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C'est toi que je veux (oliax)

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C'est toi que je veux.


Merde Jax, t'a encore tout foutu en l'air, tu fait chier ! Je le regarde s'éloigner et je ne me retient plus je marche derrière lui et je marmonne des choses incontrôlables, j'essaie de le retenir une fois de plus mais je me ravise au dernier moment, il ne semble plus avoir envie de me voir et qui est-ce que je suis pour le forcer à rester. Je m'arrête et je frappe le mur en béton, puis je hurle, il est déjà si soin et même si ma main saigne je suis trop énervé pour avoir mal, une fois à quelques pas de lui à nouveau je regarde son dos en silence avant de lui dire...

- Ne me fais pas tout ce qu'elles m'ont fait avant toi Oliver, pas toi, je t'en pris... Pas toi, pas comme ça...

Okey, j'ai réussis à me calmer et j'arrive simplement plus à me retenir de parler, les vannes sont ouvertes, pour combien de temps j'en sais rien et je m'approche et je prends l'une de ces mains entre les miennes même s'il me fait encore dos. Je la caresse doucement la tête basse, j'aime tellement ces mains quand elles sont pleine de peinture peut être encore plus.

- Je... Merde.. Oliver, je t'assure qu'il ne s'est rien passer avec cette femme, elle m'a demander de l'aider pour porter son tas de feuille et elle semblait tellement en difficulté que je l'ai aidé, en revenant sur nos pas elle à failli tomber, je l'ai rattraper, je ne sait pas ce qui lui à pris de se coller ainsi contre moi, peut être qu'elle avais tout prévus...Mais Oli... Je veux pas de cette femmes c'est toi que je veux..

Je prends une grande inspiration et tout en laissant ma tête basse, je parle juste assez fort pour que lui seul m'entende même si là où on se trouve pas grand monde se trouve.

- Je... Je t'aime Oliver, je suis fou amoureux de toi... Alors s'il te plais ne me rejette pas comme toutes les autres personnes qui l'ont fait de la même manière, s'il te plais...

Je pince mes lèvres et je l'observe, enfin le bas de son corps simplement je ne voit pas sa réaction suite à mes mots, je le laisse géré, j'avais dis qu'il aurais le contrôle sur notre situation mais il l'a aussi sur moi, chose qu'il ne semble pas avoir comprit encore.

- Tu est épuisé et peut être que je suis de trop ce soir, je devrais peut être te laisser... sauf si tu me demande de rester avec toi, tu as le contrôle, je te laisse faire tout ce que tu veux.

... de moi. ... de nous.
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C'est toi que je veux
Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis

Please, save me from my mind

Je pourrais te répéter la même chose Jax, simplement que ma phrase serait conjuguée au masculin. Et tu me fais réaliser que je devrais arrêter de m’accrocher à des hétéros ou à des bisexuels. …est-ce que ça serait vraiment mieux? Non, probablement pas. Je serais même probablement plus lent à réaliser qu’il se passe un truc parce que je continuerais de faire mon naïf en me disant que c’est juste un ami. Rah!

Pris dans mes pensées, je ralenti sensiblement mes pas sans même m’en rendre compte, jusqu’à ce qui me rattrape, me retienne à nouveau. J’ai pas envie de me retourner, de le voir, de voir un air triste que je devienne dans sa voix et que je saurai pas dire si c’est encore une mascarade ou non. J’ai pas envie d’avoir cette hésitation. Alors pourquoi je bouge pas? Pourquoi je fais pas simplement un pas en avant, puis un autre et que je ne m’éloigne pas? Parce que j’écoutes ses paroles, en osant espérer y déceler de la vérité alors que mes yeux remontent vers le ciel et que je retiens un soupir. Pourquoi c’est si compliqué?

- Je... Je t'aime Oliver, je suis fou amoureux de toi...



Il…

Il…

Les yeux ronds alors que je ne vois pourtant plus les nuages, je continue de fixer le ciel tandis que ma cervelle essaie d’assimiler ce qu’il vient de dire.

- Tu est épuisé et peut être que je suis de trop ce soir, je devrais peut être te laisser... sauf si tu me demande de rester avec toi, tu as le contrôle, je te laisse faire tout ce que tu veux.


Je suis épuisé. C’est vrai. Ça fait un moment que je n’ai pas dormi. Ça fait un moment que je suis sur les nerfs et que je sais pas gérer mes sentiments.

Mes sentiments…

Depuis le début, je ne m’autorise pas à me poser les vraies questions. Parce que j’ai peur des réponses, peur de me retrouver dans la même situation que les années passées, peur de me sentir encore en miettes. Mais la vérité…

- Embrasses-moi… laissais-je filtrer tout bas.

Là. Maintenant. Embrasses-moi. Prouve-moi que je suis qu’un crétin d’avoir péter un plomb. Je t’en pris, prouve-moi que j’ai pas eu tord...

…de retomber amoureux.

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C'est toi que je veux.


Je suis perdu dans mes pensées, je me demande comme il va réagir. Est-ce qu'il va croire que je dis ça pour ne pas qu'il me laisse ? Est-ce qu'il va penser que je me sert de lui pour un but précis alors que c'est clairement pas le cas ? J'en sais rien, par contre ce que je sait c'est que là de suite, dans l'instant, je suis totalement perdu. J'ai dis ces mots que j'avais juré de ne plus dire, parce que les fois précédentes ils ne m'ont apporter que du malheurs ces mots là. Parce que je pensais pas les redire un jours à qui que ce soit, mais Oliver, cet homme me change, il me permet de redevenir celui que j'était et en toute franchise, je sais pas si actuellement j'en ai envie, après tout je suis bien comme je suis non ? Je n'en dis rien, j'attends simplement finissant par lui lâcher la main, je ne veux pas qu'il se sent obliger de rester parce que je le tiens, même si j'ai pas envie qu'il me laisse. Sa mettrai fin à plein de choses qu'il m'a faites connaitre et que j'apprécie. Je soupire une coup, toujours la tête et les yeux bas, je n'entends plus que le battement de mon cœur dans ma poitrine, est-ce que je suis aller trop loin maintenant ? Est-ce que c'est une malédiction, parce que je dis que j'aime une personne elle me blesser et finit par me haïr ? Je ferme encore une fois les yeux et je finis par attendre simplement, les bras ballant le long de mon corps qu'il parle, qu'il me dise qu'un seul mots s'il le veux, j'en retiendrais presque mon souffle pour évité de hurler ces mots là, je le ferais s'il me le demandait. J'ai toujours été ce genre d'amoureux transis qui ferais toujours pour la personne avec qui il est, et sa ne m'a jamais été de bonne foi. Pourtant j'ouvre grand les yeux quand j'entend enfin sa voix, est-ce qu'il viens vraiment de me demander de l'embrasser ? Je n'en reviens absolument pas actuellement. Je finir par relever la tête, je fais un pas vers lui et non je ne l'embrasse pas de suite. Je l'enlace par derrière serrant mes bras autour de son ventre, je pose ma tête sur son épaules et je ferme les yeux, il fais nuit et personne ne nous voit, cet instant il nous appartient. Il est notre et j'en prend soin. Je finit par le relâcher simplement quelques seconde plus tard et je passe devant lui, mes gestes sont lent et j'analyse chaque mouvement que pourrais faire son corps, je m'approche et alors doucement je pose mes lèvres contre les siennes, c'est à ce moment là que je me sent comme revivre. Je glisse une mains sur sa taille et la seconde à sa nuque pour le guider tel que je le veux. Je l'embrasse, comme si ce soir était la dernière fois que sa arrivait. Ce soir, il guiderais jusqu'à chacun de mes gestes que je me laisserais faire, une part de moi peut être... vulnérable mais que seul Oliver verrais et je l'assumerais aux yeux de tous, je suis faible devant cet être qui fais renaitre des sentiments en moi.
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Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis

Please, save me from my mind

Il a beau m’avoir dit que j’étais en contrôle, je ne le suis pas. J’ai encore les nerfs à vif, j’ai encore la tête en vrille et je sais même plus si j’ai le coeur en vrac. Je sais plus comment je me sens, ni comment je dois vraiment réagir. J’ai pas envie de me sentir encore vide comme l’an dernier, pas envie de me sentir comme un imbécile à plus savoir quel rôle j’ai joué pendant des mois de relations. Mais j’ai pas envie de perdre Jax et les moments qu’on pourrait passer ensemble.

Sans se prendre la tête.

Sans que soit vraiment compliqué.

Je veux juste qu’il me replace les idées. Savoir qu’il n’a pas dit ça seulement pour que je reste avec lui et que je me sois encore fait avoir. Mais est-ce que c’est vraiment le cas? Y’a pas si longtemps, on m’a demandé si j’avais en lui et j’ai pas hésité à dire oui, alors pourquoi aujourd’hui c’est différent? Parce que je fais le con depuis des jours, que je réfléchi pas et peut-être surtout qu’inconsciemment, je préfère le repousser maintenant plutôt que d’être encore dans le même bateau qu’avant. Mais c’est pas le même bateau justement! Et faudrait que j’arrête de me braquer, parce que je risque de le couler tout seul.

Et son étreinte me prouve à quel point j’ai agis comme un imbécile. Un instant, je pense lui dire de laisser tomber, d’oublier ce que je viens de lui demander parce que je sais que c’est beaucoup. C’est trop et j’aurais pas du lui donner ce genre d’ultimatum. Pourtant quand il pose ses lèvres sur les miennes, j’ai plus une seule pensée. Mon cerveau se vide, mon coeur se calme et je veux plus bouger. On peut pas jouer un baiser comme ça. Ça trahi trop facilement ce qui se passe en dedans. Ce sur quoi on arrive pas toujours à mettre des mots. Alors je lui réponds de la même façon! Passant mes bras à son cou, je diminue le faible espace qui était resté entre nous et l’embrasse avec énergie, jusqu’à avoir la tête qui tourne par le manque de souffle et d’énergie. Et pourtant, quand je relâche ses lèvres, je n’ai pas envie de reculer. Je reste agrippé à lui, enfouissant au creux de son cou et de son épaule.

- Désolé… soufflais-je. …d’avoir agi comme un con et de t’avoir accusé.

Doucement, je pose mes lèvres sur sa peau à portée, déposant ça et là des baisers pour peut-être le calmer avant de me redresser. Tandis que j’ancre mon regard au sien, mes mains passent de son cou à sa taille. Un léger sourire sur les lèvres je lui vole un nouveau baiser, plus léger et plus rapide, mais plus joyeux aussi.

- Je t’aime aussi. I love you too, murmurais-je d’abord en français - me demander pas pourquoi, j’en sais rien -, puis en anglais pour qu’il comprenne.

Tendrement, je relâche sa taille pour prendre ses mains et l’entraîner vers les abords de la rue où on pourra attraper un taxi ou un bus pour rentrer chez lui avant que je ne finisse par tomber d’épuisement. Là, c’est moi qui a dû lui faire faire les montagnes russes! Et ça lui fera peut-être pas de mal de se reposer aussi un peu. Ce n’est que lorsque je sens un peu de liquide sous mes doigts que j’interromps mon amorce de mouvement pour fixer sa main.

- Mais… qu’est-ce que t’as fait? M'étonnais-je en redressant la tête pour le regarder.

Il était pas blessé au café. Si? Je suis si nul que ça pour, en plus, ne pas avoir remarquer que mon petit ami s'était éclaté les jointures!?

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C'est toi que je veux.


Le silence est d'or dans ce genre de moment, pas besoin de discuter seul mes gestes face à mon petit copain sont important. C'est pour sa que dans un premier temps je l'enlace, je veux qu'il comprenne que je suis là, que je suis pas comme ceux qu'il à déjà eu dans sa vie,je veux être unique pour lui, qu'il comprenne que sans lui j'en serais certainement pas là ou j'en suis en ce moment. Sans lui j'en serais encore au même point voir pire, surtout quand j'ai appris toute ses choses ces derniers mois. Je finit par m'approcher et par l'embrasser. Comme jamais, ce baiser n'est pas comme tout ceux qu'on à partager non, même si tout nos baisers sont fort celui-là il prouve tout un tas de choses, il est doux et à la fois enivrant, il est lent et en même temps rapide et fort. Il montre la force de mes sentiments envers Oliver. Il m'enlace a son tour et je comprend que j'ai gagné, je lui ai donner ce dont il avais besoin pour avoir confiance en moi, espérant que cette confiance soit des plus solide à présent. Il ne faut pas qu'on se perde dans nos bêtises. Il finit par mettre son visage contre mon cors et je le garde contre moi alors qu'il s'excuse ma disant qu'il est désolé d'avoir agis comme un imbécile. Je souris légèrement et je le laisse embrasser la peau de mon coup, je ferme même les yeux appréciant la caresse comme telle. Puis il me regarde, il m'observe et me parle dans sa langue maternelle, je suis surpris et peut être encore plus quand il me dis qu'il 'aime aussi. Je rougis. Ce n'est pas une choses qui m'arrive très souvent mais oui, je rougis parce que ces mots me font un bien fou. Ils me rassurent mais ils prouve que mon amour est partagé, choses qui ne m'était pas arriver depuis extrêmement longtemps, j'avais même oublié le bonheur que d'avoir ces sentiments partagés. Puis alors qu'il semble bien décidé à ce qu'on rentre à la Mather pour prendre une bonne douche et pour dormir, il s'arrête surpris de sentir du sang sur ces doigts, il me regarde et surpris il me demande ce que j'ai fait.

- Il est possible que la mur ne m'est pas rendu mon coup et que du coup j'ai vriller ...

Simple phrase pour dire que j'ai rager quand il est partis loin de moi... Je souris et je hausse les épaules

- Que veux-tu j'ai pas aimé quand t'es partis me laissant seul, le mur lui à des traces de mon passage...

Jax t'es vraiment pas possible... c'est ce qu'il doit penser de moi.
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Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis

Please, save me from my mind

Un sourire à repris sa place sur ses lèvres et de ce fait sur les miennes. Le voir rougir c’est une première! Je crois pas que ce soit déjà arrivé par le passé. Ou peut-être que si, quand il s’est souvenu de qui j’étais et de ce qui s’était passé la toute première fois qu’on s’est rencontré. C’est pour une autre raison aujourd’hui. Et je peux pas très bien dire si c’est la surprise, la gêne ou le plaisir vu que son sourire s’agrandit. Peut-être un peu de tout ça?

Lui volant un nouveau baiser, je glisse mes doigts jusqu’aux siens dans le but de l’entraîner vers chez lui. Du moins, jusqu’à me rendre compte qu’il est blessé et qu’il saigne. Depuis quand?! À mon étonnement, il me répond implicitement qu’il a foutu un coup dans le mur pour se défouler quand je suis parti comme une furie. Ha merde!

Le regardant un instant en me mordant l’intérieur de la joue, je culpabilise un peu pour ma connerie. On a peut-être le même genre de réactions quand on vrille, mais j’ai ni envie de savoir lequel de nous est le pire, ni envie de voir ce que ça peut donner si c’est l’un contre l’autre. Je préfère largement un autre genre d’activité!

- J’apprécierais, qu’avec moi, ce soit pas juste un passage, fis-je en souriant doucement préférant amener le ton un peu plus léger.

Oui, j’aimerais que ça dure notre histoire et je crois que c’est pas bien difficile à croire quand on voit comment on peut être lorsqu’on est ensemble.

Tirant sur le bas de mon chandail noir, je tamponne doucement ses jointures avec un bout de mon haut pour éponger le plus gros du liquide. C’est pas le mieux, mais ça sera tout de même déjà ça.

- Tu veux qu’on retourne à l’intérieur ou tu seras okay? Le questionnais-je en relevant les yeux vers lui. Ou je fais ton infirmier personnel en rentrant chez toi? Fis-je avec un sourire en coin, amusé.

Dans l’état où je suis, je peux pas vraiment être au top alors c’est encore une chance qu’il soit pas plus blessé. Même si j’imagine que je me serais trouvé des réserves d’énergie sorties de nul part si c’était le cas. En attendant, je pourrai quand même l’aider à panser sa main s’il a besoin.

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C'est toi que je veux.


Cette soirée est définitivement folle. Qui aurais cru que j'allais ouvrir mon cœur à Oliver, de cette manière, sans pression, sans qu'on me pousse à quoi que ce soit... Je l'observe un long moment, me perdant sans doute dans ce qui semble être mes pensées quand enfin il remarque mes coupures suite à mes coups dans le mur. Je lui souris et je l'écoute me dire qu'il veux pas que je fasse l'idiot avec lui et ses sentiments. Je hoche le tête, je cherche mes mots.

- Oliver, mon but n'est certainement pas de te blesser, je t'avais dis qu'en étant avec moi de cette manière, j'allais faire des conneries, ce n'était pas voulu dans ce cas là, mais dans un autre cas tu pourrais avoir envie de me frapper.. Il faut vraiment que tu me fasse confiance en tout point, sachant que je suis quelqu'un de franc et d'honnête tu saura à tout les coups la vérité, tu sais que je ne ment pas et je n'en voit pas l'utilité avec toi et même tout court, qu'elle connerie le mensonge.

Je le regarde dans les yeux, et je finit par lui voler un autre baiser, plus court et plus tranquille avant qu'il n'analyse mes doigts et me demande si je veux qu'on entre dans l'hôpital ou bien si je souhaite qu'il s'occupe de moi en rentrant. Je doit avouer que la deuxième option me parrait être la mieux mais en le regardant je me souviens qu'il est fatigué et qu'il à vraiment besoin de sommeil et je souris doucement.

Rentrons tranquillement à Harvard, allons dans ma chambre, j'ai surtout envie d'une bonne grosse douche bien chaude, d'un moment câlin avec mon amoureux et de dormir,
mes doigts pourrons très bien être bandé dans la chambre c'est pas la première fois qu'ils voient le mur de prêt.


Je souris encore plus et je héle un taxis, une fois dedans, je regarde dehors en silence, concentré sur le route. J'ai trop hâte d'aller rejoindre mon lit.
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Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis

Please, save me from my mind

Culpabilisant un peu, j’essaie de détendre l’atmosphère à la blague, mais Jax se veut sérieux lorsqu’il me répond et j’écoute ses paroles avec attention. Ça ne m’aide pas à me sentir moins con pour la crise que je viens de faire, mais ça me prouve encore plus que c’était pas lieux d’être, même s’il n’écarte pas la possibilité qu’un dérapage arrive, m’assurant plutôt qu’il m’avait déjà averti que ça pouvais arriver. Est-ce que je dois être rassuré? Secouant à peine la tête pour me replacer les idées, j’enfouis cette question loin dans ma cervelle, mettant la mauvaise foi de ma conscience sur le compte de possible résidu de la bouffée de colère que j’ai ressenti tantôt, préférant répondre à son baiser avec tendresse.

- Navré, m’excusais-je. J’ai flippé, fis-je en baissant la tête un instant avant de la relever pour le regarder. C’est probablement pas une excuse, mais ça m’est arrivé souvent par le passé que, avec ce que j’ai vu tantôt, j’ai déduis et j'ai simplement pas voulu en entendre plus. Je tâcherai de pas trop faire l’imbécile à l’avenir, mais aussi de me rappeler que tu es toi et que ça ne veut pas dire que tu agiras comme les autres, fis-je avec un petit sourire navré.

Le questionnant au sujet de sa main blessée, je lui demande ce qu’il préfère encore comme solution entre retourner à l’hôpital ou rentrer chez lui. J’ai épongé un peu du sang avec mon t-shirt, mais s’il y a des résidus du mur ou quoi que ce soit dans les ouvertures, je ne sais pas ce qu’il préfèrera. Je sais que dans ma chambre à la Lowell, j’ai tout pour soigner ce genre de blessures et pire, par habitude, mais s’il n’a rien, il pourrait préféré rester ici. Pourtant, il m’assure qu’il en a vu d’autre et qu’il est plutôt pour l’idée de rentrer. À la mention du “moment câlin avec mon amoureux”, je ne peux retenir un sourire totalement niais. …et j’ai douté de lui? S’il se fout vraiment de moi, il… CHUUUUUUUUUUUT! Il se fout pas de moi! Noyant une pensée qui n’a plus raison d’être, j’hoche plutôt la tête en regardant Jax.

- D’accord, on rentre, lui souris-je.

Le suivant alors qu’il hèle un taxi, je grimpe en sa compagnie. Restant sage niveau démonstration, je le laisse s’absorber dans son silence, ne laissant pour seule “preuve” de notre proximité nos épaules collées. Mon regard se porte sur l’extérieur et, comme un réflexe, mes doigts jouent avec la chainette à mon poignet gauche, celle qu’il m’a offert pour mon anniversaire et que je n’ai pas enlevé depuis.

M’obligeant à combattre le sommeil encore un peu, au moins le temps qu’on arrive à la Mather et jusqu’à sa chambre, je compte les lampadaires, d’abord en anglais dans ma tête, puis changeant pour le français dans un murmure sans même m’en rendre compte.

Lorsque le taxi s’arrête devant le grand bâtiment, je m’extirpe de la carlingue, dépliant ma carcasse pour m’étirer un peu. Je crois que je vais battre un record pour m’endormir quand on sera chez mon tatoué.

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C'est toi que je veux.


Je n'ai surement pas été le seul qui à souffert en amour, en fait Oliver, en à aussi bavé. Son ex lui en faisait voir de toute les couleurs et je comprend parfaitement que ses peurs me reviennent. Je veux dire, je suis un gars qui était un homme à femme, lui et moi on a commencer à se voir juste pour couché ensemble alors passer de ça à couple, en sachant que malgré moi j'attire des femmes... Sa peut lui faire peur mais j'essaie vraiment de lui faire comprendre que je suis pas son ex et que je suis pas celui qui lui ferais du mal volontairement. Il le sais en plus, je suis quelqu'un qui n'aime pas mentir et qui dont ne le fais jamais, ou presque mais une choses est sûre je compte pas lui mentir il mériterais pas que je fasse ça. Puis franchement, est-ce que j'en ai vraiment besoin quand on sait que notre relation est basée que la confiance et le franchise. On à pas besoin de se caché derrière de la gêne et des rougissements quand on doit parlé quelque chose. On est à l'écoute de l'autre et sa fait la force de notre couple. Alors aund mon petit ami s'excuse en me rappelant qu'avec son ex c'était les même trucs tout le temps je serre un peu plus sa main dans la mienne.

- Tu sais bien que je ne suis pas lui et que jamais je te ferais ça, tu sais bien que je peux faire des gaffe parfois et ce soir en est la preuve, pour ma part il est normal que t'aie agis comme tu l'a fait parce qu'il te faisait pire s'il le faut, mais moi, je ne suis pas lui Oli, c'est toi que je veux et je me répète mais je serais toujours toujours honnête avec toi parce que je me sent pas pris au piège en fait, au contraire je me sent bien avec toi et je sais qu'on surmontera cette soirée qui avouons-le est pourrie, on à justement besoin de repos et c'est ce que je te propose maintenant.

Enfin dans le taxis je ne voit pas le chemin ce faire perdu dans mes pensées, je souris cependant au chauffeur une fois qu'il nous à déposer devant la Mather, je regarde Oliver et je prend une nouvelle fois sa main dans la mienne et je nous guide devant la chambre, je l'ouvre et j'y entre. Je laisse Oliver entré et ce mettre à l'aise tout en regardant si mon chien n'a pas fait de connerie, d'ailleurs il va faire des papouille à Oliver qui je croit, appréciera le douceur de celui-ci ce soir, il en a besoin. Je vais dans la salle de bain et j'allume le chauffage pour qu'on entre dans une pièce chauffer quand on ira prendre le douche. J'entreprend même de me déshabillé me mettant torse nu, je m'appuie sur le montant de la porte et je l'observe en souriant.

- Tu me dis quand t'es prêt pour aller sous la douche.
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C'est toi que je veux
Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis

Please, save me from my mind

Quelques pas une fois sorti du taxi et je m’étire sur toute ma longueur, faisant craquer certaines articulations. J’ai l’impression que chaque mouvements me coute. C’est vraiment pas une mauvaise chose d’aller dormir, mais je commence à craindre de plutôt hiberner rendu là. Ou alors, je me réveillerai en ayant l’impression qu’un rouleau compresseur m’est passé sur le corps!

Surpris, j’ai le temps de faire quelques pas avant de pleinement réaliser que Jax me tire par la main. On traverse le hall, sans que je ne porte vraiment attention au décor. Puis un petit tour d’ascenseur et je me permets de m’appuyer sur mon petit ami, fermant un instant les yeux. C’est la légère secousse qui me les fait ouvrir à nouveau et j’emboite le pas alors qu’on approche de la chambre.

Une fois à l’intérieur, ça ne prends pas longtemps avant de voir une boule de poils arrivée. Les doigts dans sa fourrure, je donne à Daeron ce qu’il recherche, à savoir des tonnes de démonstration d’affection. M’asseyant même par terre, j’ai le plaisir de constater qu’il n’essaie pas de me lècher le visage, mais il m’embarque presque dessus pour avoir d’autres calins. Chose que je lui donne facilement, flaquant même mon visage dans sa crinière.

La voix de Jax m’en fait émerger et je le regarde au dessus des poils de chien tandis qu’il m’observe, appuyé à la chambranle.

- T’es beau, pensais-je à voix haute, le filtre de pensée ayant apparement déjà plié bagages.

Au prix d’un effort, je repousse Daeron et me redresse à nouveau, faisant quelques pas pour m’approcher de Jax. Lorsque je suis à portée, je place automatiquement mes bras autour de sa taille, venant m’appuyer contre lui une fois encore, enfouissant ma tête contre son cou. Je profite de sa chaleur et son odeur pendant un temps indéterminé avant de réaliser que je ne peux malheureusement pas rester comme ça. Du moins pour l’instant.

Sans cérémonies, je fais quelques pas dans la salle de bain, retirant mon chandail que j’abandonne dans un coin. C’est pas aujourd’hui que je suis en mesure de faire un show. D’ailleurs, je suis pas certain que mon état soit particulièrement agréable. Déjà qu’il s’inquiète pour ma santé quand je vais bien. Alimentaire surtout, mais justement c’est ce qui parait le plus en ce moment.

Une fois dévêtu en entier, je le laisse m’entrainer sous le jet d’eau, poussant un soupir de bien être sous la chaleur de celui-ci. Je reste immobile pendant quelques secondes avant que ma cervelle ne capte que pour se laver, il faut du savon. Mes réactions sont lentes, mon interprétation des choses aussi et si je peux réfléchir le moins possible, c’est la meilleure solution. Je m’en remets donc énormement à Jax pour la suite des choses, jusqu’à ce qu’on soit sous les draps et que je puisse m’installer contre lui pour dormir.

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