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DINA ET BASILE


Plus je la regarde et plus je réalise que je me suis trompé. Elle n'a rien de Cendrillon, que dalle. D'apparence peut-être.. Ses mimiques de princesse, sa démarche féminine, trop féminine, ses yeux de biches.. Mais a l'intérieur c'est une putain de sorcière. Pleine de mystères, d'obscurité. Elle est envoûtante, sûrement désarmante pour les mecs que je ne suis pas. On est pas à l'abri qu'elle me jette un foutu sort avant la fin de la nuit, qu'elle empoisonne la moindre parcelle de mon esprit. Mais, j'en ai rien à foutre. Parce que moi j'ai pas peur d'elle, j'ai pas peur de ses démons, je les connais par coeur, j'ai pas peur de son timbre glacial, de ses mots cinglants, j'ai pas peur de son regard azur et pourtant si noir. Alors, je compte partir nul part, nan, je compte bien rester avec elle. Parce que l'embarquer sur ma bécane pour la conduire jusqu'à cet hôtel pourri ça a sûrement été la meilleure décision que j'ai pu prendre ce soir et peu importe que ses mots me crient l'inverse de tout ce que je peux lire dans ses yeux, moi, je partirai pas.

Et maintenant, c'est elle qui avance, les yeux presque clos. Mes yeux à moi, il restent bien ouverts parce que je ne veux rien louper de tout ce qu'elle dégage, de tout ce qu'elle m'inspire. Nos lèvres s'apprivoisent mais ne se touchent pas, elles jouent elle aussi. Alors, on en est là. Défiants, joueurs, fiers. Qui craquera le premier ? Qui a le plus besoin d'atteindre l'enfer ? J'ai tout analysé. J'analyse toujours tout. J'ai bien vu son petit manège avec Silas quelques heures plus tôt à la soirée des Mather. La jalousie qu'elle avait vainement tenté de camoufler derrière ses piques amères. Elle est dingue de lui, ça ne fait aucun doute. Mais j'en ai rien à battre. Ce soir, cette nuit, pour ce tout petit morceau de vie hors du temps, elle va l'oublier. Ce n'est pas une supposition, j'en suis certain. Elle se réveillera demain et puis après demain avec l'impression persistante et douloureuse de respirer encore mon parfum, pas le sien. Et chaque fois qu'elle envisagera de remettre ça avec qui que ce soit, chaque fois qu'elle replongera ses jolis yeux dans ceux d'un autre, elle y verra les miens. C'est ce que je veux et c'est ce que je vais l'obliger a ressentir. Cette pensée m'arrache un frisson malgré moi. Si princesse des enfers elle est, ce n'est que dans le but d'en rencontrer le prince. Et elle le sait, elle l'a senti, ça ne peut être personne d'autre que moi, là, planté à quelques centimètres de sa peau frémissante, aux bords de ses lèvres gourmandes. Je suis là, devant elle, pour elle, incarnant tout ce qu'elle hait chez elle et tout ce qu'elle cherche inlassablement chez les autres. Ça nous poursuivra. Encore et encore.

C'est finalement le cristal qui dans un effort considérable finit par nous séparer. Ses lèvres s'exposent à leurs tours au liquide doré et je ne vois plus qu'elles qui laissent leurs empreintes pourpres sur le bord de la coupe. Machinalement, ma langue vient se promener sur les miennes, trop frustrées de ne pas obtenir ce qu'elles réclament pourtant si fort. Tellement fort que quand elle dit l'apprécier, je ne l'entends qu'à moitié. Fasciné. Et puis, je peux voir son corps frémir, ses pupilles noircirent d'avantage. - Embrasse moi. Pendant une seconde mes yeux défient les siens, les jaugent pour savoir ce qui se cache au plus profond d'elle. C'est trop tard, on est déjà foutus. Condamnés au premier regard, comme une veille cicatrice qui finit toujours par réapparaître, lisse, mais présente. D'un geste brusque, presque incontrôlée, mes mains viennent saisir son visage à la fois si doux et si diabolique. Mes pouces se posent sur ses tempes pendant que mes autres doigts font pression pour l'obliger à se rapprocher de moi. Plus près. Encore plus près. Si près que ses hanches frôlent mon bassin, que sa respiration trop rapide suit le rythme de la mienne. Je l'attire, la force à se plaquer contre le mur sans lâcher prise ni son regard. Jamais. - Toi, embrasse moi ! Et maintenant, putain. Parce que plus tard ce sera trop tard et que je ne tiendrais plus. Avant que je ne perde le contrôle. Parce que je veux gagner, mais surtout parce que je la veux elle, là, tout de suite. Elle vient de tracer un coup de marqueur indélébile, là, en plein milieu de mon esprit. Elle y a inscrit son prénom en grandes lettres. D I N A. Il est déjà trop tard pour qu'on soit sauvés.




@Dina J. Ricci
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BASILE & DINA.

T'es en train de renaître là, tout d'suite. T'es en train de réécrire l'histoire, les mots d'avant n'ont plus d'importance, tout ce que t'as connu avant ce soir n'a plus d'importance. T'es en train de te réinventer dans ses yeux, de t'assumer, de baisser le masque pour une fois pour te dévoiler dans ton entièreté la plus laide. La plus belle. Entre les deux, et il ne sait pas où donner de la tête. Et toi, tu ne sais plus qui tu étais avant vous deux, tu ne veux plus te rappeler d'avant cette nuit, il n'y avait rien d'intéressant avant, t'as jamais vécue vraiment avant.. Tu respires, tes poumons sont pour une fois gonflés d'air, de passion, ce genre de petite flamme éternelle qui n'a pas le droit de mourir. Peu importe les maux, la tempête, la neige, le vent, la pluie, les autres. Tu prendras soin de cette flamme plus que de ta vie. Elle représente tout ce que tu recherches, tout ce que t'as toujours voulue, et elle là, brillant dans ses yeux sombres. Intouchable. Et c'est ce que vous êtes un peu ce soir aussi.. Intouchables.

Le temps passe, minuit approche et le jeu du chat et de la souris vous gagne. Comme si vous en aviez envie, faire faussement languir l'autre alors que pour l'un comme l'autre, l'attente est insoutenable. Y'a qu'à voir à vos respirations qui se dérèglent, qui se cherchent, s'emmêlent pour mieux retrouver leur chemin. Des corps habituellement sans vie, sans sensation, inertes, là ils en tremblent de cette rencontre hasardeuse. Tous tes sens sont en émois, ils n'attendent qu'une chose; Lui. Encore et encore, encore et toujours. T'en oublie ton ex et ta jalousie, t'en oublie sa brune à lui et son coeur qui saigne pour elle. Tu oublies tout, c'est poussières à côté de ce que vous vous faites vivres ce soir. À côté de tout ce qu'il t'apporte, t'enlève ou encore s'approprie.. Tous les autres n'auront plus aucun goûts, comme il n'aura même plus envie de toucher d'autres courbes à défaut que ce ne soit pas les tiennes. Tout comme tu rêveras de sa bouche, ton index se pose dessus au même moment, tu rêveras de la chaire chaude de son cou où tes lèvres marqueront leur territoire. Ton doigt glisse jusqu'à son cou, et puis tu rêveras de son torse, sur lequel tu finiras par t'échouer après chacun de vos efforts intenses. Ton index suit le chemin de tes pensées, absente tout en étant présente, envahit par un flot d'images captivantes. Alléchantes.

Tu ordonnes, tu exiges parce que t'en peux plus, t'es plus capable de tenir encore une seule seconde. Tes yeux se perdent dans les siens, la bouche un peu sèche, attendant enfin le pas en avant qui ferait tout chavirer. Tes yeux étaient littéralement en train de le supplier de succomber. Mais il n'en fait rien, à la place il attrape ton visage, violemment, avec douceur ou un peu des deux en même temps.. Et puis il te force à reculer, jusqu'à heurter un mur, le faire trembler, vos corps qui se touchent, la boule dans le creux de ton ventre qui s'agrandit. Le coeur dans tous ses états, et tes ongles plantés inconsciemment dans la chaire de son avant bras. - Allez.. J'en peux plus.. Que tu avoues sans vouloir capituler. Ta jambe glisse jusqu'entre les siennes, s'amusant à le caresser, remonter jusqu'à son intimité et appuyer dessus légèrement. - Embrasse moi.. J'en peux plus. Que tu répètes encore, le souffle court, tu murmures les mots a quelques centimètres de sa bouche.

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DINA ET BASILE


J'aurais eu assez d'argent pour nous offrir la plus belle suite de l'hôtel, en fait, j'aurais eu assez de fric pour racheter l'hôtel entier. Mais, je ne l'ai pas fait. J'ai pas envie de l’impressionner, j'en ai pas besoin. Je m'en branle. Je suis là, c'est tout et elle, elle cherche rien d'autre, pas comme toutes les autres nanas qui attendent que je déclare, que je dise des vrais trucs, que je me ramène devant elles un beau jour, un bouquet de fleurs dans une main et des cœurs dans les yeux, qui attendent que je me répare, que je change. Elle veut pas me changer, elle se contente de ce qui est là, devant elle, à portées de mains, à portée de lèvres. Elle se contente de tout ce que je pourrais lui offrir et de puis, de tout ce que je serais jamais capable de lui procurer. Pire. Elle aime ça. Elle le veut.

J'ai presque envie de l'emmener, qu'on se tire au bout du monde, loin de tous ceux qui ne pourront jamais comprendre. Ouais, j'ai envie de lui dire qu'on se barre, loin, aussi loin qu'il est possible d'aller. Je veux la protéger de ses démons en lui prouvant qu'on peut vivre avec eux. Nous. Hors du temps, je vous le disais. Tout semble irréel, décuplé. Irraisonné et irresponsable. Je m'enfonce encore un peu plus dans ses iris, immobile, je prends un instant pour mesurer l'importance de ce moment, celui qui patiente à la limite si fine entre l'avant et l'après parce qu'on le sait tous les deux, tout va bientôt changer, nous plongeant irrémédiablement vers la chute, notre chute, celle qu'on réclamait devant la confrérie deux heures plus tôt, mais qu'on ne contrôle déjà presque plus. L'attente lui laisse une dernière chance de se sauver, de fuir d'ici avant qu'il ne soit trop tard. Mais, elle ne le fait pas. Elle reste là. Trop tard. J'ai pas juste envie de la faire taire pour de bon en laissant enfin ma bouche trouver la sienne, nan, j'en ai besoin. C'est là, au creux du ventre et ça ne bouge plus. J'ai besoin d'elle ce soir et elle avait raison quand elle disait que je ne trouverai pas meilleure compagnie, que les autres ne feraient pas l'affaire. Quelles autres ? Je ne m'en souviens déjà plus. Moi, je ne vois qu'elle, ma sorcière aux chaussures de verre.

- Allez.. J'en peux plus.. Mais c'est pas encore assez, elle en peut encore tant qu'elle ne craque pas et moi.. Moi je veux qu'elle cède, même si je n'ai pas le souvenir d'avoir été si près de le faire. Pour la première fois, je ne suis pas sûr de pouvoir gagner. Sa jambe vient séparer les miennes, elle s'égare, me cherche et me trouve. Je me mords la lèvre si fort que s'en est presque douloureux. - Embrasse moi.. J'en peux plus. Elle y est presque. Presque, mais pas encore et je déteste la voir résister. J'attrape ses poignets, les emprisonnent pour les plaquer eux aussi contre le mur et me presser contre son corps trop longtemps délaissé. Ma langue ne résiste pas à ses lèvres qui m'appellent, je les frôle avec elle, les effleure, mais ne cède pas. - Tu les sens maintenant les flammes de l'enfer.. ? Je lui lâche ces mots dans un souffle, la voix presque rauque, abîmée par le désir. C'est intense, comme si nos âmes n'étaient là que pour s'allier et pour se déchirer, mais pas l'un ou l'autre, nan, les deux en même temps. Trop intense pour espérer en réchapper sans séquelles. Au diable ce pari de merde, Hae-Seong et son putain de défi. Y'a plus de pari. Y'a rien. Je parie pas contre elle, moi, je mise dessus.  - Juste là.. Mes doigts libèrent un de ces poignets pour glisser sur son épaule, le long de son bras frissonnant, effleurent ses côtes pour venir s'échouer juste en bas de son ventre, juste au dessus de la couture de son short. Je sais qu'elle les sent, les flammes. Elles sont brûlantes. Indomptables. Comme nous.



@Dina J. Ricci
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BASILE & DINA.

T'es brisée au fond, fissurée un peu partout, et t'aimes ça. T'es belle à ta façon, dans la façon que seule lui peut comprendre, peut voir, peut aimer ou désirer plus fort que tout. Plus fort que toi. Tout ce que vous ressentez est plus fort que vous deux, une force surnaturelle qui vous submerge, vous enivre pour mieux vous étouffer d'un désir charnel autant douloureux que bon. Un putain de désir qui grimpe petit à petit, à grands pas, là entre vous pour faire péter un putain de feu d'artifice.

T'as envie de crever cette nuit, de finir ta vie pathétique ici même, ici bas, juste pour la finir bien. Il réveille tout ce que tu domptes jours après jours à laisser enfouis, il réveille ta vraie nature, t'as envie de te mettre complètement à nue sous ses yeux ravageurs. Il ronge ton être de son regard, et tu sens que t'es bêtement en train de tomber dans son enfer, dans le votre. Que t'es en train de flancher dangereusement, au point d'plus pouvoir contrôler ton propre corps, ton palpitant qui résonne jusqu'au bout de tes doigts fins. Tu résistes, de toutes tes forces, tu fatigues aussi parce que tu te demandes pourquoi résister encore quand on en connaît la fin ? Qu'il n'y a aucune issue possible à tout ça, à vous deux. Que vous vous êtes fais prisonniers l'un de l'autre de votre plein gré, sans réfléchir parce qu'avec lui tout est clair. Tout est si limpide, c'est lui. Juste lui que tu veux. Rien d'autres, pourtant tu sais que tu gâcheras tout, tu gâches toujours tout parce que t'as une putain de peur de ce trop plein d'émotions qui s'emparent de toi. À t'en étouffer.

Tu fermes les yeux, tu te cambres pour ressentir encore plus, encore mieux son corps qui se dessine contre le tient quand il vient s'y heurter encore plus fort. Tu serres les poings, de frustration, de bien être, d'un peu trop de choses en même temps en fait. Tu demandes, tu supplies parce que tu peux plus attendre, tu veux plus attendre une seconde de plus qui n'est que souffrance amère. Et sa langue vient chatouiller tes lèvres, et tu tentes de capturer les siennes dans un mouvement de tête que t'es pas foutue de contrôler. Tu le regardes quand il ouvre la bouche, que les paroles daignent sortir pour te titiller un peu plus encore.. Tu restes muette, incapable de faire quoi que ce soit, de dire quoi que ce soit comme hypnotisé. Ta main reste contre le mur, paralysée, quand la sienne glisse le long de ton épaule pour venir s'échouer sur ton bas ventre en t'arrachant un long frisson. - Elles ne sont pas que là les flammes de l'enfer.. Tu murmures alors que tu descends lentement ta main sur la sienne, la repoussant un peu plus bas, là.. Jusqu'entre tes jambes tremblantes. - Elles me consument entièrement.. Tu lâches, les dents serrés, même parler devenait un putain de fardeau. Et tu viens coller ton front au sien, caressant le bout de son nez avec le tient, et tes lèvres caressant les siennes. La bouche entrouverte, prête à céder, à capituler et lui offrir la victoire sur un plateau d'argent. - Au diable ces conneries ! Que tu dis convaincue, avant de laisser fondre tes lèvres contre les siennes. Bestiale. Aucune douceur, dégageant ton autre poignet de son emprise pour venir attraper sa nuque fermement de tes deux mains. Faisant blanchir tes phalanges, la respiration entrecoupée, t'as plus la force de décoller ta bouche de la sienne.

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