fatalement cinglés

Première soirée du Sping Break, première soirée sur la terre ferme après une croisière d'une semaine sur le yacht des Winthrops. Milo était fin heureux d'être là, son sourire ne quittait pas ses lèvres. Il était refait d'être ici et comptait bien profiter de chaque instant, comme si ce voyage serait le dernier qu'il allait faire de sa vie. Un gobelet à la main, il bougeait la tête et les épaules en rythme. Même s'il ne connaissait pas grand monde, il était avec ses potes et c'est tout ce qu'il voyait. Ce voyage signifiait beaucoup pour lui car il avait dans l'optique de révéler à Suzy qu'il était son frère. Il allait mettre les cartes sur table avec elle et pouvoir enfin retrouver pleinement sa petite soeur qu'il avait tant cherché. Apportant son verre à la bouche, il en bu une grosse gorgée. Ses yeux étaient à l'affût du moindre mouvement, il regardait partout autour de lui avec une certaine admiration et excitation. L'ambiance était folle, c'était le feu sur cette plage. Et alors qu'il s'apprêtait à partir en exploration à travers la foule formée sur le sable, son regard croisa celui d'une blondinette qu'il connaissait que trop bien. « Arielle ma gazelle ! » s'amusa-t-il à dire comme s'il venait de lancer la vanne du siècle. Il explosa de rire bêtement. Oui, c'était son troisième verre. Milo était joyeux. « Maintenant que tu es là, mon Spring Break peut enfin démarrer. » Il s'approcha d'elle et vint enrouler son bras autour de son cou. Il déposa un baiser sucré sur sa joue, ne lui laissant pas vraiment le choix. « Alors dis-moi, comment vas-tu ? Sympa le maillot et de bain et ohh ... » Son regard s'arrêta sur la poitrine de la jolie blondinette. Il glissa son doigt entre ses deux seins pour tirer un peu le haut de son maillot et y jeta un rapide coup d'oeil. « C'est quoi ces deux piqûres de moustique ? Tu sais qu'il existe un truc qui s'appelle la chirurgie esthétique, j'peux te transformer tes deux cacahuètes en deux jolis pamplemousses. » dit-il en haussant grossièrement ses sourcils. « J'te le fais si tu veux, j'peux te faire un prix, je suis sympa. » Mais ta gueule Milo.

Le spring break venait tout juste de commencer. Tout s'était très bien passé, mes examens d'entrés avaient été brillant et aucunes questions étranges m'avaient été poser. J'allais enfin pouvoir débuter ma vie d'étudiante bourgeoise. Un petit privilège que je savourais discrètement. Un gobelet à la main, je m'allais au plaisir fou. Quoi de mieux que d'arriver un peu avant un spring break ? à vrai dire je n'en voyais pas vraiment. Les étudiants affluaient, seule, j'en profitais pour examiner les gens autours de moi. Dans le genre analyste, j'étais pas mal. Un fin sourire s'afficha lorsque je reconnu Milo. Simple rencontre qui pourtant s'avérait être très fusionnel. Ce mec était exactement ce que j'aimais. Sans prise de tête et assez malin. Il s'avança vers moi tendis que je buvais encore quelques gorgés. « Arielle ma gazelle ! » je fis une drôle de tête. Ma gazelle voilà que c'était la premier fois qu'on m'appelait comme sa. Je me mis à rire et lui dis : " Ma gazelle sérieux ? " je penchais la tête sur le côté en essayant de juger sa sincérité. J'osais les épaules et finis par sourire. Il s'approcha tranquillement et déposa un baisé sur ma joue. je souris bêtement, cette attention me faisait du bien. Voilà une éternité que je n'avais pas pu sentir ce simple geste d'affection. " ahah je savais que j'allais être ton rayon de soleil " dis-je avec une pointe d'ironie. Je tournais légèrement la tête lorsqu'il était en train de mater mon décolleter. « C'est quoi ces deux piqûres de moustique ? Tu sais qu'il existe un truc qui s'appelle la chirurgie esthétique, j'peux te transformer tes deux cacahuètes en deux jolis pamplemousses. » je me mis à rire. Qu'elle enfoiré. Ma main repoussa le bras de Mlo et je me mis devant lui. Mon autre main lui tendit mon verre d'alcool. " Hum tu veux bien s'te plait " dis-je tranquillement avant qu'il le prenne. Comme sa j'avais des piqures de moustique. Sans prevenir, je releva mon haut et lui montra mes seins. " Milo on t'a jamais dit que tout ce qui est petit est mignon ! sérieux sa te donne pas envie de toucher ? " dis-je en lui faisant un grand sourire. Plusieurs regards curieux tournèrent la tête. Ce spectacle semblait plaire. " Et tu me vois avec une grosse paire de loche ? naaaan j'aime bien mes seins ! "

@Milo Delhaye

Milo était content d'être aux Bahamas, ce principe l'amusait énormément. Il comptait bien en profiter au maximum et d'ailleurs, il n'aurait pas pu rêver mieux que de passer l'une de ses premières soirées là-bas, en compagnie d'Arielle. Cette fille était cinglée, complètement folle mais il appréciait cette nature décalée et unique en son genre. Il y avait quelque chose chez elle qui lui plaisait un peu, quelque chose d'assez attractif entre eux. « Arielle ma gazelle, ouais sérieux .. écoute c'est pas de ma faute si tes parents étaient bourrés quand ils t'ont donnés ton prénom. Personne s'appelle Arielle, ça existe que dans les Disney ça, pas dans la vraie vie. » Milo explosa de rire à sa propre blague. Depuis son arrivé aux Bahamas, il se découvrait une âme d'humoriste ou de comique de service. Le sujet dériva rapidement sur les seins de la belle blonde et alors là, il s'en donna à coeur joie. Son regard dériva sur son verre qu'elle vint lui tendre. « Hm ? » marmonna-t-il en prenant son gobelet dans sa main. Il releva les yeux et afficha un mince sourire satisfait sur le bord de ses lèvres en voyant ses seins se dessiner devant lui. « Ouais .. enfin il y a mignon et mignon, regardes moi ça, on dirait deux cacahuètes scotchés sur le torse d'un mec. » Il éclata de rire et approcha son autre main libre. « Tu vois, j'fais une petite incision ici ... » Ses doigts frôlèrent le dessous de son sein avec malice. Il dessina un cercle, encadrant son sein de ses doigts. « Je galbe là et .. je renforce un peu là. » Bon, clairement, il en profitait allègrement. Il joua adroitement avec elle, absorbé par ce qu'il avait sous les yeux, surprit qu'elle le laisse faire. « J'te fais pointer un tétons sur deux, j'suis un génie du pelotage de seins. » Milo racontait n'importe quoi, l'alcool avait, semble-t-il, déjà attaqué son organisme.

Mon prénom ne me ressemblait pas. Pourtant celui ci était bien réelle, c'était le réel prénom que m'avait donné mes parents. Allez savoir ce qu'ils leur étaient passés dans la tête. Un sourire sur les lèvres. Voilà une éternité qu'on ne m'avait pas parler de mes parents. Je les avais presque oublier pendant tout ce temps. « Arielle ma gazelle, ouais sérieux .. écoute c'est pas de ma faute si tes parents étaient bourrés quand ils t'ont donnés ton prénom. Personne s'appelle Arielle, ça existe que dans les Disney ça, pas dans la vraie vie. » Il n'avait cependant pas faux. Mon visage s'approcha du tient. Les yeux plissés, je lui fis : " Tu seras mon polochon alors alors " dis-je en posant mes mains sur chacune de ces joues en lui tirant délicatement la peau. Un sourire complice et voilà qu'il semblait plus préoccuper par mes seins que par mon prénom. D'un geste rapide, je soulevais mon haut. J'étais bien déterminée à lui prouver qu'ils n'étaient pas que petit. « Ouais .. enfin il y a mignon et mignon, regardes moi ça, on dirait deux cacahuètes scotchés sur le torse d'un mec. » ma tête se pencha légèrement sur le côté tendit que mes yeux se révulsèrent. C'est ce qu'ils disaient tous mais j'étais bien placé pour savoir qu'ils aimaient tous les avoirs entre les mains. Sa main s'approcha et mon regard la suivit. Je n'avais aucune gêne, la nudité pour moi n'était pas un problème et ne l'avait jamais été. Nudiste sur les bords, j'aimais me balader à poil. « Tu vois, j'fais une petite incision ici ... » son doigt effleurait ma peau. Il semblait presque hypnotisé. C'était assez drôle, tandis que j'essayais de garder le contrôle. Il continua dans son jugement. « J'te fais pointer un tétons sur deux, j'suis un génie du pelotage de seins. » je me mis à rire. Normal comment pouvais-je me retenir ? je n'avais pas fait l'amour depuis des lustres et Milo s'amusait à titiller mes seins. Un sourire presque ravageur sur les lèvres je lui fis : " J'ai une autre théorie ! " le regard des autres s'étaient quelque peu arrêter sur nous. Nos jugements semblaient attisé la curiosité. Je m'approchais de lui pour que sa main vienne complètement encadrer mes seins. Sa paume appuyer contre ma poitrine. " Tu vois, ta paume de main galbe parfaite mon seins ! Il n'y a pas besoin de plus Delhaye. " je me mis à rire avant de lui dire : " Et puis, ces seins te hanteront maintenant, j'en suis certaine maintenant bas les pattes. " murmurais-je avant de repousser sa main et de laisser tomber mon haut. Je repris mon gobelet et bus une autre gorger. Sa devait amusant. " Par contre... " mes yeux se froncèrent légèrement et je lui pris son verre et me plaça derrière lui. Mes yeux profitèrent pour mater grossièrement ses fesses. " Tu devrais musclé un peu plus ton fessier ! "
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Milo touchait son sein devant les autres, sans la moindre gène. Après tout, il comptait bien en faire son métier, il n'avait donc pas à rougir de tout ça. Bien au contraire, ça l'amusait comme un petit fou. Arielle, cette fille était complètement cinglée et, en sa compagnie, elle le faisait rajeunir de dix ans. On aurait dit deux gosses, à l'age mental peu élevé. Son regard se releva vers les yeux de la blondinette, curieux de voir sa réaction. Une réaction qui ne se fit d'ailleurs pas attendre. « Ah bon, laquelle ? Dis moi tout ma gazelle ! » Il afficha un mince rictus en sentant son sein se coller contre sa main. Milo ne se fit pas prier pour le palper comme il se le devait. Il hocha positivement sa tête, en effet, c'était pas trop mal. « Nan en fait, c'est ma main qui sait s'adapter à tout type de poitrine, confonds-pas tout Arielle. » s'amusa-t-il à dire en rigolant. L'ambiance était détendue, rien n'était prit au sérieux et putain, ça faisait un bien fou. Milo enleva rapidement ses mains et les leva légèrement en l'air. « C'est toi qui as voulu que j'te touche les seins, juste pour te prouver qu'une petite chirurgie ne te ferait pas de mal, bien au contraire. » Il lui mettait le doute sans le moindre scrupule. C'était mesquin de sa part puisqu'en réalité, elle n'n avait pas du tout besoin. Le Winthrop aimait le naturel et ses deux piqûres de moustiques étaient parfaites ainsi. Le sujet dériva bien vite sur ses fesses. Milo entrouvrit la bouche, choqué parce qu'il venait d'entendre. « Quoi, quoi, quoi ?C'est une ruse pour que j'te montre mes fesses à mon tour c'est ça ? » Amusé, il se tourna légèrement et baissa un peu son bermuda pour dévoiler ses fesses. « Regarde moi ces petites merveilles, pas un pet de gras, pas de cellulite, elles sont fermes et douces à la fois. Touche tu verras. » Il releva la tête vers Arielle et explosa de rire. « Allez, j'le vois dans tes yeux, tu rêves d'me mettre la fessée. »

« Nan en fait, c'est ma main qui sait s'adapter à tout type de poitrine, confonds-pas tout Arielle. » nous étions fatalement fou. Beaucoup, nous aurais prit pour de parfait abrutis mais nous on y voyait là un moyen de s'amuser. Se toucher, se peloter devant tout le monde ne me dérangeait pas. Au contraire, j'apprenais à connaitre cette abruti. Abruti qui semblait attirer ma curiosité jusqu'au bout néanmoins je ne voyais rien d’ambiguë ou de compliquer. Disons plutôt qu'il me permettait d'oublier mon passé. Un passé lourd à porter et dont personne ne devait être au courant. Or de question de croupir en cellule ou de perdre le petit bonheur que je commençais tout juste à construire. " bah voyons ! elle a bon dos ta main. " Milo semblait apprécier et prenait un plaisir fou à toucher. Sa se sentait, ses yeux faisaient la navette entre mon visage et mes seins. Il semblait presque perturber par ces petits nichon. Étrange pour un futur médecin plastique. « C'est toi qui as voulu que j'te touche les seins, juste pour te prouver qu'une petite chirurgie ne te ferait pas de mal, bien au contraire. " je me mis à rire et lui fis en haussant les sourcils. " Avoue Delhaye, t'as kiffer les avoir entre les mains ! " je me mis à rire. C'était terriblement drôle et cette légèreté faisait un bien fou. Voilà un petit moment que je n'avais pas à regarder derrière moi. La musique raisonnait sur la plage et le monde affluait de plus en plus. Des petits groupes se formèrent et nous on était deux aux milieux de tout ce monde. Je ne pu m'empêcher de le taquiner un peu. Ces fesses étaient parfaites enfin elle n'avait vraiment pas besoin de retouche. « Quoi, quoi, quoi ?C'est une ruse pour que j'te montre mes fesses à mon tour c'est ça ? » J'amenais mon gobelet à mes lèvres regardant avec sarcasme Milo. Pinçant délicatement le plastique entre mes dents, j'osais les sourcils. Pourquoi pas après tout, moi aussi j'avais envie de toucher. Milo se retourna amusé avant de baissé son bermuda. Je me mis à rire. Il l'avait fait et comme pour moi. Plusieurs visages se retournaient vers nous. « Regarde moi ces petites merveilles, pas un pet de gras, pas de cellulite, elles sont fermes et douces à la fois. Touche tu verras. » il avait pas tord, elles étaient sacrément bien entretenu. « Allez, j'le vois dans tes yeux, tu rêves d'me mettre la fessée. » franchement, il avait pas tord. Je me mis à rire avant de plisser légèrement les yeux. J'étais en face de lui, lui était dos à moi et je finis par dire : " Et regarde la sirène la bas ! " et d'un mouvement vif, ma main se plaqua contre la fesse de Milo. Une marque rouge commençait déjà à se voir. Et la, mon visage se releva pour scruter sa réaction. Il l'a voulait sa fessé et bien il l'avait eu. Mon doigt se pointa devant lui et je luis dis : " ATTENTION ! SI TU ME COURS APRES JE CRIS AU VIOL " un sourire légèrement satisfaite sur les lèvres. Je bus la fin de mon verre et lui dis en chuchotant comme pour le provoquer : " T'as eu mal hein ?! ou t'as aimer sa ? " je me mis à rire. J'avais envie de jouer ce soir et s'il fallait courir dans le sable et finir la tête la première dans l'eau. Je m'en fichais mais j'avais envie de profiter de cette soirée avec cet abruti.
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Milo se demandait encore comment cette fille avait fait pour qu'il se retrouve cul nu en pleine soirée sur la plage. Les fesses à l'air, il réclamait presque la fessée. Arielle avait un don sur lui, une emprise dont il ne soupçonnait pas l'existence. Désabusé, il la mettait au défi de toucher ses petites fesses blanches, il s'amusait qu'elle claque ses doigts sur lui. Il n'était vraiment pas net et ne pouvait clairement pas mettre s folie sur le compte de l'alcool. Il ne s'était pas mit une cuite non plus, juste quelques verres avaient suffit à le rendre joyeux et presque euphorique. Ou alors c'était la Mather qui exaltait ses sens et le rendait plus vivant que jamais. « Touche j'te dis. » Vraiment pas net du tout. Arielle ne se fit pas prier pour écraser lourdement sa main sur sa fesse droite. Un claquement aigu et ferme se fit entendre tandis que le Winthrop grimaça en éclatant de rire. « Aoutch. » dit-il en posant sa propre main sur sa fesse endolorie. Il rigola de plus belle en entendant la remarque de la blondinette. « Tu sais bien que ça m'excite ... » grogna-t-il en affichant un mince rictus pervers sur ses lèvres. Il remonta son futal et se tourna complètement vers Arielle. « Toi par contre, tu vas mourir. » s'amusa-t-il à dire en s'approchant dangereusement d'elle. Mais la demoiselle n'était pas folle, elle comprit rapidement qu'elle allait prendre cher et, sans trop savoir comment ni pourquoi, Milo se mit à sa poursuite. Les deux amis rigolèrent bruyamment, attirant quelques regards vers eux. Ils s'en fichaient pas mal. Finalement, le Winthrop parvint à la rattraper et arriva même à la stopper. Il se pencha vers l'avant, vint caler son épaule sur son bassin et la porta comme un sac à patate. « Allez, à l'eau morue. » A l'eau avec tout cet alcool, t'es sur Milo ?

je n'avais pas pour habitude de me poser mile et une questions. La spontanéité avait toujours été une de mes qualités ou un de mes plus gros défauts. Et c'est sans question que ma main se plaqua lourdement contre sa fesse droite. Un sourire amusé sur les lèvres, je me laissais aller à cette simplicité. S'était drôle et le regard des autres n'arrangeait rien. Consciente des représailles, je m'écartais de lui. « Toi par contre, tu vas mourir. » mes sourcils se levèrent comme pour le défier un peu. Il ne me faisait pas peur, bien au contraire. " j'attends ta sentence Winthrop. " dis-je en levant les bras au ciel et en reculant doucement. " Je n'ai pas peur de toi." dis-je en lui faisant un clin d'oeil et en me mettant à courir. Course qui ne dura pas bien longtemps. Les verres d'alcool me rendait lente et Milo semblait lui plus rapide. Il me stoppa net et me porta sur son épaule. Un léger petit cri s'échappa d'entre mes lèvres. Surprise. « Allez, à l'eau morue. » A l'eau ? sérieux ? un brin d’anxiété s'empara de moi. Mon visage se raidit un peu et mon sourire s'envola. Il ne le savait peut être pas mais je ne savais pas nager. Je n'avais jamais appris. S'en était stupide. Il ne mit pas longtemps avant de rejoindre l'eau. Je n'arrivais plus à rien. Ma gorge semblait nouer. Bordel mais parle Arielle. Il entra dans l'eau, ses fesses devaient invisible sous l'eau. " Milo attends... " dis-je doucement. C'était à peine audible et milo semblait bien décider à me foutre la tete sous l'eau. Le milieu de son dos était sous l'eau et là, il décida à m'enlever de son épaule. D'un geste mécanique, ma main s'accrocha à son bras. " Arrête. " dis-je sérieusement en le regardant. Il semblait surprit et je lui fis : " Je sais pas nager Delhaye... " mes pieds étaient en pointe et ma tête vers le haut. L'eau au niveau de notre cou, je lui fis : " Et me fait pas ta blague idiote sur mon prénom ! "
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Morue. Quel beau prénom qui lui irait à la perfection. Milo avait la petite blonde sur son épaule et comptait bien la foutre à l'eau pour lui faire payer son affront. C'était purement taquin, il s'en amusait tellement, il n'allait pas la noyer quoi. Ses pieds nus s'enfonçaient dans le sable et l'approchaient doucement de la mer. Les premières vagues chaudes vinrent chatouiller ses orteils. Putain, le Winthrop réalisait enfin qu'il était aux Bahamas et que la folie du Spring Break était en train de s'emparer de lui. Sans chercher à comprendre plus loin, le beau brun s'enfonça dans l'eau qui grimpait sur son corps. Avec le bruit de la fête, il n'entendit pas la mise en garde d'Arielle et vint la lâcher juste devant lui. La blondinette semblait assez paniquée et lui fit perdre son sourire.  « Quoi ? Tu savais pas l'dire avant ? » Milo était un petit con mais il savait être sérieux quand il le savait. Comprenant bien vite que sa blague était fichue, il se colla à elle. « Accroches-toi à moi .. j'suis une bouée de sauvetage ce soir. » s'amusa-t-il à dire en rigolant. Bien évidement, il posa ses mains dans le dos d'Arielle et l'incita presque à enrouler ses jambes autour de lui. « Ca va, elle est confortable la bouée de sauvetage ? » lui demanda-t-il bêtement. Milo laissa ses mains glisser sur ses cuisses et vint la soutenir en les posant sur ses fesses. Il laissa échapper un petit rire et roula des yeux. « Recule ta tête si tu veux pas qu'il t'arrive malheur. » Cette proximité plaisait Milo qui ne voyait pas comment il pourrait mieux commencer son Spring Break qu'avec un petit rapprochement avec Arielle dans l'eau.

je n'avais jamais pris le temps pour ces choses simple et subtiles. Trop occupée à désobéir à mes parents, ils ne s'étaient pas donner le temps de m'apprendre ces choses. Je ne leur jetais pas la pierre. La fautive s'était moi. J'avais toujours été égoïste avec eux. Allez savoir pourquoi... sincèrement je ne pouvais donner aucune réponse à cette question. « Quoi ? Tu savais pas l'dire avant ? » Ma bouche était nouée. Cette sensation était horrible. Milo comprit rapidement ma détresse et il s'approcha de moi. « Accroches-toi à moi .. j'suis une bouée de sauvetage ce soir. » je me mis à rire. Mon sourire semblait être revenu. Mon corps se collait contre le sien. Je ne maîtrisais rien. Mes bras l'encerclaient légèrement. Mes muscles se crispaient. Les mains de milo se posèrent dans mon dos incitant mes jambes à s'enrouler autour de sa taille. Ce que je fis, guider par ces simples pensés. " je vais pas te faire couler ? ça va ? " dis-je en reculant mon visage du sien pour le regarder. " La bouée est très confortable, merci " dis-je en souriant légèrement. Ses mains descendaient pour se poser sur mes fesses. Sincèrement plus rien n'avait d'importance. J'avais juste envie de savoir qu'on avait pied. Mon regard lui scrutait le sien. Il était à l'aise et s'était drôle de nous voir dans cette position. Je n'avais pas pour habitude d'être déstabilisé à ce point. Milo ne bougeait pas. « Recule ta tête si tu veux pas qu'il t'arrive malheur. » ma tête se pencha sur en arrière plongeant ma longue chevelure dans l'eau. " Que pourrait-il m'arriver de pire que de mourir noyer ? " franchement, je ne voyais pas avant de finalement remonter ma tête pour lui poser ma main sur sa bouche. " je n'ai pas encore besoin de bouche à bouche Delhaye " des goûtes d'eau tombait sur mon visage et je lui fis : " Dit moi, on a pied là ? " mon visage s'était de nouveau rapprocher comme pour regarder si j'avais pied.
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