AccueilInvité
est en ligne
Invité
Ce soir, je t'avais demandé si je pouvais venir passer la nuit chez toi, il faut dire que depuis quelques jours j'avais le sentiment que tu étais le seul à pouvoir me comprendre. J'étais un peu perdu face à ma relation avec Lenny et notre conversation au sujet de cette autre fille pour qui il avait des sentiments. Y avait aussi le fait que dernièrement j'avais plus la sensation que les mecs m'approchaient pour mon cul que pour ma personne et ça me dérangeait dans le fond. J'avais comme perdue le contrôle ces derniers temps et j'avais besoin de faire le vide avec toi. J'étais arrivé vers vingt heure et je devais avoué que tout ce passait parfaitement, très vite nous avions retrouvé notre complicité en s'amusant à faire des crêpes terminant par une bataille. J'avais tellement rit ça faisait du bien. Maintenant qu'il commençait à se faire tard, j'étais allongé ma tête sur torse, sur ton lit en souriant. « Je te remercie de m'avoir accueillit ce soir, j'avais vraiment besoin de me vider la tête. » Je jouais avec tes doigts alors que toute cette soirée avait été parfaite vraiment, il allait falloir en faire d'autres. « C'est idiot, mais j'ai la sensation que t'es le seul à comprendre ce que je ressens en ce moment.. »
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu passais la nuit à la villa ce soir. J’devais voir Ziggy à la base mais t’étais ma soeur après tout et t’avais besoin de moi, alors j’t’avais accueillie à bras ouverts et j’verrai Ziggy demain. Après tout, c’était moi qui avait suggéré qu’on essaye d’avoir une relation fraternelle toi et moi, donc j’te devais bien ça. On avait bu deux-trois verres, mangé des crêpes et on était monté dans ma chambre pour être un peu plus à l’aise. J’t’avais montré la chambre où tu pourrais dormir ce soir aussi, même si avec les 7 chambres différentes, t’avais le choix quoi. T’étais allongée, la tête contre mon torse alors que moi j’avais les mains croisées derrière mon crâne contre la tête de lit. « T’inquiète, c’est normal. J’t’avais dit que j’serais là si t’avais besoin. » Ouais, j’allais essayer de ne plus me barrer comme je l’avais fait y’a deux ans, de ne plus être aussi lâche. « C’est parce qu’on a sensiblement le même style de vie toi et moi. Si ce n’est que toi, t’as réussi à tomber amoureuse. » J’savais pas si je devais t’envier pour ça, ou au contraire me réjouir de cette différence.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C'est vrai que tu me l'avais dit et je devais admettre que tu avais tenu parole. Pas une seconde tu n'avais pensé à me dire non et j'appréciais vraiment ça. Je savais que nous étions capable de devenir proche tous les deux, de consolider une relation solide en dépit de nos relations familiaux. Tout les deux allongés sur ton lit, je profitais de ce moment alors que je me laissais allé à te confier combien tu étais le seul à me comprendre en ce moment. Je faisais une moue alors que tu évoquais que j'étais amoureuse et te regardais. « Crois moi bien que j'aurais préféré que ça n'arrive jamais surtout en ce moment.. J'ai plus l'impression que c'est une faiblesse, que ça me fait déraillé alors que ma vie avait tout d'une simplicité. Puis ne me dit pas que personne n'a jamais laissé entrevoir quelque chose dans ton petit cœur ? » Je me retourne pour me mettre sur le ventre et je te fixe en me retenant de ne pas rire. « On sait tous les deux que tu as toujours été fou amoureux de moi, mais comme je suis ta sœur bah tu dis que t'aime personne. » Je te lance des petits regards espiègle pour te taquiner un petit peu.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J’avais vraiment besoin d’un pilier. J’pensais que la famille était important, jusqu’à ce que je me fasse limite renier par mon père car j’avais décidé de suivre ma voie et pas celle que lui m’avait tracé. J’pouvais plus compter sur mes parents, mais toi, t’étais là. Et finalement, t’étais ma famille aussi. Alors peut-être que ça pouvait marcher. Et je l’espérais réellement. « C’est pas une impression, c’est une faiblesse. » Ouais, c’était comme ça que je voyais l’amour. Je lâchais un petit rire amer à ta question. « Mon ex-femme ne fait que me quitter toutes les deux semaines, alors bon… » Non, on n’était pas ensemble, alors pourquoi j’ressentais ses mots à chaque fois comme des mini-ruptures? En effet, elle avait encore décidé d’arrêter de me voir il y a deux-trois jours. « Mais c’est bon, c’est fini là, j’retournerai pas vers elle. J’en ai marre de ses crises, de toujours avoir l’impression d’être le coupable dans l’histoire. Elle avait qu’à pas tomber amoureuse, j’lui ai rien demandé moi. » J’haussais vaguement les épaules alors que tu basculais pour te retrouver sur le ventre. « On sait tous les deux que tu as toujours été fou amoureux de moi, mais comme je suis ta sœur bah tu dis que t'aime personne. » Je lâchais un rire à tes mots. « Ouais, t’as raison, enfin je peux l’avouer ! » Putain en vrai, heureusement qu’on en était jamais arrivés là parce que !a aurait vraiment été la merde.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je savais que je faisais une connerie en acceptant de laisser Lenny reprendre une place importante dans ma vie surtout maintenant que je savais qu'il y avait une autre femme dans sa vie. Pourtant je pouvais pas le repousser, quand j'étais avec lui ça me semblait facile. Alors t'entendre appuyer mes paroles sur le fait que l'amour était une faiblesse me fit grimacer, jusqu'à ce que je t'écoute me parler de ton ex femme et j'arquais un sourcil, alors toi aussi t'avais un point faible finalement. « Je comprends pas trop votre relation à tous les deux, je veux dire t'es comme moi tu voudrais tout faire pour pas tomber in love ou je ne sais quoi. Seulement tu peux pas non plus la laisser à l’écart j'imagine.. » Je me redresse finalement et je m'assois sur le lit face à toi en te regardant, j'avais vraiment pas envie de te voir mal à cause d'une fille. Je te regarde alors en souriant tendrement. « On est dans le même bateau crois moi, quand il est pas là je me dis que je devrais lâché l'affaire puis il est à nouveau là et j'oublie tout c'est genre horrible. Alors crois moi elle finira par revenir dans ta vie tôt ou tard pour ma part ça a prit cinq ans. » Je souffle parce que je sais que Lenny semble avoir un tas de problème et je veux pas me prendre la tête avec ça. Je te souris alors et te taquine sur le fait que t'es amoureux de moi et ta réponse m'amuse alors que je glisse mes doigts sur ton torse pour venir te chatouiller telle une enfant. « Ahhhh je le savais, je le savais. » Et je ris au éclats en étant au dessus de toi à te chatouiller encore.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
"Mais si, j'peux très bien la laisser à l'écart." La preuve, je comptais le faire. Si elle pensait que j'allais retourner vers elle... Au bout d'un moment, faut comprendre les signes du destin : on fait que se déchirer et se dire au revoir, c'est qu'on est pas fait pour être ensemble. "Puis t'sais y'a rien à comprendre... J'l'apprécie, c'était une bonne amie avant tout ce merdier." Ouais, y'a fallu que j'sois trop gentil et que j'me marie à cause de ma putain de loyauté sans fin. "Bref, c'est fini entre elle et moi, point." Et j'étais sérieux. Elle avait pas intérêt à débarquer comme une fleur dans cinq ans comme ton Lenny, quand j'aurais - je l'espère - ma vie toute établie et qu'elle vienne tout chambouler. Non merci. Time to move on. Tu te mets à rire à ta connerie et plonges sur moi pour me chatouiller. J'me tortille un peu mais bien vite j'attrape tes poignets entre mes paumes et t'arrêtes grâce à ma force clairement supérieure à la tienne. Et j'relève les yeux sur toi. On avait pas été aussi proches depuis... Depuis y'a deux ans, quoi.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
je te voyais bien décider à mettre ton ex femme derrière toi et je devrais sans doute en faire autant, mais en ce moment je me sentais pas super bien et je voyais que tous le monde s'éloignait de moi. Ce qui me restait c'était Silas et toi, je m'accrochais à vous en espérant ne plus avoir se sentiment d'être une fille facile. Je m'étais redressé pour t'écouter me parler de ton ex femme et du fait que tu étais bien décidé à ne plus faire marche arrière. Bon sang je t'enviais avec ta force de caractère et ta facilité à faire face. « D'accord, je n'insiste pas sur le sujet. » Je préférais une atmosphère plus douce et plus dans l'amusement c'est sans doute pour cette raison que je finissais par venir te chatouiller. Finalement tu prenais très vite le dessus en me maintenant par les poignets, je me stoppais et je venais ancré mon regard dans le tien toujours au dessus de toi. Je ne bougeais pas alors que nous n'avions pas été aussi proche depuis longtemps. Je te souriais alors tendrement alors que je profitais du moment.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu décidais ne pas plus insister sur le sujet compliqué qu'était ma relation avec Lucky et intérieurement, je t'en remerciais. J'en avais marre de parler d'elle, tout le monde me ramenait à elle, j'étais jamais tranquille. Mariage à la con là. Alors, pour détendre l'atmosphère je suppose, tu venais me chatouiller les abdominaux - parce que bien sûr, tu savais que j'étais sensible à ça et je me tordais sous tes doigts qui s'agitaient. Jusqu'à ce que je prenne tes poignets entre mes mains pour te stopper dans ta lancée. Ouais, j'avais plus de force que toi, ça tu pouvais pas le nier. Et nos yeux ancrés dans ceux de l'autre, tu esquissais un petit sourire. Là bizarrement, j'me rappelais la façon dont j'avais l'habitude de te maintenir ces poignets au-dessus de ta tête pour te rendre immobile, à ma merci. Et j'suppose que ça voulait rien dire, j'me laissais juste emporter par le moment - mais j'finissais par réduire la distance et poser mes lèvres sur les tiennes, un mouvement vers l'avant presque un peu trop rapide, comme si je savais que c'était pas quelque chose de correct, que c'était quelque chose d'interdit et qu'il fallait qu'on se dépêche pour ne pas qu'on nous voit. Comme si j'avais peur de me faire gauler.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C'est ce genre de moment où l'ambiance se fait plus lourde et plus intense, ce moment où t'es complètement envahit par l'instant et que tu ne penses plus à rien. Ce moment où il n'est plus question de bien ou de mal mais du moment présent. Je sens tes mains maintenir poignets avec douceur, alors qu'on est tous les deux à se fixer j'ai pas envie de me détacher à cet instant. Je vois ton visage s'approcher du mien, je ferme les yeux et je réponds à ton baiser avec tendresse. Je suis comme envahit par une multitudes de souvenirs commun, mais en même temps je sais qu'on a plus le droit de le faire. Avec tout ce qui se passe en ce moment, être avec toi ça me fait du bien et ce baiser arrive naturellement entre nous alors que je réalise que tu vas encore regretter ça aussi. Je fini alors par détacher mes lèvres des tiennes en te regardant. « Je sais ce que tu vas dire.. » C'est vrai il est plus sage de nous deux dans cette histoire et je préfère pas entendre un second couplet sur le fait que c'est mal et tout le blabla ça me blesserait une fois de plus. Je viens glisser une main derrière ta nuque et te vol un autre baiser avant de me lever et de quitter ta chambre pour me chercher un verre d'eau.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J’sais pas ce qui m’a pris, à vrai dire. On a un peu bu, mais j’peux pas mettre ça sur le compte de l’ivresse, parce qu’on a tout de même les idées très claires tous les deux. C’est sûrement pour essayer d’oublier, essayer d’effacer le souvenir de Lucky ou de Lenny. Et dans le moment, ouais, j’ai eu tort, j’ai pas réfléchi. C’était de ma faute. Oui, tu sais ce que je vais dire. C’est bien pour ça que je ne dis rien. A quoi bon? J’te répèterais la même chose, et tu serais toujours pas d’accord avec moi. Mais qu’est-ce que je pouvais être con parfois! À ton tour de me voler un baiser avant que tu ne t’enfuisses de ma chambre. Et je reste là, immobile, avant de soupirer et de me laisser tomber lourdement sur mon lit. « Meg… » t’appelais-je, sans être sûr que tu m’entendrais vu que Dieu sait où t’étais partie et la villa était grande. « J’suis désolé. » lâchais-je en couvrant mon visage de mes mains et insultant intérieurement ma stupidité. « Reviens ici steuplait. » J’allais pas te faire un autre discours moralisateur, promis.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)
Page 1 sur 2 • 1, 2 