Our birthdays in common (maxbi)

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Le simple fait que Maxence choisisse ce moment précis pour lui avouer avoir une sœur jumelle ne fit qu'assommer plus encore une Bambi déjà bien secouée. Je croyais que tu m'avais tout dit sur ta famille ? Il y a encore beaucoup de cadavres dans le placard que tu veux sortir, tant qu'on y est ? Deux semaines et tu ne m'en parles que maintenant... soupira-t-elle en se frottant le front, comme si ce dernier était devenu douloureux. Son autre main libre, elle, n'avait pas quitté son ventre largement arrondi par ses presque sept mois de grossesse. Bien sûr que non il n'y a pas de différence ! Un secret reste un secret et il bouffe tout pareil, que ce soit au sujet de mon père, de ta sœur, de ton divorce ou j'en passe ! Je ne te demande pas d'être parfait Max, je ne te l'ai jamais demandé... mais l'honnêteté est la base du couple, je te l'ai déjà dit. La seule chose que je t'ai dissimulée était au sujet de mon père, en dehors de ça je t'ai dit tout ce qui était important... mais toi, tu me caches sciemment des choses qui comptent et ça, je ne l'accepte pas ! maugréa-t-elle plus fortement, puisqu'il ne semblait pas comprendre ce qui la chiffonnait tant. Je ne sais pas pour être honnête ! répliqua-t-elle avec tristesse, les larmes prêtes à déborder de ses yeux. L'italienne ne les retint que de justesse en s'emparant de son sac à main et de son manteau, manifestement résignée. La conversation décente, on l'aurait eu un milliard de fois si tu m'avais dit de toi-même ces choses. Là, je ne suis pas en état d'avoir une engueulade avec toi et tu le sais très bien... je vais digérer, me calmer, et on reprendra ça plus tard. Puisque tu as tant traîné, on n'est plus à vingt-quatre heures près, n'est-ce pas ? lança-t-elle d'une voix plus adoucie, sans pour autant se calmer intérieurement. Il fallait qu'elle sorte, parte, se réfugie au seul endroit où la solitude serait si insupportable que le calme reviendrait de lui-même... cette chambre d'hôtel, elle n'y avait plus été depuis des lustres... et dieu sait combien elle pensait ne plus avoir à y remettre les pieds. Mais, allongée sur le lit, à pleurer toutes les larmes de son corps, en caressant son ventre, elle ne pouvait s'empêcher de se demander quelles choses encore Maxence serait-il capable de lui cacher...

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✰ w/@Bambi C. Corleonesi

Il n'avait pas pour but d'assommer ou encore même d'anéantir Bambi, alors qu'il l'aime de fou cette femme. Mais, il n'a jamais été doué dans le domaine de la discussion, de se livrer lui-même. Les femmes lui ont toujours fait se reproche, ce n'est pas d'aujourd'hui. Or, il n'a pas réussi jusqu'à présent à travailler sur ce défaut chez lui. « Je le pensais aussi jusqu'a il y a une deux semaines. Ça m'est tombé sur la tête sans que je m'y attends. » Il ne va pas forcément se défendre parce qu'il sait pertinemment qu'il est en tort. Du début à la fin. Il essaie de poser son regard sur sa chérie pour qu'elle puisse voir qu'il était sincère et triste de lui faire subir tout ceci. Ce n'était pas son intention. « Tu voulais que je te le dise comment pour le fait que j'ai été marié ? Quoiqu'il arrive cela t'aurait anéanti, n'est-ce pas ? » Il essaie tant bien que mal de se raccrocher aux branches mais, c'est difficile. Il n'est pas doué avec les femmes, encore moins avec la sienne. Alors, qu'il donnerait sa vie pour elle. C'est ça le pire et, Bambi le sait mieux que quiconque. Mais ça ne semble pas lui suffire, du moins ça ne l'est plus. « Je foire toujours tout avec toi ... C'est ça le problème, je me demande même comment tu fais pour me supporter ... De toute manière, quoique je dise, quoique je fasse tu ne vas pas rester à la maison ce soir. Je te connais ! » Il aura beau sortir les rames pour essayer de la faire retenir, cela ne servirait à rien. Elle partirait quand même, il le sait aussi bien qu'elle. Sur l'instant, il n'avait pas la force de lui courir auprès, il avait besoin de se remettre en question. Il est resté près de deux heures sur son ordinateur pour essayer de trouver un hôtel luxueux ou Bambi aurait pu se réfugier. Quand il pense avoir trouvé l'adresse, il attrape son manteau à l'entrée de l'appartement pour finalement le quitter en claquant la porte. Il se dirige vers cet hôtel avec sa voiture , il se gare sur le côté pour finalement pénétrer à l'intérieur en se rendant à l'accueil. Il demande si Bambi Corleonesi pouvait se trouver dans une chambre, la réponse est oui. Il demande le numéro avant de se rendre dans l'ascenseur pour se rendre à l'étage de la chambre. Une fois devant la porte, il vient à frapper plusieurs fois contre celle-ci en espérant que Bambi veuille bien le voir et l'écouter.

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Bambi avait hautement préféré ne rien répondre et partir. S'éviter au passage une montée de stress qui ne pourrait qu'être désastreuse sur les jumeaux et, bien évidemment, sur elle. Pour cette fois, et cette fois seulement, la fuite lui parut ne pas être une mauvaise idée. Cela permettrait au moins de calmer les esprits et de faire en sorte que Maxence comme Bambi se retrouvent plus sereins afin de poursuivre cette discussion... car elle n'en doutait pas, cette discussion reprendrait à un moment donné. Mais pour l'heure, pleurer contre l'oreiller de sa suite de luxe lui paraissait être la meilleure chose à faire. Peut-être attendait-elle un signe, n'importe quoi, en bonne naïve romantique qu'elle savait si bien être... et autant dire que si elle sursauta largement alors que l'on frappait plusieurs fois à la porte de sa chambre, son cœur se plut à espérer qu'il ne s'agisse de son homme. Max ?! s'exclama-t-elle avant de prendre sa main pour l'inciter à entrer, n'ayant aucune envie que leur discussion ne soit épiée d'une quelconque manière. Comment... comment m'as-tu trouvée ? se permit-elle de demander d'une voix à la fois douce et brisée, ses yeux encore rougis par les larmes qui avaient coulé. Je ne dis pas que je n'aurais pas adoré être ta première et seule femme mais... ce n'est pas ça qui m'a choquée Max. C'est le fait que tu me maintiennes systématiquement à l'écart de choses qui sont importantes... pourquoi bon dieu ? Pourquoi n'as-tu pas confiance en moi à ce point ?

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✰ w/@Bambi C. Corleonesi

Il n'aurait pas cru que son mariage et son divorce créent autant de discorde entre Bambi et lui. Il n'imaginait pas que cela puisse faire un drame aussi important. Alors, qu'il y a qu'elle qui l'intéresse au fond. Il n'aura qu'elle, même si elle vient à rompre avec Maxence. Il ne pourrait pas ressortir avec une autre femme. Pas après tout ce qu'il a pu vivre avec la jeune femme. Il sait que cela ne serait pas possible. C'est pour cela qu'il ne comprend pas la réaction de Bambi. Même si dans le cas inverse, il aurait réagi de la même manière. C'est le comble de l'ironie, n'est-ce pas ? Il a passé deux heures sur l'écran d'un ordinateur pour essayer de trouver dans quel hôtel ou Bambi a pu se réfugier. Il espère que ce soit le bon, pourtant il s'y rend. Maxence frappe son poing contre la porte pour montrer à Bambi qu'il y avait quelqu'un pour la jeune femme. Il ne se permettrait pas de rentrer sans prévenir même si c'est la femme de ses futurs jumeaux. Pas après la tension palpable qui peut régner entre eux. « C'est bien moi, ouvre s'il te plaît. » réclame-t-il d'une petite voix. Il n'a pas forcément envie de rameuter tout l'hôtel pour qu'il assiste à la conversation. « J'ai recherché sur internet l'hôtel qui pourrait convenir à tes attentes. » Il parle bien de la luxure que l'hôtel pouvait offrir à ses clients. « Tu penses réellement que ça m'a amusé d'être marié à une femme dont je m'en fiche comme de la dernière pluie ? » Sur l'instant, il ne va pas dire non. Mais, le lendemain il avait compris l'erreur qu'il venait de faire. C'est pour cette raison qu'il n'a pas traîné pour réclamer le divorce. « Parce que j'ai toujours été ainsi dans ma vie. Généralement, je n'avais aucun compte à rendre ... à personne étant donné que j'ai pratiquement toujours vécu seul. Ce n'est pas une question de confiance en toi ou quoique ce soit. C'est seulement que je n'ai jamais été habitué à dire tous mes faits et gestes à quelqu'un. Jamais ! »

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Bambi avait déjà ouvert en murmurant le prénom de son cher et tendre, mais ne s'attendait pas à ce qu'il l'ait trouvée en cherchant juste sur internet les hôtels de luxe. A vrai dire c'est une suite qui appartient à mon père, il l'a loue à l'année expliqua-t-elle une fois qu'ils furent à l'intérieur, ne sachant guère pourquoi elle énonçait cette vérité, là, tout de suite maintenant. L'italienne préférait mille fois se concentrer sur ce qui les préoccupaient tous deux, ou en tout cas elle de son côté, à savoir les cachotteries. Il s'agissait bien là de quelque chose que la brunette avait de plus en plus de mal à supporter, autant être honnête... Je ne sais pas Maxence... puisque tu ne m'as jamais parlé de ce passage de ta vie, comment diable veux-tu que je réponde à cette question ? reprit-elle, avant d'être éberluée par ses dires. Ce fut presque de la colère qui fit briller l'océan de ses yeux bleus tandis qu'elle le pointait du doigt, se moquant bien que ce soit poli ou pas. Sauf que je te signale que tu n'es plus seul Maxence, plus maintenant et que ce n'est pas la première fois que nous avons ce problème. Et puis qui parle d'expliquer tous tes faits et gestes hein ? Tu trouves que je te flique, c'est ça ? Crois-tu que c'est si anormal que de vouloir connaître l'homme avec qui je vais avoir bientôt deux enfants ? Que c'est si stupéfiant que tu me dises que tu as été marié, ou que tu t'es découvert une jumelle ? Je ne te parle pas de ton nombre de conquêtes, je ne flique pas chacun de tes gestes alors arrête donc d'exagérer Maxence Atwoodth, pas de ça avec moi ! Tu ne trouveras pas beaucoup de femmes qui accepteront d'être avec quelqu'un ayant été marié sans qu'il n'en n'ait sorti un mot... mais moi pauvre conne, je veux qu'on en parle, cherchez l'erreur ! vociféra-t-elle, trouvant très mal placé que son homme monte ainsi sur ses grands chevaux. A mes yeux, quand on cache des choses sans raison apparente, c'est que l'on n'a pas suffisamment confiance en sa moitié pour les partager avec elle... et pour le moment, tu ne me donnes pas forcément tort sur cela... soupira-t-elle en baissant la tête le temps d'essuyer ses larmes.

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✰ w/@Bambi C. Corleonesi

Quand il faut retrouver sa compagne, il remuerait ciel et terre. Il n'abandonnerait pas. Avant, il serait resté à l'appartement sans chercher à se défendre auprès de sa petite-amie. Il s'en foutait royalement. Mais, avec Bambi c'est différent. Il n'arrive pas à l'expliquer lui-même. « J'ai pris le premier hôtel qui me semblait correcte pour ta famille. » La famille Corleonesi sont assez exigent, ce n'est même pas étonnant qu'il ait loué une suite à l'année dans cet hôtel. Il rentre dans la suite en refermant la porte derrière lui. Il ne veut pas que les clients de l'hôtel entendent la discussion palpable de Bambi et Maxence. Ce qui est logique, après tout. « Simplement parce que je ne voulais pas qu'on arrive au stade où tu doutes de ma sincérité. Ou que tu penses que je ne veuille pas t'épouser. Alors, que c'est complètement faux. » Il commence lui-même à s'énerver ... puisqu'il en a marre de faire des conneries, de ne pas savoir gérer sa vie convenablement. Il a l'impression de tourner en rond dans sa vie. Ce n'est pas une sensation agréable pour lui alors, qu'il voit les gens de son entourage avancent correctement dans leurs vies. « J'ai mal choisi ma phrase ... et, non je n'ai pas l'impression que tu me fliques. » maugréa-t-il en se frottant la nuque. « Ce n'est pas anormal de vouloir connaître la personne qui partage ta vie. Je trouve anormal que je sois comme ça ... je me supporte plus moi-même Bambi. J'en ai marre d'être ainsi avec les femmes qui ont partagé ma vie, d'être comme cela avec toi. Je ne fais pas exprès, c'est ça que je veuille que tu comprends. Ce n'est pas stupéfiant, je te l'accorde ! » Voilà qu'il fait le canard devant Bambi alors, qu'il aurait pu être comme à l'époque l'envoyer chier. Pourtant, il essaie de se rabibocher avec sa compagne. La seule femme qui compte pour Maxence. L'unique. « Je n'ai jamais prétendu le contraire, ni même que je désirais une autre femme que toi. Ce n'est pas toi la conne dans l'histoire. C'est moi le salopard qui ne pense qu'à sa petite gueule ! » On ne peut pas dire le contraire, c'est lui qui ne sait pas comment gérer sa vie. « Quoique je dise, tu penseras cela de moi ... » s'exprime-t-il en baissant son regard au sol.

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Je ne doute pas de ta sincérité Max... ce n'est pas du tout ça le problème expliqua-t-elle après avoir poussé un petit soupir. Non, Bambi ne doutait à aucun moment des mots que lui énonçait son cher et tendre, elle doutait plutôt des silences, de toutes ces choses importantes qu'elle aurait dû savoir depuis longtemps ou apprendre en sa compagnie et dont elle avait été exclue, tout bonnement. Ce sont tes silences qui m'inquiètent reprit-elle, très sérieuse mais aussi extrêmement calme. Il valait mieux si elle ne souhaitait pas faire en prime une fausse alerte et mettre ainsi les jumeaux en danger... Si tu ne supportes plus d'être ainsi, pourquoi ne pas me l'avoir dit il y a des lustres ? Je peux t'aider moi. Tu sautes, je saute, tu te souviens ? Je ne suis pas qu'une jolie poupée qui sent bon et que l'on sort pour faire joli à son bras... je peux encaisser des choses et te soutenir moi aussi. Ce genre de changement ne se fait pas seul... mais si tu t'obstines à vouloir le faire seul, je ne suis pas certaine que cela fonctionne... La voix de l'italienne était toujours adoucie, posée, comme si elle voulait que les tensions entre eux disparaissent. Qu'ils se parlent tels les deux adultes qu'ils étaient pour parvenir à un compromis, quel qu'il soit. Mais lorsque Maxence osa lui sortir la connerie du siècle, Bambi se redressa pour mieux venir attraper son menton, faisant bien en sorte qu'il la regarde. Arrête de dire des conneries, coglione ! Et ne pense surtout pas à ma place, tu sais très bien que j'ai horreur de ça... je n'ai jamais pensé une seconde dans ma vie que tu n'étais qu'un connard qui ne pense qu'à sa gueule. Tu penses plus souvent à moi que tu ne penses à toi-même, c'est tout l'inverse ! Tu n'es juste pas dieu... tu as tes défauts, tes failles. Mais si seulement tu me laissais t'atteindre pour t'aider...

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✰ w/@Bambi C. Corleonesi

« Si c'est un peu le cas, mine de rien. » Cela fait partir de ses silences, qu'il le veuille ou non ... Bambi doute de lui. Il va devoir ramer pour qu'il arrête de penser qu'il est tout seul alors, que ce n'est plus le cas depuis huit mois. Il faut qu'il apprenne à dire ce qu'il découvre à Bambi dès qu'il apprend, c'est difficile pour lui puisqu'il n'a jamais été habitué à ça. « Je ne le fais pas exprès Bambi, c'est ça le pire ! » s'exprime-t-il en baissant la tête vers le sol. Ce n'est pas par gaieté de coeur qu'il est silencieux sur certains points avec sa compagne. Loin de là. La voix du jeune homme s'était apaisé parce que ça ne servait à rien de crier, la conversation ne mènerait nulle part. Puis, deuxième il faut préserver les jumeaux et l'état de santé de la mère, la compagne de Maxence. « Parce que jusqu'à présent, je ne voulais pas me l'avouer. J'étais dans le déni total. Je ne t'ai jamais prise pour une poupée qui sent bon ou d'autres conneries dans le genre. Sinon, je ne t'aurais pas fait deux enfants, je n'aurais pas voulu les assumer si c'était réellement le cas. » Maxence n'arrive pas à comprendre que la jeune femme puisse penser cela du jeune homme. Il n'en revient toujours pas. S'il s'en fichait d'elle, il ne serait pas là à essayer d'arranger les choses, il ne serait pas resté avec elle depuis huit mois. Ensuite, il lui avoue qu'il est un salopard égoïste, ce qui est la vérité. Il le sait au fond de lui. Il l'a toujours été malheureusement ... « Ce n'est pas de conneries ! C'est la vérité, à l'état pur. » reprit-il déterminé sur ce qu'il avance. « Si je le suis, sinon je t'aurais tout avoué bien avant que tu découvres tout. Je vais essayer de me laisser m'atteindre mais, ça prendra peut-être du temps ... » dit-il en ancrant son regard sur celui de sa petite-amie.

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Mais non ce n'est pas le cas ! Lorsque tu me dis que tu m'aimes, je n'en doute pas, lorsque tu me dis que tu rêves d'être papa, je n'en doute pas, ou que tu as hâte que les jumeaux naissent, non plus... ce n'est pas ta sincérité le problème, ni même tes sentiments, c'est ça que je souhaite que tu comprennes amore ! soupira-t-elle, souhaitant tellement que Maxence prenne confiance en lui, en ses sentiments, en leur couple pour redresser la tête et non la baisser comme il venait juste de le faire face à Bambi. Voilà qui effrayait l'italienne, car dieu seul savait ce qui pouvait se passer dans la tête du brun à l'heure actuelle... Max, je le sais que tu ne le fais pas exprès. Mais je t'aime... et je veux me battre pour notre couple. Je ne suis pas parfaite non plus, je n'ai pas forcément les bonnes réactions face aux problèmes... mais je me bats pour nous au même titre que tu te bats pour nous. Pour notre famille... murmura-t-elle avant de le serrer délicatement contre elle une fois qu'il eut ancré son regard dans celui, azuré, de la future maman. Eh bien cela prendra le temps que cela prendra... tu connais mon sentiment sur la chose, et je sais que je ne te demande pas quelque chose d'évident. J'aimerais tellement t'aider si tu savais...

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✰ w/@Bambi C. Corleonesi

J'ai énormément de mal à le comprendre. Puisque je n'ai pas été habitué à ce qu'on me le dise. Les autres femmes qui ont partagé la vie de Maxence ne lui ont jamais dit ses mots. Elles étaient tout le temps en train de lui faire des reproches. Même quand, il donnait des gestes d'affections, qu'il disait des mots doux. Rien n'était assez bien pour elle. Donc, c'est assez compliqué pour Maxence de comprendre ce que Bambi essaie de lui dire. Il a toujours été rabaissé toute sa vie, c'est dur pour un homme âgé de vingt-sept ans de changer du tout au tout. Même s'il a beaucoup changé il reste encore des miettes de son passé qui ne s'évaporent pas aussi facilement. Mais je me bats pour vous, sinon je n'aurais pas changé de métier parce que l'autre m'épuiser et que j'étais payé une misère. Je ne ferai pas autant d'heures supplémentaires pour pouvoir une fois l'accouchement fait pouvoir prendre des jours pour m'occuper d'eux et de toi. Je t'aime aussi Bambi, n'en doute jamais. dit-il en serrant fort sa compagne dans les bras tout en faisant attention à son ventre. Je me doute bien mon coeur. Et j'aimerais que tu m'aides aussi mais, c'est très difficile pour moi... étant donné que j'ai toujours été rabaissé dans ma vie !