Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityNEW YORK, NEW YORK + ADZIO
Le Deal du moment : -19%
PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H ...
Voir le deal
1299 €


NEW YORK, NEW YORK + ADZIO

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
NEW YORK, NEW YORK.
— with adzio.

Après avoir rendu une petite visite à mon bon ami Atticus, j’eu seulement le temps de faire ma valise ainsi que celle d’Ezio que le jeune homme était déjà paré pour quitter Boston afin de passer un week-end de rêve. J’ignorais ce que le beau brun m’avait prévu pour oublier mon cancer qui me rongeait de l’intérieur mais qu’importe, je voulais penser au bien-être de monsieur Scorsese et rien d’autre. Bien qu’en revenant du campus, j’avais arrêté dans un endroit bien spécial, histoire de lui faire une surprise pour ce soir. Étant assoupie dans le véhicule toujours en mouvement, mes yeux commencèrent à s’ouvrir petit à petit lorsque j’entendais klaxonner dans le rétroviseur. Observant tout autour de moi, un petit sourire venait à se dessiner contre mes lèvres en voyant toutes les belles choses qu’il y avait à voir à New York. Ces gratte-ciels, ces taxis jaunes que nous avions vus bon nombre de fois dans les meilleurs films d’Hollywood. Je me croyais presque dans un rêve sauf que c’était bel et bien la réalité. Ezio pouvait être fier de son coup puisque j’en oubliais même ce fichu cancer qui faisait de ma vie un véritable enfer. La seule chose que j’avais hâte de faire, étais de sortir dans les rues afin de passer un agréable moment en sa compagnie mais surtout visiter le musée de New York. Lorsque la voiture vint à s’arrêter, je tourne la tête vers le bel italien en posant ma main contre la sienne qui était libre. « Merci beaucoup mon cœur. » Je ne pouvais être que reconnaissante face à son égard puisque j’en rêvais depuis toujours sauf que je me voyais mal demander de l’argent à mon beau-père. Étant comme une gamine qui avait hâte aux cadeaux de Noel, je n'eus pas le temps d'ouvrir ma porte qu'un portier fort aimable venait à me l'ouvrir.

© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ezio avait roulé assez vite pour le coup. Il était rentré avec une bonne demi heure de retard parce que son putain de cours avait traîné. Ce léger retard fut rapidement comblé par sa conduite excessive. L'italien conduisait assez vite et ne faisait pas attention aux autres conducteurs. Il ne voulait qu'une seule chose, c'était d'arriver le plus vite possible à New York pour se vider la tête et profiter d'un long week-end en compagnie d'Adria. Il lui avait proposé de partir sur un coup de tête, ne sachant pas vraiment si elle allait accepter ou non. La blondinette était victime d'un cancer et avait commencé les chimios, elle devait se reposer au maximum. Une fois arrivés à New York, il vint ralentir la cadence pour se caler à la même vitesse que les autres voitures. Il tourna la tête pour regarder Adria qui semblait dormir paisiblement. Il afficha un mince sourire tout en reportant son attention sur la route. Une bonne dizaine de minutes plus tard, elle ouvrit les yeux réveillée par tous les bruits de cette ville immense. « Bien dormi, belle au bois dormant ? » lui demanda-t-il d'une petite voix pour ne pas la brusquer. Dans le plus grand des calmes, il arriva jusqu'à l'hôtel où il se gara devant. Bien évidemment, Ezio avait choisi le plus beau, le plus grand et le plus luxueux. Adria vint rapidement le remercier en posant sa main sur la sienne. Machinalement, il approcha la main de la blondinette à ses lèvres pour y déposer un chaste baiser. « T'as pas à me remercier, c'est bien normal., ça me fait plaisir de passer ce week-end avec toi. » Ezio eut à peine le temps de parler qu'un voiturier s'approcha d'eux pour leur ouvrir les portes. A son tour, il descendit de son bolide et jeta les clés au mec. « Déconne avec ma bagnole importée d'Italie et j'te fais assassiner. » dit-il d'un calme et d'un sérieux déconcertant. Le beau brun s'approcha d'Adria, passa son bras autour de son cou et s'approcha de l'entrée, le sac de vêtement dans son autre main. « Il est hm ... huit heures, qu'est ce que tu veux faire ? On peut aller manger si tu veux, New York la nuit c'est vraiment pas mal à découvrir. » lui proposa-t-il, heureux de pouvoir enfin se libérer de la pression de Boston.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
NEW YORK, NEW YORK.
— with adzio.

Sentant le véhicule s’arrêter à un feu rouge, mes yeux se tournèrent vers Ezio qui venait de me demander si j’avais bien dormi sauf que de l’entendre me dire que j’étais cette princesse, me fit particulièrement rire doucement. « Hm, disons que dormir dans une voiture ce n’est pas très confortable sauf que dans mon cas, je pourrais dormir n’importe où ça ne m’aurait pas dérangé. » Petit sourire amusé accroché contre les lèvres, la voiture s’immobilise en face d’un luxueux hôtel, c’était presque beaucoup trop beau pour y croire sauf que je tentais de garder un minimum de distance dans ce que je ressentais à cet instant. Posant ma main contre la sienne, le bel italien en profitait pour la porter à ses lèvres, l’embrassant par le fait même ce qui me fit frémir de tout mon être. À peine j’eus le temps de le regarder qu’un portier vint à ouvrir les portes, je retire ma main de celle d’Ezio afin de descendre de la voiture et observer autour de moi… Nous étions en plein cœur de New York, ces immeubles comme je n’en avais jamais vue et ce même si j’avais été à Londres ou même Boston. Tout était impressionnant… Sentant le bras du beau brun entourer mes épaules, je tourne la tête vers sa direction en laissant les valets s’occuper de monter nos valises jusqu’à notre chambre. Tandis que nous pénétrions à l’intérieur tous les deux, il venait à me demander ce que je voulais faire et comme j’avais dormis pendant tout le trajet, il m’était impossible de dormir à nouveau dans la chambre que nous allions partager tous les deux pendant ces deux jours. « Bonne idée, je meurs de faim. » Mais avant, je voulais voir cette fameuse suite qu’Ezio avait choisi. « J’espère qu’il y aura une bonne vue de notre chambre, je n’ai pas apporté mon appareil photo pour rien. » Entrant dans l’ascenseur en sa compagnie, je colle mon dos contre le mur.

© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ezio ne voulait pas trop solliciter Adria, il ne voulait pas qu'elle se fatigue durant ce week-end dans une autre ville. Elle devait économiser ses forces pour pouvoir mettre toutes les chances de son côtés afin de vaincre ce putain de cancer. Une fois à l'extérieur du véhicule, le bel italien confia les clés au voiturier et se dirigea vers l'entrée de l'hôtel. Il avait contacté la réception un peu plus tôt dans la journée pour réserver la meilleure chambre qu'il leur restait. Par chance, le Scorsese avait le droit à une énorme suite. Ce séjour à New York s'annonçait sous les meilleurs hospices. « Ah ouais, moi aussi j'ai la dalle, j'boufferais n'importe quoi. » Ezio avait toujours faim, c'était même pénible, il pourrait passer sa vie à manger et à se goinfrer de tout et n'importe quoi. Une lueur de malice traversa son regard lorsque le sujet de la bouffe évoqué. « T'as pris ton appareil photo ? Sérieux ? Minou, c'est trop mignon. » dit-il en la regardant, attendri par cette initiative. Après un tour du monde, l'italien ne s'émerveillait plus d'une ville aussi grande que New York. « Tu pourras me prendre en photo, c'est cool, je taperais la pause pour toi. » s'exclama-t-il en rigolant. « Attends-moi là, j'arrive. » Sans chercher à comprendre plus loin, il lâcha Adria et alla à la réception pour signer quelques papiers et prendre la clé de la chambre. A la suite de ça, il s'approcha des ascenseurs avant de se retourner vers la blondinette et de lui gueuler dans tout le hall : « Steadworthy, bouges tes fesses ! » Ezio ne prenait rien au sérieux et cela avait le don de le faire rire et de l'amuser.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
NEW YORK, NEW YORK.
— with adzio.

Le trajet m’avait particulièrement donné faim puisque je n’avais pas manger depuis maintenant quelques heures et on pouvait presque entendre mon ventre gronder dans le hall d’entrée de l’hôtel… Enfin, c’était une façon de parler. Tournant la tête quand le bel italien me disait qu’il pouvait manger n’importe quoi, un sourire amusé se dessine sur mes lèvres. « Ah ouais, n’importe quoi ? » Ezio adorait me sortir des blagues nulles, c’est pourquoi j’en fis de même en lui laissant un large de choix sur ce que j’étais en train de lui parler. Depuis toute petite, je m’étais découvert une passion, autre que la musique et c’était la photographie. Par contre, je n’emportais mon appareil photo que quand cela valait la peine de prendre certains clichés et je pense que New York était un bel endroit pour s’adonner à sa deuxième passion. J’étais même surprise de la réaction qu’avait le bel italien au moment de lui dire un truc pareil… « Tu trouves ? C’est qu’un appareil photo après tout. » Haussant les épaules, la suite me fit rigoler en même temps que lui. « Hm, si tu te mets torse nu ça ne me dérange pas de faire un photoshooting sauf que c’est la seule condition. » Lui tirant la langue, je le laisse filer vers la réception et me dirige vers le mur de l’hôtel, scrutant les moindres détails qui pouvaient s’offrir à moi et sursautait légèrement quand Ezio gueulait mon nom de famille. Rougissant sous l’impulsion, je marche d’un pas plutôt rapide et entrer dans la cage en la compagnie du jeune homme. « Si un tueur è gage me cherchait, c’est raté… Il sait qui je suis maintenant. » Les portes se refermaient et nous étions tous les deux, seuls. Tournant le regard vers le bel italien, j’eus un sourire amusé contre les lèvres. « On se croirait dans une scène de 50 nuances de grey. »

© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Faire un défilé torse nu pour quelques photos prises à la volée. Pourquoi pas, Ezio était partant, il ne disait pas non. En pensant à ça, il se dirigea vers la réception pour signaler leur arrivé. Quelques minutes suffirent à l'italien pour s'enregistrer et obtenir la carte permettant d'ouvrir leur suite royale. Il se dirigea vers les ascenseurs et fit signe, très discrètement, à Adria de venir le rejoindre. L'hôtel respirait le le luxe et le superficiel. La blondinette vint rapidement le rejoindre et, ensemble, ils entrèrent dans la cage métallique. « T'inquiète, j'suis là pour te protéger, il ne peut rien t'arriver pendant deux jours. » dit-il avec un large sourire convaincant. Une fois à l'intérieur, il appuya sur le bouton de leur étage et se tourna vers Adria, surpris par sa remarque. « Dommage je ne l'ai pas vu ce film. » annonça-t-il en haussant les épaules bêtement. Et puis, puisant dans sa mémoire, il se souvenait de la bande annonce qu'il avait une fois et afficha un large sourire. « Ah mais ça m'revient, il lui saute dessus, nan ? Genre, comme ça ? » Sans chercher à comprendre, il se tourna vers elle et avança d'un pas pour la plaquer contre la parois froide de la vitre. Il vint enfouir sa main dans la nuque de la blondinette pour l'embrasser sauvagement. Le baiser était fiévreux et intense. Ezio colla son corps à celui d'Adria et se laissa transporter par ce baiser. Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent mais il n'arrêta pas pour autant. Pris dans l'euphorie de ce délicieux baiser, la température grimpa dans cette cage beaucoup trop petite. Les portes vinrent se refermer et l'ascenseur redescendit à l'accueil. En le sentant s'arrêter, l'italien mit fin au baiser et eut juste le temps de reculer d'un pas avant que les portes ne s'ouvrent de nouveau. Amusé par ce qu'il venait de se passer, il éclata de rire en voyant un couple monter avec eux. « On monte justement, 34ème étage merci. » dit-il au gars, de son accent rital. Le 34ème étage, le dernier de l'hôtel. Ouais, Ezio avait réservé tout un étage pour eux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
NEW YORK, NEW YORK.
— with adzio.

J’avais proposé à Ezio de faire quelques clichés de lui, torse nu et en le connaissant, le beau brun n’allait certainement pas dire non à un tel passe-temps. Disons que de le voir comme ça, m’attirait encore plus puisque je ne pouvais pas dire non à son charme, quoique toutes les femmes de Boston en pinçaient pour ce genre d’italien. Marchant d’un pas pressé jusqu’à l’ascenseur quand il criait mon nom de famille dans le hall d’entrée, je lui fis une remarque qui me faisais sourire. Bon, ce n’était pas vrai mais tout de même, je tenais à rester incognito. « D’accord, je vais essayer de te croire. » Sauf qu’en montant dans la cage, j’avais l’impression que nous nous retrouvions comme dans le film de 50 nuances de grey et dommage parce que le beau brun ne l’avait pas écouté. Ce n’était pas le meilleur film du monde, mais il renfermait tout de même une histoire d’amour impossible, le genre de truc que toutes les filles adoraient. « Ouais, c’est ç… » Je n’eus pas le temps de terminer ma phrase que le beau brun s’approche de moi pour me plaquer contre le mur de l’ascenseur, attrapant mes lèvres au passage afin de rendre le baiser langoureux et sensuel. Mes mains se posèrent contre son visage, collant davantage mon corps je n’entendis presque pas que l’appareil descendait jusqu’à l’accueil. Après un long moment à s’embrasser, Ezio rompit le baiser et mes yeux se posèrent vers un couple qui pénétrait à l’intérieur. Petit rictus contre les lèvres, je tourne la tête vers le beau brun, me mordillant la lèvre inférieure. « T’es pas croyable… » Soufflais-je afin que les inconnus ne puissent entendre ce que je venais de dire. Laissant la cage monter jusqu’au 34e étage, il n’en fallut pas beaucoup de temps avant d’y être. « J’espère que tu n’as pas réserver la chambre la plus grande et la plus luxueuse. »

© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ezio était fier de ce baiser voler et torride. Lorsque les portes s'ouvrirent pour accueillir un autre couple dans l'ascenseur, il rigola légèrement. Il prit une attitude désinvolte en leur demandant, leur ordonnant presque, d'appuyer sur le bon bouton. L'italien avait réservé le dernier étage de l'hôtel pour offrir à Adria une magnifique vue sur tout New York. Ce soir, il voulait l'impressionner et la faire rêver. Qu'elle oubli toute cette histoire de cancer et qu'elle se batte. Ezio connaissait bien ça, avec la maladie de son meilleur ami, Andrea. Depuis qu'il savait pour sa maladie, il essayait de lui faire comprendre que la vie était trop courte pour la gâcher. Il voulait que la blondinette voit les merveilles que composait le monde et qu'elle en ressorte grandis, motivée pour continuer sa chimio. « Arrête, t'as kiffé minou ... » s'amusa-t-il à répondre faiblement pour qu'Adria soit la seule à entendre. Rapidement, l'ascenseur les emmena jusqu'à leur étage et les portes s'ouvrirent directement sur leur immense suite. « Evidemment que si, je t'ai dit, ce week-end, je m'occupe de toi. » dit-il en attrapant sa main et en avançant dans la suite. Cette dernière était gigantesque. Il y avait un énorme salon qui dominait une bonne partie de la ville. La chambre était tout simplement divine. « J'sens qu'on va être bien durant ces deux petits jours ... elle te plait la suite ? » Il faudrait vraiment être difficile pour ne pas aimer ce lieu somptueux. Ezio était fier de son petit effet. Il avança dans la suite avant de se jeter sur le canapé. « Sinon on peut rester dans la chambre et je t'apprends tout ce que tu dois apprendre sur le sexe. » s'amusa-t-il à dire sans être sérieux. Le bel italien posa ses pieds sur la table basse. « Bon dis moi minou, tu veux qu'on aille manger pas trop loin ? »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
NEW YORK, NEW YORK.
— with adzio.

Avec ce baiser, sortit de nulle part, je me croyais presque dans le film sauf qu’Ezio était encore plus canon que ce cher Christian. Reprenant ma position près du bel italien, l’une de mes mains se pose contre ma nuque que je masse nerveusement sous l’impulsion. Disons-le, si ça s’était passé dans notre chambre d’hôtel, nous aurions couchés ensembles dans les quelques secondes qui précédaient cette altercation. « Ouais, t’as raison. » Chuchotais-je, pour que seul Ezio comprenne ce que je venais de lui dire. Au moment où la cabine montait pour se rendre jusqu’à notre chambre, j’étais carrément subjuguée en voyant l’immense pièce qui nous servait d’endroit pour dormir ces deux jours. La bouche entre-ouverte, le beau brun prend ma main afin de se rendre à l’intérieur et mes yeux se déposent contre l’immense vitrine qui expose New York dans toute sa splendeur. C’était indescriptible ce qui se passait et je tourne la tête vers le jeune homme qui semblait plutôt fier de son coup. « Évidemment, quelle question. » Un sourire naissait sur mes lèvres et en le laissant tomber directement contre le canapé, je croise mes bras contre ma poitrine avant de m’avancer vers lui, plongeant mes prunelles dans les siennes. « Ah ouais, tu crois. » Mes mains se plaquèrent contre son torse, mon visage s’approchant du sien, j’avais un petit sourire charmeur. « Hm, tu sais que New York est bien plus important que tes techniques. » Bon, c’était plus pour l’emmerder que je disse un truc comme ça, bien que l’envie ne manquât pas sauf que je voulais découvrir la grande pomme avant toute chose. Me redressant, je m’approche d’un petit canapé pour m’y asseoir. « On est près de tout ici, est-ce que tu sais s’il y a un bon restaurant ? »

© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Quoi ? New York plus intéressant que mes techniques ?Et depuis quand hein ? » s'amusa-t-il à dire, faussement outré, choqué. Il la défia du regard et planta ses yeux dans les siens pour la provoquer. Si cela ne tenait qu'à lui, ils resteraient tout le week end dans la chambre à baiser comme des lapins, comme des sauvages. Mais non, ils n'étaient pas là pour ça. Adria était gravement malade, elle devait économiser ses forces. Ezio la regarda se poser non loin de lui et afficha un mince sourire.  « On est en plein centre ville donc ouais, on est près de tout. Je connais que deux restaurants sur New York. Un qui est à l'autre bout de la ville et un autre mais il faut genre réserver des semaines à l'avance tellement il est chic et blindé. » avoua-t-il en croisant ses bras contre son torse. Il laissa sa tête baller en arrière pour la poser contre le rebord et ferma les yeux trente secondes. « Sinon on peut toujours partir en exploration et voir ce que le destin met sur notre route. Qu'en penses-tu ? » dit-il en redressant sa tête. Sans chercher à comprendre plus loin, l'italien se leva et s'approcha d'elle et lui tendit une main amicale. « Allez viens, on se bouge avant qu'on n'ait plus aucun courage en nous. » Ezio attendit qu'Adria ne lui saisisse la main pour l'aider à se relever. Il garda sa main dans la sienne et, ensemble, ils quittèrent la luxueuse chambre. Il se dirigea vers les ascenseurs qu'ils empruntèrent pour se retrouver dans le hall puis dans New York. A cause de l'hiver, il faisait déjà noir dehors mais qu'importe, ils avaient toute la nuit pour en profiter.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)