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(leyah) i'm in love with your body

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  Leyah & Noam
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  Mise en page par dark dreams. pour ILH
Leyah me demande de répéter, je hoche négativement de la tête. Les choses gentilles je ne les dis qu'une seule fois, il ne faut pas abuser des bonnes choses, comme la dinde à Thanksgiving. J'ai beau jouer les machos, et les fils à papa j'ai quand même un coeur et je ne suis pas un imbécile. Tout ce qu'il me faut pour être cool c'est ma dose de sang, rien de plus. Parfois j'aimerais tout arrêter et devenir quelqu'un de normal, mais c'est impossible. Je le sais, ce monstre que je suis est en moi et va y rester pour bien longtemps. Pas la peine de le cacher, enfin si le cacher aux autres mais pas à moi-même. Je n'ai pas pour habitude d'être maladroit mais il faut croire que le sort fait tout pour que je me rapproche de la blondinette. En allant dans ma petite salle de bain, nous nous retrouvons assez collés. Je remercie le sport de me donner un corps de rêve, sincèrement. Je lâche un petit rire face aux dires de Leyah. Obligée de me toucher, de m'effleurer et je sens en moi quelque chose me disant que ça ne la déplait pas, bien au contraire. Elle commence sa phrase et je sais comment la terminer. Je n'hésite pas une seule seconde, attrape ses lèvres et l'embrasse avec fougue. Nous en avions envie depuis plusieurs mois maintenant, les barrières sont tombées, tant pis, l'haleine de fromage est là tant pis, cela ne m'empêche pas de profiter de l'instant. Au bout de quelques secondes je relâche ses lèvres, plonge mon regard brun dans le siens océan et lui fais un sourire. « Je suis désolé, je ne sais pas ce qu'il m'a pris. Mais j'en avais envie. » Je passe une main dans mes cheveux et ne la quitte pas des yeux. C'est vrai j'en avais envie, mais elle aussi. Les barrières sont franchies, plus de retour en arrière. Ce n'était qu'un baiser pourtant, et je sais que cela représente plus pour elle et moi.
 
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S'il n'était pas mon meilleur ami j'en ferais bien mon quatre heure ? Non, ce n'est pas possible parce qu'en faire qu'un quatre heure serait du gâchis. Finalement, je suis contente de l'avoir comme meilleur ami car au moins il est toujours là, je l'ai toujours avec moi et c'est essentiel pour moi. Je ne le connais pas encore parfaitement, il a surement des secrets bien enfouillis comme j'en ai surement aussi mais Noam. Noam c'est juste Noam. Je crois que je suis incapable de décrire ce qu'il se passe entre nous et encore plus quand ses lèvres se posent sur les miennes. Je me laisse faire dans un premier temps, surprise qu'il ait osé parce que clairement je ne m'y attendais pas. Puis mes lèvres s’entrouvrent pour laisser passer sa langue et donner au baiser un côté plus langoureux. Quand il s'écarte et s'excuse, j'ai l'impression d'être une fusée qui vient de s'écraser sur terre. Je ne comprends pas trop ce qui se passe. D'autant plus qu'il a réveillé un milliard de papillon dans le bas de mon ventre et mis le feu à mes joues. Je me rends compte que je suis incapable de cacher l'effet que vient de me faire ce baiser. C'est un peu la honte. Je me pose alors une tonne de questions mais celle qui revient sans cesse c'est bien : est ce qu'on réagit ainsi quand son meilleur ami nous embrasse? Pas de réponse. Peut être faut il retenter l'expérience pour en avoir une. Ou peut être faut il simplement arrêter de se poser des questions et de se trouver des excuses et des explications rationnelles dans ce qu'on fait. Je ne le quitte pas des yeux comme lui le fait depuis que ses lèvres ont quittées les miennes. Je me mordille la lèvre avant de déposer une main sur son torse nu, et de venir placer l'autre sur sa joue. Je lui souris en le regardant toujours dans les yeux et je me rapproche. A quelques centimètres de sa bouche je finis par lui dire : « C'est vraiment atroce cette haleine de fromage... » Mais mes lèvres comme aimantées ont besoin de retrouver les siennes et c'est sans se faire prier qu'elles retrouvent le chemin. Au fond de moi j'espère que ce moment ne va jamais s'arrêter, j'espère surtout qu'il ne va pas se reculer et me dire d'arrêter parce qu'il serait compliqué d'éteindre le feu qu'il a allumé.
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  Leyah & Noam
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  Mise en page par dark dreams. pour ILH
Un coeur, j'en ai un je le sais. Il est enfoui dans un amas de cailloux qui petit à petit le transforment en pierre. Mais quand je suis avec Leyah, les cailloux se transforment en diamants.. J'ai l'impression de la connaitre depuis toujours, même si nous sommes assez différents. Quatre mois que je la côtoie, quatre mois que je ressens des choses inexplicables à son égard et quatre mois que je les cache. Lors de son arrivée à Harvard elle était en état de choc, elle a vécu les tremblements de terre au Chili, moi je n'y étais pas mais je comprends la douleur qu'elle a pu ressentir. J'ai vécu une douleur plus atroce quand j'ai perdu ma soeur, mon pilier, une partie de ma vie. Mais là, se fut Leyah qui m'a soutenu. Par amitié ? Oui c'est sûr. Mais est-ce que l'on a envie d'embrasser son amie ? De passer de plus en plus de temps avec elle ? Bien entendu je n'en oublie pas mes démons mais tout de même j'ai de quoi me poser des questions. Je n'hésite pas à l'embrasser, elle ne résiste pas non plus, bien au contraire. Je ressens des trucs dans le bas de mon ventre quand nos lèvres se touchent. On appelle ça les papillons ? Impossible. Et pourtant... Nos lèvres se relâchent, j'entends à peine sa remarque qu'elles se touchent de nouveau. Je pose une main dans le creux de ses reins et une autre dans ses cheveux. Je fais durer notre baiser qui se veut intense, sincère et désiré. « Je peux me brosser les dents si tu veux. » lui dis-je entre deux baisers. Je ne saurais dire combien de temps nous restons là dans la salle de bain à entremêler nos langues, à coller de plus en plus nos corps qui ne demandent que cela. Je m'éloigne d'elle avec douceur (oui tout arrive), en lui donnant un dernier baiser sur les lèvres, un autre sur le nez et un dernier sur le front. Je ne sais pas ce qu'il nous arrive et cela me perturbe. « Je... Leyah... Est-ce une bonne idée ? » En soit tu ne sais pas qui je suis vraiment, j'ai peur de te blesser, te briser et te faire souffrir si nous allons plus loin. Tu n'es pas un trophée loin de là.. Ne pouvant pas rester en place, je décide de me brosser les dents, je pousse délicatement Leyah pour accéder au lavabo attrape ma brosse à dents électrique, mon dentifrice et me voilà parti dans une tâche tout à fait débile en vue du moment.
 
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Je n'avais qu'une envie, c'était bien de me laisser porter par le moment et c'est ce que je finis par faire, le laissant m'embrasser, l'embrassant à mon tour et le taquinant même sur son haleine pour lui montrer que même avec du fromage dans la bouche, l'envie est bien trop présente pour pouvoir y résister. Est ce que c'est une bonne idée ? Je ne sais pas, mais je sais que se laver les dents est loin d'être une bonne idée même si c'est le seul échappatoire qu'il a trouvé pour que nos deux corps qui semblent aimantés se décollent légèrement. Je lui souris sans rien répondre à sa question, je laisse glissé ma main sur sa hanche et finis par sortir de la salle de bain alors que je me suis débarbouillée. Je me laisse tomber comme une étoile de mer sur son lit et mon regard se pose sur le plafond comme si à ce moment là c'était la chose la plus intéressante du monde. Entendant l'eau couler toujours et Noam se brosser les dents encore je finis par lui lancer : « Mange une autre part de fromage plutôt si tu veux calmer nos ardeurs... » Je le taquine. Oui je le taquine mais en fait je me rends compte que j'ai bien du mal à calmer les ardeurs de mon coeur. Maintenant que la mèche s'est embrasée, impossible de la contrôler, sauf qu'il le faut. Je ferme les yeux et je repère dans ma tête : meilleur ami, meilleur ami, meilleur ami, on n'embrasse pas son meilleur ami, meilleur ami... Sachez que cette technique de diversion est aussi peu efficace que compter les moutons pour s’endormir.
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En me brossant les dents, je ne peux m'empêcher de penser au baiser échangé avec Leyah. Nous en avions envie depuis tellement longtemps, je le sais en imaginant de nouveau le goût de ses lèvres sur les miennes, en sentant son coeur battre la chamade comme le miens lorsque nos corps se rapprochaient, mais je ne peux pas. Tout simplement, parce que je ne veux pas lui faire de mal. Elle aura toujours de l'humour, et elle me fait sourire en me proposant de reprendre une part de fromage, sauf que les dès sont lancés, et pour calmer nos ardeurs cela va être difficile. Je n'ai envie que d'une chose c'est à nouveau de l'attraper et avoir ses lèvres sur les miennes et sentir son corps chaud sur le miens. Je mets de l'eau froide sur mon visage pour adoucir mes idées, mais cela ne change pas. Je sors de la salle de bain, la blondinette sur mes talons. Je fais du rangement, tout en continuant de jeter des regards vers ma meilleure amie, des regards lui montrant que j'ai envie d'elle. « Je ne suis pas un mec bien Leyah. » Loin de moi l'idée de lui dire qui je suis vraiment, je ne veux pas la blesser, et surtout je ne veux pas la perdre. J'arrête de gesticuler dans tous les sens en tentant de mettre de l'ordre dans ma chambre et me pose sur mon lit. Je regarde la Cabot, qu'est-ce qu'elle est belle ! Je l'avais déjà remarqué mais maintenant que je la vois, maintenant que je laisse aller mes sentiments je la trouve encore plus belle. Je laisse aller mes sentiments ? Non. La carapace doit être intacte. Sur ses pensées, gestes contradictoires car j'attrape de nouveau Leyah et vient coller mes lèvres contre les siennes attrapant son visage entre mes deux mains. J'en fais glisser autour de sa taille, et l'autre sur son coeur pour le sentir battre la chamade, pour moi.
 
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Couchée sur le lit je tente de regarder le plafond ou tout autre endroit pour ne pas céder une nouvelle fois a la tentation avec Noam. Mais c'est peine perdue. Il tente de faire comme moi sauf que lorsqu'il vient se poser sur le lit il ne peut s'empêcher d'accompagner ses lèvres jusqu'aux miennes pour un nouveau baiser qui se veut plus langoureux, plus poussée, plus sauvage. Dans ce baiser il n'y a aucun regret, aucun sentiment que nous ne sommes pas en train de faire quelque chose de bien et qu'on pourrait le regretter très rapidement. Non dans ce baiser il y a juste l'expression d'une envie charnelle. Une envie plus que partagée si bien que je réponds à son baiser avec passion et désir. Mes mains finissent par se promener sur son corps, glisser dans le bas de son dos et quand je me recouche sur le lit je l'entraîne avec moi, sur moi. C'est à ce moment là que je choisis de lui souffler a l'oreille : « Je m'en fous que tu ne sois pas un mec bien. Mon meilleur ami est un mec bien. » Je continue de l'embrasser mais cette fois dans le cou. Je mordille le lobe de son oreille doucement et me cambre sous lui. Le feu est allumé impossible de faire marche arrière. Je crois que je ne peux plus me mentir. C'est impossible de cacher cette envie dévorante qui n'est sûrement pas qu Une envie. En effet c'est bien difficile d'être aussi proche, d'être de véritables meilleurs amis et d'avoir une attirance physique sans sentiment. Peut être qu'on a jamais osé se l'avouer. Peut être qu'on s'est menti depuis le début. Où peut être qu'on fait une erreur. « Je crois que j'ai envie de faire ce qui sera peut être la plus grosse erreur de ma vie. Ne t'arrête pas. » Voilà s'il attendait que je lui donne l'aval cette fois il l'a maintenant peut être qu'il peut réussir à être bien plus raisonnable que moi mais j'en doute car il a l'air d'en avoir autant envie que moi.
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Le désir fait des ravages et les sentiments aussi. Si un jour on m'avait dit que je pourrais de nouveau m'attacher à quelqu'un, de nouveau ressentir quelque chose qui n'est pas uniquement de l'amitié, je ne l'aurais pas cru. Et pourtant je me suis bel et bien entiché de Leyah. Peut-être que nous refoulions notre attirance, puisque nous avons toujours basé notre relation sur un coup de coeur amical, mais si finalement c'était un coup de foudre et que depuis tout ce temps nous ne faisions qu'enfouir ce que nous savions déjà au plus profond de nous. Je m'en fous que tu ne sois pas un mec bien. Mon meilleur ami est un mec bien. Je ne suis pas un mec bien pourtant. Je tue des gens, tous les jours. Et suis-je réellement ton meilleur ami, alors que tu t'agrippes à moi et que j'en fais autant tout en t'embrassant fougueusement et passionnément ? Je continue de l'embrasser de savourer ses baisers, elle se montre de plus en plus entreprenante et ce n'est pas pour me déplaire ! Je mets quand même quelques réserves, je ne veux pas la perdre.. Et comme si elle lisait dans mes pensées, elle me donne une sorte d'approbation. « Si je continue, ça ne sera pas une erreur. » lui murmurais-je alors au creux de l'oreille, tout en lui mordillant le lobe. Je lui caresse son corps de déesse et viens retrouver ses lèvres, je ne veux plus la lâcher. Je fais glisser une de mes mains le long d'une de ses jambes que je viens caresser avec une affection que je ne me reconnais pas. Ce désir inavoué que j'ai pour Leyah se fait plus grand, plus intense et je ne désire qu'une seule chose, elle, que nos corps se mêlent pour ne faire qu'un.
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Est ce que je crois en l’amitié entre un homme et une femme ? La réponse est oui. Alors je ne pensais clairement pas en arriver là avec Noam. De plus que je ne me suis jamais posée la question de savoir si je ressentais plus que de l’amitié, si j’avais une réelle attirance pour lui. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, il a su réveiller en moi quelque chose de profondément enfouit dont je n’avais même pas connaissance. Est ce que je regrette déjà? Non. J’en ai envie et n’ai pas l’habitude de regretter mes décisions mémé si pour le coup c’est plus une pulsion qu’une décision. Je sais qu’à partir d’aujourd’hui notre relation ne sera plus jamais pareil mais je m’en fiche. Je lui fais confiance. Je nous fais confiance pour être intelligents et continuer comme on a commencé : c’est à dire sans se prendre la tête. Quand sa main remonte le long de ma cuisse déclenchant un frisson général faisant onduler tout mon corps je cesse de réfléchir une bonne fois pour toute et me donne entièrement dans notre étreinte. J’embrasse Noam de plus belle comme si je réprimais cette envie depuis notre rencontre alors que je n’en avais jamais eu conscience avant. Mes mains se baladent sur son torse et finissent par descendre plus bas, caressant là bordure de son pantalon pour finalement le baisser afin d’éliminer une couche de tissus nous séparant. J’ai hâte que nos deux corps ne fassent qu’un et je ne peux m’empêcher de lui dire. « J'ai tellement envie de toi... » Je crois qu’à cet instant tout se mélange dans ma tête. Je serai incapable de dire si c’est mon meilleur ami qui est trop canon et donc je ne peux pas résister à son corps ou si simplement je ressens plus que de l’amitié pour lui... vraiment si on me demandait maintenant je pense qu’en je répondrai que j’ai de réels sentiments, un vrai attachement qui a dû naître de manière inconsciente pendant des semaines, depuis qu’on se connaît en fait. Je reprends de l’embrasser dans le cou et descends lentement contre son torse pour le couvrir de baisers. J’ai hâte mais j’ai aussi envie de prendre mon temps, de profiter du moment et le faire languir un peu jusqu’à ce que son désir soit au maximum.
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Mon père m'avait pourtant prévenu de ne pas m'attacher et de me concentrer sur mes études pour lui succéder. Mike m'avait lui aussi prévenu de ne pas m'attacher pour ne pas être faible. Mais là, le masque est tombé, la carapace s'est brisée et je ne désire qu'une seule chose. Leyah. Jamais, ô grand jamais je n'aurais pensé que Leyah aurait cette même attirance, cette même envie, ce même désir. Pourtant je crois en l'amitié homme/femme, la preuve j'ai des amies... avec qui je couche pour la plupart mais Leyah était l'exception jusqu'à ce jour. Je me suis promis de ne pas coucher avec elle, je la respecte énormément et je mettais de côté les "sentiments" à son égard de peur d'être percé à jour. Mais elle a confiance visiblement et me donne plus que son aval, je comprends vite qu'elle veut se donner à moi et moi à elle. Je ne sais pas où cela va nous mener, et pour le moment je veux juste profiter de l'instant. Dans mes souvenirs, j'ai toujours eu cette boule d'apaisement, de désir et de lâché prise avec Leyah, et là rien qu'avec quelques baisers la boule a éclaté. Pour notre plus grand bonheur. La blondinette enlève mon pantalon après avoir fait planer le désir quelques secondes. A mon tour, j'enlève sa robe et admire son corps divin. Elle est canon, plus que canon. « Et moi dont.. » dis-je entre deux baisers. Elle me parcoure ensuite le torse de baiser et l'envie se fait plus grandissante, je continue de caresser sa cuisse d'une main et de mon autre main enlève son soutiens-gorge et lui caresse sa douce poitrine, mes lèvres venant gagner son cou. Avec douceur je me frotte à elle, son corps se cambre. Je veux prendre mon temps, faire les choses bien pour que l'on s'en souvienne comme si c'était notre première fois à tous les deux. Je remonte ma main qui caressait sa cuisse vers son intimité de façon à enlever sa culotte, son dernier vêtement. Totalement nue, je me relève un peu pour la regarder, pour piocher les moindres détails de son corps. Cela ne dure qu'un court instant que mes lèvres gagnent son décolleté.
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Lorsqu'il se redresse pour me regarder de haut je me sens légèrement gênée. Je suis peut être une cabot mais je ne suis pas sûre du tout de moi. Je sais que mon corps n'est pas dégueulasse, que je suis plutôt bien mais de la à être très sûre de moi et assumer une certaine assurance face à tout le monde ce n'est pas le cas. Cependant dans les yeux de Noam je vois que des belles choses et il faut avouer que c'est plaisant. Ses lèvres retrouvent les miennes et je l'embrasse avec passion. Mon corps se cambre un peu plus sous ses baisers tandis que mes mains glissent le long de ses hanches pour venir saisir son boxer et le faire descendre le long de ses jambes libérant ainsi son intimité durcit par le désir. J'hésite un instant. C'est bizarre. Je ne pensais jamais me retrouver dans cette position avec mon meilleur ami. Finalement je me saisis de son membre et commence de lents va et viens, de douces caresses pour faire monter son plaisir. Le mien augmente aussi. Entre ses bras je suis bien, je me sens bien, vraiment j'oublie tout et surtout qu'il n'est censé être que mon ami. L'attraction est bien trop importante je le laisse embrasser mon decolté et descendre vers ma poitrine. Ses baisers divins me font frissonner et éveillent chaque parcelle de ma peau. Quand il remonte vers mes lèvres je ne peux m'empêcher de souffler son prénom : « Noam... » Aucune hésitation dans ma voix. Juste un soupir de désir. Il peut y aller je ne l arrêterai pas. « Tu as des préservatifs ? » Parce que clairement je ne suis pas équipée d'ordinaire mais la pour venir retrouver Noam je suis encore moins équipée. Lui de son côté est un homme a femmes je le sais... Je ne sais d'ailleurs pas si après ce jour je vais bien le prendre.
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