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(ELLIOKY) you know i'm stupid for you

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Qui est partout? Nous, à croire. Que ce soit l’un ou l’autre, on se retrouve toujours dans la même pièce sans le vouloir. Y’a même fallut qu’on se recroise par hasard après mon amnésie, alors si ça c’était pas le destin. Ou le karma. J’sais plus trop, en fait. Non Lucky, j’pensais pas que t’étais faible ou que tu savais pas te défendre. Je savais que t’étais une femme forte et indépendante et que t’allais me rendre la monnaie de ma pièce. Mais moi aussi, j’avais besoin de tout sortir et de décompresser. D’éclater la bulle. Oui, je savais qu’Hippo était enceinte quand je l’ai sautée. C’était pas ça que je voulais dire, j’voulais juste dire qu’au niveau de son ventre, physiquement, ça se voyait pas alors ça m’avait pas tant dérangé que ça. Sinon, les femmes en cloque, non merci. J’la laissais terminer et me contentais de répliquer : « Non, j’ai pas nécessairement envie de parler de ton ex. » Non merci, quoi. J’étais pas là pour éponger tes peines, et j’étais pas ton psy non plus. « Tu délires là, j’ai zéro passion pour Hippolyte, c’était que du cul. » Et tu te levais de ton siège pour te planter face à moi, claquant tes mains sur la table. Et tu hausses le ton, et plus tu parles, plus j’ai envie que tu te taises. Je veux pas écouter ça, je veux pouvoir faire le sourd ou ignorer totalement tes propos et revenir en arrière. Tu te rends compte que tout le monde te regarde mais moi j’m’en fous, j’suis bloqué sur toi et pas sur les autres, la mâchoire serrée. Et j’te regarde partir, quitter le café en trombe. Qu’est-ce que tu voulais que je te dise? Qu’est-ce que j’étais censé dire? Si Nath était là, il me dirait ‘tu vois, j’te l’avais dit, j’avais raison’. Et oui, il avait raison, depuis le début, depuis que je lui ai dit que j’allais me marier pour un pari avec une amie. Il m’avait dit que ça tournerait mal. Je soupirais, me passant les mains sur le visage. Putain de merde. Après plusieurs minutes, je décidais de me lever et aller voir si elle était toujours là, quelque part dehors. Et bien sûr, je la trouvais appuyée contre le mur de l’établissement. Je m’approchais, mais pas trop près, gardant quelques mètres de distance entre nous. J’sais pas, au cas où elle aurait envie de me frapper. Who knows. « J’suis désolé, ok? Vraiment. J’dis pas ça pour te faire plaisir! Mais explique-moi pourquoi? Pourquoi? Pourquoi moi? » Ça faisait beaucoup de pourquois. Je levais mes bras dans le ciel, sidéré de cette situation. Si y’avait bien un gars de qui personne ne tombait amoureux, c’était moi. Parce que ça sentait l’échec de très loin. J’laisse lourdement retomber mes bras le long de mon corps, te tournant le dos, me passant les mains dans les cheveux, faisant quelque pas en rond, comme un poisson devenant fou dans son bocal.

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Tu délires là, j’ai zéro passion pour Hippolyte, c’était que du cul. Ça par contre, je me serais bien passée de cette information. Tu voulais quoi ? Que je t'applaudisse parce que t'as couché avec elle que pour du cul ? Non. Cul ou pas cul, je m'en fichais ! Ça restera toujours quelque chose que je ne pourrais pas cautionner. Mais après mon pétage de plomb, il est clair que je n'allais pas remettre les pieds ici de si tôt. J'allais attendre que ça se tasse, qu'ils oublient un peu mon visage et la déclaration que je venais de faire. Heureusement que personne n'avait pensé à me filmer. Enfin... Dehors, j'essayais de retrouver mes esprits. Franchement, on dit que les femmes sont compliquées, mais allez-y comprendre les hommes aussi. Quand on voulait s'éloigner d'eux, ça boudait et ça demandait des explications, et quand ils avaient enfin des explications, ils tiraient la tronche et auraient préférés ne pas les entendre. Faut savoir ce que vous voulez les gars ! Tu me rejoignis en gardant un minimum de distance entre nous. Euh... Ce n'était pas toi qui te plaignais de la distance que je mettais entre nous ? Maintenant, c'était à ton tour ? Hm... Je regardais ailleurs en plaquant mon dos contre le mur et en haussant les épaules suite à ta question. « J'sais pas pourquoi... J'ai aucune explication, c'est arrivé c'est tout. Ce genre de chose nous tombe dessus au moment où on ne s'y attend le moins... » Je ne savais pas pourquoi mon cœur t'avait choisi Elliot. Il l'a fait et maintenant, je devais lutter pour te sortir de ma tête. « Mais t'inquiète, j'ai compris ton message et c'est pour ça que j'voulais m'éloigner. Pour ne pas me faire du mal et t'épargner de porter le poids de mes sentiments. Façon, le temps efface tout comme on dit... » Si le temps m'avait permise de tomber amoureuse d'un autre que Cole, il me permettra aussi de tomber amoureuse d'un autre que toi... Ce sont les aléas de la vie à ce qu'il paraît. Puis après tout, m'éloigner ne t'empêchait pas de vivre ta vie. Tu sortais, tu t'amusais, tu faisais la fête, même que tu ramenais des filles dans ton lit. Alors être là ou pas, ne changera pas grand-chose pour toi, tu continueras à faire ta vie.

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Une fois dehors, je cherchais le fin fond de l’explication. Le pourquoi du comment. Moi? Pourquoi pas un tout autre gars? J’étais très loin d’être le petit ami idéal, ni même le petit-ami tout court. J’étais pas le genre de gars de qui on tombait amoureux. Tu te contentes d’hausser les épaules et de me dire que t’en sais rien, ce qui ne m’aide pas franchement. Soi-disant ça te tombe dessus comme ça, sans que tu t’en rendes compte, et t’es foutu une fois que c’est fait. Le temps n’effaçait pas tout, non. Un crash d’hélico, ouais. Si c’était ce que tu voulais, tu pouvais toujours m’appeler au secours, apparement j’étais calé dans ce domaine. Mais l’humour n’était pas de la partie à ce moment là, et je me tournais enfin vers toi, approchant de quelques pas. « J’me répète mais j’suis vraiment désolé. Et… j’pense que t’as raison… » J’en revenais pas que c’était moi qui allait dire ça. Que j’étais sur le point de faire ce que j’allais faire. « On devrait arrêter de se voir. Sortir de la vie de l’autre, comme tu le voulais. » Moi, c’était pas ce que je voulais. C’était pas ce que mon corps me criait, ce que mon coeur me criait. Mais mon cerveau, lui, heureusement qu’il était plus raisonné. Je croisais mes bras robustes sur mon torse, baissant la tête vers le sol. Ça me flinguait. Et là, toute once de colère envers toi avait disparu. C’était seulement un vide maintenant, et j’avais l’impression qu’il grandissait en profondeur plus notre conversation avançait. un gouffre béant en plein dans mes entrailles. « Je contacterai plus, c’est promis. T’inquiète. » J’éviterai d’être bourré et de cliquer sur ton numéro comme premier réflexe. J’éviterai de penser à toi à chaque fois que je vois une blonde de dos. J’éviterai de penser à toi tout court, en fait.

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Tu n'arrêtais pas de t'excuser, mais pourquoi ? Ce n'était pas comme si tu m'avais obligé à tomber amoureuse de toi. La seule à blâmer, c'était moi. Parce que je m'étais encore une fois, laissée entraînée par les sentiments, guidés par mon cœur et trahi par ma raison, alors que j'avais décidé de ne plus connaître un jour comme ça, après Cole. Et vous savez quoi ? Ça faisait encore plus mal. « C'est rien... J'ai l'habitude. » Vaut mieux rire de son malheur que pleurer non ? J'avais l'habitude des échecs et apparemment, je découvrais à chaque relation, que je ne suffisais point. Que je ne serais jamais celle qu'on choisira. En tout cas, pour l'instant, c'est ce que je commençais à comprendre. Et puis, lorsque tes mots percutaient mes oreilles, ceux que je redoutais et attendais, arrivaient. Tu voulais prendre tes distances avec ce que je venais de t'avouer et ça ne me surprenait pas ! Parce que je savais que ça allait se terminer comme ça si jamais, j'osais tout t'avouer. C'est pour ça aussi que je voulais prendre mes distances, pour ne pas les entendre, car je me rendais compte que ça faisait toujours aussi mal. L'amour à sens unique. « Ouai... Façon, on avait déjà commencé un petit peu j'crois... » Que je murmurais même si ce n'était pas assez faible pour que tu n'entendes pas. Je te regardais baisser la tête et autant ça te déchirait, ça me déchirait également, si ce n'est bien plus, puisque moi, j'avais des sentiments, ce qui n'était pas ton cas. Décollant mon dos du mur, je me mettais face à toi en te tendant une main pour que tu me la serres. « Ça mérite un au-revoir digne de ce nom ! Heureuse de t'avoir rencontré quand même, Elliot. » Je t'offrais mon plus beau sourire. Au fond, je n'avais qu'une seule envie, chialer comme une madeleine parce que ça faisait un putain de mal. Mais comme toujours, j'allais masquer ma peine par un sourire pour pouvoir avancer. J'attendais que tu me serres la main histoire de lever les voiles et m'en aller.

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Tes mots me déchiraient encore plus. Ils me faisaient me sentir coupable encore plus que ce que je pensais être. J’avais pas envie de m’éloigner de toi. J’avais pas envie de ne plus te voir, ne plus avoir une chance de goûter à tes lèvres, de t’entendre rire, de me tenir tête, de faire l’enfant, de braver les interdits. J’m’imaginais pas sans toi, en fait. C’était une vie qui me paraissait un peu trop plate, un peu trop ennuyante. Moins intrépide. Et pourtant, on savait tous les deux que c’était la bonne chose à faire. Et c’est pour ça qu’on décidait de se dire au revoir, là, devant ce petit café français. « Ça mérite un au-revoir digne de ce nom ! Heureuse de t'avoir rencontré quand même, Elliot. » Un au revoir digne de ce nom? Et tu me tends la main? Dans un grand sourire faux en plus? J’vais te montrer, moi, c’que c’est qu’un au revoir digne de ce nom. Je réduisais la distance qui nous séparait, entourais ton visage de mes mains et venais t’offrir un long baiser. Un baiser qui se voulait être tout et rien à la fois. Doux, tendre, lent, patient mais aussi pressé, sauvage, impulsif. Et malgré ça, plein d’émotion. Un baiser qui me nouait la gorge et me piquait les yeux. J’en oubliais même de respirer, ça ne me paraissait pas important face à l’urgence de tes lèvres, de ce dernier contact volé. L’une de mes mains glissait dans tes boucles blondes alors que je gardais un peu plus longtemps mes lèvres contre les tiennes. Je me reculais finalement, passant le bout de ma langue sur mes lèvres comme pour prolonger la dégustation des tiennes. Mon regard plongé dans le tien, mes doigts vinrent replacer une mèche de ta chevelure derrière ton oreille. « Ça, c’est un au revoir digne de ce nom… »

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J'en avais assez de devoir porter un masque, un masque figé dans le marbre. J'en avais assez de devoir me montrer forte, de faire genre, rien ne m'atteignais. Est-ce aussi la meilleure des solutions ? Devrais-je montrer à chaque occasion mon ressenti  ? Pleurer un bon coup quand j'en éprouvais le besoin ? Je ne pensais pas. Je soupirais plaintif. Le genre de soupir qui vous maintenait en vie et qui vous faisait comprendre que vous l'étiez. Cette vie si précieuse qui pourtant, ne tenait qu'à un fil. Attendant alors que tu me serres la main, je fronçais les sourcils en voyant ton regard complètement changé. Il était devenu beaucoup plus sérieux. Et sans que je ne m'y attende, tu réduisais soudainement la distance qui nous séparait pour capturer mes lèvres. Je sentais une petite pression délicieuse au bas de mon ventre. Mes yeux se plissèrent légèrement, j'étais immobile, attenant avec un certain délice, ton action… Un baiser marquant mon esprit, cela avait un petit goût d’excitation et de frustration à la fois. Si bien que lorsque tu le rompais, je me mordais la lèvre inférieure dans un mouvement sensuel. Mon regard qui pétillait de cette lueur satisfaite et enivrante, se posait tel une caresse sur toi. Et puis merde, je laissais tomber mon sac au sol et attrapais ton visage entre mes mains pour pouvoir à mon tour, épouser dignement tes lèvres dans un baiser aussi passionnant que le précédent, mais avec une pointe d'amour et de tendresse. Ce baiser aurait pu être court, si l'une de mes mains ne s’était pas glissée le long de ta nuque pour augmenter la profondeur de celui-ci et ma langue, allant jouer et danser avec la tienne. De par la pression assez intense de mes lèvres, je te poussais doucement contre le mur, plaquant ma poitrine contre ton torse et presque tout mon corps contre le tien. Cherchant à me blottir contre toi, je quittais tes lèvres pour quelques secondes, histoire de reprendre un peu de mon souffle avant de replonger ma langue dans ta bouche pour un nouveau baiser encore plus intense. Comment résister à ça ? Comment te résister Elliot ? Bordel, serre-moi aussi fort que tu le pouvais, dans tes bras. Une dernière étreinte. Et devant ce café, on entendait plus que le bruit de nos lèvres qui s'embrassaient, de nos langues qui se cherchaient. Finalement, on avait le contrôle sur rien. Heureusement qu'un passant ramassa mon sac et se racla la gorge pour nous interrompre. J'ouvrais mes yeux et reculais rapidement. Me tournant vers l'inconnu, mes joues avaient pris une teinte rosée... Le souffle court, j'attrapais mon sac et le remerciais. Puis une fois partie, je me tournais vers toi. « Je... J'espère que tout ira bien pour toi. Fais attention à toi. » Faudrait pas que tu te fasses kidnapper une seconde fois alors que ces maudits coupables sont encore dans les parages.

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Tu voulais un au revoir digne de ce nom? C’était pas en me serrant la main que tu l’obtiendrais. J’allais te montrer, moi, comment je voyais ta requête. Et je t’offrais donc un baiser à la fois tendre, passionné et amer, mes mains plaquées sur tes joues. Et quand je me reculais finalement, après de longues secondes, je passais ma langue sur mes lèvres rosées et tu te mordais la tienne. Ce putain de désir qui me quittait pas, même dans les moments les plus affligeants comme celui-ci. Et, tout comme tes lèvres, j’aurais voulu avoir l’occasion de parcourir ton corps, une dernière fois. Si on avait été chez moi ou chez toi, j’aurais sûrement essayé d’aller plus loin, pour n’avoir aucun regret. Mais c’était pas le cas, et parfois la vie était cruelle. J’étais prêt à partir, et pourtant tu me gardais près de toi, tu me retenais captif, tes mains venant à leur tour épouser la forme de mes joues, alors que tu me rendais mon baiser d’un ton beaucoup plus urgent, beaucoup plus passionné. Tes doigts sur ma nuque m’électrifiaient alors que je me laissais porter par tes gestes, mon dos heurtant méchamment le mur qui, je pensais, était bien plus loin que ça. Ton corps tout contre le mien, je glissais une main dans le creux de ton dos pour resserrer cette étreinte. Étreinte amère, parce que j’avais beau apprécier le moment, l’idée que ce soit le dernier de ce genre me restait toujours dans un coin de la tête, comme un nuage grisâtre surplombant le coucher de soleil et gâchant le spectacle. Un silence solennel durant notre échange langoureux, car on savait tous les deux que les mots n’étaient pas la solution ici, qu’ils ne changeraient rien à la situation. J’étais tellement épris par ton contact que moi, je n’entendais même pas ce fameux passant qui nous rappelait à l’ordre et qui eu le don de te séparer de moi. Et là, tout de suite, j’avais des envies de meurtre à son égard. Et tu t’échappais, tu m’échappais, t’éloignant pour récupérer tes affaires, et je voyais que tu ne ferais plus demi-tour cette fois. Tes mots avaient l’effet d’un couteau qui me tranchait la peau. Un goût amer dans la bouche, la gorge nouée. T’étais pas censé me faire un tel effet. Je me contentais d’hocher la tête, parce que rien d’autre ne me venait. Toi aussi, Lucky. Prends soin de toi.

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