Colombe&Honoré - J'vais pas te laisser comme ça...

• C’était tout nouveau pour moi, jamais je n’aurais pensé que j’aurais pu avoir cette chance, que de quitter la France pour aller la conquérir allait marcher. J’avais un manque de confiance en moi et j’en étais conscient, sauf que cette fois ci, je m’étais rendu compte que je n’étais peut-être pas si nul que ça, et que la vie me souriait enfin. J’ai toujours eu une vie assez étrange, un père qui me battait, une mère décédé d’un cancer, une ex avec qui on s’autodétruisait, j’me suis toujours foutu dans des histoires les plus étranges les unes que les autres, et, un jour, Colombe. Tel son prénom, je la vie marcher avec classe, un aura de lumière autour d’elle, la perfection à l’état pure. J’avais vu un ange, et j’étais prêt à tout quitter pour cet ange… Je l’avais fait, bye bye la France, bonjour Harvard. Je m’étais foutu dans la merde, mais, tout c’était arrangé et j’avais enfin ce que je désirais le plus au monde depuis que j’ai mis les pieds dans cet avion en direction d’ici. •

• On étaient là, couché sur son lit, et je venais de la bloquer pour l’empêcher de bouger tout en déposant de léger baisés sur sa nuque et sur ces belles lèvres. Et puis, elle me stoppa en plongeant son regard dans le mien. « Tu sais, j'ai pas envie de faire comme avec les autres mecs avec toi... J'aimerais bien qu'on prenne notre temps tous les deux... » Et bien d’accord, il n’y avait pas de problème, elle voulait qu’on prenne notre temps, nous prendrons notre temps. Au moins, ça montrait que je n’étais pas un de ces enculés qui étaient passé dans son lit, qu’avec moi, elle désirait prendre son temps. Restant dans ma position, je m’amusais à passer ma langue dans son cou car je savais très bien qu’elle était chatouilleuse. Et, entre deux baisé, je répondis à sa phrase, plongeant mon regard dans le sien. « Ça me va, mais ça m’empêche pas de te bloquer ici ! Et puis, même pas tu te débats pour sortir, t'es pas drôle ! » Mon corps était collé au sien et c’est vrai que si elle m’aurait proposé d’aller plus loin, je n’allais pas refuser, mais, je respectais son choix, après tout, j’étais revenue pour elle, pour la personne qu’elle était, pas pour avoir son cul. •

Allongée sous Honoré, je savais que j'allais passé une après midi de rêve. Auparavant avec Honoré, on adorait passer du temps comme ça et il était arrivé plus d'une fois qu'on se retrouve sur le lit à s'amuser de la sorte, mais sans les baisers bien sur... Mais maintenant, tout avait changé, on était libre de se faire ce que l'on voulait et c'est pour cela qu'il m'embrassa le coup de cette façon. Il me faisait tellement rire... Et je savais qu'il aimait mon rire. Il me l'avait toujours dis et j'adorais le faire rire aussi. « Ça me va, mais ça m’empêche pas de te bloquer ici ! Et puis, même pas tu te débats pour sortir, t'es pas drôle ! » J'étais contente qu'il comprenne. En même temps c'était assez flatteur, comme ça il voyait que je le distinguais de tous les autres mecs avec qui j'avais traîné cette semaine. Mais la deuxième partie de sa phrase me fit rire. Il croyait vraiment que j'allais me laisser faire ?! J'étais pas comme ça moi, et il le savait très bien. « Ah oui ? Tu veux jouer à ça ?! Très bien » D'un coup, j'entourai mes pieds autour de ses cuisses et le fit tourner en deux deux. Il fallait dire que ce n'était pas très compliqué vu la carrure qu'il avait et je me retrouver alors au dessus de lui. « Et voilà, c'est qui la plus forte ?! » Je lui souris et repris « Tout ça m'a vraiment donné chaud... » Je levai alors les sourcils rapidement et me mordillai la lèvre. j'étais assis sur son pantalon au niveau de son sexe. Et je passai mes mains sur son tee shirt « Je paris que tu as chaud toi aussi... »

• Je crois qu’elle voulait me tuer en fait, c’est la seule solution… Elle voulait me tuer sur place, me faire fondre, me désintégrer d’envie, de plaisir. C’était une solution à ne pas trop écarter, je vous l’assure. Pourquoi je dis ça ? Pourquoi je pense qu’elle avait envie de me tuer ? Car je n’ai jamais vu une fille aussi belle, une fille avec qui je m’entendais si bien, une fille avec qui je pouvais rigoler, une fille avec qui j’avais une complicité de fou, une fille qui me faisait rêver, une fille pour qui j’avais des sentiments, une fille que j’étais venu chercher jusqu’à Harvard. Cette fille ce n’était pas comme toutes les autres, cette fille c’était Colombe, cette belle petite Française que j’avais rencontré dans ces soirées mondaines auparavant. Comme quoi, je remercie mes parents pour cette soirée… Bien que ce n’était pas mon genre de sortie, j’y avais rencontré une personne exceptionnelle. Couché sur elle, je venais de lui faire savoir que j’étais d’accord pour attendre, attendre de coucher avec elle. Je savais très bien que ça allait être dur, mais, si elle désirait attendre, j’attendrais, je la respectais trop pour lui dire que non, c’est soit maintenant soit je me casse. Faut pas rêver. « Ah oui ? Tu veux jouer à ça ?! Très bien » […]« Et voilà, c'est qui la plus forte ?! » […]« Tout ça m'a vraiment donné chaud... » […]« Je paris que tu as chaud toi aussi... » C’est bon, là, elle voulait me tuer, elle voulait ma mort c’est pas possible… Tout en prononçant ces phrases, elle c’était retournée pour se mettre sur moi, posant ces fesses sur mon sexe et passant ces mains sous mon t-shirt. Elle le faisait exprès c’est pas possible, j’allais vraiment pas pouvoir résister longtemps… Quoi que… On peut attendre pour coucher, mais, on peut très bien s’amuser sans pour autant coucher ensemble, non ? Alors, un large sourire sur le visage, je passa à mon tour mes mains sous son pull sous le qu’elle elle était nue pour commencer à caresser doucement son ventre tout en le remontant doucement avant de prendre la parole. « Ouais, j’ai bien chaud là ! J’pense que sans ton pull et moi sans mon t-shirt, on aura un peu moins chaud, non ? » Je savais que ça allait être dur de se retenir, mais, pour elle, je le ferais… •

J'aurais voulu que le temps s'arrête, que plus rien ne se passe autour de nous, tellement le moment que nous étions en train de passer était extraordinaire... Je voulais que le temps s'arrête afin de ne pas être déçue des répercussions qu'il pourrait y avoir vis-à-vis du fait que l'on soit ensemble. Car oui, il y avait un point noir dans tout ça, c'était Sol... Je savais que Solweig tenait beaucoup à Honoré et du coup, je ne savais pas trop quoi en penser ... Voulait-elle se remettre avec lui ? C'était une question à ne pas négliger... Car si Honoré et moi finissions ensemble, comment allions nous faire avec Solweig... Allongée sur lui, je venais d'enlever le tee shirt d'Honoré. Son torse n'était pas tellement musclé, mais il était quand même merveilleux... A son tour, il vint déposer ses mains sur mon pull et le retira doucement après avoir caressé mon ventre. « Ouais, j’ai bien chaud là ! J’pense que sans ton pull et moi sans mon t-shirt, on aura un peu moins chaud, non ? » Je me mis à lui sourire et en fait, je venais de me rendre compte que c'était la première fois qu'il voyait mes seins. Jamais avant je ne les lui avais montré, car même si on était vachement complice avant tous les 2, j'avais toujours été assez pudique... Je mis mes mains sur ses épaules et le tira doucement vers moi. On se rapprocha et il pouvait alors sentir sur son torse, mais seins légèrement chauds. Je passai ma main dans ses cheveux puis me remis à l'embrasser. Cette fois-ci, je n'y allais pas de main morte, et le baiser devint très vite très caliente...

J'oscillais entre une envie de faire l'amour avec lui car j'attendais ça depuis longtemps et une envie de prendre mon temps avec Honoré. De toute façon, on savait très bien que ce n'est pas parce qu'on ne couchait pas ensemble dès aujourd'hui que nous n'allions pas continué à être ensemble... Alors, j'avais pris la décision d'attendre. Et même si nous nous excitions en ce moment même, je savais que je pouvais l'arrêter à n'importe quel moment, et tout ça nous rendrait alors encore plus excité les prochaines fois où l'on se verrait... Il m'embrassa légèrement les seins, et ces derniers se mirent à pointer tellement Honoré m'excitait... Quand il fut contre moi, notre baiser fut exquis et encore plus excitant... Il passa les mains sur mon dos pour les descender sur mon short. Il glissa les mains dedans et caressa mes fesses. Tout cela remplit mon corps de frissons. Il reprit de nouveau le dessus quand il me bascula pour être sur moi. Après m'avoir de nouveau embrasser il me dit « Tu sais que j’peux te faire du bien sans pour autant qu’on couche ensemble ? ». En fait, je n'avais pas pensé à cette option... Mais, si je l'en empêchait, peut-être que ça l'exciterait alors encore plus pour une prochaine fois... Il passa ses mains sur mon short et l'enleva délicatement en le déboutonnant. « Et tu sais, je peux très bien te résister pour que le moment soit encore meilleur une prochaine fois... ». Je me laisser enlever mon short, et je me retrouvais alors en boxer. J'allais me laisser faire, juste avant qu'il ne commence les préliminaires, afin qu'il soit encore plus excité...