if it doesn't open.. it's not your door + suggy

⋆ — i'd do anything for you je savais que je n’avais pas été des plus tendres avec lui. que par moment je m’étais montrée bien trop dure avec sa personne et justement, je voulais lui prouver que moi aussi j’apprenais. que moi aussi j’essayais de changer. parce que c’était ça un couple, être à l’écoute de l’autre et faire des concessions tout le temps pour que les choses fonctionnent. et j’appréciais sûrement un peu trop le moment qu’on était en train d’avoir. même si ce n’était rien d’autre que des baisers et nos peaux dénudés se touchant encore et encore. quelques secondes de plus et il venait s’attaquer à mon jean qu’il faisait glisser le long de mes jambes me laissant alors totalement en sous vêtement sous lui. mes doigts parcourant doucement son dos, j’esquissais un sourire à ses mots alors qu’il revenait m’embrasser subitement comme s’il avait peur de la réponse que je pourrais donner. ou du silence que je pourrais garder suite à ça. et à mon tour je venais glisser mes mains jusqu’à son jean déboutonnant doucement celui-ci avant de le faire glisser pour le laisser dans la même tenu que la mienne. mes lèvres dérivaient doucement dans son cou, descendant sur son épaule avant de revenir à ses lèvres que j’embrassais avec douceur. « je t’aime. » et c’était la première fois que je le lui disais à haute voix. que je ne me cachais pas derrière mon téléphone ou un quelconque écran pour lui dire ces mots là. et j’espérais qu’il se rendait compte que c’était difficile pour moi. que c'était pas le genre de mot que je sortais sur un coup de tête ni rien de rien.

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Peut-être que finalement, leur couple pouvait s'en sortir. Sullivan avait été quelque peu pessimiste suite à leur dispute sur le mariage mais ils arrivaient à s'en sortir finalement. Parce qu'il l'admettait, le moment qu'ils partageaient tous les deux était parfait à ses yeux. Ziggy était douce, compréhensive mais surtout elle l'encourageait à s'ouvrir un peu plus. Alors Sullivan, c'était ce qu'il faisait. Doucement mais sûrement, il s'ouvrait à elle, s'ouvrait dans cette relation qui impliquait des relations sexuelles. C'était seulement sa quatrième fois à Sully et il était loin d'avoir une expérience équivalente aux autres que Ziggy a pu connaître. Mais il s'en fichait, il ne le gardait pas en tête ça, parce qu'il pouvait très bien foutre le moment en l'air avec un stress inutile. À la place, c'était la tête vidée qu'il se lançait dans le déshabillage de sa petite amie, avant de se mettre sur elle pour lui confier une nouvelle fois les sentiments qu'il avait à son encontre. Sentiments forts et peut-être pas partagés oralement. Pour éviter un blanc non désiré, il cherchait les lèvres de sa belle, encore une fois dans le but de ressentir ce désir montant en lui. Ziggy, elle s'occupait de retirer le vêtement du jeune homme pour qu'ils soient sur le même pied d'égalité, bien qu'elle ait un soutien-gorge en plus. Tous deux en sous-vêtements dans ce lit qui allait voir leur amour prendre vie. Mais contre toute attente, après quelques baisers déposés ici et là sur la peau du jeune homme, elle prononçait les mots qu'il attendait depuis si longtemps. C'était bien pour ça qu'il la regardait, comme bugué par ce qu'il venait d'entendre. Et son cœur, il battait plus vite que la normale, plus vite que quand il jouait au basket. Il se sentait terriblement en vie et c'était grâce à Ziggy. Alors sans rien dire, sourire sur les lèvres tant le bonheur s'échappait de ses pores, il vint l'embrasser de nouveau, sans aucune retenue, mouvant son corps au dessus du sien, comme pour initier des préliminaires pour ce qui allait suivre.

⋆ — i'd do anything for you je l’aimais. j’avais peut être eu du mal à le dire, à me l’avouer mais j’étais enfin décidée à faire tomber les barrières. je l’aimais et c’était comme ça. peut être que j’avais été juste aveugle à ne pas vouloir me l’avouer mais je l’aimais et c’était le plus important. je venais enfin de le lui dire et j’avais le coeur qui battait la chamade dans ma poitrine. comme si ce moment serait de loin le plus important qu’on allait partager tous les deux. étrangement, il avait réussit à me vider la tête. à me faire oublier tout ce qui n’allait pas. comme si plus rien n’avait d’importance à part ce qu’on était en train de vivre. je l’aimais et on allait juste sceller tout ça de la manière dont un couple le faisait. en s’unissant de la façon la plus charnelle qui soit. et mes mots, ils faisaient leurs effet parce que le baiser que je recevais juste après était beaucoup plus explicite. de la même manière que son corps bougeait au dessus du mien. et je frissonnais de plus belle, clairement sous son emprise, clairement avide d’en avoir plus. je le désirais comme je ne l’avais jamais désiré. mes doigts venaient s’accrocher à ses cheveux, mes jambes se resserrant un peu plus autour de lui avec envie. putain, ouais. je le voulais tellement en cet instant présent que ça me faisait perdre la tête. « j’ai envie de toi » que je murmurais au creux de son oreille à plusieurs reprise, le souffle court, cette chaleur dans le bas ventre prenant un peu trop de place. et qui aurait pu imaginer qu’un jour on finirait comme ça ? moi la première n’aurait jamais eu cette idée là. non, clairement. j’avais jamais été capable de le voir autrement que comme mon meilleur ami et maintenant, je ne voyais plus que par lui.

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Entendre ces mots sortir de la bouche de Ziggy, c'était plus qu'il ne l'avait espéré. Parce que oui, elle avait beau lui avoir dit par message, ce n'était pas pareil de le lire ou de l'entendre de vive voix. Et elle venait de le dire, Ziggy. Elle venait de dire qu'elle l'aimait et son cœur à Sullivan, il battait la chamade, comme si c'était en cet instant qu'il se mettait réellement à vivre. Pour la première fois, il sentait qu'il était aimé en retour, que son amour n'était plus à sens unique. Alors oui, il l'embrassait de plus belle, sans aucune retenue. Et oui, son corps ne répondait plus, agissant de lui même en bougeant sur elle, de façon suggestive afin que la température monte plus vite, plus rapidement. Sauf que la suite, il devait prendre le contrôle mais il n'était pas encore très adepte du déshabillage complet. Alors il se mettait à l'embrasser encore et encore et d'une main hésitante, il cherchait l'attache du soutien-gorge de Ziggy, restant malheureusement un peu trop longtemps dessus puisqu'il n'arrivait pas à le défaire. Lâchant les lèvres de sa petite amie, il commençait à rougir, gêné de ne même pas réussir à effectuer cette petite action. « Désolé je... j'y arrive pas » Il l'invitait alors à se redresser et il se déplaçait pour être face à ce dos pour y aller de ses deux mains. Et finalement, il allait au bout de cette épreuve, défaisant cette malheureuse attache. « Voilà, c'est bon » Il reprenait place face à elle et, le regard posé sur elle, il tirait sur les bretelles afin qu'elle se retrouve dénudée en haut de son corps. Sullivan, il avait le regard qui se posait sur la poitrine de la jeune femme, avant de remonter sur ses yeux. Inspirant longuement, il finit par reprendre place au dessus d'elle, ses lèvres de nouveau sur celles de sa petite amie, l'allongeant encore une fois sur ce lit, espérant bien qu'ils oublient tous deux ce moment gênant d'incompétence notable.

⋆ — i'd do anything for you c’était dingue cette évolution qu’on avait pu avoir tous les deux. limite, j’avais du mal à réaliser mais ce qui était sûre était que je l’aimais. vraiment. j’savais pas si c’était venu au fur et à mesure où si je l’avais juste enfoui à l’intérieur de moi depuis un moment mais je l’aimais et j’étais finalement prête à l’assumer. alors ouais, la seule chose que je désirais à ce moment précis était lui. lui et seulement lui. et j’sentais qu’il était en galère. qu’il essayait de se débrouiller comme il le pouvait mais qu’il n’avait pas encore eu son diplôme de dégraffeur de soutien-gorge. est-ce que je devais rire ? non. j’allais probablement le vexer et péter le moment sauf que ce n’était pas du tout ce que je voulais. me mordant la lèvre pour réprimer un sourire amusé, je me redressais alors qu’il était du coup obligé de me contourner pour réussir à le défaire. dans un sens, c’était mignon. j’étais sa première. son premier baiser, sa première fois. il allait tout apprendre avec moi et quelque part, je préférais largement ça parce que ça prouvait que je représentait tout à ses yeux et que je n’avais pas à me soucier des autres autour. et il tirait sur les bretelles finissant par enlever complètement le bout de tissu, ses yeux se posant sur ma peau dénudée pendant quelques secondes avant de venir récupérer mes lèvres. c’était clairement pas comme les autres fois. on prenait le temps là. le temps de se regarder, de se toucher, de faire monter doucement l’envie chez lui comme chez moi. c’était comme s’apprivoiser en fait et j’adorais ça. j’adorais sentir sa peau contre la mienne, avoir le droit de toucher chaque parcelle de sa peau, lui faire sentir qu’il était mien de toutes les façons qui soient. parce qu’il était à moi, clairement.

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Peut-être que c’était encore trop tôt pour qu’il puisse prendre le contrôle de ce genre de situation Sullivan, mais le fait est que Ziggy l’avait poussé à le faire. Alors il mettait de côté cette peur qui le bouffait un peu trop, il se faisait violence et il allait faire ce qu’elle attendait de lui. Ils avaient déjà les pantalons de retirés ainsi que leurs hauts. Il ne restait alors que les sous-vêtements et c’était peut-être la partie la plus compliquée. Preuve étant que le soutien-gorge était bien trop difficile comme épreuve pour le jeune Sullivan qui se ridiculisait tout seul en essayant de le défaire. D’abord à une main, il était ensuite obligé de se mettre derrière elle pour le défaire à deux mains. Il s’en excusait, de son inexpérience, avant de se remettre sur elle, non sans observer cette poitrine dénudée qui était juste là, sous ses yeux, après qu’il ait tiré le sous-vêtement pour qu’il trouve place au sol, avec le reste de leurs vêtements. Sullivan ravalait donc sa salive, une boule s’étant légèrement formé dans sa gorge, déclenchant une certaine sécheresse en lui. Mais il vint chercher les lèvres de sa petite amie, tel un explorateur arrivant dans un oasis en plein désert. Il cherchait à provoquer chez elle la moindre réaction. C’est bien pour cette raison qu’une de ses mains venait se retrouver sur sa poitrine, caressant doucement sa peau sensible. Puis finalement, cette même main redescendait le long de son ventre, tandis que le Winthrop continuait de l’embrasser. Il découvrait de nouveau le corps de celle qu’il aimait, doucement mais sûrement, arrivant jusqu’à son dernier sous-vêtement. L’anxiété venait prendre place en lui. Est-ce qu’il devait retirer ce bout de tissu maintenant ou devait-il attendre encore un peu, que leurs corps sentent encore une fois monter la température. Il préférait attendre, laissant ses lèvres découvrir sa peau, déviant dans le cou de la jeune femme puis descendant jusqu’à sa poitrine. Est-ce qu’elle aimait ça ? Il redressait le visage, la regardant, afin d’avoir son approbation pour continuer ce qu’il avait commencé.

⋆ — i'd do anything for you il avait ce pouvoir de réussir à faire que tous mes doutes s’envolent. comme si plus rien n’avait d’importance à part ce qu’il pouvait me faire ressentir. et j’adorais ça. j’adorais cette sensation. j’adorais le fait que même si ce n’était que pour quelques minutes, j’étais apte à ne plus penser à rien d’autre que lui. ça faisait du bien, ça soulageait et ouais, j’aurais voulu que cette plénitude reste là pendant des heures et des heures. j’avais le souffle un peu trop court au fur et à mesure que sullivan explorait ma peau de ses mains puis de ses lèvres. le coeur qui battait beaucoup trop vite et l’impression qu’il allait finir par exploser dans ma poitrine. fermant les yeux, je sentais sa bouche descendre jusqu’à ma poitrine, mes doigts s’accrochant légèrement au drap alors que soudainement, plus rien. rien d’autre que sullivan, en train de la regarder, visiblement en plein doute. ah. il aimait bien casser l’ambiance lui. esquissant un léger sourire, je finissais par lui donner un léger signe de tête, preuve que tout allait bien et qu’il n’était pas en train de faire un faux-pas. fallait qu’il arrête de se poser autant de question, d’être autant indécis. j’savais bien qu’il n’avait pas réellement l’expérience dans tout ça et qu’il n’allait pas se montrer des plus habiles en un claquement de doigt mais fallait qu’il se laisse un peu aller. tout allait bien se passer. certes, c’était la première fois qu’il prenait les devants mais on été déjà passés à l’acte trois fois avant ça alors fallait pas qu’il panique. doucement, je faisais glisser ma main dans son dos caressant avec légèreté sa peau. le rassurer avec des gestes, des sourires, de l’affection, c’était sûrement ce qui marcherait le mieux à ce moment précis.

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