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Dancing with the Devil {Salinger}

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"Parce que tu chasses dans ma ville ?" tu t'esclaffes en soupirant une fois de plus, ce garçon te désespère et pourtant ça t'arrive d'apprécier sa compagnie, surtout ce soir, puis tu n'as pas réellement envie d'te trouver en la présence d'autres personnes que lui. C'qui te surprends encore plus, c'est qu'au fond, t'es pas prête à le voir te faire un strip tease, ça fait des années que tu résistes à l'envie de lui sauter dessus, parce que ouais physiquement il t'attire. Psychologiquement vous vous ressemblez quelque part et c'est ça qui t'fout un peu la trouille, parce que tu n'sais pas c'que ça pourrait donner vous deux à part créer des étincelles.

Vous êtes tous les deux à fond concentrés sur vos machines à sous, c'est presque addictif et plus les pièces partent, plus vous en gagnez chacun de votre côté, enfin c'est l'impression que ça te donne, mais c'est surtout la suite de la conversation qui t'surprends un peu plus."Sors de ma tête tu veux ? J'dirais pas que j'irais au Texas mais quitter les États Unis pour faire le tour du monde pourquoi pas ? Enfin j'veux dire... depuis que j'suis née j'ai jamais quitté Boston. T'imagines, jamais !" Tu retiens un rire parce que c'qu'il rajoute juste après te donnes méchamment envie d'éclater de rire, c'est trop, surtout que t'imagines la scène.

"Noooon t'as pas le droit d'me déconcentrer triple andouille ! J'ai l'image dans la tête, ça me tue." C'est trop, t'éclates de rire, oubliant l'enjeu que tu as toi même proposé quelques minutes plus tôt. "Je t'avoue que moi... j'ai toujours de la lingerie sexy sous mes fringues..." suivi d'un clin d'œil taquin avant de remettre une pièce dans la machine. Rien. Tu t'retiens de mettre un coup de pied dedans, mais tu ne vas quand même pas détruire les biens du casino de Walsh.

"J'ai envie d'boire, pas toi ? Genre quelque chose de fort et cher. J'suis certaine que t'as accès aux cuisines et autres placards d'alcools du casino non ?"
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Sa ville ? Salinger ne releva pas sa bêtise. La pauvre, elle ne savait pas encore que Boston appartenait aux Walsh ? Mais comme Salinger était tout gentil, il la laissa croire pour ce soir que la ville lui était sienne. Le brun avait ensuite commencé à partir dans ses délires les plus fous. Enfin, ce n’était pas vraiment des délires, plutôt des rêves. Salinger était de plus en plus blasé de cet univers pervers. Il y avait certes pris goût et il était dorénavant ardu de s’en détacher, mais parfois, il aspirait à une vie plus paisible. D'ailleurs, il ne s’attendait pas à ce que Zelda ait à peu près les mêmes idées. « Eum… j’crois bien que moi aussi je ne suis jamais parti. Hé, j’dis qu’on a trop de points communs pour continuer à s’arracher moi ! » lui livra-t-il avant de faire une drôle de confession. Salinger était comme ça, entier et cru. Il ne cachait rien à personne. Ainsi, Zelda était au courant qu’il avait des boxers perforés et cela l’amusait grandement. Salinger abandonna la machine face à lui -ce qui était rare- et mémorisa son sourire. La jeune femme répliqua ensuite et l’américain ne put s’empêcher de laisser courir ses prunelles sur son corps tout en s’imaginant ses dessous « Arrête de balancer ça, pffff » râla-t-il tout en reprenant ses gestes répétitifs pour nourrir la machine. Son attention était désormais dirigée vers Zelda à ses côtés. Elle l’avait attisé et assez intrigué pour lui rendre le jeu insignifiant. Un court silence s’était instauré entre eux avant que la demoiselle ne le rompe pour le plus grand plaisir du brun. Salinger explosa de rire et manqua de se vautrer en arrière « T’as des goûts de luxe toi putain. Ouais j’ai accès à tout ici, allons-y… » Salinger abandonna sa machine et son sceau à moitié vide. Des rapaces viendraient sûrement le terminer et peut être rafler un beau pactole à sa place, tant pis. Partager du temps avec Zelda, c’était mieux que le pognon. « T’sais, il y a aussi tout ce qui faut en haut… » dit-il en relevant les yeux vers le plafond pour désigner son gigantesque appartement au dessus de leurs têtes. «  T’en fais pas, j’comprends que d’être en tête à tête avec moi pourrait fortement te perturber. » compléta-t-il en défonçant les portes battantes menant sur les cuisines du casino. Il salua le personnel qui s’affairait là-dedans et s’enfonça dans une pièce parallèle qui elle était déserte. Il ouvrit ensuite une porte blindée qui menait sur une cave extrêmement moderne « On a un peu de tout, fais toi plaisir. C’pas de la merde, regarde les dates » lui confia-t-il en se faufilant à l’intérieur sous la lumière des néons orangés. Il referma aussitôt derrière lui et partit s’installer dans un bureau attenant à la cave. Pour cela, il tapa un code à quatre chiffre et ouvrit la porte. C'était un lieu réservé aux hommes ici. Son père y faisait quelques fois des affaires avec des clients sophistiqués, mais la plupart du temps, c'était surtout pour se défoncer en solo. Ce casino était truffé de ce type d’endroits mystérieux. Des pièces secrètes qui donnaient sur d’autres pièces secrètes. Assis derrière un imposant bureau en bois, Salinger déroba un cigare et l’enfonça dans sa bouche pendant que son invité se baladait dans les rayons de bouteilles « Tu me dis quand t’as fait ton choix heeeein ? Parce que je vais devoir expliquer à mon père comment une de ses précieuses bouteilles aura disparu… Ça te montre pas à quel point j’suis aheum rien »
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Tu pensais mieux le connaître que ça mais en fait ce soir tu découvres une facette de sa personnalité qui ne te déplaît pas et c'est même assez surprenant, parce que ouais à force d'vous déchirer et d'être en éternelle compétition, t'as jamais vraiment pris le temps d'mieux le connaître. Enfin d'enterrer la hache de guerre le temps d'une soirée ça ne t'était jamais venu à l'esprit, alors ouais, en fait cette soirée est plutôt agréable.
"Sérieux ? Ça m'fait bizarre qu'on se confie comme ça l'un à l'autre. D'habitude on se balance toujours des horreurs mais là je t'avoue que de découvrir des trucs sur toi j'trouve ça... agréable."

Tu lui souris, plus tendrement qu'autre chose, oubliée la petite guerre entre vos deux familles l'espace de quelques secondes, et limite ton cœur qui rate un battement, c'est quoi ce délire ? Pourquoi est-ce que t'es en train d'rougir pendant que tu le regardes, pendant qu'il semble totalement concentré sur sa machine à sous ?

Mais à son tour c'est lui qui éclate de rire quand tu lui parles de boire un truc cher et fort "Bah ouais qu'est-ce t'as cru ? Que je buvais d'la piquette ou quoi ? Mon pauvre t'es pas rendu avec moi." Mais son rire t'fais chaud au cœur, c'est étonnant même comme sensation, mais tu préfères ne rien rajouter d'autre sinon il en profitera pour t'emmerder comme il sait si bien le faire. "C'est pas simple d'me perturber met toi ça dans la tête Walsh." C'est faux, là ouais t'imaginer toute seule avec lui dans sa piaule, ça commence à t'donner des bouffées de chaleur et tu pensais que ça allait être désagréable alors que pas du tout. Tu abandonnes à ton tour ton seau, il reste à peine quelques pièces tout comme pour celui de Salinger, mais tu t'en fous ce n'est pas ça qui va ruiner ta soirée.

Les cuisines dépassées, des bonsoir polis adressés aux cuisiniers, tu continue de suivre Walsh jusqu'à une autre pièce vide pour le coup, pour vous retrouver ensuite dans une cave moderne. "La classe ! Ça rigole pas chez les Walsh." tu fais, surprise en lâchant un sifflement, ouais c'est vraiment une bonne surprise. Du coup tu déambules dans la cave, à la recherche d'une bonne bouteille, rejoignant ensuite Salinger avec une bonne bouteille de Whisky.
"J'ai jeté mon dévolu sur celle là. On va s'la boire ailleurs ? " tu lui demandes, les joues légèrement rouges.
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Pour cette nouvelle année, Salinger voulait arrêter de se cacher derrière une image qui n’était pas la sienne. L’animosité entre les Clover et les Walsh pouvait diminuer et s’arranger, il en était persuadé. Ouais, Salinger était sûrement trop naïf et cela lui coûterait probablement beaucoup dans les mois à venir. En effet, le brun n’allait pas pouvoir rester inerte face à Zelda. Elle lui plaisait depuis qu’elle était gamine et qu’elle lui foutait des raclées. Salinger avait donc partiellement abaissé ses défenses ce soir, il voulait lui montrer qui il était vraiment au fond. Et apparemment, cela marchait plutôt bien. L’américaine lui faisait tourner la tête et ce crétin était vraiment prêt à tout pour elle. Cela devenait même trop visible. Salinger lui avait ouvert sa cave de luxe, rien que pour ses beaux yeux et son petit cul. Il la laissa déambuler dans les couloirs tandis qu’il fauchait un cigare cubain de son père. « Du Whisky ? Okay, c’est l’heure de te montrer mon royaume on dirait bien » siffla-t-il fièrement entre ses dents tout en attrapant la bouteille. Il la glissa sous sa veste ainsi que son cigare et sortit de la pièce insonorisée avec la demoiselle. « Va appeler l’ascenseur Clover ! » lui proposa-t-il en fermant correctement derrière lui. Il rattrapa ensuite la jeune femme et rentra dans la cage à ses côtés. « Je t’en prie, appuie sur le dernier bouton là » Salinger laissa faire Zelda et bien entendu, pour éviter que tout curieux ne grimpe sans cesse à son étage, il dût entrer un code supplémentaire à six chiffres pour débloquer l’ascenseur. Enfin enfermés là-dedans, le brun sortit la bouteille de sa planque et leva les yeux au plafond. « C’est toujours gênant ces musiques tu trouves pas ? Ça me donne envie de baiser moi » la taquina-t-il en la regardant du coin de l’oeil, par dessus son épaule « Dommage que tu n’aies pas apporter ton mailloooot, j’ai la piscine chauffée sur le toit » rajouta-t-il avant que les portes ne s’ouvrent devant eux et leur offre le palace absolu de l’Equinox. « Après vous ma chère… Faites comme chez vous ! » Salinger jeta ses pompes sur le carrelage et déposa le Whisky sur le comptoir de la cuisine. Il continua ensuite son chemin et s’arrêta devant le large panneaux de baies vitrées qui donnait sur sa terrasse privée. Il appuya sur un bouton du mur et tout s’éclaira à l’extérieur, dont la piscine. L’américain était fier de ce bijou dans lequel il vivait. C’était sa maison, son cocon, peu de personnes étaient invitées jusqu’ici. Il revint par la suite sur ses pas et ouvrit la bouteille. Il sortit deux verres et déversa le nectar à l’intérieur. Salinger venait quand même de quitter sa propre fête. Il tendit le verre à la demoiselle et fit tinter le sien contre « Bonne année 2018 ! À nous, à nos familles et à cette trêve » dit-il avec un sourire malicieux avant de porter son verre à ses lèvres, les yeux noyés dans ceux de son hôte. Zelda était belle, enivrante et désarmante. S’il continuait de la fixer aussi intensément, elle allait se rendre compte que cette lueur dans ses yeux reflétait indéniablement son attirance pour elle.  
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T'as pas choisi la bouteille la moins chère, mais t'es une amoureuse du Whisky et c'est un d'tes plaisirs interdits, enfin dit comme ça ça peut paraître un peu stupide, mais c'est vrai, un bon verre de whisky parfois après une longue journée de boulot ça fait pas d'mal. Tu dois être l'une des rares femmes de ton âge à apprécier cet alcool, si ta grand-mère n'avait pas fait son business dans la drogue, toi t'aurais opté pour le trafic du meilleur whisky écossais. Et y'aurait pas eu toute cette guerre entre les deux familles, entre Walsh et toi, et avec un peu de chance vous auriez pu combiner vos deux business en un, peut-être qu'avec ça ça aurait beaucoup plus simple entre vous... Parce que... que tu le veuilles ou non, tu as fini par t'attacher à lui, c'est bête mais c'est comme ça, c'est un truc que t'as pas su contrôler, et qu'avec tout ça t'es persuadée d'foncer tout droit dans un mur sans même avoir l'temps d'lui dire c'que tu ressens pour lui...

Appeler l'ascenseur voilà c'que t'es en train de faire alors que vous quittez la cave privée de Walsh senior très probablement, et Salinger qui planque la bouteille sous sa veste. Un vrai mauvais garçon. Ça t'fait sourire même.
"T'as peur d'te faire choper par ton paternel ou quoi ?" tu demandes taquine alors que l'ascenseur arrive enfin, et vous voilà à l'intérieur de la cage métallique. T'as jamais vraiment été à l'aise là dedans, même dans ton immeuble tu fais pas la maligne dans l'ascenseur mais tu ne veux pas que Walsh s'en rende compte alors t'essaies d'vite oublier les sueurs froides qui pointent le bout de leur nez. La petite vanne de Salinger arrive à t'faire oublier ton malaise, heureusement qu'il est là lui.
"Tu peux pas t'en empêcher hein ? De sortir des conneries toutes les deux minutes ? Et puis... pas besoin de maillot de bain alors que j'ai des sous vêtements sexy sous cette robe." tu le provoques à ton tour, lorsque vous arrivez enfin tout en haut, au dernier étage du casino, directement dans l'appart de Walsh.

"Waouh." tu fais agréablement surprise en admirant ensuite la vue près des baies vitrées, la terrasse privée s'éclairant au même moment. Tu attrapes ensuite le verre qu'il te tends, trinquant avec plaisir avec lui, "Bonne année à toi aussi Salinger..." Pas de Pringles, de Flipper ni de Walsh, ce soir c'est juste Salinger. Salinger qui te dévores du regard, Salinger dont ses yeux dont ce regard te trouble plus que d'habitude... Tu trempes délicatement tes lèvres dans le whisky, tellement bon, ce goût que tu apprécies tout particulièrement, alors que tes yeux bleus sont hypnotisés par ceux de Walsh.

"Quoi ? J'ai un truc sur le visage ?" tu finis par lui demander, encore perturbée par ce regard, tes yeux qui se détournent des siens, fixant la piscine, te tournant ensuite pour être dos à Salinger. "Tu m'aides à ouvrir la fermeture de ma robe ? J'ai envie de piquer une tête." tu rajoutes, relevant ensuite tes cheveux.
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Il avait beau faire le malin, Salinger ne la ramenait jamais ou peu devant son géniteur. Zelda n’avait pas totalement tort, mais hors de question qu’elle le devine ! C’était tout de même peut être trop tard. « Ouaaaais ! Mon père me couperait une oreille ! Je dirais que c’est ma soeur » lui avoua-t-il en gloussant cette fois-ci comme une pintade. Tous les deux grimpèrent ensuite dans l’ascenseur et le brun ne put s’empêcher un commentaire douteux sur la musique qui se jouait. Il invita même la jolie Clover à prendre un bain dans sa piscine chauffée, enfin si elle avait eu le maillot adéquat. Vraisemblablement, la jeune femme n’en avait pas besoin et cette précision raviva les désirs obscurs de l’américain posté à ses côtés. « Hein ? » beugua-t-il pile au moment où l’ascenseur s’ouvrit. Empourpré, Salinger pénétra dans sa demeure et entendit la belle s’émerveiller dans son dos. Salinger esquissa un sourire étincelant dans la pénombre et revint vers elle pour trinquer à cette nouvelle année qui démarrait fort. Les yeux bleus lagons de la jeune femme brillaient dans l’obscurité, Salinger en était tout retourné. Il n’arrivait plus à changer de trajectoire, ses pupilles étaient obsédées par sa beauté fatale. Zelda s’en rendit compte et le brun secoua sa tête en roulant des yeux « T’as rien, juste ta tronche de merde habituelle » se força-t-il à baver avant qu’elle se retourne promptement pour lui offrir sa chute de reins enveloppée dans sa robe. Salinger s’affola sur place avec son verre et mit plusieurs secondes avant de planifier ses actions. Maladroitement, il reposa son verre sur le comptoir et fit un saut de biche pour se rapprocher de la demoiselle. Hésitant, il attrapa la fermeture à éclair et la fit coulisser lentement le long de la colonne de Zelda. Plus il tirait vers le bas, plus le corps de mannequin de son ennemie lui apparaissait. Salinger avala péniblement sa salive quand il eut terminé et se recula d’un pas, comme si ce rapprochement n’avait eu aucun effet sur lui « Te voilà presque libre poupée !  » s’exclama-t-il en déboutonnant sa chemise pour éventuellement la suivre. Il retira la cravate qui l’étranglait et dégrafa son pantalon. « J’peux au moins t’accompagner dans ma propre piscine ? Tu ne vas pas crier au scandale sexuel hein ? » l’interrogea-t-il en gigotant pour faire descendre son fute en bas de ses pieds. « Ptin, les pompes, j’oublie toujours d’enlever les chaussures avant les pantalons » commenta-t-il en se baissant pour dénouer ses lacets. Il manqua alors de se viander et se rattrapa de justesse à la jeune femme à ses côtés. En relevant ses yeux malicieux, il se rendit compte que sa main était sur la fesse de Zelda. « Ah merde, excuse » Salinger ôta aussitôt sa paluche et termina de se déshabiller tout en essayant de ne pas trop loucher sur les formes de l’américaine. Il disparut ensuite dans la salle de bain et ramena deux gros peignoirs qui leur serviraient à coup sûr en sortant du bassin. La neige recouvrait quasiment toute la terrasse, le temps qu’ils plongent, ils allaient quand même se transformer en glaçon « T’es prête ? » lui demanda-t-il en tirant sur la baie vitrée pour s’extraire de la piaule. Il laissa ensuite la demoiselle faire de même et referma derrière lui, jetant les peignoirs sur des transats congelés « Vite vite vite !!! Je vais perdre mes couilles dans l’histoire ! » cria-t-il en courant comme un espèce de pingouin. Il sauta sans réfléchir dans la flotte turquoise et sa peau se réchauffa instantanément. Remontant à la surface en moins de deux, il chercha sa complice qui l'avait aussi suivi dans sa lingerie. Zelda ressortit quelques secondes plus tard de l’eau, toujours aussi ensorcelante. Salinger sentit son coeur se ralentir. Hypnotisé, il se rapprocha d’elle et commença à lui tourner autour comme un requin affamé avec une tronche de pervers « Tu ressembles à une sirène. J’crois que je te l’ai jamais dit Zelda, mais je te trouve très jolie comme fille. T’as beau faire la dur à cuire, tremper dans des trucs pas clairs, t’es belle dehors et dedans, j’le sais. T’as pas eu une vie facile et tu t’en es plutôt bien sortie je trouve. » lui déclara-t-il sincèrement, oubliant les querelles familiales. Cependant, il s’attendait déjà à ce qu’elle le détruise ou réduise ses compliments à néant. « J’pense ce que je dis, ne me dis pas d’arrêter de déconner ou que je devrais freiner la boisson et la coke ! Tu prends ce que je te dis et tu te tais ok ? »  
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Dans cette cage métallique c'est vrai que la musique en fond sonore se prêtait bien à une partie de jambes en l'air, mais lui et toi, vous êtes encore loin de tout ça, du moins pour l'moment, vous venez tout juste d'enterrer plus ou moins la hache de guerre. Pour ce soir. Et si...et si après cette soirée ça redevient comme avant ? Et si vous vous arrachiez comme avant ? Et si lui et toi c'était foutu d'avance, comme si vous étiez maudits, ouais comme ces deux pauvres âmes Roméo et Juliette, que tout les séparaient, leur noms de familles, et tout le tralala pour finalement se retrouver dans la mort. Morbide hein ?

Tu veux pas d'ça avec Salinger, tu veux pas d'problèmes avec lui, tu veux pouvoir prendre ton courage à deux mains et lui dire que depuis qu't'es gosse t'es attirée par lui, que personne ne lui arrive à la hauteur à lui et son caractère de merde qui t'plaît pourtant chaque jour de plus en plus. T'es atteinte. Ou complètement mordue et ça t'fout la trouille. C'est la première fois d'ailleurs que ça t'arrive vraiment, c'est la première fois qu'il te propose d'venir dans son appart', dans sa piaule, que tu découvres un peu plus son monde ce soir et étrangement c'est très loin de te déplaire. Au contraire. Tu t'imagines t'réveiller parfois à ses côtés, d'porter ses chemises parce que t'as pas pris d'pyjama, rien qu'une chemise et qu'il pourrait même apprécier la vue de tes gambettes toutes fines, ou alors... Vous deux seuls au monde dans votre ranch, lui à jouer aux cowboys un peu macho mais attendrissant et toi la petite fermière sexy mais pas trop, rien que pour lui et personne d'autre.

T'es perdue dans tes pensées quand tu lui demande de t'aider à baisser la fermeture éclaire de ta robe, t'aurais très bien pu le faire toute seule mais ce soir t'as envie d'sentir ses mains sur ta peau, rien que pour vérifier si elles sont douces. Si tu pourrais y prendre goût. C'est presque électrique c'que tu ressens, même si tu n'arrives pas à mettre des mots dessus, sa voix t'fait étrangement frissonner.

"Merci Salinger..." si seulement il pouvait t'voir rougir là... quoi que tu n'sais pas trop comment tu réagirais s'il te voyait rouge écarlate. Quand tu t'tournes vers lui et qu'il vire déjà ses fringues, t'es un peu surprise, surtout que ça remplace un peu le strip que l'un de vous deux aurait dû faire à l'autre mais là c'est donnant donnant des deux côtés.

"Jeeee... Bien sûr t'es chez toi hein... Fais gaffe!" sa main sur ta fesse. Vous auriez pas enterré la hache de guerre quelques minutes plus tôt il se serait peut-être pris une claque. Mais là...
"C'est...c'est rien..." T'es en train de rougir à coup sûr. Inconsciemment tu t'mords la lèvre inférieure le fixant alors qu'il s'tient en caleçon devant toi, et que... Mon dieu il est terriblement sexy. Et bien foutu. Tu l'mattes malgré toi.

"Prête !" tu l'suis, en faisant quand même gaffe de ne pas glisser et juste après lui tu sautes dans l'eau chaude, c'est super agréable et magique à la fois avec les quelques flocons qui tombent du ciel.
"J'devrais revenir souvent rien que pour profiter d'la piscine chauffée." tu t'exclame en sortant la tête de l'eau alors qu'il nage autour de toi, tu t'sens complètement vulnérable là, si proche et si loin d'lui à la fois que c'en est frustrant.
Mais la suite... "Quoi ?" comme si tu avais mal entendu, mais non, il t'as bel et bien complimentée, ça ressemble même... à une déclaration que ça t'chamboule. Tu sentirais même les larmes t'monter aux yeux, ptêt à cause des flocons qui tombent sur vos têtes, mais non. C'est parce que c'qu'il vient d'te dire, personne d'autre ne te l'as jamais dit. C'est la première fois qu'on te dit ça et ça vient d'lui... "J'ai rien dit. J'me tais promis." tu souris bêtement l'éclaboussant au passage, alors que tu décides d'te rapprocher à ton tour d'lui, un sourire joueur sur tes lèvres, qui...frôlent les siennes dangereusement avant d't'appuyer sur lui pour essayer d'le faire couler.
"Mermaid attack !!!" tu gueules avant d'lui sauter dessus.
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En temps normal, Salinger n’était pas pudique. Cependant, ce soir, c’était bien différent. Se retrouver quasiment nu devant Zelda Clover était perturbant, il fallait l’avouer. Accumulant les maladresses, le brun avait finalement réussi à entraîner la jeune femme dans sa piscine chauffée surplombant Boston. « Tu es la bienvenue tant que tu ne fourres pas ton nez là où il ne faut pas » lui répondit-il avant de se lancer dans quelques confessions lourdes de sens. Salinger voulait lui montrer son affection, et surtout sa faiblesse à son encontre. La neige fondait sur son crâne ruisselant pendant qu’il jaugeait les réactions de la demoiselle. Aucune. Elle n’en avait eu quasiment aucune. L’américain s’en doutait, il n’en attendait de toute façon pas en retour. Elle était trop bien pour lui et appartenant surtout à une famille qui ne pourrait jamais s’unir à la sienne. C’était peine perdue, il avait au moins essayé et il était fixé. Zelda n’était pas aussi réceptive à lui qu’il était envers elle. Elle l’éclaboussa ensuite et vint dangereusement se coller à lui, tentant de le noyer « La Mermaid elle va plus jamais revoir la surface si elle continue !! » cria-t-il en empoignant ses hanches sous l’eau. « Regarde ce que tu fais ! Tu… tu dévies du sujet en m’attaquant, t’as toujours fait ça » souffla-t-il pas content en la lâchant pour reculer tout en lui envoyant un torrent de flotte au visage avec ses jambes « Tiens mange ça espèce de poissirène » dit-il en explosant de rire. Légèrement frustré de n’avoir aucun retour, le brun se retourna et partit s’accouder à l’opposé de la piscine, le regard rivé sur les quelques buildings alentours qu’il apercevait à travers les barrières vitrées entourant la terrasse. « C’est dommage, j’aurais dû prendre la bouteille… » articula-t-il nonchalamment sans savoir ce que fabriquait son invité dans son dos. Ouais, parce que là, après s'être légèrement dénudé émotionnellement, Salinger se sentait mal à l'aise.
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T’es chamboulée par c’qu’il vient d’t’avouer, ça ressemblait clairement à une déclaration, mais avec Salinger t’es jamais sûre de rien avec lui. Et c’est frustrant, mais il avait tout d’même l’air sincère et c’est ça qui a fait que tu n’trouvais pas les bons mots. Tu n’voulais en aucun cas le vexer, bien que ça ait eu l’effet contraire, alors ouais forcément tu t’sens bête pour le coup, ce n’était pas c’que tu voulais. Tu t’manges à ton tour de la flotte sur le visage, mais les cheveux remis correctement pour qu’ils ne cachent pas ta vue, v’là qu’il est déjà parti à l’opposé d’la piscine, à l’opposé d’toi.
« Walsh… » ton cœur se serre quand tu l’entends dire qu’il aurait dû prendre la bouteille, c’est limite vexant, qu’il préfère l’alcool à toi, mais eh, tu ne peux pas le blâmer.

« Boude pas. » tu as fini par le rejoindre là où il s’est accoudé, faisant glisser tendrement tes doigts dans ses cheveux mouillés, « Quoi que… j’t’avouerais que t’es mignon quand tu boudes. Tu veux savoir un truc ? C’que tu viens d’me dire là, à l’instant… ça m’a chamboulée. T’es la première personne à m’dire quelque chose comme ça, à vraiment m’comprendre… » Tu n’sais pas comment t’y prendre avec lui, c’est frustrant ça aussi, mais tu n’peux pas continuellement nier le fait qu’il attire. « Hey… Pringles. » tu attrapes son visage pour le forcer à t’regarder, tes doigts qui glissent doucement sur son visage si parfait, qui découvrent la forme de ses lèvres, petit à petit. « Tu t’rends pas compte à quel point t’es exceptionnel toi aussi, à quel point t’as du courage d’suivre tes études et d’gérer le business familial à la fois… Rien que pour ça j’te respecte, mais j’veux pas que t’aies l’habitude que j’te sorte des trucs comme ça. » tu lui tires la langue pour finir ta tirade avant d’lui voler un baiser.
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Était-ce une manière de la tester ? Ou était-il vraiment déçu de la distance que maintenait la jeune femme ? Salinger ne savait que très mal gérer la frustration. Il s’était alors réfugié au bout de la piscine en sentant son coeur se rétrécir dans sa poitrine. Le panorama était à couper le souffle. Ses yeux foncés se noyaient dans cette immensité lumineuse quand il sentit tout à coup les doigts de Zelda se faufilant dans ses cheveux. Salinger l’écouta d’une oreille en restant concentré sur l’horizon. Il allait chialer le con, c’était un grand sensible au fond. L’américaine le força ensuite à tourner son visage vers elle et laissa courir ses mains sur sa peau humide, sur ses lèvres frissonnantes. Le brun se sentait minuscule, ce n’était pourtant pas la première fois qu’une fille l’approchait de si près, mais là, ce n’était pas n’importe quelle fille. Salinger fronça ses sourcils en l’entendant le complimenter et sans réellement comprendre ce qui lui arrivait, il sentit les lèvres de la demoiselle se plaquer contre les siennes pour un baiser furtif « Hmm wouah » Il passa ses doigts sur sa bouche pour réveiller cette zone ponctuellement anesthésiée. Ouais, c’était bien vrai, Zelda Clover l’avait embrassé, il n’hallucinait pas « Pourquoi tu ne veux pas que j’ai l’habitude ? Je la prendrais bien cette habitude… Que tu le fasses ou pas, j’serais toujours aussi chiant avec toi tu sais… » Salinger dégagea quelques mèches des cheveux de l’américaine et la regarda en souriant tendrement « C’est rien Zelda, tu as succombé à la perfection, c’est compréhensible » la charria-t-il en explosant de rire. « J’ai quand même abandonné ma soirée pour toi, demain, tout le monde va se demander ce qu’on a fabriqué tous les deux… » Le brun remua ses sourcils et enlaça  rapidement sa taille pour la ramener contre lui « J’dirais que tu as tenté d’abuser de moi et que je n’étais pas contre hein ? » Salinger captura les lèvres de Zelda à son tour et la délivra pour sortir de la piscine à toute allure. Il s’enveloppa de son peignoir et fit signe à la jeune femme de faire de même « Dépêche ! Tu veux dormir ici ce soir ? » lui demanda-t-il en grelottant près de la baie vitrée.
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