Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(anoah) J'ai besoin de toi comme d'une infirmière.
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(anoah) J'ai besoin de toi comme d'une infirmière.

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D'accord, juste d'accord. Pas besoin de lui dire si je vais, j'étais déjà en route. C'était certainement dû à mon humeur enjôleuse du jour. J'allais mieux, bien mieux depuis la dernière fois. Il m'avait laissé respirer, il me manquait. Mes problèmes avec ce "maître chanteur" semblaient terminés pour de bon, du moins, ça ne me concernait plus directement. Mes révisions étaient au top, mes examens se passaient au mieux. J'avais récupéré mon retard et tout semblait très bien se passer ces derniers jours. Assez pour que je sois d'humeur à me rendre de moi-même chez Noah, profiter d'un moment en prenant soin de ne pas parler de nous. Ouais, le seul truc en réalité, c'est que je n'avais pas envie de parler de nous. Je ne savais pas ce que nous étions, ce que ça allait donner et il est vrai que j'étais plutôt détachée en ce moment. Mais, mon côté volage me laissait penser que de laisser faire les choses au jour le jour était certainement la meilleur solution. Alors voilà, contre toute attente, me voilà à attendre à la porte de l'appartement de Noah, qu'il vienne m'ouvrir.
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Tu as demandé à l'avoir avec toi. Tu as demandé à la serrer dans tes draps, mais aussi à l'avoir contre ton corps. Parce que tu es en colère, tu es énervé. Nina te fait chier à ne pas se confier, Hades fait le crétin avec ta meilleure amie. Et ta meilleure amie fait la crétine avec ton meilleur ami. Bref. La merde absolue. Alors autant dire que quand Ana t'avait prit la tête tout à l'heure, tu l'avais envoyé chier. Tu soupires un peu avant de finalement de tout envoyer en l'air. Et c'est vrai. Tu regardes Alberto qui arrive en direct dans le bureau. Il te regarde. Mais tu ne dis rien. Laissez ça, je vais ramasser Lâches-tu, violement avant de quitter la pièce mais tu entends la porte. La porte. Elle est là. Tu essayes de te calmer, tu es calme, très calme. Tu passes ta main dans tes cheveux alors que tu ouvres la porte pour la regarder et tu souris faiblement. Tu la laisses rentrer dans ton appartement, malgré le bordel qui avait pu mettre y'a quelques minutes. Tu veux boire un truc ? demandes-tu, essyant d'être moins sur les nerfs et en refermant la porte derrière elle. Tu arrives finalement dans le salon, où tu regardes ensuite Ana. Tu ne sais pas pourquoi officiellement elle est là. Mais officieusement, elle est là pour te faire changer les idées ..
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J'avais pris goût à pousser Noah à bout. Que ce soit en bien ou en mal et c'était surement l'un de nos défauts. Comment réussir à être sérieuse et correcte alors que ses actes me donnait envie de lui faire péter les plombs davantage. Il y avait un côté malsain à tout cela et pourtant, ça ne semblait pas le déranger plus qu'autre chose puisqu'il ne demandait qu'à me voir. D'ailleurs, je n'avais pas répondu à sa question, je m'étais juste déplacée en espérant qu'il allait pas partir de chez lui. Peut-être qu'il me faudrait le numéro de téléphone d'Alberto pour les surprises. Bref, j'arrivais rapidement et je retrouvais un Noah énervé. Mon sourire se veut rassurant, je ne suis pas là en ennemi. Loin de là. Il ne semble y avoir que nous deux dans son grand salon et sinon, tant pis. J'enlève mes chaussures avant de me mettre à avancer vers lui. « Tu veux boire un truc ? » - « Non » que je réponds aussitôt en enlevant mon manteau que je pose sur une chaise et je continuais d'avancer vers lui. « Je n'ai pas envie de parler non plus » Parce que je n'avais pas envie de parler de nous, de où nous étions et de ce dont j'avais envie car je n'en avais absolument aucune idée. Par contre, ce dont j'avais envie pour aujourd'hui, c'était lui. Physiquement. C'est bien pour cela que sans crier gare, je venais coller mon corps contre le sien et surtout, mes lèvres venaient se poser sur les siennes pour l'embrasser avec passion. J'avais terriblement envie de lui, physiquement et de rien d'autre.
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Actuellement c'était de l'énervement qui y avait dans ton sang, de l'agacement aussi. De la souffrance. Ta mère n'allait pas bien, ton frère s'en fichait encore plus de ta gueule et ta soeur faisait plus la morte. Mais c'était le bordel encore dans ta vie. Alors, tu pétais des câbles. Et le simple fait de savoir qu'Ana allait passer, c'est la compresse. Un médicament, un bonheur. Tu passas tes mains, tu ouvris et la voilà. Elle te répondis aussitôt pour la boisson, tu tournas la tête vers elle, elle était trop direct. Et au moment où tu voulais dire quelque chose, elle avait déjà retiré ses chaussures, son manteau et elle venait de te répondre qu'elle n'avait pas envie de parler. Oh bah ça. Sauf que tu ne t'attendait pas à ce qu'elle vienne t'embrasser. Non plus à ce qu'elle vienne se coller à toi. Un baiser passionnant, torrible et totalement out. Et tu quittas ses lèvres une seconde. C'est vraiment ce que tu veux maintenant ? Pas parler, agir Noah. Alors tu l'embrasses, parce que tu en avais envie, souffle coupé ou pas, tu te pris au jeu. Un baiser sauvage avec de la passion, de l'amour, de la haine, tout ce dont il fallait pour te lâcher. Un baiser à la fois doux et difficile à comprendre. Mais tu la retrouvais enfin. Elle était dans tes bras, contre toi. Tes mains contre ses reins, elles descendirent à ses fesses, tu pouvais enfin la toucher, la caresser, l'embrasser, l'avoir contre toi, pour toi, à toi. Oui, elle était à toi, à personne d'autre. Ton corps bien trop collé au sien, tu en profitas pour descendre une nouvelle fois tes mains et les déposer sur ses cuisses. Et hop, elle touche plus le sol mais la table, autant dire que c'était bien plus pratique comme ça. Bien plus ennivrant et désireux.
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J'entre chez Noah et à partir du moment où je comprends que nous sommes seuls, je ne perds pas de temps. J'enlève mes chaussures, mon manteau et j'avance en sa direction en précisant que je n'avais ni soif, ni envie de parler. Ce que je voulais là ? Simplement venir coller mon corps contre le sien, ce que je venais faire et puis, coller mes lèvres aux siennes, ce que je faisais aussi. S'en suivait un baiser passionné et fougueux tandis que Noah redécouvrait mon corps pour la première fois depuis des semaines. « C'est vraiment ce que tu veux maintenant ? » - « Si tu poses encore une fois la question, je change d'avis. » Et je partirais, obviously. J'étais en train de faire ce qu'il désirait depuis des semaines, alors qu'il se taise et qu'il profite. Il suffisait de mes mots pour que Noah se lâche et vienne m'embrasser de manière plus soutenue et sauvage. Ça m'avait manqué. Mes bras enroulaient ses épaules et l'une de mes mains se glissait dans ses cheveux, les agrippant. Ses mains à lui quittent mes fesses pour glisser le long de mes cuisses et me soulever. Mes jambes viennent encercler sa taille jusqu'à ce que je me retrouvais assise sur la table. Mes lèvres dérivaient dans son cou, le suçotant, tandis que mes mains retiraient sa chemise. Au fond de moi, je me demandais si je restais son meilleur coup, ou bien si d'autres m'avaient dépassé. Ça me faisait peur.
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Le graal ou pas le graal, tu es aux anges. Elle vient d'arriver contre toi, tu ne peux qu'apprécier son contact contre ton corps et tes lèvres. Depuis le temps que tu en rêves. Tu n'avais rien tenté à ce diner, tu n'avais rien fait à ce diner. Strictement rien. Et tu en étais dégouté de ne pas avoir essayer même de l'embrasser, parce qu'elle te manquait, tout te manquait. Mais là, qu'elle arrive pour te faire ça, c'était presque impossible. Sa remarque, tu la balayes, au diable les questions alors, tu veux juste profiter d'elle. Un maximum. Elle veut te donner une chance ? Tu veux la saissir, l'attraper et ne plus la lâcher, tu as besoin d'elle. Son corps contre le tien, ses embrassades totalement impossibles, à gérer, tu grognes quand elle t'aggripes les cheveux. Ah tu as oublié son côté sauvage. Mais qu'est que tu adores ça. Et la voilà contre la table. Même table qui a acceuilli tes cours quand tu étais dans le mal totalement, dans un manque total de ta Mather. Ses cuisses autour de tes hanches, ta main glisse lentement pour les caresser, tu vas fondre, c'est pas possible, tu vas fondre comme pas possible. Et c'est ce qui est en train d'arriver. D'ailleurs, tu espères simplement que Alberto est partit nettoyer ton bordel, ça t'arrangerait fortement. Ton coeur s'accélère quand tu la sens glisser sur ton cou, chemise qui s'enlève petit à petit. Elle va te marquer c'est pas possible. Bien que tu es horreur de ça, pour la simple et bonne raison que tu n'appartient qu'à toi, ou bien à elle. Alors, tu ne vas rien dire, absolument rien dire, mais elle est mal. Très mal. Vraiment très mal. Ta chemise tombe, tu la sens glisser et te voilà torse nu, devant elle alors que tes mains aggripent son haut. Pas le temps d'attendre, il est déjà retiré, tu n'as aucune envie de l'attendre ou quoi ce soit. C'est elle qui a dit qu'elle voulait pas changer d'avis. Alors tes lèvres partent à l'assaut de son cou, de son épaule, donc chaque bretelle de son soutien gorge saute en passant, mais juste en passant. Et voilà que tu descends tes lèvres, petit à petit. Elle a osé, tu vas osé. Oh oui. Oh de question de laisser ça impuni. Ca va t'es pas sadique, ou prendre. Tes mains descendent à son bouton, tu caresses ses cuisses, et tu en profites pour le faire. T'es un sadique en fait. Juste à l'endroit du bouton de son jeans. Le premier qui voit ça, il va partir en courant mais c'est ton but premier. C'est ta Ana à toi. Et à personne d'autre putain.

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Nous n'avions pas besoin de parler. De toute façon, chaque discussions semblaient vouées à l'échec depuis le début. Ce pour quoi nous étions fait finalement, c'était une relation de... sexfriends. Ouais, peut-être que le problème était là ? JE n'en savais rien et je n'avais aucune envie d'en parler avec lui. Ce que je voulais, c'était l'embrasser encore et toujours. Je voulais me retrouver contre lui, soupirer face à ses caresses, je voulais qu'il me rende folle. Je fonçais directement sur lui et rapidement, je me retrouvais sur la table, lui entre mes cuisses. Mes lèvres glissaient sur sa peau comme si le temps était compté, mais je profitais du moment. Rapidement, j'enlevais sa chemise, venant embrasser son torse parfait. J'allais goûter à chaque parcelle de son corps, j'allais profiter de lui, très clairement. C'était égoïste, mais je pensais au bien que ça allait me faire à moi. mon cou se tendait pour lui laisser toute la place. Le souffle saccadé, mon cœur battait à une vitesse folle. À chaque geste du jeune homme, à chaque caresse, mes poils se hérissaient sur mes bras. C'était parfait. Juste parfait. Ainsi de suite, tous les vêtements tombaient les uns après les autres. Rapidement et sauvagement, sans quitter la table, nous ne fîmes qu'un. Et encore une fois, ça avait été parfait.

J'essayais de retrouver ma respiration normale, mais autant dire que c'était impossible. J'étais recouverte de sueur et j'avais l'impression d'avoir couru un marathon. J'étais nue sur cette table et je ne pensais même pas au fait que quelqu'un pouvait entrer. Je restais juste ainsi, allongée à moitié sous lui, les jambes tombantes. Et... je restais silencieuse. Je ne savais pas quoi lui dire et au vue de la situation, peut-être qu'il serait maladroit de simplement venter ses capacités sexuelles.
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Tout se passa rapidement, mais tu t'en fichais, c'était ce que tu voulais. Tu la voulais elle, rien qu'elle et toujours elle. Tu caresses son corps, sa peau, d'une façon millimétré. Tu savais ce qu'elle aimait, ce qu'elle voulait, ce qu'elle désirait et à l'heure actuelle, toi, tu ne voulais qu'elle. Tu déposes tes lèvres sur son corps, embrassant chaque parcelle mais voilà. Ce qui devait se passa, et ce fut encore plus intense que d'habitude. Comme si c'était un moment de reconciliation. Et tu en avais terriblement besoin de ça. Tu avais besoin de cette chose, de cette envie de l'avoir contre toi, comme si c'était devenu un besoin primaire. Un moment si beau que tu pensais presque à un rêve.

Pour être honnête, cela t'avait détendu. Tellement que la colère qui était à l'intérieur de toi, t'avait échappé. Tu étais bien, parfaitement conscient de tes lèvres sur sa peau à embrasser son cou ou même son épaule, délicatement, dans le besoin violent de l'avoir contre toi. Tu releves la tête, visage face à toi avant de sourire faiblement. Tu ne savais pas réellement ce que tu voulais à l'heure actuelle. Tu te décidas de l'embrasser une nouvelle fois, alors que tu réfléchis quand même aux paroles que tu allais prononcer. Mais tu n'avais pas envie d'en prononcer en fait, enfin pas dans ses conditions. Tu caressas sa cuisse doucement, profitant d'un moment tendre alors que bien sur, tu n'avais aucune envie de la quitter maintenant. Dis moi que tu n'as rien à faire après, j'ai pas envie de te laisser partir Parce que tu n'avais aucune intention, aucune envie soudaine de la quitter. Et pour rien au monde tu le feras.
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Ça avait été un moment parfait. J'avais l'impression que ça faisait une éternité que nous l'avions pas fait et rien que pour cela, grâce au manque, ça trouvait que ça avait rendu notre échange bien plus fort. Désormais, je reposais maladroitement sur la table à manger et je dois dire que je n'avais plus le courage de rien tellement j'étais épuisée. Cet échange très... physique m'avait fait beaucoup de bien et désormais, je n'étais pas certaine d'avoir le courage de rentrer chez moi. Noah quant à lui, ne semblait pas non plus vouloir me laisser m'échapper. Ses lèvres vinrent se poser sur les miennes et aussitôt, j'attrapais son visage entre mes mains pour le garder contre moi tandis qu'il caressait ma cuisse nue. « Dis moi que tu n'as rien à faire après, j'ai pas envie de te laisser partir » Je souriais faiblement, venant faire glisser le bout de mon nez sur sa joue. « Tu m'emmènes dans ton lit... ? » J'avais envie de m'allonger et me reposant dans un endroit plus confortable.
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Avec elle tu es bien, tu le sais, elle le sait, c'est comme ça. C'est impossible que tu essayes de vivre sans elle, non impossible. Tu l'observes alors en la voyant sourire. C'est à toi qu'elle fait ça, c'est à personne d'autre. Tu déposes ta main sur sa joue, malgré le simple fait qu'elle caresse la tienne avec son nez   Tu me laisses une seconde dis-tu alors que tu enfiles ton caleçon finalement et hop, tu la prends. Enfin pas dans n'importe quelle position non, en sac à patate. T'as de la chance, j'ai que quelques pas à faire lâches-tu en l'amenant jusqu'à ta chambre finalement. Et tu la déposes quand même sur le lit, correctement. Tu enlèves ses cheveux de son visage, caressant sa joue lentement et finalement tes lèvres ne quittent pas les siennes. Tu ne peux pas t'empêcher de vouloir savoir ce qu'il se passe entre vous. Tu veux des réponses et maintenant, tu veux savoir si elle est à toi, tu veux savoir si elle est denouveau tienne ou si c'est juste l'illusion qu'elle donne. Si ça se trouve elle te manipule, si ça se trouve elle te veut. Tu veux tout savoir et maintenant. Ton corps appelle encore le sien mais tu te détaches, tu n'as jamais assez de cette femme, de son corps, de son sourire, sa peau, son souffle. Tu la regardes, tu ne peux pas t'empêche de l'observer Tu veux manger ou boire un truc ? demandes-tu alors que tu ne la quittes pas des yeux, elle ne va pas s'en aller, ça s'est sur.
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