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l'inizio del resto della nostra vita... (maxbi)

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l'inizio del resto della nostra vita
— with @Maxence Atwoodth :heaart:

Trois heures du matin. La petite horloge du salon venait de sonner de son petit ding habituel, démontrant une fois encore combien la nuit de Bambi allait être longue. Plus le terme approchait, plus son incapacité à dormir se faisait sentir. Aussi l'italienne s'occupait actuellement avec un livre sur les bébés, qu'elle lisait pour la troisième fois au moins. Ce dernier, parcourut en long, en large et en travers, demeurait criblé de petits post-it, sur-lignages et autres annotations auxquelles la brunette tenait absolument. D'ailleurs, elle avait grande hâte d'en partager les détails lorsque, prise d'une violente contraction la prit, l'obligeant à pousser un petit soupir de douleur. Jamais auparavant la future maman n'avait expérimenté pareille contraction, et ce bien que ces derniers temps, elle en ait eu régulièrement. Ne panique pas ma fille, c'est sûrement rien ! tenta-t-elle de se rassurer en exécutant plusieurs inspirations profondes en fermant les yeux. Mais la douleur revint au galop et de façon plus violente encore, mais aussi répétée, la poussant à regarder en direction de la chambre, où Maxence devait dormir à points fermés. Putana... murmura-t-elle en grimaçant, s'obligeant à se lever du fauteuil sur lequel elle était assise depuis plusieurs heures maintenant. Impossible de ne pas prévenir son homme, sous peine de subir ses foudres à son réveil, si tant est que ce ne soit rien. Bambi claudiqua donc jusqu'à la chambrée, le plus silencieusement possible, avant d'en ouvrir la porte et d'atteindre son cher et tendre, confortablement allongé. Max... fit-elle tout doucement en posant sa main sur son dos. Ce n'est qu'après une énième contraction qu'elle se permit de le secouer, sentant l'urgence du moment s'emparer de ses faits et gestes. Max tu me laisses pas seule dans un moment pareil, tu as promis alors tu te réveilles bordel ! grogna-t-elle d'une voix forte cette fois-ci.
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crédit/ tumblr ✰ w/@Bambi C. Corleonesi :heaart:
Le jeune damoiseau avait travaillé une bonne partie de la journée et de la nuit. Il est rentré chez lui dans les alentours de vingt-trois heures du soir. Il était content de pouvoir retrouver sa petite-amie et ses futurs bébés à devenir. Il l'embrasse tendrement pour la saluer avant de se rendre dans la cuisine pour prendre une bouteille d'eau fraîche. Il reste encore une heure avec sa chérie pour papoter avant d'aller s'écrouler de sommeil dans la chambre après l'avoir embrassé une nouvelle fois. Il a pris une bonne douche avant de rejoindre les bras de Morphée. Il vient à dormir paisiblement tellement la fatigue se faisait ressentir sur Maxence. Il n'entendait pas sa petite-amie criait de douleur en cause des contractions. Il est tellement perdu dans son sommeil que même la main de sa tendre moitié il ne sent pas sur son dos. C'est quand elle vient à l'engueuler légèrement sur lui, qu'il vient à sursauter sur le coup. « Allons à l'hôpital de suite ! » dit-il en se levant rapidement de son lit pour rejoindre la salle de bain et de s'habiller dans les cinq minutes, montre en main. Une fois prêt, il retrouve sa chérie dans la chambre avant de lui prendre la main et de rejoindre la porte d'entrée de l'appartement. « Tu as tout ce qu'il te faut ? » demande-t-il avant d'ouvrir la porte et de regarder une dernière fois sa chérie. Ils s'aventurent ensuite dans les couloirs de l'immeuble où ils vivent pour retrouver un taxi en bas. Maxence donne l'adresse de l'hôpital au chauffeur tout en essayant de rassurer du mieux qu'il peut sa chérie. « Ça va mon amour ? » quémande-t-il en voyant les grimaces que Bambi faisait depuis tout à l'heure. Il espère pouvoir atteindre l'hôpital le plus rapidement possible parce qu'il commence à s'inquiéter pour l'état de santé de sa chérie.
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Face à son engueulade, Maxence s'était effectivement levé d'un bond, comprenant sans l'ombre d'une hésitation l'urgence de la situation. Il leur fallait se rendre à l'hôpital sans plus tarder, aussi Bambi fut étonnée de la rapidité avec laquelle il s'habilla : cinq minutes montre en main. Le temps qu'elle mit à s'emparer de la valise, préparée spécialement pour la maternité. Ça devrait aller... on a checké vingt fois la valise au moins ! articula-t-elle avec difficulté alors qu'ils quittaient tous deux l'appartement, espérant ne revenir qu'avec leurs deux beaux bébés dans les bras. L'italienne peina à descendre les escaliers, afin d'atteindre le taxi les attendant devant l'immeuble. Mais une fois à l'intérieur, entre deux grimaces, la future maman exécutait les exercices de souffle genre petit chien, que la sage-femme l'ayant suivie tout au long de sa grossesse lui avait appris. Mais alors que Maxence lui demandait si cela allait, la jeune femme le regarda, horrifiée. Je... je viens de perdre les eaux sur la banquette ! La panique se lisait aisément dans son regard océan, alors qu'elle poussait un premier cri face à une contraction très violente. Foncez par pitié je vais pas tenir là ! maugréa-t-elle à l'attention du chauffeur.
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Il s'est réveillé immédiatement après sa petite engueulade de sa chérie. Il s'est levé d'un bond pour rejoindre la salle de bain pour s'habiller en quatrième vitesse. Quelques minutes plus tard, il rejoint la chambre pour récupérer Bambi avant de filer à l'hôpital très rapidement. « Tu n'as pas tort. » dit-il en lui tenant la main dans la sienne pour l'aider à marcher dans les couloirs de l'immeuble. Il referme la porte derrière eux et il s'aventure doucement dans les couloirs de l'immeuble jusqu'à rejoindre le taxi qu'ils les attendaient en bas. Il donne l'adresse de l'hôpital au chauffeur pour qu'il se dépêche à rejoindre le lieu de prédilection. Il pose son regard sur Bambi quand il voit qu'elle grimace, du coup il ose lui demander comment elle va. Une mauvaise idée ... il s'en rend compte une fois la question posée. « Faut qu'on se dépêche alors. » admet-il en lui embrassant le front. « Passez la quatrième, on est extrêmement pressé ! » héla-t-il pour que le chauffeur réagisse une fois pour toute. Ils viennent par arriver à l'hôpital, Maxence descend de la voiture en quatrième vitesse pour rejoindre l'autre côté de la voiture pour ouvrir la porte et d'aider Bambi à sortir du véhicule. « Ne t'inquiète pas je gère tout, ma chérie. » murmura-t-il en la portant dans ses bras jusqu'à l'entrée de l'hôpital pour s'arrêter à l'accueil tout en gardant Bambi dans ses bras. « Elle est sur le point d'accoucher. Elle a perdu les eaux sur la banquette arrière d'un taxi et, elle est prioritaire en cause de sa dégénérescence pulmonaire. » dit-il en faisant comprendre à la femme de l'accueil que c'est un cas d'urgence. « Je travaille ici aussi ! » dit-il en espérant que cela puisse les aider pour que sa tendre moitié peut être prise dans les plus courts délais.
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Bambi se sentait extrêmement chanceuse, et ce malgré la douleur atroce qui lui sciait le ventre, de ne pas être seule. Maxence la soutenait, l'encourageait, et grogna à son tour auprès du conducteur de taxi pour que ce dernier appuie sur le champignon... une fois arrivés aux urgences, il prit l'italienne dans ses bras, pour la porter telle une nouvelle mariée, lui indiquant qu'il gérait la situation. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi... murmura-t-elle entre deux gémissements douloureux, cambrant son corps tout entier sans vraiment pouvoir se retenir. Les infirmières, qui au début furent complètement hermétiques aux informations données par le futur père, finirent par réagir lorsqu'elles apprirent qu'il bossait dans ce même hôpital. Pas question de se mettre à dos un futur médecin... Je crois que tu as fait un miracle pour le coup... j'ai été tentée de les insulter ! Cette fois, ce fut un cri que la brunette laissa échapper, tandis que les contractions s'accéléraient et s'intensifiaient. S'ils ne me font pas de péridurale, je les trucide !
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Il a promis d'être présent du début à la fin pour l'accouchement de sa chérie, il tiendra sa promesse même s'il pourrait tombé de fatigue. Vu qu'il enchaînait les nuits de garde pour subvenir aux besoins de sa nouvelle famille. Il devait se donner corps et âme au travail vu qu'il allait s'absenter quelque temps ensuite, le temps de prendre la main avec les jumeaux. Il avait déjà prévenu son supérieur et il avait été immédiatement d'accord, pour le plus grand bonheur de Maxence. Bref, une fois devant l'hôpital il prend sa chérie dans les bras en lui disant qu'il gérait la situation. " Et moi donc. " avoue-t-il en se dirigeant à l'accueil de l'hôpital pour donner toutes les informations nécessaires sur l'état de santé de sa chérie. Sauf, qu'aucune des femmes à l'accueil ne voulait réagi. Il a dû dire qu'il travaillait ici pour qu'ils soient prises en charge. Ce qui le fait sortir hors de ses gongs. " Putaiiiiiiiiiiin ! Il faut vous dire qu'on travaille ici pour que vous bougiez vos culs, j'hallucine. " Bordel de merde ! Il a envie de les étriper sur l'instant. Il dépose sa petite-amie sur un lit délicatement tout en lui serrant la main encore et toujours. " Je n'ai pas su me retirer, je m'en excuse ma chérie. " dit-il un peu gêné de la situation dans laquelle ils se trouvent tous les deux. " On va demander au médecin qu'il te l'a fait, t'inquiète pas. " réplique-t-il en voyant sa tendre moitié souffrir le martyr. Une scène qui le traumatise un peu parce qu'il s'attendait à tout sauf, à tout ça. " Tu veux que j'aille réclamer un médecin ? "
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Bambi elle-même avait envie de hurler en voyant que seule la perspective de manquer de réactivité face à un collègue fasse se bouger le derrière des infirmières. De quoi faire sortir Maxence de ces gongs, ce qui plut à l'italienne, ayant toujours trouvé que son cher et tendre était sexy une fois en colère. Mais elle n'en dit mot, trop préoccupée par la douleur qu'elle ressentait pour franchement penser à autre chose. Pourquoi tu t'excuses ? Tu as géré... osa-t-elle un petit sourire alors qu'elle serrait sa main aussi fortement qu'elle le pouvait. La future maman dévoilait la force de ses bras mais aussi la force des contractions via ce geste à vrai dire. J'espère qu'ils vont pouvoir... tout dépend de la dilatation du col et de ces conneries... mais je veux bien voir un toubib dès que possible ! admit-elle en grimaçant largement, reprenant son exercice du petit chien.
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Il ne se gênera pas pour dire ce qu'il pense des infirmières à ses supérieurs. Il faut dire qu'on travaille dans ce fichu hôpital pour qu'on puisse nous prendre en charge. Ce n'est pas normal et, ça révolte Maxence. Il fera une lettre au directeur de l'hôpital pour dire ce qu'il pense de ses infirmières incompétentes. Par ailleurs, il le fait savoir auprès de ses incompétentes. " Je te remercie mon amour. " héla-t-il en déposant un tendre baiser sur ses lèvres entre deux contractions violentes. De voir sa tendre moitié souffrir de la sorte, le rend vulnérable. " On verra bien au moment voulu ! " dit-il en lui caressant la joue. " Je te laisse quelque minute, je vais essayer de trouver un médecin. " déclare-t-il en lui lâchant la main pour rechercher un médecin dans les couloirs de l'hôpital. Il monte même à l'étape du dessus pour essayer de trouver son supérieur. Une dizaine de minutes plus tard, il arrive à trouver son supérieur celui qui lui apprend tout ce qu'il sait aujourd'hui. " Je suis désolé de vous déranger Mr Rhodes ... mais, j'ai ma femme qui est à l'étape du dessous en train de souffrir le martyr en cause de ses contractions, elle a une dégénérescence pulmonaire en prime on aurait vraiment besoin de vous s'il vous plait ! " dit-il en le suppliant du regard de le suivre immédiatement. C'est bien la première fois que Maxence supplie quelqu'un de lui venir en aide mais, c'était urgent pour Bambi. Finalement, le médecin accepte et, Maxence lui montre le chemin jusqu'à la chambre de Bambi. " Mon amour, j'ai trouvé un médecin ! C'est mon supérieur, tu peux lui faire confiance ! "
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Bambi ne savait pas combien de temps elle allait tenir avant de hurler à nouveau. Ce n'était pas faute d'être dure au mal et capable d'endurer les souffrances qu'aucune autre femme ne saurait endurer... mais là, les hormones ne l'aidaient clairement pas à y voir très clair et l'incompétence des infirmières n'aidait en rien non plus. Je t'attends amore... murmura-t-elle en hochant la tête, croisant tous les doigts pour que Maxence revienne rapidement et avec un médecin de confiance. L'italienne n'avait pas envie de confier son accouchement, pas plus que sa tendre moitié d'ailleurs, au premier couillon venu... et par une chance extraordinaire, le supérieur du père de ses enfants accepta de mener lui-même le travail, soulageant au passage Bambi, qui laissa échapper quelques larmes de soulagement. Merci d'être allé le chercher mon amour... si tu as toute confiance en lui, je peux y aller les yeux fermés ! admit-elle alors qu'on la déplaçait justement jusqu'en salle de travail, son col étant largement dilaté. Trop pour que la péridurale soit effectuée d'ailleurs, au grand dam de l'italienne, ne retenant pas un grognement. Mais, malgré les contractions à répétition et la douleur insupportable, une fois en chemise d'hôpital, les pieds sur les étriers, elle s'empara aussitôt de la main de Maxence, lui lançant un regard paniqué. Tu ne me lâches pas maintenant hein, on a fait le plus dur amore ! Bientôt on aura nos deux amours dans nos bras !!
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Il peut comprendre la douleur que sa femme ressent en ce moment. Il l'a enduré pendant quelques mois lors qu'il avait cette putain de tumeur au cerveau, un beau gliome. Mais, aujourd'hui c'est Bambi qui compte le plus ainsi que les jumeaux. C'est pour cela qu'il dit à sa tendre moitié qu'il va chercher un médecin parce qu'il se sent un peu inutile à la regarder souffrir ainsi. " Je me dépêche mon amour. " dit-il avant de s'enfuir dans les couloirs de l'hôpital à la recherche d'un médecin. Sauf, qu'aucun est à l'horizon. Dernière option c'était d'aller chercher son supérieur pour qu'il accouche Bambi sans encombre. C'est le seul médecin que Maxence fait confiance. Impossible pour lui de confier sa chérie à quelqu'un d'autre que lui. C'est totalement impensable ! Il vient finalement à revenir dans la chambre de sa chérie avec le médecin en lui disant qu'elle pouvait lui faire confiance. " J'ai confiance qu'en lui, c'est normal que j'aille le chercher mon amour. " murmura-t-il contre les lèvres de sa chérie. Il suit le lit de Bambi de près jusqu'à la salle de travail. Il s'absente quelque minute le temps pour lui de s'habiller en mesure de pouvoir assister à l'accouchement. Il s'approche de sa femme ensuite tout en lui prenant la main pour qu'elle puisse la serrer de toutes ses forces. " Je ne te lâcherais pas, je t'en ai fait la promesse. " dit-il, même s'il commençait à avoir mal à la tête. Pour lui ce n'est rien comparé aux douleurs que sa femme doit ressentir en cause des contractions.
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