Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityjust come a little closer (nolia) - Page 2
Le Deal du moment :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 ...
Voir le deal
29.99 €


just come a little closer (nolia)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Une personne de confiance. C’est une des qualités de Cassilia. Elle est de celle sur qui on peut compter. Une personne que l’on appelle quand ça ne va pas, qui est toujours là pour les autres, quitte à s’oublier pour aider. Mais quand elle décide de faire quelque chose pour elle, c’est souvent très spontanée, sans signe avant coureur et quand elle voit qu’elle est au pied du mur. Elle décide de partir du jour au lendemain, sans préavis, plaquant tout pour aller vivre avec des pandas si elle le veut. C’est une des choses qui ont causé son départ, son impulsivité presque extrême. Elle plaque tout,elle quitte tout pour se concentrer sur elle, alors que deux jours avant elle était en train de consoler tout le monde. Mais qui venait l’aider elle. Pas grand monde. A part Noah. Et elle a perdu cette personne. Ses paroles la font sourire, d’un sourire niais. Une prochaine fois ? Elle ne sait pas trop. Ils n’en sont pas là. Ils sont loin du couple féerique qu’ils étaient avant. Loin du relationship goal qu’on leur prêtait. Ce n’était qu’une façade qui cachait d’autres choses. Personne ne savait réellement ce que c’était que de vivre avec Noah, que de vivre avec Cassilia. Ils travaillaient énormément sur eux même et leur caractère. Ils ont fait beaucoup de sacrifices, de compromis et à un moment, Cass pensait faire le plus de compromis entre eux que Noah. Ils choisissent une bouteille, ou Noah en choisit une. Une experte en vin et champagne cette petite mais elle laisse l’homme et son égo se gonfler un peu. « J’ai pas tant changé que ça non mais oh. On n’oublie pas les bases. » Prenant la bouteille, la tenant par le goulot, ils se dirigent vers l’ascenseur. Elle voit bien Noah en train de regarder son téléphone toutes les cinq minutes, mais ne dit rien. Elle dira quelque choses éventuellement, après deux coupes de champagnes et sans doute un petit four à peine touché. Les portes métalliques s’ouvrent. Elle sent une tension dans la cage d’aluminium mais ne laisse pas ses envies et désirs prendre le dessus pour une fois. Oui, ils ont eut leur moment, mais elle sait aussi reconnaître quand il ne faut pas dérraper. Et Noah est soul. S’ils dérapent, elle veut l’être aussi et ne pas profiter d’une personne qui n’a pas toute sa tête. Il faut qu’ils perdent tous les deux la tête. La suite de Noah n’a pas changé. C’est comme revenir à la réalité après un rêve. On retrouve ses repères petit à petit. Et la vue surtout. La vue qu’elle a toujours adoré. « Cet endroit m’a manqué. » qu’elle dit en se dirigeant tout droit vers les grandes baies vitrées. Les lumières de Boston, les lampadaires des rues allumées comme des étoiles. « Alors on l’ouvre cette bouteille ? » Levant la bouteille avec un petit sourire, elle regarde Noah droit dans les yeux. Ses yeux bleu qui disent tant de chose. Un désir qui ne s’est jamais éteint, des envies pleins les yeux. Elle veut Noah, à lui de rentrer dans la partie à présent.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C’était étrange et si bizarre à la fois. L’envie de continuer de l’avoir contre toi à jamais, mais aussi de t’enfuir jusqu’à ce que la mort vous rattrape. Tu n’avais jamais connu ça pour une personne, encore moins pour elle, parce que c’était plus fort que ça. Anastasia s’était différent, le jeu, l’amour, la séduction, l’attirance. Ici avec Lia, il n’y avait que de l’amour. Tu ne pouvais pas planifier tout ça, tu n’avais jamais su planifier tout ça. Alors bien sur, dans cette cage d’ascenseur, tu te fis violence pour ne pas l’embrasser, pour ne pas l’avoir que pour toi, jusqu’à ce que cette porte se ferme. Vous voilà dans cette suite. Une suite qu’elle connait trop, première habitation à Boston. Une suite qu’elle connait par cœur, parce que tu lui avais demandé en mariage, ici, sur ce lit. Alors à quoi bon ce faire violence quand tout renvoi au passé. Tu déposas les bouteilles, t’essayant sur l’un des deux canapés qui faisaient office de salon. Tu l’observas. Elle était magnifique, belle, parfaite, comme toujours. J’espère qu’il n’y a pas que ça qui t’est manqué ? On dit que l’alcool fait des ravages, la preuve. Ca monte petit à petit et cela va devenir un problème un moment ou un autre. Surtout que maintenant, tu es posé sur ce canapé, et donc que tu ne vas plus bouger d’un poil. Elle demande à ouvrir cette bouteille, tu souris doucement alors que tu t’occupes de cette tâche. Tes yeux concentrés sur la bouteille, un tir bouchon, tout est parfait finalement. Tu y arrives, comme un chef, chose complexe vu ton état, mais personne ne loupe ce genre de choses, surtout pas toi. Il va me falloir les verres Lia Prononces-tu alors que tu déposes la bouteille sur la table en verre italienne. Tu lèves tes yeux vers elle, la voyant. Elle observe encore cette vue et tu décides de déposer ton téléphone sur la table basse pour pouvoir l’observer de temps en temps. Tu attendais juste des nouvelles de Al ou Alberto sur l’état d’Hades qui devait encore dormir, mais tu voulais savoir comment il allait après tout. Tu la vis enfin arriver, tes mains prirent les deux verres alors que la bouteille vida son contenu à l’intérieur. Tu lui redonnas son verre Tu as le droit du choix du toast, quel honneur Tu n’étais pas très vin, beaucoup plus whisky, faut être honnête et réaliste, mais tu fis l’effort pour elle, sourire en coin qui se veut presque charmeur aussi. Tu n’arrivais pas à enlever toutes ses années de bonheur avec elle et encore moins de désir..
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Elle avait envie de le prendre dans ses bras, de le serrer fort, de l’embrasser à en perdre haleine, d’être sienne et qu’il soit sien. Mais ils se tiennent à distance, malgré la tension, malgré leurs désirs, ils se tiennent à distance parce qu’ils savent très bien qu’une fois qu’ils auront dérapé, il n’y aura plus de retour en arrière. Les deux sortent de la cage d’aluminium, toujours aussi tendu. Mais à peine Cassilia dans la suite qui a connu tant de chose, elle sent un élan d’émotion l’emprisonné. La prendre en plein coeur. La rendre aussi malheureuse qu’heureuse. Un chaud froid qui la rend perdue dans la contemplation de la vue magnifique qu’elle a toujours envié à Noah d’avoir dans sa suite. Une vue à couper le souffle et qui retient toute son attention le temps qu’elle retrouve ses esprits perdus dans des souvenirs lointains. Elle entend Noah déposé les bouteilles sur la table en verre, elle l’entend se laisser tomber dans le fauteuil en cuir. Elle entend tout, même les battements de son coeur qui résonnent à ses oreilles. « Définitivement pas. » Noah lui manquait tellement quand elle était retournée en Italie. Tous les coins où ils allaient tous les deux, toutes leurs bêtises, elle les oubliait dans l’alcool et les rails de coke sur le torse de ses soit disant copines. Elle était seule là bas, ici, elle se sentait complète à ses côtés. Mais elle voit aussi que Noah est plus soul que jamais, l’alcool prenant toujours un temps fou à monter dans son cerveau. Elle lui dit d’ouvrir la bouteille, impatiente de le rejoindre dans cet état de libération intense et étrange. Elle est toujours devant la grande baie vitrée, écoutant attentivement le bouchon qui sort de la bouteille avec un léger pop amusant. Les verres dans ses mains, elle se dirige vers lui quelques minutes plus tard, les yeux brillants. Elle sentait son regard sur elle, ses yeux la parcourant de haut en bas. Le liquide s’écoula dans les verres parfaitement propres et clairs. Son verre à la main, ses doigts frôlant ceux du jeune homme, elle sourit en remerciement. « Quel honneur dis donc ! » Un léger sourire, une moue adorable, un air d’intello sur le visage, elle réfléchissait à comment formuler des mots qui étaient vrais mais n’allaient pas le faire fuir. « A nous. Simplement. A comment j’ai retrouvé la raison et comment tu as su ne pas la perdre toutes ses années. A mes regrets d’être partie mais aussi ma joie de revenir. Et surtout, au fait que rien n’ai réellement changé, juste évolué. » Faisant taper légèrement son verre sur le sien, elle boit une gorgée du vin, le laissant dans sa bouche quelques secondes pour en apprécier la saveur divine. « Viens. » dit-elle en prenant la main de Noah. Elle attendit qu’il dépose son verre, en fit de même, et le conduisit vers la baie vitrée. Elle avait toujours voulu lui montrer ça, une petite chose qu’elle avait caché durant très longtemps. Faisant glisser les rideaux le long de la tringle, elle exposa le bois vernis et parfaitement poli de l’encadrement. Sauf à un endroit. NF et CB. Leurs initiales, gravées dans le bois parfait. Pas de petits coeurs, pas d’étoiles, ni de fioritures. Juste leurs initiales entremêlées. « Je l’ai gravé le jour de nos fiançailles pendant que tu dormais. Je voulais être là pour toujours. » Elle ne savait pas trop comment il allait réagir, mais elle devait lui montrer à quel point elle l’avait aimé, à quel point elle l’aime toujours.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Caresses en un souvenir, elle aurait pu dire n'importe quoi, tu aurais été à ses pieds. Parce qu'elle le sait, parce que tu le sais, parce que tout le monde est au courant de la chose. Tu t'assois sur ce canapé, plaisir ultime de la vie, tu es fatigué de ta journée, fatigué de ton taux d'alcool dans le sang et encore plus de cette soirée qui vient juste de commencer, malgré le temps tardif. Tu commences à regretter l'hôpital. Enfin c'est toi qui dit ça, le gars qui fait les quatre cents pas dans cette chambre toutes les minutes. Tu prends alors sur toi, tu arrives à vous servir, tu ne sais comment avant de sourire à sa remarque. Un honneur, on va dire que je suis trop fatigué pour chercher quelque chose ce soir ou trop alcoolisé, personne ne le sait vraiment. Tu passes ta main dans tes cheveux, après avoir déposer son verre dans sa main. Tes doigts effleurent les siens, tu as juste à envie de l'avoir contre toi, là maintenant tout de suite. Parce que tu es toujours comme un fou quand tu es à côté d'elle, parce que tu as besoin d'elle à chaque seconde. Parce qu'elle est sans l'une des rares raisons pour laquelle tu es encore là. Et c'est sans doute pour ça l'éléctricité dans l'air. Cet éléctricité qui commence à s'étendre dans toute la pièce et qui te tient encore et toujours. Ton regard dans le sien, elle prononce ses mots, tu souris lentement, faiblement, à chaque mot qu'elle prononce. Mais finalement c'est plus fort que toi, elle arrive à t'avoir. Tu fais taper lentement ton verre contre le sien, tu ne bois qu'une légère gorgée, l'envie de vin n'est pas la même que celle du whisky. Oups mais c'est vrai. Tu adores tellement le Whisky que tu devrais avoir une usine sérieusement. Mais tu poses à peine ton verre qu'elle te prend ta main. Son verre rejoint le tien, tu t'approches de la fênetre. L'encadrement qu'elle dégage pour découvrir ses initiales. Tu restas face cette chose, ton doigt se posa sur le bois, lentement, délicatement, tu as l'impression de rêver, comme si ses six ans de merde n'était que dernière toi, mais finalement pas du tout. Tu tournes légèrement la tête vers elle, mais tu ajoutes finalement, presque obligé Et personne ne l'a vu ? Tu sais qu'un jour, je vais devoir rendre cette suite, tu es au courant de ça ? petit sourire en coin alors qu'elle sait que tu apprécies, cela se voit dans ton regard, cela se voit tout court. Tu adores. Tu passes ta main encore une fois sur le bois, lentement, tu pinces tes lèvres, juste le bord. L'éléctricité est encore dans l'air, tu le sens à ta main encore dans la sienne, à tes doigts sur le bois. Sauf que tu t'en ailles, ça va déranger. Et tu fis mine de reculer pour observer la chose, alors que tu t'éloignes de tes pulsions, tu la vois de loin, elle, avec cette minie oeuvre d'art, tu souris. D'ici, on dirait qu'il s'agit d'un secret prononces-tu alors tu fais tout pour éviter de la regarder elle, encore et toujours, mais c'est bien compliqué en fait.


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Trop fatigué ? Je t’ai connu plus résistant que ça Noah. » Elle se moquait un peu de lui, légèrement. A peine pour titiller son attention, mais assez pour le faire rire un peu. Elle voyait sa main dans ses cheveux, elle sentait les frissons qui la parcourait après que ses doigts aient frôlés les siens. Cassilia voulait tout de lui. Le bon et le mauvais. Une constante vérité, une constante envie qui ne disparaissait pas. Elle voulait être contre lui, le serrer dans ses bras, sentir son souffle sur son cou et ses lèvres sur sa peau. Tout de lui était bon à prendre, mais son amour en particulier était ce qu’elle voulait. Elle pourrait se contenter d’un désir qui frôlait l’ivresse, de l’électricité dans l’air qui ne diminuait pas depuis qu’ils étaient entrés dans cette pièce pleine de souvenirs. La blonde porte son toast, complètement honnête et surtout réelle avec lui. Le sourire de Noah lui réchauffe le coeur, et la boisson lui réchauffe le corps. Une gorgée, une deuxième alors qu’il pose son verre. Elle prend sa main et le conduit à l’encadrement qui est si spécial pour elle. Lui montrant l’inscription, elle se retire un peu, le laissant admirer son œuvre d’art. Les doigts de Noah glissent sur le bois lisse, sur les initiales encastrés dans le bois. La réaction de Noah la fait rire légèrement. Il a toujours des réflexions qui ne sont vraiment que propre à lui. « Apparemment non. Je pense que tu en aurais été avertis sinon. Mais si tu rends la suite, je fais en sorte de l’avoir après. J’achète la suite, m’en fiche. » Juste pour avoir cette pièce unique. Elle voit bien qu’il est heureux, content de la découverte. Sa main toujours dans la sienne, elle sent un peu le battement de son coeur, régulier mais puissant, fort. Apaisant. Il caresse une nouvelle fois le bois, comme pour graver dans sa mémoire le moment, l’associer à une sensation. Il recule un peu, comme pour émerger d’un rêve. Sauf que Cass ne veut pas qu’il s’éloigne d’elle. Plus jamais. « C’est notre secret maintenant. » qu’elle répond en se mettant juste devant lui. Elle veut être sous son regard, elle veut voir ses yeux briller quand il la regarde. Elle veut voir la passion de son désir, l’impatience de son envie, la force de ce qu’il ressent pour elle, amour ou pas. Elle veut sentir à quel point il la veut. Posant sa main sur sa joue rasée de près, elle trace ses propres initiales sur sa peau. « Je suis tellement désolée que tu ais souffert autant que moi Noah. Je pourrais jamais me le pardonner. » Malgré qu’elle sache qu’elle avait raison de partir, de s’éloigner pour se reconstruire, elle ne pourra jamais se pardonner de l’avoir fait souffrir. Caressant sa joue avec son pouce, admirant les courbes de son visage, de ses lèvres, elle dépose un léger baiser sur sa peau. « Je suis là maintenant, je pars pas. Sauf si tu le veux. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu n’es pas très content de la chose. Etre là avec elle, sans personne, tu sais très bien comment ça va finir, tu sais très bien ce que ça va faire et pourtant, tu es toujours là, silencieux, à côté d’elle. Tu soupires doucement. Tu touches le bois lentement, caressant la devanture de la fenêtre. Et ta main est légèrement prise au piège dans les siennes. Des simples caresses infinies, intimes et si électrique à la fois. Tu ne sais même pas où te mettre. Tu t’en veux quand tu recules, mais t’es obligé pour garder les pieds sur Terre. T’es obligé de t’éloigner d’elle, sinon tout va partir en vrille. Ton regard se pose sur la vitre, mais elle se met dans ton champ de vision. Notre secret. Ton cœur loupe un battement, ton corps aussi à du mal à réagir. Mais elle l’a dit, tu en soupires légèrement. Tu aurais tellement aimé que ce soit beaucoup plus simple, beaucoup moins compliqué et bien plus facile. Mais tout ceci était impossible. Elle s’occupe de toi, elle caresse ta joue, tu es assis sur le bord du canapé, tu ne bouges pas. Tu es encore paralysé, encore pris au piège par sa présence, ce désir que t’anime. Même si ton corps te hurle de le faire, tu n’as pas bougé d’un poil, ta tête légèrement baissée. Pour une fois tu peux le dire, elle est plus grande que toi. Elle s’excuse encore une fois, comme si c’était important maintenant. Comme si c’était quelque chose d’important pour le reste de ta vie. Mais tu t’en fous. La seule chose que tu veux maintenant, c’est elle. Elle, son corps, sa peau, ses lèvres, ses soupirs. Tu es légèrement stoïque, du moins, tu essayes vraiment de l’être. Tu n’y arrives pas. A peine as-tu relevé la tête que tu te retrouves face à ses lèvres, à seulement quelques centimètres d’elle. Tenir bon, savoir faire le bon choix. Chose que tu ne sais pas faire face à une femme, surtout elle. Tu sais que je suis pas en état Lia … Elle le sait, elle te connait. Si tu sens autant l’alcool c’est à cause d’Hades. Enfin ça elle le sait pas. Mais si tu es autant comme ça, elle sait que tu vas craquer, mais tu essayes de relativiser. Chose bien compliquée surtout quand c’est toi. Tu essayes d’être calme, ou tu essayes même de te calmer toi, mais c’est trop compliqué. Je veux que tu restes Et puis tu lâches prise. Tu te laisses emporter par ce désir, cette envie, ce besoin physique de caresses. Tes lèvres ont rejoints les siennes, une seconde, une demi seconde en fait, parce que tu t’es reculé avant. Mais tu tentes le danger, tu tentes son envie, tu tentes son désir à elle. Tu veux savoir si elle veut la même chose, tu veux savoir si elle te veut toi. Tu veux une réponse à ça, et tant pis pour les bouteilles, ça sera pour demain.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C’est eux. C’est eux qui se rendent malades. Deux inconscients, deux personnes qui ne savent absolument pas ce qu’ils veulent à part l’autre. Cassilia sait qu’elle veut Noah. Autant qu’elle veut être à la tête de son entreprise et pas celle de sa famille. Elle veut construire sa vie, pas continuer celle d’une autre personne. Touchant ce bois marqué par elle, elle se remémore ces souvenirs brûlants, vifs, dans sa mémoire. Ils sont à la surface, impatients de refaire surface, de la rendre encore plus attachés à ce que Noah représente. Un amour éternel. Sans raison ni explication logique. Juste lui et elle, et rien d’autre. Cassilia reste silencieuse assez longtemps, ce qui est très rare venant d’elle. Mais elle ne peut pas s’en empêcher, s’excuser encore une fois. Lui demander pardon encore une fois. En tant normal, elle n’aurait jamais fait ça, mais elle veut avoir son pardon, il est la seule personne pour qui elle ferait tout pour obtenir son pardon. Elle est devant lui, l’observant, essayant de comprendre la suite des événements. Elle sait que ce ne sera jamais comme elle l’imagine dans sa tête. Ce sera soit inoubliable dans le bon sens ou dans le mauvais. Son visage tout près du sien, ses lèvres proches. Elle essaye de rester calme, de ne pas se laisser aller à la passion du moment, aux envies brûlantes et désirs troublants. Elle hoche la tête, doucement. Elle sait bien qu’il n’est absolument pas en état, mais Lia ne peut pas s’en empêcher. Être aussi proche de lui, c’est son héroïne. Il est comme une drogue, une drogue dont elle n’arrive pas à s’en défaire, qui lui est essentiel à sa survie. « Tu me diras, quand tu le voudras et que tu pourras. » Elle ne le force à rien, elle offre son aide, comme d’habitude. Elle veut le sauver, son chevalier en armure. Ses yeux dans les siens, un simple petit sourire. Il n’y a rien de plus à faire à part offrir son soutien, son aide, son amour. Et il craque. Ses lèvres rejoignent les siennes, à peine une seconde. Mais assez pour attirer ce désir de plus, toujours plus. Il la regarde à peine une seconde et replonge sur ses lèvres. Passant ses bras autours de son cou, elle prend appuis sur ses épaules. Retirant ses chaussures d’un geste du pied, le conduisant au lit qui trône en maître dans la pièce, elle le conduit, le faisant buter sur le pied du lit. Elle est plus petite que lui désormais, si bien qu’elle lui arrive à peine au menton quand il la regarde droit dans les yeux. Le poussant légèrement sur le lit, le faisant s’assoeir, elle reprend le dessus. Elle veut le sentir, partout. Elle veut son corps contre le sien, elle veut ses lèvres sur son corps. Elle veut tout de lui. Le bon comme le mauvais.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ton corps incontrôlable face à cette femme qui te donne encore tant d'effet. Un baiser, puis un second, et finalement un échange si sauvage et rapide. Si délicat et amoureux à la fois, tu as l'impression de tomber dans un mauvais filet. Mais c'est bien trop tard. L'attirance, l'amour incondistionnel pour cette femme si importante pour toi. Et surtout le désir de la sentir contre toi, contre ton corps, contre tes lèvres. D'ailleurs, ces dernières ne l'ont pas quittés. Elles n'ont pas quittés les siennes. Un baiser à la fois si envieux, désireuse, mais aussi si destructeur. Parce que tu savais que ça serait la seule et l'unique fois que tu oserais la toucher de cette façon. Ton corps se rapproche du sien et tu sens ses mains dans ses cheveux. Tes mains se posent sur ses hanches, la collant à toi. Hors de question de louper une miette, non, jamais de ta vie. Et c'est partit. Tout va trop rapidement, tu te retrouves au niveau du lit alors que tu es assis. Ton corps ne demande qu'elle, ta vie ne demande qu'elle, tes lèvres ne demande qu'elle. Et tu l'observes dans les yeux et elle vient s'installer sur tes jambes. Tes mains commencent à caresser ses cuisses, son fessier, son dos. Tu l'obliges presque à venir contre toi. Tes lèvres s'aventurent lentement dans sa partie si sensible. Ce cou que tu connais par coeur, corps que tu connais par coeur. Tu te laisses bercer par le côté envie et désireux de retrouver son corps mais aussi le côté sauvage de cet échange qui a commencé. Tu décides de prendre le dessus parce que tu es le dominant de vous le deux. Elle le sait, tu le sais, et tu prends les commandes. Et malgré l'alcool que tu as dans le sang, tu te démerdes très bien. Tu caresses sa cuisse lentement, tu en profites venir tes lèvres son corps. Elle a encore sa robe, mais c'est finalement ta main qui s'aventure dans son dos pour en faire glisser la fermeture qui arrive en bas. Tes lèvres remontent sur les siennes, pour un nouveau baiser si sauvage et délicat, tu ne peux plus te retenir de ne plus la désirer. Tout ton corps la désir, tout ton corps ne veut qu'elle, tout ton corps ne demande qu'à être fatigué par les ébats que tu vas partager avec elle. Tu déposes caresser sa joue, caresses encore infimie malgré ce côté si sauvage et envieux de l'avoir que pour toi. Tu ne peux pas penser une seconde que tu as attendu autant de temps avant de coucher avec elle. Elle était la femme de ta vie, celle qui serait ta femme, celle qui avait accepté ton passé et même ta famille. Celle qui serait finalement la mère de tes enfants. Tu avais rangé ton côté batard et connard pour elle, jusqu'à ce qu'elle détruise tout. Tu t'en étais voulu, détruit, et tu serais sans doute mort si Hades ne t'avait pas trouvé. Aujourd'hui c'est différent, c'est comme une coucherie d'adieu ou pire encore, plusieurs coucheries d'adieu. Tu as tellement pas envie de la laisser partir, tu veux tellement l'avoir pour toi, tellement, tout le temps...

@Cassilia Borgia :heaart:
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)