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LEO ASWORTH ► simon nessman

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Nom : Asworth. Un patronyme laissant deviner aussi aisément et à la manière de son accent prononcé ses origines. Un blaze comme un autre sur un annuaire, il sort pas du lot, non, loin de là, il se fond dans la masse, presque transparent. Ni papa ni maman n'en ont fait une renommée de ces sept lettres, laissant cet effort à leur fils, comme par facilité. ◇ Prénom : Leonard. Ça, ça en jette davantage. Il l'aime bien son prénom, Leonard. Pourtant, il a dû s'accoutumer au diminutif qu'on lui a attribué comme véritable nouveau prénom. Depuis qu'il est gosse, c'est Leo par-ci, Leo par-là. Plus court, plus frappant, plus commun. Lui-même il s'y est fait au fil du temps, et ce depuis lorsqu'il a commencé à remplacer Leonard par Leo sur ses copies à l'école. Sûrement par habitude. ◇ Âge : vous lui en donnerez peut-être cinq de plus ou de moins, mais sa belle gueule est déjà vieille de vingt-trois années. ◇ Date et lieu de naissance : l'enfant a vu le jour à Bath, une petite ville au sud-ouest de l'Angleterre, et cet événement, ses parents l'ont joyeusement accueilli le vingt-huit juillet de l'an 1994. ◇ Nationalité : britannique, british, rosbif, appelez-ça comme vous le voudrez. ◇ Orientation sexuelle : Leo, ce qui le fait vibrer, c'est les ondulations féminines, la sensualité dans les gestes amoureux d'une femme, la douceur de sa peau et la pureté de son visage. ◇ Statut amoureux : il n'a jamais eu réellement une copine à la hauteur de ses espérances. Fut un temps où il était éperdument amoureux, mais cette lueur s'est effacée pour ne laisser place qu'à de la noirceur. C'est pas un gars bien Leo. ◇ Statut social : papa et maman sans ambition. Respectivement jardinier et fondatrice d'une association caritative, ils n'ont jamais su gagner autant d'argent que les parents des petits camarades de Leo gagnaient. C'était toujours lui qui avait le moins de vêtements chers, le moins de présents et de babioles géniales à montrer à tous ses copains. Pourtant, papa et maman rendaient leur fils heureux comme ils le pouvaient, en le couvrant d'un amour indéfini et d'une éducation exemplaire en l'inscrivant malgré des moyens davantage limités dans les meilleures écoles qu'il soit. ◇ Études majeures : politiques ◇ Études mineures : relations internationales

Code:
Leo Asworth - vingt-trois ans - sixième année - politiques (M), relations internationales (m)

Leo Asworth
feat simon nessman

Student
Leo n'a envie d'appartenir à aucune des cases que propose l'université. Il préfère être sa propre catégorie, celle des indépendants, celle de ceux qui n'ont pas besoin d'être entourés pour être fort, pour être puissant, celle des gens de demain, qui pensent, qui croient, et qui finalement s'exécutent pour donner vie à leurs projets et à leurs rêves de gosse. Ouais, Leo, il voit les choses en grand.

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
J'étais à Yale à ce moment-là. Je menais ma nouvelle vie d'étudiant universitaire après avoir pleinement profité de la vie durant quelques années sabbatiques. Harvard a une renommée qui n'est plus à faire, alors, forcément, oui, j'en ai entendu parler. J'ai trouvé ça dingue, barbare, dégoûté de l'être humain et de ce qu'il est capable d'infliger à sa même espèce comme aux autres. Mais ça ne m'a pas empêché d'intégrer l'université bostonienne deux ans plus tard.

APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Une fois de plus, je me trouvais sur un autre coin du globe terrestre. Le Spring Break, je l'ai toujours fêté aux côtés de ma fidèle bande de potes. Pas forcément celle de Yale, là où j'étudiais toujours à l'époque, mais celle que je constitue depuis des années avec les mêmes amis, la bande qui se reconstitue à chaque événement à fêter. Je me dis que j'ai eu beaucoup de chance, car le Chili a été une possibilité de destination cette année-là.

TON ADMISSION À HARVARD
Étudier et exceller à l'école a toujours été une facilité. Je n'ai jamais eu besoin de redoubler d'effort pour rendre fiers mes parents, et ils me l'ont toujours rendus en me poussant vers l'avant et vers les portes des plus grandes et prestigieuses écoles. Contrairement à certains, ce n'est pas un compte en banque qui déborde qui m'a permis d'en arriver où j'en suis. Après m'être mis en tête de quitter Yale pour viser encore plus haut, j'ai passé les examens d'admission avec brio et ai fini par intégrer Harvard les mains dans les poches.

TELL US MORE

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pathetic fallacy et j'ai dix-neuf ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à un coin dans ma tête. ILH me manquait alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Simon hottest Nessman comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par spring bloom. Je fais environ 200-500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration
je veux être parrainé

Je recense mon avatar
si personnage inventé:
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7998]►[/url] ► <span class="pris">SIMON NESSMAN</span> ◊ “ Leo Asworth ”[/size]
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LIFE CONSIST OF SEVERAL ROUNDS
AND I'VE WON EACH OF THEM

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[...] L'enfance, c'est la première période de notre vie. Round one. C'est celle où on rencontre ses premiers amis, celle où on découvre, celle de nos premières bêtises, celle des premiers interdits bravés, celle où l'on observe puis apprend, celle de l'imitation, celle des premiers émois et des premiers pleurs. C'est pas la période qui nous marque ou celle dont on se souvient le plus. Pour certains, c'est seulement un amas de souffrance, un tas de connerie qu'on nous a raconté et une montagne d'illusions. Pour d'autres, c'est celle qu'on aurait aimé passé toute notre vie, celle qui de nos plus belles et premières rencontres. Heureux ou malheureux, déjà tout petit, on a des rêves, des ambitions naissantes. On s'imagine chanteur, astronaute, dresseur de dauphins, roi du monde, pilote de course, ou faire comme papa et maman. Ça change sans arrêt, ça fait rire, on trouve ça touchant et on soutient ces rêves d'enfant encore innocent. Et c'est ça qu'on regrette de notre enfance : pouvoir être ce que l'on veut.

L'adolescence, c'est la seconde période de notre vie. Round two. C'est celle où on commence à comprendre qui sont les amis qui resteront pour toute une vie à nos côtés mais aussi celle où on continue d'agrandir son cercle de connaissances. C'est celle où l'on brave des interdits plus interdits, celle où on a tendance à se rebeller, à envoyer chier le monde entier, celle des découvertes plus dangereuses, celle du changement, corporel ou mental, celle des premiers papillons et des premières désillusions. C'est celle qui commence à définir qui on est ; nos goûts, nos désirs, nos ambitions. On te met la pression, on te jette dans un flot de stress et d'angoisse, et c'est à toi d'apprendre à nager. C'est le moment de choisir ce que tu veux faire de ta vie : est-ce que tu veux la passer cloîtré dans une pièce à taper sur un clavier pour gagner trois bouchées de pain, ou est-ce que tu préfères être à la tête d'un grand empire à ton nom? Alors, certains hésitent, certains ont déjà abandonné, certains y croient dur comme fer. L'aiguille tourne, encore et toujours, sans arrêt, et toi t'es paumé, t'hésite entre gauche et droite, entre noir et blanc, soutenu ou pas, tu sais plus. Papa et maman qui mettent la pression, les yeux rivés sur le bulletin et leur incrédulité face aux ruines de tes ambitions.

L'âge adulte, c'est la troisième période de notre vie. Round three. Les choses sérieuses commencent. Plus le temps pour les gamineries, on a l"obligation de penser responsable, parce que maintenant, on se gère soi-même. Papa et maman qui nous entretiennent, ça ne doit être plus qu'un lointain souvenir. Les habitudes qui changent, un tas de nouveautés, la découverte de nouveaux horizons au sens propre comme au sens figuré. L'âge adulte, on le passe chacun à sa façon. On en fait une facilité ou on s'enfonce petit à petit. Mais l'enfance, putain, elle te manque. [...]


J'ai longtemps parcouru la ville, arpenté chacune de ses rues, chacun de ses recoins. J'ai fait de chaque mètre carré mon royaume. J'ai transformé chacun de ses endroits sombres un endroit pour me reposer. J'ai côtoyé la ville et j'en ai fait ma plus grande alliée. J'aurais pu cent fois en dépeindre l'entière carte les yeux fermés. Les parcs, les porches, les étendues de bitume ou de verdure, j'en ai fait mon terrain de jeu. Je l'ai partagée, bien entendu, mais mon nom, lui, a toujours ressorti du lot. Asworth n'a jamais été inconnu à l'oreille de quiconque. Lorsqu'on souhaitait découvrir un bout de paysage, lorsqu'on voulait s'adresser à un connaisseur, un vrai, on se tournait vers Leo, le petit prince de Bath. Mes parents, ils n'ont jamais été plein aux as. Loin de là. J'ai toujours vécu avec les plus simples commodités, grandissant avec le strict minimum de biens matériels, mais avec un amour qui suffisait à faire de moi un enfant heureux. Je n'ai jamais eu besoin de tout l'or du monde, loin de là, simplement de ce que j'avais déjà : un grand cercle d'amis, de l'affection et du respect donné sans modération. Je n'ai jamais connu le malheur ou la tristesse. Ma famille, elle a toujours eu cette certaine popularité. Les Asworth étaient les bons contacts à avoir à Bath. On les respectait. Des gens bienveillants, des gens influents. Aimés de tous, appréciés et souvent sollicités, que ce soit pour des repas mondains, des événements municipaux ou d'autres apparitions. Et ça, je l'ai compris très tôt. J'ai su au fil des années en jouer, faire évoluer mon statut pour m'élever aux sommets les plus prestigieux, les plus vertigineux, parce que jamais je n'ai reculé face à l'inconnu et la conquête qui en suit.



⌁⌁⌁


((( bath, été 2007 )))

« Eh, t'as vu la nouvelle ? » C'est une belle journée d'été. Le genre de journée où il est agréable de sortir. Le genre de journée qui donne envie de s’asseoir à la terrasse d'un bar et d'observer les gens passer en sirotant une boisson fraîche. Le soleil tape sur les toitures et sur les crânes, et comme à leur habitude, la bande de jeunes garçons s'est installée au bord de la fontaine, celle où passent les gens et s'y arrêtent quelque fois pour se rafraîchir. Leo lève haut les sourcils, et ses yeux suivent le mouvement par une forme toute ronde, celle de l'étonnement. Parce qu'en temps normal, c'est lui qui posait ce genre de question. Leo connait tout le petit peuple de sa ville, reconnait chacun de ses visages et les gens n'ont plus de mystère pour lui. « La nouvelle ? » Il n'a eu aucun retour sur l'arrivée d'une nouvelle personne, et ça, ça le frustre. Il aime être au courant de tout ce qu'il se passe à Bath. D'absolument tout, même de la dernière dispute du couple du quatrième étage. Il a beau creuser au fond de sa tête, il n'a pas connaissance de ce que venait du lui annoncer son ami. « À ce qu'il paraît, il y a une nouvelle fille qui a emménagé. J'ai entendu dire qu'elle viendrait à l'école à la rentrée. » Bath est une ville où les ragots circulent vite à l'époque et Leo s'en nourrit aigrement. Il est et a toujours été comme ça, il aime tout savoir, tout contrôler. Il hoche lentement la tête et son expression de stupeur retombe immédiatement. « Vous l'avez déjà vue vous ? » questionne-t-il en balayant sa bande de copains du regard, comme pour prendre en compte chacune de leur réponse. Mais personne ne l'a encore croisée, cette fille, et Leo sourit en coin. « Regardez le l'autre, on dirait qu'il est affamé ! » Et ils se mettent tous à rire, alors que lui, se contente de ne rien dire, le rire presque jaune, dirigeant simplement son regard sur ses baskets usées d'avoir trop marché. « Mais nan les gars, vous êtes cons. » soupire-t-il gentiment entre les rires de ses copains. Il essaye déjà de l'imaginer, l'impatience à l'idée de reprendre l'école pointant le bout de son nez.



((( quelque part autour du globe, 2013 )))

Il est accoudé au bar, courbé, faisant tourner le pied de sa flûte à champagne aussi vide que son regard fixant le néant, jusqu'à ce qu'un son extérieur proche vint le tirer de son sommeil éveillé. « Bonne soirée? » Douce voix, sensuelle, semblable à une mélodie qu'hélas, jamais auparavant il n'avait entendue. Il détourne les yeux, les posant sur la silhouette gracile de son interlocutrice tout aussi belle que le timbre de sa voix. « Et vous? » Il a ce petit sourire et le regard en coin qui fait toute sa malice et son charisme, il a jeté son dévolu sur sa nouvelle lubie, son défi de la soirée, il va la mettre dans sa poche, la mâcher et la recracher de la façon dont on jette un chewing-gum qui n'a plus aucune saveur. Ouais, c'est comme ça qu'il fonctionne maintenant, un gentil garçon qui se cherche devenu un véritable connard, et ça, par sa faute et la sienne seulement. « Pas assez d'alcool et de petit-fours si vous voulez vraiment mon avis. » Elle dissimule un petit rire derrière une expression sarcastique qu'il devine assez bien, chose qui ne fait qu’amplifier son sourire. Petit instant de silence sur fond de musique et de brouhaha mondain. « Et que fait une si belle femme seule au bar plutôt que d'être aux côtés de son homme? » Elle lève un sourcil, le regardant droit dans les yeux, avec cet air amusé qui l'étonne. « Sérieusement? » Elle reprend son rire de plus belle et secoue légèrement la tête. « Vous pensez réellement qu'une femme a besoin d'un homme pour pouvoir être à ce genre de soirée mondaine constituée de bobo attachés à leurs biens? Je pensais avoir affaire à quelqu'un de bien plus intelligent, mais vous avez visiblement les idées bien étroites. », soupire-t-elle, arrogante, attitude qui la rend bien plus attirante aux yeux de l'Asworth surpris. Agréablement surpris, et cette tacle le séduit davantage. « Je dois dire que vous m'impressionnez là. Vous êtes sûrement la seule femme qui ne m'ait pas encore demandé le montant de mon compte en banque. » Elle se rapproche, lentement, le regard de braise, laissant traîner le bout de ses doigts le long du marbre du comptoir, approchant ses lèvres maquillées à l'oreille du jeune homme pour mieux susurrer « J'ai en face de moi quelque chose de bien plus intéressant qu'un chiffre. Et vous serez étonné de découvrir la personne qui se dresse à votre droite, là, maintenant. » Elle effleure son torse habillé d'un costume avec sa main avant de s'éloigner, l'allure sûre, Leo ne la quittant pas des yeux avant qu'elle ne disparaisse complètement au détour d'un couloir. Jeune femme aux mille et un mystères, visage qu'il n'oubliera pas, femme qu'il n'allait pas laisser filer, s'étant déjà mis en tête de la retrouver quoi qu'il n'en coûte. Elle est apparue comme une rose parmi les orties et s'est échappée, ne laissant qu'une traînée de poussière d'étoile derrière elle en guise d'ouverture à la traque.

((( quelques mois plus tard )))
« Je suis malade Leo. » Il hausse un sourcil, tentant de comprendre la raison pour laquelle elle venait de dire ça. « C'est vrai qu'il t'arrive de péter les plombs, mais je n'irais pas jusqu'à dire que tu es malade. » ricane-t-il toujours dans le but de la taquiner, gentiment, parce qu'elle est la seule personne à lui faire dire des choses qu'il ne pense pas réellement. « Non, t'as pas compris. Je suis vraiment malade. » Elle a cette voix bien trop sérieuse, celle qu'elle prend lorsqu'elle a quelque chose de grave à lui annoncer, celle qu'il redoute, celle qui est capable de lui faire plier le genou. Il hésite à répondre, songe à raccrocher, imaginant un tas de scénarios. Elle serait capable de le faire douter même s'il est à des milliers de kilomètres d'elle. « Quoi? » La réponse qu'elle attendait sûrement dès son annonce, celle qui le trahit et dénonce son inquiétude malgré les sentiments qu'il étouffe constamment sous une allure inébranlable. « Les médecins m'ont diagnostiqué un cancer avancé. Ils disent que je peux encore m'en sortir, mais je ne suis pas vraiment sûre que… tu sais… » Au fil de ses mots, son visage se fige pour ne devenir que pierre, son cœur qui a raté un battement à l'écoute de la fatalité du mot désignant sa maladie. Il n'y a plus que ce silence, ce silence insoutenable, qui dure, qui persiste, mais Leo il est sans voix, il est figé, envahi, se noit entre colère et tristesse. « Leo? » Et dans un dernier mouvement lâche, bip. Ce fut la dernière fois qu'il entendit sa voix. Sa douce voix.
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LEO ASWORTH ► simon nessman Tumblr_mtqypeTxon1rymr5wo1_400

(et puis c'est tout ça va 5 minutes à réclamer un peu d'amour.)
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Bienvenue. :heaart:
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Bienvenue parmi nous LEO ASWORTH ► simon nessman 1001568715
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Re Bienvenue LEO ASWORTH ► simon nessman 1365124802
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bienvenue parmi nous LEO ASWORTH ► simon nessman 2511619667
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la rebienvenue LEO ASWORTH ► simon nessman 3997999705
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Bienvenue sur le forum ^^
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bienvenue parmi nous, bon courage pour la fiche LEO ASWORTH ► simon nessman 3850463188
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