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change is hard at first, messy in the middle and gorgeous at the end. (basile)

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❝ change is hard at first, messy in the middle
and gorgeous at the end.

BASILE & LOUVE

Qu’importe tes mots Basile, qu’importe tes gestes, t’y arriveras pas. T’arriveras pas à me descendre comme t’as pu le faire par le passé, je me rabaisserai plus à ça. Le temps imparti est passé. Et à chacun de tes cris, à chacune de tes insultes, je rirai. Je comprendrai exactement le contraire. Si tu me dis que t’en as rien à foutre de ma gueule, c’est que t’en as quelque chose à faire. Si tu me dis que tu veux te barrer, c’est que tu cherches à ce que je te retienne. Alors vas-y, lâche-toi, vide ton sac. Tes réactions te trahiront toujours. Parce que si t’en avais tellement rien à foutre de tout ça, de moi, de nous, tu serais parti sans un mot, en m’ignorant. Comme on ignore une personne pour qui on ne ressent rien. « Si t’es tellement écœuré de moi, qu’est-ce que tu fous encore ici ? La porte est juste là-bas, fais-toi plaisir, je te retiens pas. » Tu hausses tes épaules en secouant ta tête, un sourire amusé toujours scotché à tes lèvres. C’est vrai, qu’est-ce qu’il attend ? Tu dois quand même avouer qu’au moment où il te balance qu’il a baisé ta sœur à Paris, ça te fait quelque chose. Ca te blesse, ça te déçoit comme il t’a toujours déçue. Mais plus cette fois que les autres. Pourtant, tu refuses de le montrer et t’as cet air insolent qui ne cesse de grandir sur ton visage. Tes yeux restent plantés dans les siens, ne montrant aucune faille, refoulant tout au fond de toi pour une autre fois. Une fois où tu cogiteras sur cette question, sur lui et ta sœur. « Ma bipolarité ? » Tu ris de vive voix sans même le laisser terminer sa phrase. Pour autant t’écoutes ce qui suit, jusqu’au moment où ta main vient machinalement s’éclater contre sa joue. « T’as jamais digéré le fait que je sois tombée enceinte à ce que je vois, et t’oses dire que t’en as rien à foutre de ma gueule ? Alors qu’est-ce que tu fous là, presqu’un an après, si je vaux tellement rien à tes yeux Basile ? » Ta voix reste pour autant étonnamment calme, une preuve que pour cette fois t’arrives à garder le contrôle de tes émotions malgré la baffe qui a précédé tes paroles. « Et tu crois vraiment que j’avais personne d’autre que toi chez qui aller ? J’aurais pu aller chez le monde entier, mais j’avais juste envie d’être chez toi. Pas une fois t’as refusé ma présence, et pas besoin de jouer sur une pseudo-pitié que t’aurais eu. Ta pitié t’aurait pas fait piquer une crise quand je t’ai dit que je dormais chez Lancelot. » T’as jamais vraiment compris ce qu’il pouvait avoir contre Lancelot d’ailleurs. A l’inverse par contre, tu comprenais parfaitement pourquoi Lancelot ne le supportait pas. Tout comme Willow et d’autres de tes amis. Des amis qui refusent tout bonnement qu’un type comme Basile ne puisse te mettre à mal comme il l’a trop longtemps fait. Et au moment-même où il te balance de la fermer, tout prend son sens. « Ah, ça t’énerve alors Basile ? Tu voulais que moi mais tu me faisais croire le contraire ? Ca t’a servi à quoi ? Je serais jamais allée voir ailleurs si t’avais eu les couilles de l’assumer. On en serait sûrement pas là aujourd’hui. Je te respectais peut-être trop pour fouiller dans ta vie et me demander si tu me mentais comme tu l’as toujours fait. Je t’ai fait confiance sur ce coup-là, j’aurais visiblement pas dû. » J’aurais pas dû, j’aurais jamais dû t’accorder ma confiance. J’aurais jamais dû croire à tes paroles. Comme aujourd’hui, où je ne crois rien de ce que tu me dis. J’aurais dû faire ça depuis le début. « Personne veut me garder ? C’est pas ce que tu viens de dire. Tu le voulais visiblement, puisque t’acceptes pas qu’un autre type que toi ait pu me toucher. Tu voulais me garder mais t’as pas réussi à le faire. » que tu réponds froidement. Il a pas réussi, non. Il aurait pu pourtant. Il était sur le bon chemin, jusqu’au moment où il t’a dit que votre relation n’avait rien d’exclusif. Au moment où il saisit ton poignet brusquement, tu déglutis malgré toi. Sans doute parce que tu t’y attendais pas, qu’importe ce que tu puisses en dire. Pour autant, tu ne baisses pas ton regard, toujours cet air insolent, planté dans le sien. « Et tu penses vraiment que je te crois une seule seconde ? Pourquoi tu me pètes des crises de jalousie à chaque fois que je suis avec un autre si je suis comme toutes les autres à tes yeux ? » que tu le questionnes. « Porte tes couilles et dis-moi la vérité Basile, pour une fois. Arrête de jouer au lâche et de fuir sans assumer ce que t’es et ce que tu veux vraiment. Moi je le sais Basile, je l’ai compris. Je l’ai compris toutes les fois où tu devenais dingue parce que je me contentais pas de te voir toi. Et encore une fois aujourd’hui, tu me redonnes la preuve que t’es mordu. » Je sais que tu l’avoueras jamais, tant pis pour toi. Mais je le sais. Depuis longtemps. Je t’ai donné des dizaines de chances Basile, en te demandant de m’accueillir chez toi, en te demandant de venir aujourd’hui pour m’aider à m’installer. Tout ça, c’était juste des excuses pour être avec toi. Pour que tu sois avec moi.

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T'aurais pu choisir n'importe qui pour te servir de larbin aujourd'hui, n'importe qui sauf moi. Tes plans cul, ton mec tout neuf, des idiotes de copines. N'importe qui. Mais c'est à moi que tu as envoyé un texto, c'est moi que tu voulais pour porter tes cartons, c'est moi que tu voulais pour être le premier à fouler le sol de ton nouveau chez toi. A respirer l'odeur des murs qu'il respirera aussi. T'arrives encore à t'étonner de ma colère Louve ? Tu la connais mieux que personne depuis plus de dix ans. Alors oui, je suis écœuré de toi et la porte je vais la prendre, je tenais juste à te dire la vérité au moins une fois, rien qu'une seule fois les yeux bien ancrés dans les tiens. - Je me fous de ce que tu fais de ton cul et du reste Louve, je me fous que tu saches pas utiliser une putain de capote. Qu'est-ce que ça fait de toi, à part une pauvre fille ? Nan, je l'ai pas digéré. T'as été dans ma tête pendant des années, sous chaque infime parcelle de ma peau. Tu ressemblais à celle qui pourrait être la seule, à l'élue, mais tu ne l'es pas. "Tu voulais me garder, mais t'as pas réussi à le faire." Tes putains de mots cognent et rebondissent contre les parois de mon esprit et font serrer mes dents, mes poings, chacun de mes muscles. Pauvre conne. Je te laisse finir ta tirade, je te laisse enchaîner les incohérences, ta voix s'étendre et dégouliner de ton venin amer. Je te laisse continuer jusqu'à ce que tu sois obligée de t'arrêter pour reprendre ton souffle, pour marquer une pause. Une seconde. Une seconde, ça me suffit. - T'sais quoi Louve ? T'as raison. Un pas de plus vers toi pour être sûr que tu entendes bien la suite, pour être sûr que tu t'en souviennes demain, après-demain et tous les jours suivants. - J'te voulais pour moi. J'ai pas touché à une seule putain de nana quand on se voyait, quand toi tu te faisais baiser par la moitié du campus. T'étais pas comme les autres. J'hausse les épaules à quelques centimètres de ton sourire arrogant qui se croit suffisant pour camoufler toute ton amertume, tout ce que tu as toujours caché. - Mais c'est fini. J'veux plus rien de toi. Rien. A partir de maintenant, tu n'es que la sœur de Marin. Rassure toi, t'es toujours pas comme toutes les autres.. T'es la plus sale ! Et moi je souris pas. Moi, je joue pas la carte de l'insolence, mais celle de l'honnêteté. Tu sais comme moi que je peux te plier en deux secondes, que je l'ai trop souvent fait. Alors, on va éviter de jouer à qui est le plus fort de nous deux, y'a pas vraiment de suspens. J'attrape ta main sans te quitter des yeux, force tes doigts tatoués à se déplier pour enfoncer un préservatif dans ta paume. - Tu penseras à moi, ça t'évitera un deuxième avortement Perol. J'aurai sûrement eu mal de le dire si la rage ne me rongeait pas, t'aurai sûrement eu du mal à l'entendre. Mais là, j'ai juste la nausée. J'ai juste envie de gerber sur tout ce qu'on a pas pu être, sur les souvenirs qu'on a souillé et les prochains qu'on ne laissera pas exister. Un pas en arrière, toujours mes yeux qui traînent dans les tiens comme si c'était la dernière fois. La dernière fois, là, sur les marches d'un palier rempli de cartons que tu ouvrira sans moi. Je secoue légèrement la tête en laissant mes yeux glissés sur toi de haut en bas, de dégoût, de haine, de mémoire entachée. Et puis je me tire. Bon emménagement et bonne année.

   

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Bien sûr que certaines de ses paroles t’atteignent, mais tu montres rien. Ton sourire reste fermement scotché à ton visage, un air insolent l’accompagnant. Un air supérieur peut-être, comme si ses mots ne valaient rien pour toi. Comme si tu le connaissais depuis toujours. Mais ça, c’est un peu le cas en réalité. Tu l’as vu grandir, mûrir, se transformer en ce sombre connard qu’il est face à toi. Tu l’as admiré dans sa descente en enfer comme s’il s’agissait de la chose que t’avais toujours attendue. Comme si c’était toi qui, de tes yeux de biche, tu le lui avais souhaité. Et il peut toujours parler, il peut toujours courir, il peut toujours rêver de te voir t’effondrer devant lui, à genoux, à l’implorer pour une raison ou une autre. Tu le feras pas. Tu le feras jamais. Qu’il parte si c’est ce qu’il veut, qu’il se taille et qu’il ne revienne plus, qu’il disparaisse complètement de ta vie. T’iras pas lui courir après, tu fais pas partie de ces filles-là. Alors sans doute que t’as ce truc pour lui, un amour qui te donne plus envie de crever que d’être heureuse. Un amour qui te torture depuis bien trop longtemps. Et aujourd’hui, à cet instant précis, c’est la fin. La fin de tout, de vous, de ce que vous avez été et de ce que vous auriez pu être. « Heureuse de l’entendre. » que tu lâches alors qu’il vide son sac, sur ce que t’avais pu être à ses yeux et sur ce que t’es devenue. La nana la plus sale qu’il ait connue, paraît-il. Ca te fait rire. Tu sais très bien quel genre de nana il fréquente et t’es loin d’être la plus dégueulasse. Tu sais où traîne ton cul et il est entre de bonnes mains. Entre celles d’Eliam, de Kale, d’Elliot et de tous tes potes Basile. La crème de la crème. Tu sens sa main forcer la tienne pour y enfoncer un petit paquet que tu connais bien ; aucun besoin d’y jeter un coup d’œil, tu le laisses d’ailleurs glisser entre tes doigts pour le faire s’écraser au sol. « Merci pour l’attention, mais j’en ai plus besoin. Trop tard. » Tu hausses tes épaules, comme si tu reproduisais le même schéma qu’il y a quelques mois. Comme si en toi grandissait une nouvelle fois un futur bambin. Et tu le regardes finalement se reculer, se diriger vers la porte. Ta main se lève, tes doigts s’articulent en guise d’adieu. Dès aujourd’hui, il fera sa vie, et tu feras la tienne comme tu l’entends. Loin du poison qu’il a toujours été pour toi.

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