que la partie commence ► dexter.

Déboussolée de plaisir, j'esquissais un tendre sourire quand Dexter me caressait mon dos avant de dégrafer mon soutien gorge. Je collais mon corps contre le sien, brûlant de désir, j'attrapais ses mains pour les poser sur mes formes tentatrices, pour qu'il m'empare tel un trésor tant convoité. Ma nudité de ne me gênait pas, je n'aurais voulu être ailleurs pour rien au monde et les mains du brun étaient si douces sur ma peau, que je ne pouvais m'empêcher de laisser quelques soupirs de contentement s'échapper une nouvelle fois de ma gorge. Il y avait trop de délice dans ses gestes, trop de désir dans ses yeux pour que je m'imagine y résister encore très longtemps. C'était avec une délicate attention que je faisais descendre mon dernier sous-vêtement, me retrouvant entièrement nue. On pouvait dire que Dexter était comblé : je lui offrais un beau spectacle de mes courbes câlines et félines de la plus primitive des manières. Je me ruais sur sa bouche, dévorant avec passion ses lèvres, l'étouffant de mes bras, ma poitrine collée à son torse. Je me séparais de lui brusquement pour but de le faire baver encore un petit moment. Debout je le contemplais mais l'envie se faisait trop oppressante et d'un mouvement gracieux je me jetais sur le côté du lit me retrouvant à sa gauche. J'attendais qu'il s'accapare de mon corps, j'étais toute à lui ce soir.

Les courbes de son corps, ses baisers brulants et mon envie dévorante pour elle me faisait totalement perdre pied. Rien n'avait plus d'importance qu'elle à mes yeux et je me sentais comme totalement envouté par sa beauté. Caressant avec tendresse chacune de ses courbes, soufflant de désir contre ses lèvres je me sentais transporté et sauvagement je venais la coller toujours un peu plus de moi lorsqu'elle venait s'y retirer. Je ne voulais pas la quitter et ce soir elle était à moi et moi j'étais à elle. Nous n'étions que deux et rien ni personne ne peut nous sortir de cette osmose totale. Voyant la jeune femme glisser à mes côtés je venais sourire délicatement avant de reprendre ma position sur elle et embrasser ses lèvres pour ensuite descendre dans son cou puis sa poitrine. Chaque baiser ce voulait envieux et lorsque je m'arrêta à son nombril je remontais avec fougue vers ses lèvres pour enfin ne fait qu'un d'un mouvement rapide, mais doux et d'un petit gémissement je commençais mes va et viens qui ce voulait régulier, rapide et tendre. J'étais aux anges et je me sentais encore plus transpercé à chacun de mes mouvements.

Lorsque je me glissais aux côtés de Dexter, celui-ci venait se poser directement sur moi, et de ses lèvres il parcourait déjà la totalité de mon corps. Un plaisir chaud parcourait mon corps en un frisson, je fermais les yeux, m'abandonnant aux caresses de langues que le brun me donnait sans chipoter. Je l'observais le regard brûlant et je lui faisais comprendre que tout ça me plaisait. Tandis que mon désir était à mon paroxysme, je me relevais en faisant glisser le dernier vêtement de l'homme le long de ses jambes. Mon regard parcourait avec envie le corps nu de Dexter et sans plus attendre mes hanches et mes cuisses s'enroulaient autour de lui. Collés l'un à l'autre dans une fusion étrangement sensuelle et dévorante, je me frottais contre lui, bassin contre bassin, désir contre désir. Dexter commençait à faire quelques mouvements de va et viens, tandis que ses gestes de bassins étaient profonds, souples et fluides. Mes hanches tanguaient contre sa taille, je passais une main dans ses cheveux, fermant les yeux et plantant mes ongles dans son dos... Mes jambes légères mais à la fois lourdes, mes mains brûlantes que je posais sur son dos tentant de passer à la vitesse supérieure, en vain, je n'écoutais plus rien, si ce n'était que nos soupirs.

Mes va et vient ce voulait délicat et puissant à la fois, mon désir pour elle était tellement fort que je me rendais compte que cette fusion m'était merveilleuse. Caressant ces courbes je laissais mes mains au niveau de ses reins pour accentuer mes coups et des gémissements plus importants ce fit entendre. Je fermais les yeux, embrassant sa poitrine puis ses lèvres. J'avais envie d'elle, envie de lui faire l'amour et c'était pour moi une chose incroyable de découvrir ce geste lorsque les sentiments son présent. Constance me rend dingue et cela dura quelques instants, des moments instances et totalement magique. Séparant nos deux corps avec délicatesse je me laissais tomber sur le côté, respirant un bon coup et souriant ravi. Je venais tourner mon visage vers la jeune femme avant d'ajouter. « wow ! » je souriais de plus belle avant d'attraper ses lèvres une nouvelle fois.

Mon corps contre celui de Dexter et rien d'autre. Des mouvements tout aussi sensuels que je ne pouvais croire qu'il n'y avait là qu'une profonde attirance, non je sentais autre chose. Une vague de chaleur m'envahissait et quelques petits soupirs de bien être qui s'étiraient de ma gorge tandis que mes griffes continuaient de dessiner mon plaisir sur le dos de Dexter. Marquant dans sa peau ce moment comme un cadeau. « Dexter... » Pressante, survoltée de désir, je n'avais pu retenir mon envie de lui de ma tête... Son prénom était la source de mon plaisir, j'aurais pu lui répéter indéfiniment. Mais à cet instant je ne savais pas comme j'allais réapprendre à me passer de lui, je devais sérieusement y réfléchir. Quelques petits cris se tiraient dans les graves, ses mouvements de bassins devenaient plus abrupts, incontrôlables. Je cabrais mes hanches pour accentuer notre plaisir et je ne pouvais retenir cet accès au 7ème ciel. Tout mes muscles se crispaient jusqu'aux orteils, ma peau se tendait et je cherchais encore à m'accrocher à celle du brun. Avec un dernier cri, mon corps me lâchait, endormi, anesthésié. Dexter séparait son corps du mien en me lançant un « wow » plus que satisfaisant. J'essayais de respirer puis j'éclatais de rire en lançant des « wow » chuchotés à son oreille. Mon regard pétillant s'attardait sur les courbes de son corps, profitant de cette vue d'après guerre. Je venais lentement embrasser Dexter d'un baiser langoureux puis je me décollais de son visage. Une caresse se perdait entre les cheveux bruns du jeune homme. « Tu viens de faire une heureuse. »

Je ne pensais pas qu'un jour cela m'arriverais et je ne pensais pas qu'un jour je pourrais ressentir autant de chose en un moment intense comme celui que je viens de passer avec Constance. Je me sentais tellement bien et tellement aux anges que je n'arrivais même pas à imaginer autre chose ou pensée à autre chose, je me sentais bien et c'était le nécessaire pour moi. « Tu viens de faire une heureuse. » Je souriais doucement et venais la prendre doucement dans mes bras. l'embrassant encore et encore je venais doucement la regardais et ajouter. « Et maintenant ? » Oui j'avais tout de même des questions dans la tête, je voulais savoir et connaître ce qui venait nous attendre et avouons le, je flippais quelque peu à ces possible paroles. Je ne voulais pas la perdre mais m'engager était encore un mot incertains pour moi. Je ne savais pas si j'en étais vraiment capable.

Me prenant dans ses bras et m'embrassant, le baiser de Dexter était si plein d'amour, si... tendre et langoureux que j'avais presque envie de lui arracher les lèvres tellement c'était exceptionnel. La chaleur de son corps contre le mien, entièrement nus sur le lit, sans vraiment aucune gêne. Je passais ma main sur la joue du brun jusqu'à qu'il perce le silence. « Et maintenant ? » Ses paroles me laissaient un peu perplexe, brisant l'ambiance sexuelle qui régnait. Une erreur ? Non ce n'était sans doute tout sauf une erreur, je ne voulais pas que ça en soit une d'avoir couché avec pour avoir droit à ce genre de question juste à la fin. Je laissais ma phrase en suspend, le regard perdu et paniqué. « C'était vraiment un moment extra... Je n'ai aucune idée de ce qui va se passer après ça, mais je n'ai pas envie de devenir une amie ni une sex-friend. Vu comment tu m'a fais l'amour, je peux t'assurer que j'en veux encore plus. On ne va tout de même pas laisser passer ce qu'on vient de faire Dex ? » Pour ne pas paraître trop froide, j'accompagnais mes propos d'un baiser au coin de ses lèvres. Un baiser qui pourtant déclanchait chez moi un feu de joie et provoquait une envie pressante de continuer, chamboulant mes tripes.

« C'était vraiment un moment extra... Je n'ai aucune idée de ce qui va se passer après ça, mais je n'ai pas envie de devenir une amie ni une sex-friend. Vu comment tu m'a fais l'amour, je peux t'assurer que j'en veux encore plus. On ne va tout de même pas laisser passer ce qu'on vient de faire Dex ? » Alors c'est ça ? Je suis amoureux. Et comment je dois réagir face à cela ? Comment je dois lui dire que je me sens pas prêt une minute à m'engager. Je me sens tellement coupable, tellement mal actuellement que je ne sais pas quoi lui dire. Soupirant je venais doucement la repousser de son baiser pourtant si doux et parfait. Je me sentais bien mais je flippais comme un con à l'idée d'être le petit ami de celle ci. « Je sais pas Constance ... Je sais pas quoi te dire il ... Il faut que je réfléchisse... » Je me relevais alors doucement. Enfilant mon t-shirt je soupirais puis remis mon caleçon ou je me levais doucement. Je me sentais coupable de lui faire ça mais je ne pouvais pas lui mentir et faire semblant.

Ce baiser si plein d'amour commençait à s'estomper lorsque Dexter m'arrachait de ma bouche un fin « ah... » quand il se retirait de mes lèvres en se redressant du lit pour se rhabiller. Je le suivais du regard en prenant appui sur mes coudes puis je croisais son regard, voyant qu'il commençait à déguerpir de sa propre chambre. « Je sais pas Constance ...Je sais pas quoi te dire il ... Il faut que je réfléchisse... » Je me stoppais net. Ce silence paraissait durer une éternité et me laissait perplexe, jusqu'à que je daigne de reprendre la parole. « Réfléchis bien dans ce cas. » Je ne pouvais pas faire mon égoïste, non pas cette fois. Je me levais attrapant mes sous-vêtments que j'enfilais à la va vite, puis avec plus de lenteur je mettais ma courte robe noire. « On se revoit bientôt. » Soupirant je me dépêchais de sortir de la pièce et d'un dernier sourire je finissais ma soirée en beauté.