris qu'il ne valait mieux pas toucher. J'accepte facilement ses conseils et recommandations par contre. Même si en bout de ligne, je n'applique que ce qui me convient.

- Je te l’offre vraiment, Jona, précisais-je pour contrer une possible pensée que je me moque de lui.

Je ne crois pas que, malgré sa maladresse coutumière, il bousille quoi que ce soit. Peut-être que le boitier de vitesse souffrira un peu, mais je penses que la machine peut encaisser. Qui plus est, j’ose croire que si je lui dis de faire quelque chose par rapport à ses manoeuvres, il m’écoutera.

À toi de voir si tu te sens vraiment de conduire Baby. Ou si ma possessivité pour ma bagnole te met trop la pression.

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Laisse moi conduire. Que que je lui demande. Taquin. Pointant légèrement la langue hors de ma bouche, sans lui laisser voir la lueur brillante de mes yeux, je continue à regarder droit devant moi, de l'autre côté de la vitre. Son absence de réponse et le silence très doux qui nous entour me fait presque oublier ma demande. Je ne me rends même pas compte qu'on change de cap, et qu'on s'arrête dans une aire d'autoroute, avant que la voiture ne s'arrête complètement. Je me retourne, me retrouve dans une position assise, et m'attends à ce qu'il me dise qu'il va ... aller aux toilettes? Bizarre. Il n'a pas l'habitude d'avoir une vessie aussi petite. Aurait il envie de boire? Manger? Je n'ai pas à tergiverser longtemps. L'homme silencieux que j'appelle mon mari, me dit très vite ce qu'il attends de moi. Ou plutôt, qu'il me donne son accord, sur ce que je semblait vouloir.
Je n'était pas sérieux.
Pas du tout.
En lui demandant de me laisser conduire, je comptais seulement le narguer, en invoquant la partie intransigeante de son cerveau. Celle qui fait, qu'il ne donnait le camion à personne. Sa belle. Je le taquinais souvent, en disant que c'était son autre petite amie. Sa chérie. Je sais que, la plus part du temps, il me regarde de côté, ne semblant pas comprendre pourquoi je la considère "vivante". Cela dit.... il n'a jamais été d'accord pour donner les clés à n'importe qui d'autre. Et surtout pas à moi, qui ... n'ai jamais conduit... enfin je crois que je n'ai jamais conduit... Ai je déjà conduit ? Encore une fois, j'ai l'impression d'essayer de me rappeler d'une nuit de beuverie. Sans succès.  

Mon expression concentré échappe à Benji. Il sort, et se penche vers moi pour me dire de me mettre derrière le volant.
Merde... Vais je savoir conduire ?
Je connais les bases, celles que tout le monde connait, frein, accélérateur ... Embrayage? Urgh, c'est même pas une automatique !
Mes yeux oublient la présence de mon brun, attendant ma réponse, et courent sur le tableau de bord du camion. Même si je savais conduire, je ne suis pas sur que j'arriverais à dompter ce monstre ci.
Cependant, automatiquement, je me positionne derrière le volant, tandis que mes pieds cherchent mes chaussures, et s'y faufilent. "Je ... Je ne sais pas conduire" Alors pourquoi suis sur la chaise conducteur ?"Je ... Je crois pas que tu devrais me laisser le faire" Alors pourquoi mes doigts courent sur le volant ?


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