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just come a little closer (nolia)

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Recevant le message, voyant son nom s’afficher sur l’écran, la blonde pensait vraiment qu’elle allait s’évanouir. Noah. Un rendez vous. Après près d’une semaine sans nouvelles. Après près d’une semaine pendant laquelle elle se rongeait les ongles et essayait tant bien que mal de se concentrer sur ses cours de biochimie moléculaire. Cassilia avait tout essayée, mais rien ne fonctionnait. De plus, savoir qu’Asia lui en voulait à mort n’arrangeait absolument rien. Elle avait même l’impression qu’Asia lui en voulait trois fois plus que son jumeau, et ça la tuait. Elle la considérait tellement, un pilier de sa vie pour la blonde. Mais elle comprenait. C’était bien ça le problème de Lia, elle comprenait les animosités que les autres avaient envers elle, elle comprenait la rage et la colère des Ferrari, elle comprenait qu’ils ne voulaient plus rien avoir à faire avec elle, mais elle les aimait trop pour les laisser partir ainsi. Ils étaient deux personnes essentielles pour elle, malgré son départ comme une voleuse. Se préparant avec une minutie des plus chirurgicales, ses cheveux blonds parfaitement coiffés en légères boucles, sa peau parfaitement hydratée et parfumée avec ce parfum qu’elle a toujours mis, une petite robe pull blanche écrue, une paire de talons noir à semelle rouge de cette grande marque que tout le monde connaît, et la voilà prête. Lèvres nues, yeux légèrement charbonneux et la voilà qui entre dans sa voiture. Une Ferrari, bien entendu. Elle a beau eut de gros soucis avec les jumeux, cette marque de voiture reste sa favorite et elle a fait venir sa voiture d’Italie. Noire matte, jantes chromées, la route en direction du Mandarin Hotel. Elle y fut en quelques minutes à peine, roulant comme une malade dans les rues de la ville. Il y a des choses qui ne changent pas. Sortant de l’engin fabuleux, donnant les clés au voiturier avec un regard bien comme il faut histoire de ne pas avoir une voiture à laquelle il manque une jante à la fin de la soirée et la voilà qui entre dans l’hôtel, excitée et en même temps inquiète de la suite des événements. Remettant une mèche de ses cheveux derrière son oreille, faisant scintiller les pendentifs en diamant que Noah lui avait offert il y a des années, lors de leur deuxième anniversaire ensemble, elle vit la carrure reconnaissable du jeune homme près du bar. Prenant une grande inspiration, rassemblant tout le courage qui allait fondre comme neige au soleil une fois qu’elle serait devant lui, elle s’avança, stable sur ses escarpins mais le coeur battant la chamade. A dix centimètres de lui, son parfum emplis ses narines, et un léger sourire se posa sur ses lèvres. « Salut Noah. »

@Noah M. Ferrari
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Qu'est que tu as fait ? Strictement rien en fait. Tu avais conduit Hades à l'hôpital ce matin très tôt à cause de sa merde au dos, mais aussi de ses autres coups, et tu étais insentimentalement incomprit. Tu avais aussi insulter deux personnes malgré les paroles rassurantes de ton meilleur ami. Mais il t'avait quoi ce con Je vais survire pour toi il a tout bonnement intérêt, sinon c'est toi qui le tue. Tu es accoudé au bar de l'hôtel dont la chambre t'es illimité. La chance d'être un client régulier. Tu bois ton cinquième verre de leur whisky que tu aimes tant, pas de la merde non. Et c'est trop pour toi. Ta mère s'est fait frappé par son ex copain, Hades est à l'hôpital, Anastasia ne veut plus te voir, et Asia est injoignable à cause de son mec. Alors tu as envoyé un message à Cassilia. Quelle putain d'idée débile. Mais là, ce que tu as besoin c'est pas d'alcool c'est de détente. Tu aurais pu appeller Violet, mais ce n'est pas la même chose. Violet c'est le jeu du danger. Lia c'est l'attirance, l'amour dde son toucher, son corps que tu connais par coeur. Parce que tu es comme ça. Tu n'as pas bougé, toujours debout alors que tu as même sortit la chemise et la veste noir avec le pantalon qui va avec. Tu soupires avant de prendre une nouvelle gorgée. Mais cette voix te sort de tes pensées. Tu hésites, mais tu tournes la tête vers elle, elle est là. Face à toi, magnifique comme toujours, tu souris faiblement Lia .. Salut tu tiens parfaitement alcool parce que tu vas juste à elle pour embrasser sa joue légèrement, certes hésitant, mais tu l'as fait. Tu la regardes, tu dois avoir les yeux qui brillent aussi à cause de l'acool mais aussi à cause des heures ou tu t'es lâché en larmes. Même si un Ferrari ne pleure jamais, c'est la règle Tu t'en vas s'il te plait, pas cette fois .. prononce-tu alors que tu l'embrasses, tu t'en fous des autres, y'a qu'elle aujourd'hui, maintenant, à l'heure actuelle..

@Cassilia Borgia
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Elle voit bien dès le premier coup d’oeil qu’il n’est pas dans son état normal. Mais à vrai dire, elle s’en fiche un peu. Tant qu’elle est avec lui, c’est tout ce qui importe en fait. Ses yeux sont brillants et le verre de whisky est vide. Quand il pose ses lèvres sur sa joue, elle sent son haleine. Oh Noah, que t’arrives-t-il ? Elle reste pourtant toujours souriante parce que bien trop souvent, Lia est le calme dans la tempête, toujours avec un sourire même quand elle a envie de pleurer. Elle sent la tension dans les épaules du jeune homme, la tension dans son regard. Et quand ses lèvres se posent sur les siennes sans prévenir, elle ferme les yeux, appréciant le goût de l’alcool sur sa langue, mais ayant aussi peur de n’être devenu que ça, un appel quand il se sent seul. « Je vais nulle part Noah. » dit-elle en se détachant de lui. Prenant sa main, elle l’entraîne vers les cuisines. Elle n’est pas venue dans cet hôtel depuis des années, mais un bon ami à son père y travaille, le chef de cuisine. « Tu viens avec moi. Je suis sur que t’as rien mangé depuis ce midi et que t’en es pas à ton premier verre. » Noah a sa suite, elle va voir Michel, ce grand homme qui a plus une allure de grand oncle qu’ami de la famille pour elle. Un simple regard, un sourire, et un baiser sur la joue et voilà deux plats de raviolis aux épinards, à la ricotta et au jambon cru devant eux. « Tu manges. Je ne veux rien entendre. » Autoritaire ? Oui, sans aucuns doutes. Parce qu’elle le veut sobre, bien, calme. Elle veut son Noah, pas celui qui se soule quand il est seul. Oui, il tient l’alcool, mais jusqu’à quel point, elle ne sait pas. Elle ne sait plus. « Pourquoi tu bois seul ? » Côte à côte, elle pose sa tête sur son épaule. Ils ne sont plus à ça près, il vient littéralement de l’embrasser devant tout l’hôtel, devant le bar, avec tous les clients dans la salle. « Tu ne buvais jamais seul avant. » Picorant dans son assiette, plus inquiète pour lui qu’autre chose, elle le regardait doucement. Ses longs cils dessinant une ombre sur ses joues, Cassilia se posait milles et une question. Pourquoi l’avoir appelée ? Pourquoi ce soir ? Pourquoi ce trop plein d’alcool ? Pourquoi Noah.
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Tu caresses sa joue doucement de tes lèvres et finalement ce sont ses lèvres que tu caresses, plus intensivement. Tu es bien là. L'attirance de cette rue encore entre vous deux, tu caresses sa main mais elle a décidé de se détacher de toi, tu ne comprends plus rien. Tu entends la mère autoritaire qui ne t'a pas manqué et finalement, vous voilà dans les cuisines, tu fronces les sourcils Lia, j'ai déjeuné ce midi et ce soir aussi prononces-tu mais peu importante le mensonge, tu es pris, et tu es obligé de manger ce qu'elle veut que tu manges Okay on fait ça alors tu ne ronchonnes pas, tu ne veux pas partir et tu ne veux encore moins la guerre, tu es trop faible ce soir pour quoi que ce soit, tu attends simplement alors que l'assiette arrive et tu remercies le chef. Sauf que bien sa tête sur son épaule, tu observes l'assiette J'en ai besoin c'est tout détails ? Jamais avec toi. Confiance et tout, c'était comme ça votre relation ou alors, elle donnait deux mots à chaque fois et elle attendait la réaction de ton visage et encore. Elle pique dans ton assiette et tu en profites pour prendre un coup de fourchette et de lui tendre Toi, tu as faim dis-tu alors que le chef s'en va et cela te fait bien bizarre. Vous êtes seuls, totalement seuls, dans une cuisine d'hôtel de luxe. Tu sais qu'on aurait pu commander ça directement à une table comme tout le monde ? Tu réussis, tu ne sais pas comment à manger la petite parcelle de l'assiette et finalement, tu la regardes dans les yeux, elle est certes à quelques centimètres de toi, tu baisses tes yeux vers le pendentif qu'elle porte, tu le touches légèrement, un petit sourire aux lèvres. Je te l'ai offert sous la pluie celui là, alors que tu avais froid. Et tu es tombé malade pendant une semaine à cause de moi. Mais tu ne l'as pas quitté pendant cette semaine... Pourquoi tu l'as encore ? Tes yeux se lèvent vers les siens, tu caresses encore le bijou qui l'a encore plus en valeur, elle, ses formes du cou et même son corps en entier. Elle avait toujours cette façon de s'habiller, une façon de la mettre parfaitement en valeur finalement.
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La main de Noah qui tient son visage, ses lèvres qui caressent sa peau. Il a ce contrôle sur elle, cette emprise sur son corps, ses désirs, ses envies. Une attraction inégalable. Jamais elle n’a trouvé ça avec quelqu’un d’autre. Même pas Nikola. Ce n’était qu’une fraction de ce qu’elle avait avec Noah. De ce qu’elle a toujours avec Noah. « Arrête de mentir. » Elle lit en lui comme dans un livre ouvert. L’avantage de le connaître depuis si longtemps, d’avoir pratiquement vécu avec lui. Lia voit bien qu’il est ronchon, peu content de revoir la Lia autoritaire et mère supérieure, mais en même temps, c’est comme des bons souvenirs qui remontent à la surface. Comme une vie qu’ils ont eut et qui ne s’est pas éteinte au final. « Pourquoi tu en as besoin ? » Des questions, toujours des questions. C’est ça avec Lia, elle pose des questions jusqu’à ce qu’elle ait une réponse qui lui plaise. Elle pique dans son assiette même si elle en a une, un peu plus petite, devant elle. C’est toujours meilleur dans le plat des autres. « Ouais, mais j’ai toujours faim, c’est pas pareil. » Un estomac sur patte qu’on l’appelait. Ça n’a guère changé d’ailleurs. « Ouais, mais j’aime bien être dans les cuisines. Et je n’avais pas envie d’être entourée de personnes que je ne connais pas. » Sa tête toujours sur son épaule, elle se retient d’ajouter qu’elle voulait surtout être seule avec lui. Pas de personnes étrangères pour les interrompre, personne pour les distraire, juste eux. Une réunion à leur manière. Il baisse enfin les yeux vers elle, ses yeux directement attiré par le pendentif qu’elle ne retire jamais. Les lèvres de Noah s’étirent en un doux sourire, ça faisait plaisir à voir sur son visage. « Je ne l’ai jamais quitté du tout. Et j’étais malade surtout parce que la semaine d’avant tu étais malade et ne voulait pas qu’on dorme dans des lits séparés. Bien sur que j’allais tomber malade tout de suite après. » Elle riait encore à ces souvenirs. Comme une vie passée mais pas vraiment. « J’ai toujours tout ce que tu m’as offert Noah. Jamais je m’en séparerais. Tous les bijoux, les petites peluches, et les petits mots que tu me glissais dans les couloirs. Certains messages. Je garde tout quand ça te concerne. » Elle est honnête Cassilia. Quand c’est lui, elle garde. Comme le fait qu’il ait toujours cette bague autours de son cou. « Ce sont nos souvenirs. » Leur histoire. Une histoire qu’elle veut reprendre. Que ce soit du début ou en chemin, elle veut la reprendre, elle veut finir son histoire avec Noah. « Mange bon dieu Noah. » Il s’était arrêté en si bon chemin. Prenant sa fourchette, elle pique une ravioli et la main juste devant sa bouche, ses grands yeux bleu le fixant avec un air semi menaçant, en gros on aurait plus dit un petit ours en peluche trop mignon.
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Arrête de mentir, arrête de mentir, elle se fout de toi c’est ça ? Comment elle peut encore deviner si tu mens ou pas ? Elle est tout simplement insupportable celle là. Mais c’est aussi pour ça que tu es avec elle là maintenant tout de suite. Et tu soupires finalement, tu prends sur toi pour essayer de comprendre ce qu’elle veut ou même les réponses qu’elle souhaite. Parce que Réponse digne d’un Ferrari. Tu n’as pas envie de partir sur ce sujet là, parce que tu ne veux pas qu’elle sache que tu es en PLS à l’idée de perdre ton meilleur ami. Alors ton filtre de non sentiment, non émotion est de nouveau sur ton visage. Elle commence a te piquer ta nourriture, tu lui as même tendu ta fourchette, tellement elle avait l’air d’avoir plus faim que toi. Sauf que c’est le cas. Tu souris faiblement Estomac sur pattes comme toujours ça n’a pas changé et ça ne changera pas d’après ce que tu viens de comprendre. Elle n’avait rien changé, elle n’avait pas besoin, petite princesse parfaite de ce que tu vois quoi. Mais tu l’écoutes, les paroles sur son collier, chose que tu as apprécié. Tu as apprécié ce jour là où tu lui avais donné, tos les autres objets étaient certes sans importances, sauf trois. Ce collier, la bague que tu avais encore autour de ton cou mais aussi votre premier cadeau quand vous aviez seize ans. Tu n’as jamais pu t’en séparer, peu importe les paroles que tu avais pu avoir contre elle. Tu soupires En même temps, tu étais à moi, hors de question que tu dormes dans la chambre d’amis comme une amie. T’étais à moi, on sortait ensemble donc y’avait pas besoin que tu dormes ailleurs que dans mon lit ajoutes-tu avant de continuer Mais y’a aussi le fait que j’étais pas grandement malade arrête, j’étais pas cloué au lit, presque okay, mais bon et finalement elle parle des cadeaux, elle a tout garder, chaque petit millimètre de sa vie avec toi, tu pinces tes lèvres doucement Je savais pas que tu avais tout garder .. Qui aurait pu le savoir en même temps ? Le simple fait de savoir qu’il s’agissait de vos souvenirs, te fait baisser la tête vers ton assiette, tu n’as même plus faim. Tu réussis à prendre une bouchée, tu penses à Hades et tu soupires Arrête de me faire la morale, j’ai mangé, tu as qu’à les prendre, j’ai déjà diner et je n’ai plus faim tu n’avais jamais faim dans ses moments là en fait, donc autant dire que tu ne pouvais pas avaler autre chose que de la boisson. Rassure moi que tu ne veux pas passer la soirée dans la cuisine tu veux te rassurer aussi fortement, parce que sinon, tu retournes au bar direct.
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Une chieuse en puissance, voilà la définition la plus exacte de Cassilia. Elle aime faire chié son petit monde, autant qu’elle aime le gâter et le protéger. Et Noah ! Ah il a une place spéciale dans son envie constante de faire chier son monde. Mais il réponds lui, il se bat avec elle, ne se laisse pas faire. Jamais, et elle adore ça. Mais le fait qu’il boit seul, en pleine soirée, ça inquiète Lia. Beaucoup. Pourquoi ? Que se passe-t-il dans sa vie, en dehors de son retour à elle, qui le perturbe autant ? Elle comprend qu’il ne lui dira jamais rien. À moins de revenir dans son cercle d’amis, il ne dira rien. « Je suis là si tu as besoin. Je ne vais nulle part. » qu’elle dit, une sorte de promesse, un moyen de le rassurer encore quelque peu. Elle a faim, comme d’habitude, à se demander comment elle fait pour garder une forme pareille. Noah semble bien le remarquer vu qu’il lui donne sa fourchette, un faible sourire sur ses lèvres. « Y’a des choses qui changent pas. » Elle hausse les épaules, l’air de rien, mais c’est vrai. Ça ne changera pas qu’elle soit un estomac sur patte, ni qu’elle le porte dans son coeur avant tout le monde. Une constante dans la vie. Il en faut des constantes, des choses immuables, infinies, inchangée et inchangeable. Il remarque son pendentif, remuant des souvenirs lointains mais toujours aussi frais dans la mémoire de la blonde. La grippe horrible qu’elle avait choppé aussi après qu’il lui ait offert ce pendentif sous la pluie torrentielle et dans un froid de canard. « J’aurais pu dormir dans le lit et toi dans le canapé mais je me serais sentie coupable. » Elle rit à la tête de Noah devant l’idée. « Je tombais toujours malade dès que tu l’étais et c’était décuplé par dix à chaque fois. » Son système immunitaire a toujours été assez inconstant. Sans doute la faute à ses médicaments pour son hyperactivité, mais c’était un fait. Cassilia tombait toujours malade quand Noah était malade. Il faisait tout du coup pour ne pas l’être sauf que bien entendu, dite à un homme de ne pas sortir en débardeur en plein hiver et le voilà torse nu sur la terrasse durant une heure en plein hiver. « Pourquoi ça t’étonne autant ? » Elle a tout gardé oui, ça semblait évident même qu’elle ait tout gardé. Elle n’a jamais tiré un trait sur eux. Elle a mis pause sur une histoire qui n’était qu’à son début dans sa tête. Pause pour se remettre, convalescence qui a duré plus longtemps que prévu. « Ok ok, pas la peine de t’énerver. J’ai juste pas envie de te voir malade par la suite, c’est tout. » Il l’agace à se comporter comme un ivrogne et un gamin en même temps. Déposant la fourchette dans le plat, elle pose ses coudes sur la table, sa main dans ses paumes, et le regarde de travers. « Non, mais je voulais juste pas avoir le bruit des clients dans mes oreilles. Pourquoi ? » Elle se doute bien que Noah a des idées derrière la tête. Il a toujours des idées derrière la tête. Son esprit est toujours pleins d’idées et de pensées saugrenus. « Je suppose que tu as une suite ici ? Si je prends une bouteille de vin, ça va pas agacer ton foie déjà mis à rude épreuve ? »
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Elle te sort cette phrase bateau que tout le monde te sort mais tu sais qu'au moins, elle, elle est honnête. Tu pinces légèrement tes lèvres avant de sourire faiblement. Tu as enregistré, mais tu ne vas pas le faire, parce que tu parles jamais de tes problèmes, parce que les problèmes, c'est souvent toi. Et pas l'inverse. Tu passes ta main dans tes cheveux, elle commente son état de nourriture. Tu m'étonnes, certaines choses changent mais pas elle, ça fait presque plaisir en fait. Elle est toujours la même, toujours la même femme belle, gentille et attentionnée, seulement, ce n'était pas ta Lia. Non. Tu la regardes. On en a déjà parlé des centaines de fois, il était hors de question que je prennais le canapé alors que j'avais ma copine dans le lit et si c'était à refaire, je ferais la même chose. Tu la regardes avant de rire légèrement T'étais trop sensible aussi, pas ma faute prononces-tu. Mais finalement, tu entends sa question et tu n'as envie de partir sur ce terrain là, surtout pour ce que tu portes autour du cou, vaut mieux éviter. Tu hausses les épaules simplement pour répondre à cette question, mais sans plus. Bon, ajouter au fait que tu l'engueules un peu, mais c'est toi ça, surtout quand tu fais ton boudin, comme ce soir. Je serais pas malade et puis je suis reistant hein prononces-tu avant de sourire doucement et elle sort son excuse Tu te fous de moi ? Y'a personne au premier étage, tu me voulais juste pour toi ajoutes-tu alors que tu déposes réellement l'assiette loin de toi, et voilà qu'elle propose la chose, tu réfléchis. 28 ème étage comme d'habitude, elle a pas changé pourquoi ? Demandes-tu alors qu'elle prend la bouteille de vin, tu t'approches d'elle pour regaredr les bouteilles Tu n'as pas perdu la main à ce que je vois au niveau des bouteilles. Mais ce soir, c'est moi qui choisit. Oh, prends ça tu prends la bouteille de champagne avant de regarder l'étiquette. Vu la marque, ça devrait servir. Tu en profites pour passer ta main dans ta veste pour sortir deux ou trois billets, sans importance et tu les déposes à l'endroit des bouteilles. Je te laisse prendre les verres tu la regardes pour commencer à manger et ton téléphone, tu regardes le message, Alberto est auprès de Hades, d'après lui, tout va bien, tu pinces tes lèvres avant de soupirer. Si au moins, vous pouviez faire un tour de garde à chaque fois entre Al, Alberto et toi, c'était parfait. Tu la regardes pour l'observer, elle n'avait vraiment pas changé, elle était toujours aussi belle et magnifique, tu ne pouvais pas t'enlever cette vision de tes yeux en fait. Tu étais vraiment un faible face à elle...
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Elle y croit la blonde. Elle sait qu’elle ne partira pas. C’était trop dur quand elle l’avait fait, des années auparavant. Elle a trop souffert, trop regretté. Mais Cassilia a aussi cette conviction au fond d’elle que si elle n’était pas partie, elle aurait souffert encore plus. Elle aurait pu facilement être la cible de personnes mal intentionnées. Elle aurait pu tomber au fond du trou et même Noah n’aurait pas pu la sauver. Il sait qu’elle est là, elle le lui aurait répété tous les jours, jusqu’à la fin. Et vu le sourire du jeune homme, Lia voit qu’il la croit, qu’elle est honnête dans ses mots. Il aurait pu l’appeler durant ces cinq ans juste pour se livrer, juste pour se libérer, elle aurait décroché sans hésitation. Immuable dans le temps, Lia ne change pas, jamais. « M’en fiches, la prochaine fois, je mets une barrière d’antibiotique et d’antibactériens. Enfin, prochaine, façon de parler. » Elle a conscience que ce n’était pas près d’arriver. La blonde est loin d’être naïve envers sa relation avec Noah. « Système immunitaire de merde. » Elle jure comme un charretier, et n’en a pas le moins du monde honte. Après tout, elle a tout pour elle. La beauté, la gentillesse, le corps, l’intelligence, elle peut être un peu vulgaire sur les bords quand elle en a envie. Être parfaite en tout temps est épuisant, surtout pour une jeune femme comme Lia qui est un garçon manqué dans le fond. « Ouais, je veux bien te croire, mais à force, ta résistance va fondre comme neige au soleil mon beau. » Regard de jugement, mais pas trop, elle peut comprendre l’attrait de l’excès. Elle a perfectionné l’art de boire avec classe en tout temps durant une longue période. Haussant les épaules, elle le regarde droit dans les yeux en répondant. « C’est vrai. Tu peux pas m’en vouloir de te vouloir rien que pour moi quand même. » Sourire angélique, regard de chaton, elle est la description parfaite de l’ange descendu du ciel qui fait sauter des barrières avec élégance. Elle ne réponds même pas à sa question, elle le regarde juste avec ce petit sourire en coin qui l’a toujours fait craquer. Se baissant pour regarder les bouteilles de vins, elle voit Noah suivre son mouvement. « Jamais. Le vin coule dans mes veines. Et oh, mais ... » Elle n’a pas eut le temps de finir que Noah attrape une bouteille de champagne hors de prix mais qu’il peut volontiers s’offrir avant de regarder rapidement son téléphone. Lia observe la scène en silence, voyant le visage de Noah se détendre légèrement au vu du message. Parfait, il sera moins grognon comme ça. Attrapant deux flutes à champagne, elle le suis vers les ascenseurs qui s’ouvrent presque immédiatement. Appuyant sur le bouton 28, elle se poste dans un coin de la cage en aluminium. « J’espère que la bouteille que tu as choisi est bonne sinon je serais pas contente. » Elle arrange un peu sa robe qui était remontée quand elle s’était relevée. Ses chaussures commençaient à lui faire un peu mal mais rien que deux coupes n’allaient pas arranger.
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Face à toutes ses merdes, tu savais, à contre cœur que tu pouvais compter sur ele. Elle qui avait pourtant tellement été cruelle avec toi, tu n’en reviens pas en fait. Tu passes ta main dans tes cheveux, avec les souvenirs évoqués, un sourire te trahit sur ton visage. Ouais, on sera la prochaine fois Chose que tu ne veux pas tout de suite et maintenant, et surtout pas en ce moment en fait. Tu en profites pour la pousser légèrement à sa remarque sur son système immunitaire de merde, comme elle le dit si bien et un rire léger s’échappe de tes lèvres. Elle avait ce don, celui de te calmer, de t’apaiser mais aussi de voir ce qui n’allait pas. Tu la regardes, réfléchissant une seconde à ses paroles, et elle avait raison. Mais on parlait de son homme là, de son Valentin, de son prince à lui, de son futur mari, de son meilleur ami. Pas d’un mec lambda totalement moche et incompétent. On parlait d’Hades. Tu pinças tes lèvres légèrement, prenant ta dernière bouchée, près enfin à quitter cette pièce. Pas que tu ne sois pas à l’aise, mais le regard des gens sur toi te manque, tu aimes être au centre de l’attention en fait. Une prochaine fois alors chérie Paroles sans doute sortit à cause de l’alcool, tu ne te voyais plus l’appeler comme ça depuis des années, voir même pire, Madame Ferrari ce jeu que vous aviez mis en place quand tu lui avais demandé d’être ta femme. Mais ça change, les regards changent et même les décisions. Tu te baisses à ses côtés, elle a toujours été plus doué que toi dans le choix du vin, toi, tu étais beaucoup plus calé à faire boire les invités. Toujours en fait, et comme ça, ils passaient une très bonne soirée. Tu regardes la bouteille qu’elle prend, en plus de sa remarque, tu humectes tes lèvres Pour ça, tu ne changes pas dis donc prononces-tu alors que la bouteille de champagne est entre tes mains. Pour ça non plus tu changes pas. Tu observes ce téléphone. Toutes les heures avoir le RAS de Alberto ou Al, ça va te tuer. Tu t’approches de l’ascenseur sans gêne, bouteille en main, sourire en coin Ne t’inquiète pas pour ça, j’ai jamais perdu la main Et voilà que les portes de la boite métallique s’ouvrent sur ce même couleur. Non loin, une porte, celle de ta suite habituelle et tu avances vers cette dernière. Tu ouvres la porte de ta suite, sourire en coin pour laisser la belle rentré. Une suite habituelle. Un petit coin salon en face, avec la coin chambre à gauche et le coin salle de bain à droite, le tout accompagné de grandes baies vitrés et de vues magnifiques. Pas besoin de visite, tu connais déjà la maison non ? Parce que c’est ainsi que tu te ressources et que tu te sens plus libre de tes problèmes
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