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Un coeur qui espère peut vite se briser
Hermès & Ajay
« Regardes-moi, dis-moi que tu m'aimes, borde moi d'illusions pour que je puisses de nouveau rêver sans crever. »
Suite à mes échanges par message avec Hermès, j’ai décidé de couper net la conversation et de faire pas mal de conneries. Première, c’est de sortir ma poudreuse blanche et d’en prendre une sacrée dose. Pupilles bien explosées, bien dilatées, comme si ce n’était pas suffisant, je viens ajouter une bouteille de Whisky dans le lot. Bien sûr, inutile de dire que je suis rapidement arrangée. Je tourne en rond dans l’appartement dans lequel j’habite avec trois filles, ne tenant plus en place, buvant comme un trou alors que je ne cesse d’envoyer des messages de plus en plus brutaux à l’homme qui, radicalement, me plait. Le souci est là, c’est que je ne sais plus comment m’y prendre, comment faire. J’ai peur, peur que ça se termine mal, peur de souffrir de nouveau, peur de perdre la tête à cause d’Hermès. Puis, disons-le clairement, je suis loin d’être un modèle de stabilité. Entre Megara, Cruz, Silas, Adria, Daisy…Je fais du grand n’importe quoi, jonglant entre les conquêtes, les relations dévastatrices et pourtant, c’est lui qui réussit à faire palpiter mon cœur d’une façon incontrôlable. Encore aujourd’hui, je me souviens de nos baisers, de nos caresses, mais aussi du message qu’il m’a envoyé, m’avouant ne pas vouloir être vu en publique en ma compagnie. Blessé je l’avais été, énervé aussi, enfin, je ne sais pas trop, après tout, nous ne sommes pas ensemble…Poussant un grognement à cette pensée, je prends mes clefs de voiture – mauvaise idée mais on sen fou – et je me casse vers les résidences.
Pourquoi ? Bonne question, je suis complètement à l’ouest, je n’ai plus le contrôle de mes émotions. Roulant comme un taré à dix heures du soir, je me gare comme un débile en prenant deux places de parking. Prenant mon téléphone portable, je regarde le dernier message d’Hermès et écrit simplement. « Rien à foutre, suis dehors si t’as quelque chose à dire tu me le dis en face et tu sors ton putain de cul de ta chambre. » Ok, c’est brutal, mais c’est moi quand je suis explosé, c’est moi quand je suis paumé. Coupant mon téléphone, je me plante devant la résidence des rouges, posant mon cul sur le sol, appuyé contre un arbre. Bien sûr, j’avais pris soin de prendre ma bouteille de Whisky avec moi, buvant plusieurs gorgées tout en m’allumant une cigarette. Dommage, je n’ai pas de joint, sinon, je m’en serais bien fumé un…bof, vu l’état dans lequel je suis, c’est peut-être mieux ainsi. Plantant mon regard sur l’entrée de la résidence, je ne sens même pas le froid, complètement ailleurs, perdu dans mon monde de questionnements. Pourquoi lui ? Pourquoi je réagis ainsi ? Pourquoi je pète un plomb pour rien ? Oui, pourquoi j’ai l’impression que mes sentiments commencent à dangereusement grandir, à se concrétiser lorsqu’il est dans les parages…Il est tellement différent de moi. Cette douceur, ce sourire, cette innocence. Portant ma bouteille à mes lèvres, je bois deux gorgées avant de me coucher dans l’herbe humide.
Franchement, si je choppe pas la crève après ça, je me demande bien ce que je dois faire. Hermès va-t-il venir ? Bonne question, de toute façon, j’ai coupé mon téléphone histoire de l’obliger à bouger ses fesses…Puis, c’est de sa faute ! C’est de sa faute si je suis dans cet état, il n’a qu’à pas être…lui ! Putain, je me suis juré de ne plus jamais être dans cet état pour personne, j’en avais trop bavé avec Daisy et là, je répète les mêmes erreurs. Bravo Ajay, franchement, là, je fais littéralement pitié et c’est pas peu de le dire.
Pourquoi ? Bonne question, je suis complètement à l’ouest, je n’ai plus le contrôle de mes émotions. Roulant comme un taré à dix heures du soir, je me gare comme un débile en prenant deux places de parking. Prenant mon téléphone portable, je regarde le dernier message d’Hermès et écrit simplement. « Rien à foutre, suis dehors si t’as quelque chose à dire tu me le dis en face et tu sors ton putain de cul de ta chambre. » Ok, c’est brutal, mais c’est moi quand je suis explosé, c’est moi quand je suis paumé. Coupant mon téléphone, je me plante devant la résidence des rouges, posant mon cul sur le sol, appuyé contre un arbre. Bien sûr, j’avais pris soin de prendre ma bouteille de Whisky avec moi, buvant plusieurs gorgées tout en m’allumant une cigarette. Dommage, je n’ai pas de joint, sinon, je m’en serais bien fumé un…bof, vu l’état dans lequel je suis, c’est peut-être mieux ainsi. Plantant mon regard sur l’entrée de la résidence, je ne sens même pas le froid, complètement ailleurs, perdu dans mon monde de questionnements. Pourquoi lui ? Pourquoi je réagis ainsi ? Pourquoi je pète un plomb pour rien ? Oui, pourquoi j’ai l’impression que mes sentiments commencent à dangereusement grandir, à se concrétiser lorsqu’il est dans les parages…Il est tellement différent de moi. Cette douceur, ce sourire, cette innocence. Portant ma bouteille à mes lèvres, je bois deux gorgées avant de me coucher dans l’herbe humide.
Franchement, si je choppe pas la crève après ça, je me demande bien ce que je dois faire. Hermès va-t-il venir ? Bonne question, de toute façon, j’ai coupé mon téléphone histoire de l’obliger à bouger ses fesses…Puis, c’est de sa faute ! C’est de sa faute si je suis dans cet état, il n’a qu’à pas être…lui ! Putain, je me suis juré de ne plus jamais être dans cet état pour personne, j’en avais trop bavé avec Daisy et là, je répète les mêmes erreurs. Bravo Ajay, franchement, là, je fais littéralement pitié et c’est pas peu de le dire.
(c) DΛNDELION
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