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GABANO & DINA.
Assise sur ta chaise, habillée de sous vêtements aguicheurs qui épousent parfaitement tes formes. Tu dessines ton reflet dans le miroir, ignorant les autres autour de toi. Elles, qui ont l'habitude de tourner en rond dans cette cage, elles qui ne vivent que pour ça parce qu'elles n'ont pas le choix. Toi, tu l'as, et pourtant tu te retrouves à la même place. T'as pas besoin de ça, l'argent coule en boucle dans ton compte en banque mais ta vie manque encore de folie. Alors, t'as décidé d'y mettre une touche d'adrénaline en pensant que p'têtre, tu finirais par oublier Basile et ta putain d'addiction mal placée. Tes doigts relâchent la brosse à cheveux sur le marbre de la coiffeuse, c'était l'heure pour toi. Il était temps de te libérer de l'emprise néfaste, de trouver ton moment de répit et tu y mettais tout tes espoirs sur cette scène de ce bordel.
Enfant de la nuit, pas une once de maturité, les traits encore enfantin, c'est maintenant que tu te dévoiles sous la lumière brûlante qui fait briller ta peau dorée. Tes cheveux couleurs or, et tes lèvres pulpeuses vêtue d'un rouge foncé. Ton regard ne s'attarde que très peu sur les visages férocement gourmands de ces hommes bien trop habillé pour ce lieu de dépravation certaine. La mélodie sonne enfin, enroulant tes courbes qui se déhanchent en fonction d'elle. Les efforts qui s'accumulent, t'abandonnant parfois à des échanges indécents avec les plus près de ton trône. Le souffle qui s'accentue, les regards encore plus appuyés sur tes formes qui les entraînent dans ta danse enchantée. T'as l'impression de réinventer le monde sur tes talons hauts, l'impression de le faire trembler sous le palpitant affolé qui se déchaîne. Et putain, la sensation de ces chaînes douloureuses qui se brisent te font du bien.
Un dernier pas de danse, une dernière note qui résonne et te signale la fin d'un voyage éphémère trop vite arrivé. Tu te laisses glisser le long de ta bar de fer, là où tu te sentais hors d'atteinte de n'importe quel danger pour retrouver la terre ferme et les regards captivés. Tu descends de la scène, expirant un bon coup pour reprendre encore plus d'air et calmer ton coeur en folie. T'attrapes une bouteille d'eau, la descend de quelques litres quand ton regard se pose sur des mains qui cognent l'une contre l'autre. Tu décolle le plastique de tes lèvres doucement, affichant un fin sourire face à Gabano pour une fois libre. - J'pensais pas que t'étais du genre désespéré au point de te payer ce genre de spectacle.. Que tu glisses sous le ton de l'ironie, approchant un peu plus vers lui en ignorant qu'il était le maître du jeu de ce club.
Enfant de la nuit, pas une once de maturité, les traits encore enfantin, c'est maintenant que tu te dévoiles sous la lumière brûlante qui fait briller ta peau dorée. Tes cheveux couleurs or, et tes lèvres pulpeuses vêtue d'un rouge foncé. Ton regard ne s'attarde que très peu sur les visages férocement gourmands de ces hommes bien trop habillé pour ce lieu de dépravation certaine. La mélodie sonne enfin, enroulant tes courbes qui se déhanchent en fonction d'elle. Les efforts qui s'accumulent, t'abandonnant parfois à des échanges indécents avec les plus près de ton trône. Le souffle qui s'accentue, les regards encore plus appuyés sur tes formes qui les entraînent dans ta danse enchantée. T'as l'impression de réinventer le monde sur tes talons hauts, l'impression de le faire trembler sous le palpitant affolé qui se déchaîne. Et putain, la sensation de ces chaînes douloureuses qui se brisent te font du bien.
Un dernier pas de danse, une dernière note qui résonne et te signale la fin d'un voyage éphémère trop vite arrivé. Tu te laisses glisser le long de ta bar de fer, là où tu te sentais hors d'atteinte de n'importe quel danger pour retrouver la terre ferme et les regards captivés. Tu descends de la scène, expirant un bon coup pour reprendre encore plus d'air et calmer ton coeur en folie. T'attrapes une bouteille d'eau, la descend de quelques litres quand ton regard se pose sur des mains qui cognent l'une contre l'autre. Tu décolle le plastique de tes lèvres doucement, affichant un fin sourire face à Gabano pour une fois libre. - J'pensais pas que t'étais du genre désespéré au point de te payer ce genre de spectacle.. Que tu glisses sous le ton de l'ironie, approchant un peu plus vers lui en ignorant qu'il était le maître du jeu de ce club.
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