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I can't standing right here... (meathur)

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Meadow avait essayé de toutes ses forces de fuir Arthur depuis que leur bêtise était arrivée. Jamais ô grand jamais elle n'aurait pensé tomber dans ses bras dans un moment de désespoir, de solitude et de ténèbres comme celui l'ayant poussée à agir de la sorte. Et depuis, fatalement, elle s'en voulait mortellement. La jolie espagnole l'évitait très soigneusement depuis lors, se contentant de lui souhaiter un joyeux noël et une bonne année par sms, point final. Leur amitié en prendrait très certainement un coup mais c'était un risque à prendre, étant donné que la brunette demeurait persuadée qu'une aveugle ne pouvait pas être heureuse. Elle plaçait donc toute son énergie à rendre la vie de sa petite soeur, Brianna, aussi lumineuse que possible, s'oubliant au passage. Qu'importe. Si son bijou vivait une belle vie, alors rien d'autre n'importait. Sauf qu'en cette soirée, la fillette elle-même avait fait en sorte que le prince et la marquise soient réunis dans la même pièce avant de s'échapper pour jouer avec ses cadeaux. Petit démon... à savoir qui l'a élevée tiens ! soupira-t-elle en secouant la tête de droite à gauche, n'osant pas relever son regard azur vers Arthur. Elle ne pouvait pas le voir mais reconnaissait son parfum d'ici, cette odeur musquée si agréable qui chatouillait ses narines, bien qu'elle se défendait d'en sourire. En réflexe, elle remit ses lunettes de soleil sur le nez alors qu'il faisait sombre, déglutissant avec difficulté, sans bouger. Bonne année, hein... tenta-t-elle.
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Enfin rentré à la maison ! Sauf que ce n’était pas très facile pour toi de pénétrer dans l’enceinte de ta villa, sachant que Meadow serait là aussi et que dernièrement, entre vous, tout allait de travers… Les raisons de cette lente cassure ? Eh bien parce que vous aviez fini par faire une bêtise alors que votre cohabitation se passait relativement bien depuis le début et que malgré son côté tactile, du à sa malheureuse cécité, il n’y avait rien qui présageait votre bêtise… Fin voilà, vous n’aviez pas passé les fêtes alors que c’était prévu à la base ! En vrai, tu avais sauté sur l’ordre de ta mère pour que tu rentres illico presto chez toi pour Noël et le réveillon du 31 décembre. Cet ordre c’était dans le but de t’avoir au Palais afin de t’annoncer tes fiançailles avec Nova, la princesse de Norvège… La sœur jumelle de ton vieil ami d’enfance ! Du coup, tu te retrouvais dans la même pièce que Meadow, merci à Brianna qui avait fait en sorte que vous vous retrouviez ainsi, prétextant qu’elle voulait un câlin de vous deux, mais au lieu de cela, elle s’était aussitôt éclipsé dès que tes yeux tombèrent sur le joli visage de ta meilleure amie. Celle-ci s’était mise à soupirer. « Elle a bien préparé son coup » répondis-tu en souriant légèrement mais tu ne savais pas trop quoi dire de plus… Elle te souhaita finalement la bonne année. « Bonne année à toi aussi, chou » souris-tu avant de t’approcher et lui prendre doucement la main, pour que tu puisses l’emmener avec toi sur le canapé. « J’ai ton cadeau de Noël dans mes bagages. J’espère que tu as passé de bonnes fêtes ? »
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Meadow se contenta de hocher la tête, sachant pertinemment combien Brianna avait préparé son coup et d'où elle tenait ce tempérament manipulateur et retors. A croire qu'au bout du compte, la jolie espagnole n'ait pas été un si bon exemple que ça au fil des années... elle n'osa pas ajouté un mot de plus à ce sujet, sursautant légèrement alors qu'il prenait sa main, après qu'elle ait souri à son "bonne année" de circonstance. Ils n'avaient pas passé le réveillon du nouvel an ensemble, et pour cause, Arthur la fuyait tout autant qu'elle ne lui rendait la pareille. Elle accepta de se faire conduire jusqu'au canapé, toujours sans mot dire, avant d'éclater de rire. Impossible de faire autrement. T'étais pas obligé de m'offrir quelque chose tu sais... puis t'as eu le meilleur des cadeaux du monde, pas vrai ? T'es fraîchement fiancé maintenant, tu vas devenir un mari et tout le bordel haussa-t-elle les épaules, ne comprenant décidément pas comment on pouvait pousser son fils à épouser une nénette qu'il ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam. Tu me diras quand faudra que je déménage ? Que je m'organise, avec Brianna... je vais juste augmenter la fréquence de mes shootings pour mettre des sous de côtés, ça va le faire. Autant dire qu'elle avait ruminé la chose, la pauvre...
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Alors que tu rentrais à peine chez toi, la mignonne petite sœur de ta meilleure amie t’avait forcé à te retrouver dans le salon seul à seule avec Meadow. Oui seul à seule, puisque la petite fille s’était aussitôt envolée comme si elle avait des choses bien plus importantes à faire… Du coup, au lieu de t’enfuir comme d’habitude – c’était un peu ce que tu faisais depuis que vous aviez fait cette bêtise regrettable, même si vous aviez passé un agréable moment – tu attirais la jeune femme à toi pour qu’elle vienne s’installer sur le canapé avec toi, puis tu te mettais à parler. Sa réponse te laissa de marbre, tu ne t’attendais pas du tout à ce qu’elle te déballe d’un coup qu’elle était au courant pour tes fiançailles… Tu n’étais pas vraiment étonné, étant donné son titre de noblesse mais aussi parce que la Presse faisait un choux de tes fiançailles inattendues avec Nova, la princesse de Norvège. « Et moi qui voulais t’en parler personnellement… Merci la Presse et la Couronne de m’avoir devancé… Bref, pour ton cadeau, ça fait quelque temps que je l’ai acheté. Et c’est normal que je t’offre des cadeaux… J’en ai aussi pour Bri » dis-tu d’un ton calme gardant tes yeux braqués sur elle, même si elle ne pouvait malheureusement plus te voir depuis son accident lui ayant coûtée la vue. « C’est un cadeau empoisonné, ces fiançailles. Père l’a annoncé de but en blanc pendant le dîner du Réveillon de Noël… ça me fait chier ». Tu n’employais que très rarement des grossièretés mais quand tu le faisais, ça se remarquait tout de suite ton agacement. « Je ne veux pas que tu déménages. Vous restez ici… Je ne sais pas comment annuler ce mariage qui me pend au nez, mais une chose est sûre, ça ne m’empêchera pas de vivre ma vie. Je suis fiancé pour de raisons politiques, pas par amour ! ». Tu t’interrompis légèrement avant de poursuivre : « Pourquoi ne tenterais-tu pas l’aventure avec mon agence ? Ils recherchent de nouvelles mannequins et je pense que tu serais parfaite dans ce travail. ». Tu avais découvert qu’elle faisait des photos de charme mais tu n’avais rien dit, elle était libre de faire ce qu’elle voulait. Tu te doutais qu’elle faisait cela afin de subvenir aux besoins de sa petite sœur etc… Tu l’admires vraiment pour son courage alors qu’elle avait tous les malheurs du monde.
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Le calme qu'affichait Meadow n'était véritablement que d'apparence. Cette nouvelle l'avait chamboulée puisque effectivement, Arthur n'avait pas été en mesure de la lui apprendre lui-même. Le pire dans tout ça, c'était bien de ne pas pouvoir capter l'expression de son visage à cet instant précis. Cela la frustrait au delà des mots, bien qu'elle n'en dise rien et que ses propres traits n'en laissent rien paraître. Franchement, tu pensais réellement qu'une telle bombe allait sagement attendre que tu me reviennes pour avoir la chance de me l'annoncer toi-même ? Aucune chance ! Les journalistes n'attendaient sûrement que ça pour en faire leurs choux gras ! soupira-t-elle en haussant les épaules. En bonne espagnole pure souche, la demoiselle se trouvait aussi butée qu'un bélier, refusant d'entendre tout argument en la matière étant donné qu'à ses yeux, un mari et une femme vivaient forcément ensemble. Elle arqua néanmoins un sourcil de surprise et laissa échapper un bref rire, alors que son meilleur ami jouait la carte de la grossièreté. Voilà bien une première ! Eh beh... se mordilla-t-elle la lèvre inférieure de façon sexy, sans s'en rendre compte, pour s'empêcher d'éclater davantage de rire. Je crains fort que tu ne puisses pas annuler, justement. Mariage politique, joder... pardon. Disons qu'on est plus au dix-septième siècle, ce genre d'arrangement ne sert plus à rien étant donné que Monaco n'est pas en guère, le pays de ta princesse non plus... bref je ne sais même pas pourquoi je dis tout ça, aucune importance. Il n'empêche que tu es fiancé, que tu vas être obligé de la voir, et excuse-moi si je n'ai pas envie d'entendre des... enfin tu comprends ce que je veux dire ! secoua-t-elle la tête en rougissant légèrement. Il n'avait pas idée de ce que son ouïe et son toucher lui faisaient subir comme tourments, alors autant ne pas en rajouter. On peut très bien aller à la Quincy. C'est là où on étaient, avant... haussa-t-elle à nouveau les épaules avant de s'étonner de sa proposition, qui lui fit froncer subitement les sourcils. Tu es au courant que je fais des photos en lingerie fine, voire à moitié nue parce que ça paye mieux ? Pas sûr que ton agence soit de ce type là... même si ça m'arrive d'avoir des problèmes dans la mienne, tant que ça paye, je ne suis pas à plaindre !
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Alors que vous vous retrouviez dans la pièce à cause, ou plutôt grâce à Brianna qui avait eu la bonne idée de vous réunir, tu n’avais qu’une envie : en finir le plus vite possible avec votre discussion qui n’allait pas du tout dans le sens que tu voulais. En effet, tu espérais être la première personne à lui parler de tes fiançailles mais elle était déjà au courant et elle te balançait comme une grenade dégoupillée, ce qui te chagrina sincèrement. « Normalement, l’attaché de presse du Palais devait attendre mon feu vert mais il semblerait que Père ait mis la pression… Je voulais vraiment être face à toi pour t’annoncer ça. Je refusais que tu l’apprennes par téléphone » dis-tu d’un ton légèrement peiné mais tu n’avais pas le choix, elle était au courant de tout et ça t’obligeait même de recourir à la grossièreté, chose que tu ne faisais jamais d’ordinaire. En voyant ses petites mimiques, tu te doutais qu’elle s’efforçait de ne pas rire parce qu’elle était la mieux placée pour savoir que ce n’était pas du tout naturel pour toi d’employer des mots aussi vulgaires. Tu l’écoutas attentivement parler alors qu’elle donnait pleinement son avis sur ta situation. Elle avait pleinement raison sur le fait que votre mariage politique n’avait pas vraiment raison d’être, puisque Monaco et la Norvège étaient des Etats en paix et vous n’étiez plus dans les siècles derniers, sauf que c’était encore le quotidien des têtes couronnées. « Je n’ai pas vraiment d’obligation pour la voir tout le temps : ça sera surtout pour les événements officiels où on devra parader. Et comme tu le dis, il s’agit d’un arrangement entre nos Pères. Nos sentiments ne sont guère tenus compte, c’est pour cela que même si je respecte infiniment ma fiancée - c’est une bonne personne. Son frère jumeau étant mon meilleur ami d’enfance… Je ne me vois pas faire ce que tu penses tant que je n’en vois pas l’utilité. Je rejoindrais sa couche un jour pour engendrer un héritier mais pour le moment, c’est avec Brianna et toi que je vis. » conclues-tu ta petite tirade avant d’ajouter : « Non vous restez ici ! Vivre sur le campus, c’est bien un temps mais au final, tu n’as pas toute la liberté que tu souhaites. Votre présence donne de la vie à cette villa, donc s’il te plait Chaton, restes. ». Une fois cela fait, tu avais rebondi sur le fait qu’elle souhaitait gagner un peu plus d’argent en faisant encore plus de shootings. Tu savais qu’elle faisait des photos très osées mais tu n’allais pas la juger, néanmoins tu lui fis une proposition. Cela semblait l’étonner au possible. « Oui je suis au courant pour tes photos. » avouas-tu simplement avant d’ajouter : « Il y a bien une section de l’agence qui fait des photos en lingerie pour des marques comme Victoria’s Secrets. Ils recrutent de nouvelles mannequins et je pense que tu devrais postuler, tu en as l’étoffe. Comme Bri aussi, des fois elle ressemble à une Mini-Miss. »
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Meadow lâcha un petit soupir à l'idée que son meilleur ami ait voulu la prévenir sans y parvenir en premier. Tu me connais, je n'aurais pas été choquée de l'apprendre par téléphone... même si, profondément, je te plains admit-elle en toute franchise, car même si la jolie espagnole essayait de tout son cœur d'imaginer l'intérêt d'une telle union, elle ne la devinait pas. Cela lui échappait totalement, preuve que toute la royauté et les titres de noblesse n'avaient aucune prise sur elle, alors que la belle Quincy portait tout de même celui de Marquise. Point de grande valeur quant à ce fameux titre, puisque la fortune passée de sa famille avait totalement disparu. Mais, sans évoquer ce sujet - la mort de ses parents hantant encore et toujours ses pires cauchemars à l'heure actuelle - la demoiselle se concentra davantage sur les propos avancés par nul autre qu'Arthur. Mais vers la fin, Meadow se leva brusquement du sofa pour frotter ses oreilles, comme si ces dernières avaient été diablement choquées. Aaaaaaah non merci j'ai pas envie de t'imaginer "engendrer un hériter" baaaaah ! Putain on est au vingt-et unième siècle nom d'un chihuahua enragé ! s'exclama-t-elle, gardant sur son visage une vive grimace, ayant totalement occulté le reste. Le jeune homme cherchait à la faire rester à tout prix et pour être honnête, Meadow hésitait grandement. Certes, la vie sur le campus n'était pas idéale car blindée de règles, mais ce ne serait qu'en attendant de trouver mieux. Bree' donne de la vie ça c'est net ! Moi c'est moins évident... par contre je refuse que ma sœur soit photographiée, maquillée et prise pour une bête de foire ! J'ai promis à mes parents sur leur tombe que je prendrai soin d'elle et c'est ce que je vais faire. Moi je peux encaisser, je m'en fous de mon corps ou de moi. Des fois je ferme juste les yeux et je pense à l'Espagne... enfin pas pendant les shoots hein, mais quand je dois faire autre chose pour payer nos soins à l'hosto par exemple expliqua-t-elle avant de se mordiller la lèvre inférieure. Oublie ce que je viens de dire. On s'en fout de toute manière ! Tu te maries quand ? Que j'économise pour une robe potable... ah mais j'oubliais, je serais sûrement pas invitée, si ça se passe à Monaco... reprit-elle pour éviter toute question quant au fait qu'il lui arrivait de vendre son corps.
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« Je sais Dolly, mais je trouve que c’est un manque de respect envers l’autre personne de donner ce genre de nouvelle choquante par téléphone... » répondis-tu d’un ton peiné. Cette histoire était en train de bousiller un peu l’esprit depuis Noël, non pas que cela t’empêchait de vivre mais tu avais l’impression que tu ne pouvais plus rien contrôler. D’ordinaire, c’était toi qui gérais ta vie mais pour une fois, ton paternel te prouvait qu’il avait encore et toujours la main mise sur ton existence… Qu’importe, tu reprenais la parole pour expliquer clairement la situation à ta meilleure amie avant qu’elle ne se lève brusquement comme si elle était choquée par les termes que tu employais. Il était vrai que c’était un peu désuet de nos jours mais tu avais un « parler » qui sied à ton rang de Prince. « Je n’ai pas envie de l’imaginer non plus, tu sais… Ben c’est le terme qu’utilise mon Père quand il en parle. Le trône de Monaco doit rester dans la famille Grimaldi parce que nos chers cousins n’attendent que ça pour s’en emparer… Fin bref, c’est la pire des excuses possibles… » râlas-tu plus pour toi-même, mais tu l’avais dit à haute voix. Par la suite, tu lui parlais de ses qualités de mannequin, même si c’étaient des photos de charme. Tu insinuais également que sa petite sœur avait l’étoffe d’une Mini-Miss mais elle refusait tout net cette idée, ce qui te fit sourire. Tu te doutais qu’elle n’accepterait jamais de mettre Bree’ sous les feux des projecteurs et des flashs etc. Tu eus un rictus choqué en découvrant qu’elle vendait son corps parfois… Cela, tu ne le savais pas et tu n’aimais pas vraiment le fait de l’apprendre… Tu l’attirais contre toi, la mettant sur tes genoux et la calant bien pour qu’elle ne s’échappe pas. « Tu seras invitée Marquise Rojas, Mère t’avait acceptée lors de ta venue à Monaco lors des vacances d’Halloween… Mais ce mariage n’aura pas lieu avant quelques temps. Si je le pouvais, je le repousserais jusqu’à la fin de mes études… » dis-tu avec détermination. Tu allais mettre des bâtons dans les roues de ton Père pour bien lui montrer que tu n’étais pas d’accord avec son envie de te voir marié à une Princesse qu’il aurait choisi lui-même. « Quant à ce que je disais sur Bree’, je le disais comme ça sans arrière-pensée. Elle a tout d’une petite princesse mais je sais assez les effets néfastes des projecteurs braqués sur les enfants de son âge. Du coup, jamais, je n’oserais lui faire ça. ». Tu t’interrompis légèrement pour inspirer longuement avant d’embrayer ce qu’elle t’avait révélé à demi-mots :  « Laisses-moi m’occuper de tes frais médicaux, ça t’éviterait de faire… Je peux au moins te payer ça, parce que Dolly, j’ai vraiment eu peur de te perdre ce jour-là… ». Tu n’avais guère réussi à dire le mot, parce que ça te chagrinait qu’elle ait recours à ça. « Je ne veux pas que tu penses que je fais ça par pitié. Tu n’as pas à tout gérer toute seule, on vit ensemble et on est une équipe soudée. Tu sais que ton aide m’est précieuse, alors acceptes la mienne. »
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Meadow secoua négativement la tête. Non pas parce qu'Arthur l'appelait par ce surnom que lui seul employait, mais avant toute chose parce qu'il se comportait comme aucun autre. Nouvelle choquante... tu crois que j'aurais eu une crise cardiaque direct ? éclata-t-elle de rire sans pouvoir s'en empêcher, car après tout c'était trop drôle que d'imaginer le jeune homme s'en soucier à ce point. Ceci étant, le fait de l'imaginer rejoindre la couche de sa femme pour faire un héritier, ça, c'était choquant en soit. La jolie blonde s'en leva d'un bond d'ailleurs, réfutant même l'image que cela provoquait dans son esprit tourmenté. Et bien... te faire faire un gosse pour garder le trône, c'est culotté comme excuse ! M'enfin ce ne sont pas mes oignons. Considère que je n'ai rien dit reprit-elle en secouant la tête, s'en voulant presque d'avoir été trop loin. Cela n'empêcha pas son meilleur ami de s'approcher pour la prendre dans ses bras, incarnant la douceur même, l'appelant par ce titre que si peu connaissaient... hormis dans le monde qu'ils côtoyaient tous deux, sans nul doute. Ta mère est adorable. Et puis au moins je me souviens de son visage, c'est déjà un avantage ! se permit-elle en passant outre le fait qu'Arthur veuille repousser le mariage. Qui était-elle pour l'encourager ou le décourager ? Personne. Du moins ne s'estimait-elle être personne. Je fais tout ce que je peux pour la mettre à l'abri, au cas où il devait m'arriver quelque chose. Elle le sait, je lui parle beaucoup de ce qui se passe, je lui explique... elle est si intelligente et vive... ne pas pouvoir la voir, c'est... articula-t-elle avec difficulté. Arthur en profita pour reprendre de plus belle, proposant de payer ses frais médicaux, et Meadow leva la main pour en caresser sa joue, avec toute la délicatesse du monde. Non... on est une équipe soudée c'est vrai, mais c'est mon fardeau. Ma charge. Ma punition, peut-être... remarque, équipe soudée c'est vite dit, tu m'as fuit encore plus que moi la fois dernière remarqua-t-elle en se mordillant la lèvre inférieure, s'éloignant finalement, laissant comme un vide, un froid en retirant sa main. Puis... ce n'est pas comme si j'avais grand monde dans mon lit ou pour me conquérir, alors... c'est toujours mieux que rien, pas vrai ? Je n'ai pas tes arguments. Tu es capable de séduire d'un regard mais personne ne s'encombrerait d'une femme... comme moi. Je suis lucide. On m'a forcée à l'être. Après tout, tu as été le premier à me fuir après, pas vrai ? Au moins quand on me paye, je peux me révéler, montrer que je suis habile de mes dix doigts et je n'ai pas honte Arthur, parce que douée, je le suis. Je n'aurais pas mon conte de fées, et après ? Tant pis, tant mieux.
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« Je ne sais pas, vu que je n’ai pas appelé… » dis-tu calmement alors qu’elle se moquait un peu de toi en éclatant de rire de la sorte. Tu préférais tellement qu’elle rit que quand elle te fait la tête… Néanmoins votre conversation sur ton futur mariage te déprimait de plus en plus mais tu ne comptais pas l’arrêter, parce que c’était important que tu en discutes avec Meadow. Elle était la seule femme qui partageait réellement ta vie, même si vous n’étiez pas ensemble à proprement parler. Mais des inconnus pourraient croire cela surtout que votre proximité était si ambigüe… « Oui c’est culotté mais mon Père a toujours été comme ça. Il est de cette vieille génération de souverains en Europe qui mériteraient de partir à la retraite… Mais il n’abdiquera jamais, malheureusement. Et cesses de dire que ce ne sont pas tes oignons : ton avis est très important pour moi, tu le sais. » dis-tu en soupirant légèrement avant de la ramener sur tes genoux, pour ne plus la lâcher parce qu’elle fuyait trop là… « Elle se souvient bien de toi aussi. Elle m’a demandé de tes nouvelles d’ailleurs. Je ne savais pas si je devais lui parler de ton accident ou non… Mais elle sait que tu as eu des soucis et elle t’apporte son soutien par la pensée, pour reprendre ses mots » expliquas-tu en te remémorant les mots de ta mère lorsque vous aviez discuté de la jeune femme. Vous parliez maintenant de sa petite sœur et dans ses mots, tu ne pouvais pas nier tout cet amour qu’elle éprouvait pour sa charmante petite sœur. Tu te doutais qu’elle la protégerait coûte que coûte, que toute sa vie, elle l’utiliserait pour que Bree’ soit heureuse au détriment de son bonheur à elle. « C’est une fille incroyable, vous vivez des épreuves difficiles à comprendre pour le commun des mortels. Mais chaton, tu peux être fière de toi. Ta sœur va bien grâce à tous tes efforts. Tu sais que je l’adore ta petite sœur, je la considère comme telle aussi, du coup tu sais que tu n’es pas seule et que je serais là pour vous quoiqu’il arrive. » fis-tu la promesse avant d’embrayer sur le fait que tu voulais lui payer ses frais médicaux parce que c’était au moins ce que tu pouvais faire pour elle. Tu pouvais également essayer de trouver un remède pour sauver ses yeux mais tu savais que c’était peut-être peine perdue. Néanmoins, tu n’allais pas abandonner de sitôt, ça serait indigne de ta part. Bref elle refusait clairement que tu l’aides pour ses frais médicaux parce que c’était son fardeau comme elle le disait et elle ajoutait même que vous étiez peut-être soudés mais tu avais quand même fui après votre première fois ensemble. Ouille, ça faisait mal. Tu ne nierais pas mais pour le moment, tu la laissas parler alors qu’elle s’éloignait de nouveau. Lorsqu’elle termina de parler, tu inspiras profondément avant de te lever et faire ce que tu avais envie de faire depuis le début : l’embrasser… Tu aimais la douceur de ses lèvres contre les tiennes ; mais cet instant fugace se termina lorsque tu te mis à parler : « J’ai eu l’impression d’abuser de toi, Dolly… C’est pour ça que j’ai fui. J’ai aimé ce moment qu’on a partagé ensemble mais lorsqu’on a décidé de vivre ensemble, on n’avait pas parlé de ça. Tu es une très belle femme, n’importe quel homme serait charmé par toi… Ils sont juste bêtes de ne pas le remarquer. J’ai toujours refusé de faire de toi une amante juste pour t’avoir dans mon lit. J’avais honte de mon comportement, j’avais peur de te blesser en faisant ça. »
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