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ELLYA ✷ the fear of falling apart

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Je décide de te dire ce que j’ai sur le coeur, parce que y’a que comme ça qu’on peut avancer, non? Sauf que ta réponse, elle ne me plait pas. T’entendre déblatérer sur Hadès et me raconter votre lien si unique et si précieux, franchement, ça me fout les nerfs. « Eh bien écoute, tu m’en vois ravi. » La mâchoire serrée, les dents qui grincent. Ça fait mal. « Tu fais ce que tu veux Cléo. J’ai juste pas envie d’en entendre parler. » Parle-lui, entretiens cette pseudo-amitié, je m’en fous. J’te l’ai déjà dit, t’es libre, t’es pas ma princesse prisonnière en haut de la tour. Fais. Jusqu’au jour où ça dérapera à nouveau. Et je te l’ai dit, t’auras pas de troisième chance. Ce jour-là, ça sera fini. Pas de retour en arrière possible. Alors vas-y, continue de jouer avec le feu. Mais ne t’étonnes pas si tu finis par être brûlée.

Et tu veux une étreinte, un baiser, mais j’ai franchement pas le coeur à ça. C’est pas la dernière fois qu’on se voit Cléo, je te l’ai dit, je suis prêt à te donner une deuxième chance, le bénéfice du doute. L’erreur est humaine, non? Mais quand on les répète, ça devient juste de la bêtise, du foutage de gueule. Alors évite d’en arriver là, pour notre bien à tous les deux. Et je sais que mon refus te blesse, mais c’est sûrement pas comparable à comment tu m’as blessé toi. Et pourtant, tu arrives quand même à me faire des reproches, reculant de quelques pas. Vraiment, Cléo? Tu crois que j’vais te laisser partir suite à ces mots? Alors je me rapproche, je fais les pas qui t’ont fait t’éloigner. « Pas suffisamment pour repousser à temps une autre? Non, c’est clair. Je l’ai juste envoyée dans un fossé pour éviter qu’elle me touche. Dommage qu’elle m’ait pas effacé de sa mémoire comme elle a effacé Basile, ça t’aurait arrangé hein? » Tu voulais une confrontation? Be my guest. « Elle s’est pointée à la fête de Sullivan alors que personne ne l’avait invitée, j’a voulu lui parler de façon rationnelle et elle a tenté de m’embrasser. Qu’est-ce que j’ai fait? Je suis parti. » Je n’ai pas retourné son baiser, je ne lui ai pas laissé le temps de parler, de faire quoi que ce soit d’autres d’ailleurs. Je l’ai laissée plantée là, dans ce couloir un peu trop étroit pour qu’on y trouve du bon sens. Parce que j’ai pensé à toi, Cléo. Et j’ai pensé à Basile aussi, pour elle, vu qu’elle n’en est plus capable. « Si tu veux parler de pseudo-infidélité, j’pense que t’es pire que moi sur ce coup. » Alors ferme-la. Moi, j’ai des sentiments pour personne d’autre que toi. N’essaye pas de te la jouer victime ici, Cléolya.

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❝ THE FEAR OF FALLING APART ❞
CLÉOLYA & ELLIOT

J'étais honnête avec les gens qui comptaient, parce que je ne voulais pas leur renvoyer une fausse image de moi. Il avait tout fait pour moi et je ne pouvais pas simplement oublier nos souvenirs en un claquement de doigts. Je n'avais même pas envie d'oublier tout ça, parce que c'était une partie de ma vie, certes mouvementée, mais aussi pleine de douceur et d'amour. Ce n'était forcément pas facile à entendre et je voyais bien sur ton visage que c'était tout sauf ce que tu voulais entendre, mais j'étais comme ça. J'étais honnête avec les gens qui comptaient, parce que je ne voulais pas leur renvoyer une fausse image de moi. Je soufflais à ta réponse, sans prendre la peine d'y répondre. Tu ne comprenais vraiment pas alors ? Et tu n'étais pas ouvert à comprendre non plus du coup... Pourtant, j'avais beau en avoir marre de cette situation, j'te réclamais encore un bout de toi, au cas ou c'était la dernière fois et au lieu de réagir positivement à tes mots qui se voulaient rassurant, je prenais peur, encore. J'avais besoin de fuir, de partir, mais non, tu me retenais, à coup de mot blessant. Dans le fond, c'était tout ce dont t'étais capable me faire du mal. Encore une fois, tu te déchargeais de toute responsabilité, parce que j'avais oublié que t'étais parfait toi. Toi, tu ne faisais jamais d'erreur et toi, on devait tout te pardonner sous prétexte qu'on avait fait pire. Belle mentalité Elliot. Un rire filait entre mes lèvres nerveusement, alors que je reculais toujours plus pour prendre mes distances.

« Donc puisque c'est plus grave, je ne devrais rien dire ? » Que je soufflais avant de reprendre. « Excuses moi mr "J'aurais pu te tromper des centaines de fois" mais ses lèvres ont bien effleuré les tiennes non ? C'est qu'il t'en a fallu du temps pour la repousser dis moi ? »

Parce que soyons clair, Dina elle n'était pas arrivé comme un cheveu sur la soupe, par-derrière, se faufilant devant toi pour te voler un baiser. Tant mieux si t'avais bonne conscience, mais toi aussi t'aimais jouer avec le feu non ?

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T’as pas le droit de me reprocher l’histoire Dina. Parce que malgré les tentations et le vice, j’étais resté droit. Moi, j’étais pas allé dire à Lucky ou à Hippolyte que je les aimais. Moi, j’avais d’yeux que pour toi. Et c’est bien pour ça que j’étais le seul con dans l’histoire. À vouloir arranger les choses alors que tu pensais à un autre. Alors que tu vacillais entre lui et moi. Se voir ce soir, parler — c’était censé arranger les choses non? Au moins faire quelques pas vers l’avant. Sauf qu’au final, plus tu parlais, plus on parlait, et plus je me disais que c’était une très mauvaise idée. Parce que ça ne faisait que tendre mes nerfs déjà sous tension. « J’sais pas, j’ai pas l’air de comprendre mais toi non plus, t’as pas l’air de comprendre que ça fait mal de s’ouvrir pour une fille qui oscille encore entre toi et son ex. J’ai jamais prétendu être parfait mais moi au moins, j’suis sur de ce que je ressens pour toi. C’est pas quelque chose que je ressens aussi pour d’autres. Pas pour Lucky, pas pour Hippo, pas pour Dina, pas pour aucune autre que toi. » Et l’avouer, ça aussi, c’était pénible. « Mais tu sais quoi? C’est bon. J’ai compris. J’ai compris que toi et lui, vous étiez un genre d’âme-soeurs inséparables. J’ai saisi. » que je lâche amèrement, déglutissant avec douleur. Et c’est mon tour de faire quelques pas en arrière, pour agrandir le gouffre béant qui nous sépare. Si tu tombes, on tombera ensemble hein? C’était ce que t’avais dit. Je secoue vaguement la tête, le coeur qui me lâche une nouvelle fois. « J’aurais pas du venir... » Ma voix n’est plus qu’un souffle. J’le dis plus pour moi que pour toi en fait. Parce que venir ici, te parler, entendre ce que t’avais à dire, ça fait encore plus mal. J’étais un adepte de l’honnêteté mais j’crois que cette fois, j’aurais préféré vivre dans le mensonge et l’ignorance.

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❝ THE FEAR OF FALLING APART ❞
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Je t'écoutais attentivement, cracher ta haine, parce que t'en avais besoin, tout comme je devais assumer mes erreurs et faire face à la peine que je t'avais causé. Est-ce que ça justifiait selon toi que je ne devais rien dire par rapport à ce pseudo-baiser ? Visiblement oui. Sauf qu'Elliot, tu devais comprendre que de mon côté même si ce n'était pas la même situation que celle dans laquelle je t'avais mis, ce n'était pas facile pour autant. Tu croyais que ça ne me faisait pas peur de savoir qu'à chaque fois que t'allais voir une de tes amies, il y avait constamment ce risque qu'elles essayent de t'avoir ? À croire que t'étais un bout de viande. T'étais mon bout de viande Elliot, t'étais MON copain, celui pour lequel j'avais des sentiments et j'aimais pas l'idée que d'autres essayent de te faire craquer. Je t'écoutais, sans pour autant broncher même si j'avais ce foutu nœud à l'estomac et cette colère qui inondait mes veines d'une vague de chaleur. Je mordais l'intérieur de ma joue pour ne pas craquer, pour ne pas pleurer, parce que moi aussi, j'avais mal Elliot et oui, je m'en voulais. Je m'en voulais de t'avoir fait du mal, de t'avoir brisé en quelques sortes. Alors quand tu reculais toujours plus, créant encore plus de distance, j'me sentais soudainement seule. J'avais cette impression atroce que tu m'échappais. J'avançais doucement petit pas par petit pas avant d'oser à nouveau prendre la parole.

« Attends.. » Que je soufflais en me penchant pour me saisir de ta main et d'entrelacer mes doigts aux tiens. « Tu le sens toi aussi..? » Que je disais en fermant les yeux. « Tu ressens les mêmes sensations que moi là ? »

Je n'avais pas besoin de sentir ton odeur ou tes lèvres pour me sentir bien avec toi. Le rythme de mon cœur s'accélérait un peu à ton contact et je m'adoucissais en réouvrant les yeux, un peu plus pétillants. On avait une connexion, y'avait un truc inexplicable qui m'rendait folle de toi Elliot.

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Fallait que ça arrive. Que tous les deux, on extériorise ce qu’on ressentait. Et forcément, c’était le négatif qui sortait. C’était la nature humaine. J’étais un optimiste de nature mais là, je me rendais compte que ça ne servait à rien. Je m’étais convaincu que t’oublierais tes sentiments pour Hadès en étant avec moi, sauf que ça ne fonctionnait pas. Et j’t’en voulais pas, pas pour ça. Chacun était différent, certains avaient besoin de plus de temps que d’autres. J’t’en voulais de t’être mise avec moi alors que tu l’aimais toujours. J’aurais préféré que tu ne te précipites pas, aussi belle que notre relation était. J’aurais voulu que tu laisses le temps effacer ce que tu ressentais pour Hadès avant de t’offrir à moi, avant de me demander cette clause d’exclusivité. Parce qu’au final, tu ne l’étais pas, exclusive. Certes tu ne le touchais pas, mais l’exclusivité, ce n’était pas que physique. T’avais toujours des sentiments amoureux pour lui, et ça, je pouvais pas accepter. Encore moins quand je t’entendais parler de lui et toi comme tu le faisais. Ça faisait un mal de chien. Alors je reculais, un pas, deux pas, un murmure de regret. Mais toi, tu comprenais pas. Tu comprenais pas que ma seule envie là, c’était de rentrer chez moi et m’enfoncer sous la couette. Non, toi, tu avançais vers moi, ne me laissant pas l’occasion de fuir. Tu viens attraper ma main, entrelaçant tes doigts aux miens. C’est comme une vague de chaleur qui me traverse, un rayon de soleil qui vient caresser et réchauffer ma peau et éclairer les ténèbres qui m’enveloppent depuis deux jours. Et je me surprends à fermer les yeux, comme pour profiter un peu plus de ce contact que j’ai l’impression d’avoir pour la dernière fois. Oui, je le sens. Mais je réalise en même temps ce que je suis en train de perdre, voire peut-être ce que j’ai déjà perdu, finalement. Et une larme perle sur ma joue, un moment de faiblesse que j’aurais préféré ne pas avoir face à toi. Alors j’inspire, je me racle la gorge, je passe rapidement le dos de ma main sur ma joue pour essuyer la preuve de ma peine. « Désolé. » que je lâche à peine alors que mes doigts quittent les tiens, plus pour les formalités qu’autre chose. Je sais que je devrais partir là. Alors pourquoi j’ai l’impression que mes pieds sont cloués au sol et m’empêchent de m’en aller?

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Je ne voyais pas d'autre solution que de baisser ma garde si je voulais avoir un tant sois peu de toi. J'avais ce besoin d'être près de toi. Je n'avais pas envie de rompre même si mes actes et mes mots prouvaient le contraire, parce qu'il se passait un truc entre nous, un feeling, une connexion indéfinissable. Je gâchais toujours tout ce n'était pas nouveau, mais je n'aimais pas peiner ceux à qui je tenais. Alors je m'approchais doucement pour me saisir de ta main. J'avais à nouveau l'impression que toi et moi, c'était possible si on restait main dans la main comme ça face à tout les obstacles qu'on allait devoir affronter. J'avais besoin de toi Elliot, parce que t'avais créé une sorte de dépendance en moi, sûrement que c'étaient les sentiments qui faisait ça, mais toujours est-il que je ne me voyais pas sans toi. Je t'avais déjà choisi à deux reprises et j'étais prête à le faire une troisième fois. Mon cœur se brisait un peu plus en voyant une larme couler le long de ta joue et j'pouvais pas rester insensible face à cette image, malgré tout mes efforts... Je rejoignais très vite ton état, craquant moi aussi en toute discrétion. Mais à nouveau, tu fuyais, tu rompais le contact pour laisser à nouveau la douleur et les doutes m'envahir.

« Ne pars pas... Reste avec moi, maintenant et.. Tous les autres jours... »


Ne me quitte pas, bas toi, comme moi, j'avais l'intention de le faire, parce qu'à deux, on pouvait le faire. On ne pouvait pas se faire ça, on ne pouvait pas s'oublier ou encore mettre un point final à cette page. Après la pluie venait le beau temps non ? On pouvait le faire, se sauver, sauver notre couple, parce que moi Elliot, c'était avec toi que j'essayais de construire quelque chose, pas avec Hadès.

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J’voulais pas craquer. C’était pas dans mes plans. Pas devant toi, en tout cas. Parce que même si je savais que t’avais conscience d’avoir brisé un truc en moi, j’voulais pas l’avouer. Parce que l’avouer reviendrait à avouer qu’il y avait déjà quelque chose en moi qui pouvait être brisé. Que j’étais indéniablement attaché à toi, bien plus que je ne l’aurais souhaité. Et j’voulais pas avouer ça, assumer ça, parce que ça voudrait dire qu’il n’y avait pas de retour en arrière possible. Que je n’étais plus le Elliot Maxwell qui ne se souciait de rien, je m’en foutiste à souhait, un peu égoïste parfois, libre comme l’air. Non, ça voudrait dire que je suis dépendant. Dépendant de toi. Et j’veux pas. J’veux pouvoir compter que sur moi-même, parce que les autres, les relations, c’est instable. La preuve… Alors pour effacer tout ça, j’essuie ma larme de faiblesse d’un revers de la main rapide, espérant que tu n’aies rien vu. J’inspire, j’expire, je reprends mes esprits, je lâche ta main. Sauf que, quand je relève les yeux sur toi, toi aussi, tu pleures. Et ça me serre le cœur. J’veux pas que tu pleures à cause de moi. Jamais. Je serre les dents à tes mots. Ca sonne presque comme un supplice et ça me fait mal. Et ouais, même si j’ai pas envie d’être attaché à toi, dépendant de toi, je le suis. Et j’peux finalement pas le nier. Donc je m’avance, glisse mes deux mains sur tes joues mouillées et posant chastement mes lèvres sur les tiennes. Mon cœur ne pompe que difficilement mon sang. J’ai mal, ton contact est un doux poison. Il me fait du bien, me réchauffe et me rassure mais me brise un peu plus à chaque fois. Parce qu’à chaque fois que je te touche, je vois Hadès. « C’est pas la fin je t’ai dit… » Pas pour l’instant, du moins. J’ai envie d’essayer de recoller les morceaux avec toi. J’ai envie de nous sauver de la noyade. Sauf si c’est pas ce que tu veux. Je me recule, caresse ta joue de mon pouce pour essuyer tes larmes avant de rompre le contact. « Il vaut mieux que je rentre Cléolya… On a tous les deux besoin de repos. » De temps de réflexion aussi. De prendre du recul par rapport à tout ça. Parce que j’suis encore trop à vif pour être sain d’esprit. Alors je me recule, encore et encore. C’est pas la fin, je te dis.

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J'avais besoin moi aussi d'être un minimum rassuré, parce que je ne nous voyais pas mettre un point final à cette relation. Certes, il y avait Hadès dans un coin de mon cœur et dans un coin de ma tête, mais c'était du passé. C'était toi, uniquement toi et c'était dur à comprendre quand on savait que j'avais dit quelques jours plus tôt que je l'aimais, mais c'était vrai. Ce n'était pas avec lui que je voulais tenter une relation durable, c'était ensemble, main dans la main que je voulais avancer. Il me manquait forcément un peu parce qu'avant d'être en pré-couple avec, c'était surtout un de mes amis les plus proches. Comme pour appuyer mes propos, ma main glissait dans la tienne pour un geste symbolique. C'était plus fort qu'un simple baiser ou une accolade forcé. Sauf que toi, tu lâchais ma main et je craquais un peu plus à ton geste, laissant les larmes m'emporter. On en était vraiment là alors ? Alors dans un doux murmure, j'essayais de te faire comprendre ce que j'attendais réellement. Je te voulais toi, je voulais que tu te battes avec moi pour sauver cette belle relation qu'on avait commencé à construire. Tu t'approchais de moi pour venir poser tes mains de part et d'autre de mon visage et tes lèvres se posaient simplement sur les miennes. Mes mains glissaient dans ta nuque rapidement, pour presser un peu plus mes lèvres aux tiennes, me contentant de ce que t'étais prêt à m'offrir. Tu reculais, puis tu me rassurais en me disant que ce n'était pas la fin et j'y croyais. Je te faisais suffisamment confiance pour savoir que t'étais sincère. Tu passais ton pouce sur ma joue, pour essuyer mes larmes avant de t'éloigner un peu plus de moi. Muette, j'étais incapable de te répondre, la gorge nouée par tant de peine. Tu reculais toujours plus alors que moi à contrario, j'étais incapable de bouger, mon regard rivé sur toi qui s'échappais toujours un peu plus.

Fin du rp :TT:

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