Que d'espérance

Nous ne pouvons y échapper ! J'espérais pouvoir tasser du revers de la main notre histoire du passé, mais il fallait qu'elle refasse surface. J'aurais simplement espéré qu'elle ne se présente pas aussi rapidement. Je parlais ouvertement sans retenue. Oubliant même de filtrer mes paroles. En abandonnant le pourquoi de ma présence. "Tu ne connais pas ma persévérance, j'aurais pu te reconquérir et je le sais, j'ai confiance en mes dont de séducteur. J'ai peut être fait le con, mais il est évident que j'aurais tout fait pour que tu me pardonnes, j'aurais été prêt à décrocher la lune pour toi, mais au lieu de ça tu as fui et sans un mot, sans rien." ''Non, je ne connais pas tes persévérances ! J'avoue! '' Dis-je en haussant la voix. Je laissais un rire amer sortir de ma bouche. '' Aaric!'' Dis-je pour qu'il se réveille enfin. ''J'ai fui ! J'ai fui pour ne plus être pris dans tes bras, pour ne plus attendre ta voix qui me charmait pour ne plus sentir tes baisers. J'ai fui pour ne plus être sous ton emprise. Pour ne pas être blessé de nouveau. Peu importe tes talents de séducteur. Tu as perdu toutes tes chances lorsque tu as été partager le lit avec cette chose !''Dis-je sèchement. ''Tu aurais décroché la lune ? Alors, pourquoi ! Pourquoi avoir été visiter une autre planète et celle que tu devais me décrocher ?'' À cet instant, je voulais tout laisser. Le laisser assis comme un imbécile. Je ne voulais plus discuter. Je me voyais encore apprendre la nouvelle. Je me sentais de nouveau minable. ''Tu sais quoi ? Je me suis sentie sale même hideuse ! Une simple merde! Ce jour-là ! Alors, non ! Non, tu n'aurais jamais eu une seconde chance.'' Lui lançais-je froidement. Il me connait. Il allait comprendre que mes paroles avaient des arrières penser. Je lui aurais donné toutes ses chances. J'aurais voulu le voir courir derrière moi et me rattraper, me serrer contre lui en implorant mon pardon. Mais, il n'avait rien fait. Voilà ce qui me choque ! Il m'avait laissé partir sans me rattraper. Je continuais à parler sans jamais arrêter. Lui offrant peu de chance de s'exprimer. Je lui expliquais la véritable raison de ma venue en contournant l'histoire d'un mariage arranger. Ce vieil homme grincheux n'avait pas tout à fait encore trouver le vieux crouton prêt à me marier. "Je suis désolée pour toi, mais encore une fois, si tu n'avais pas fui tu n'en serais pas là." Je ne répliquais plus. Certes, il avait raison. Mais, je n'aurais pas été prise dans cette situation merdique avec son aventure. Il a des torts tout comme moi. Je ne voulais plus en discuter. J'avais envie de lui crier dessus, l'insulter comme jamais, le frapper de colère et de la tristesse enfuit en moi depuis deux ans. Je soupirais en détournant les yeux. Je tentais de me calmer. Cette discussion prenait une drôle de tournure. Il était important que je retrouve une respiration douce. Si, j'ouvrais la bouche mes paroles n'auraient pas été belle. Je restais ainsi pour ce qui me semblait des heures et non des cinq minutes qui défilèrent. Je détournais la discussion en lui parlant du test. Mais un long silence apparut. Il se fit malfaisant. Il vient à disparaitre lorsque Aaric m'indiquait son trouble avec Eros. Je répliquais à son commentaire sans pouvoir cesser de rire. Un fou rire. "Oui, tu es, sa mère dit, lui.'' Je laissais mon rire éclater de plus belle. Je ne pouvais pas me retenir ''Oui, Ric' ! Je suis super maman !'' Dis-je avec une grande difficulté. Je le regardais rire à son tour. Eros qui ne comprenait pas grande chose nous fis un sourire joyeux aux deux tendis que je ne pouvais cesser ce rire. C'était si bon ! Si agréable de partager mon rire avec le sien. Cette euphorie prit la forme d'une musique à mes oreilles. J'essuyais d'un doigt les larmes qui avaient descendu contre mes joues. Je fis apparaitre un sourire radieux sur mon visage. Le stresse qui était en moi avait pris la fuite. Je me sentis libérer.

(Invité)

Rhéa Kostas & Aaric Bushnell
Notre histoire est bien trop importante pour l'oublier, notre histoire était sincère, même si j'ai fini par aller voir ailleurs il est évident qu'elle était et est toujours un amour inconditionnel, elle fait partie des rares histoires de ma vie et des rares femmes que j'ai aimé comme un fou. Je ne l'est pas respecté, mais je suis un connard et je sais pas du tout faire la différence entre le bien et le mal. ''Non, je ne connais pas tes persévérances ! J'avoue! '' Etre un adulte je sais pas faire, je suis qu'un gosse pourris gâté qui a toujours besoin de plus et avec Rhéa c'était ça, je l'aimais mais j'avais besoin d'en avoir plus.''J'ai fui ! J'ai fui pour ne plus être pris dans tes bras, pour ne plus attendre ta voix qui me charmait pour ne plus sentir tes baisers. J'ai fui pour ne plus être sous ton emprise. Pour ne pas être blessé de nouveau. Peu importe tes talents de séducteur. Tu as perdu toutes tes chances lorsque tu as été partager le lit avec cette chose !'' Son rire, me fais froid dans le dos. Je soupire un long moment pour ensuite reprendre la morale. "Sache une chose, si j'ai envie de t'avoir de nouveau dans mes bras, je le ferais et je sais très bien que tu ne résistera pas longtemps à mon charme." Aussi sur de moi tu meurs, j'ai une totale confiance en mes capacités. ''Tu aurais décroché la lune ? Alors, pourquoi ! Pourquoi avoir été visiter une autre planète et celle que tu devais me décrocher ?'' Bien nous y voilà et je savais que cette question allait arrivé un jour ou l'autre. "Parce que je suis un total insatisfait." Je sais pas si c'est une réponse, mais en tout cas c'est la mienne. C'est pas non plus une raison, mais c'est la vérité. "J'aime la chaire et à l'époque c'était pire qu'aujourd'hui." Autant lui dire la vérité, j'ai ce besoin constant d'être entouré de femme, je peut pas m'en empêcher. ''Tu sais quoi ? Je me suis sentie sale même hideuse ! Une simple merde! Ce jour-là ! Alors, non ! Non, tu n'aurais jamais eu une seconde chance.'' Jamais je ne me suis dit une seconde qu'elle aurait été dans cet état d'esprit. Je sais pas si je m'en veut ou non, mais j'ai quand même une part de moi qui me demande de s'excuser. Je me racle la gorge et ouvre la bouche pour essayer de lui présenter mes excuses, mais rien ne sort, c'est pas possible je sais pas faire. Je termine ma bière et c'est à ce moment que le gamin ne me quitte plus du regard. Je sens en moi ce mal être, il me fou tellement mal à l'aise que je sais plus comment réagir. Je demande à Rhéa de le calmé et suite à ses réponses nous voila dans un fou rire général, même le gamin souris et laisse apparaitre ses quelque dents, ce qui me donne d'avantage l'envie de rire. Avec Rhéa je reprend mes habitudes et lâche ma garde comme j'ai toujours fait. Je reprend mon souffle lorsque mon téléphone sonne, je le sort de ma poche et y voit le prénom de ma petite soeur. Je le range et regarde la jeune femme. "Je vais devoir y aller, je t'appel lorsque j'ai pris le rendez vous du teste."

(Invité)

"Sache une chose, si j'ai envie de t'avoir de nouveau dans mes bras, je le ferais et je sais très bien que tu ne résisteras pas longtemps à mon charme." Il se croyait. Il croyait vraiment avoir le talent nécessaire pour me retrouver dans ses bras. Je ris faiblement à son commentaire. Je m'imaginais le nombre de femmes depuis deux ans qui sont tombés sous les paroles détourner de ce macho primitif. Je détournais la tête lorsque le nombre exagérer me traversait l'esprit. Quelle foutaise toute même. J'étais idiote de me laisser à lui. J'avais tellement gardé en moi depuis ses deux dernières années que mes paroles défilèrent sans que j'aie conscience des mots qui sortaient de ma bouche. Suis-je si désespérée ? "J'aime la chaire et à l'époque c'était pire qu'aujourd'hui." Sous ses aveux trop cupides pour mon état d'âme, je soupirais. Il avoue si facilement. Pourquoi ? Pourquoi est-il capable de dire de telle chose sans réelle émotion ni même son vibrant dans sa voix. Je comprends à cet instant qu'il n'était pas froid ni même distant. Il était lui même toujours aussi franc. Alors, j'accompagne ses propos de mon ancien sentiment. Il fallait que je lui dise tout. Il avait besoin de le savoir. Non ! J'avais besoin qu'il sache comment, je me suis sentie lorsque sa sortie de route est arrivée. Je me laissais a allé a lui. Mais, la tournure dramatique que la situation prenait fut sauvée par Éros et le malaise qu'il créait entre lui et Aaric. Nos rires se mélangeaient et Éros se mit à rire lui aussi. Je déposais en cessant de rire mon ange dans son carrosse alors que le téléphone d'Aaric sonna.'' Je vais devoir y aller, je t'appelle lorsque j'ai pris le rendez-vous du test." Je levais la tête vers lui et souriais. ''Merci, Aaric. Merci d'être venu. Je vais attendre ton message.'' Dis-je en me levant du banc. Je ne voulais pas le serrer dans mes bras alors je me penchais pour préparer Éros pour l'extérieur. Je lui fis signe de la main en le regardant quitter l'établissement.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)