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i was so scared to face my fears (ezion - provincetown)

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Quelques heures avaient suffis à Ezio pour rejoindre Louison à Provincetown. Il avait prit le ferry à la dernière minute pour la retrouver. Il avait laissé son Range Rover sur place pour prendre le bateau, le menant tout droit à sa belle. Une fois sur place, il prit un taxi pour rejoindre l'hôtel où elle semblait résider depuis le début de la journée. Le Quincy ne connaissait pas du tout cet endroit et fut surpris de découvrir les lieux à travers les vitres du taxi. Lui qui représentait la force tranquille, là il n'était pas vraiment rassuré. La conversation qu'il avait eu avec Andrea un peu plus tôt dans la journée ne l'avait pas vraiment aidé. Louison avait sans doute peur, peur de le perdre, peur qu'il se barre du jour au lendemain. Pourtant, il était encore là, à ramer et tout plaquer pour aller la retrouver. Provincetown avait l'air d'être une petite ville très atypique. Ezio arriva rapidement devant le tout petit hôtel. Il fronça les sourcils avant de descendre du taxi en payant la transaction. Il sortit son portable pour vérifier qu'il était au bon endroit. Mais oui, visiblement c'était bien l'hôtel de la frenchie. Sans chercher à comprendre plus loin, il entra à l'intérieur et prit les escaliers sans même adresser un regard à la réceptionniste qui était là. Pour être tout à fait honnête, Ezio connaissait la réputation de cette ville et, avec son allure soignée et impeccable, il se fondrait facilement dans le décor. Mais quoi qu'il en soit, il grimpa au deuxième étage et tapa à la porte. Il regarda à droite à gauche en attendant que Louison daigne venir lui ouvrir la porte. Manquant légèrement de patience, il tapa une deuxième fois sur la porte.

@Louison Chamberlain
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Sur un simple coup de tête, tu étais partie très tôt ce matin prendre le ferry accompagnée de ta chère Billie. L’objectif ? Respirer un bon coup en profitant de l’air frais de Pronvincetown pour remettre tes idées en place. Tu aurais pu le faire tranquillement avec la Mather, mais cette dernière avait dû rentrer en ville assez vite. De ce fait, tu te retrouvais en tête à tête avec toi même au fond de ta chambre d’hôtel. La solitude ne t’avait de toute façon jamais effrayé, bien au contraire. Tu adorais te retrouver seule pour réaliser ce que tu appelais des « mises à jour essentielles ». Paradoxalement, en ce moment, ton souhait le plus cher était pourtant l’attention d’Ezio… Mais les astres ne semblaient pas l’entendre de cette oreille. L’alignement devait vraiment être catastrophique pour vous, ou pour toi en particulier. Quelque chose avait visiblement tourné ces derniers jours, tu espérais néanmoins que cela ne soit qu’une fausse alerte, un passage à vide comme il est parfois normal de traverser. Allongée sur le ventre, tu feuilletais des bouquins de mariage que Suzy t’avait dégoté quelques jours plus tôt, rêvassant à ta propre cérémonie avec une pointe d’angoisse. Et si cela n’arrivait pas finalement ? Tes écouteurs dans les oreilles et ta playlist dramatique activée, tu tournais les pages sans grande conviction jusqu’à ce qu’un coup sourd te fasse ôter ta musique. Avais-tu purement halluciné ? Non, un deuxième coup sourd s'était rapidement fait entendre contre ta porte, te propulsant ainsi sur le sol. Ton coeur battait vite, à la fois à cause de ce bruit qui t’avait fait psychoté mais aussi par le fait de retrouver enfin le Quincy. « J’arrive » Tu avais par la suite traversé la pièce, te faisant chatouiller les pieds par un tapis à longs poils. Puis, tu avais ouvert franchement la porte pour mettre un terme à cette distance. Le manque était tel que tu t’étais aussitôt pendue au col de sa veste pour l’embrasser avec fougue, le tirant par la suite à l’intérieur. Ezio avait ingénieusement fermé derrière vous avec son pied, vous isolant enfin de nouveau à des kilomètres de la jungle Bostonienne « Tu m’as manqué » chuchotas-tu en totale effervescence, lui retirant habilement son manteau pour loucher sur son corps avant de s’attarder sur son visage bien typé « Tu as fait tout ce chemin pour moi…? Tu sais que c'est un piège au moins ? »
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Depuis qu'il la connaissait, Ezio se sentait plus instable que d'habitude. L'impulsivité de Louison l'avait rendu un peu parano, guettant les moindres réactions de sa belle. Il savait qu'elle pouvait clairement péter un câble sans le moindre raison et devenir ensuite un ange attendrissant sans que cela ait le moindre sens. Tapant une deuxième fois à la porte, le bel italien fronça les sourcils. Merde, si ça se trouve, elle lui avait raconté n'importe quoi et était bien tranquillement à la Mather House. Ce serait tellement probable aussi. Il piétina d'impatience avant d'entendre sa voix s'émaner de la porte. Un fin sourire se dessina sur son visage, content de voir qu'il avait eu raison de lui faire confiance. Louison ouvrit à peine la porte qu'elle lui sauta au cou pour capturer ses lèvres. Amusé, Ezio posa sa main libre dans son dos pour la rapprocher de lui. Elle recula, l'obligeant à avancer vers elle. Une fois à l'intérieur de la chambre d'hôtel, il referma la porte avec son pied et posa lourdement son sac sur le côté. « Tu m'as manqué aussi mon coeur. » répondit-il faiblement. Elle lui avait manqué aujourd'hui et les jours précédents. Depuis peu, ils semblaient s'éloigner à vu d'oeil. C'était une situation qu'il avait du mal à accepter et à appréhender. Voilà trois mois qu'ils étaient collés l'un à l'autre, ce récent éloignement lui mettait beaucoup de doutes dans la tête. « Non, j'ai fait tout ce chemin pour découvrir la ville et les drapeaux très colorés qui ornent tous les murs. » dit-il en levant les yeux au ciel. Il passa ses bras dans son dos pour l'enlacer. Son regard se plongea dans le sien. « Je sais, je me doute que c'était un piège mais je m'en fou. J'te suivrais à l'autre bout du monde et j'ferais n'importe quoi pour toi. Donc piège ou non, j'serais venu quand même. » sifflota-t-il entre ses lèvres. Ezio releva la tête et regarda l'intérieur de la chambre. C'était assez petit et simpliste, bien loin du luxe et du confort dans lequel il avait l'habitude d'évoluer. « Tu faisais quoi avant que j'arrive ? » Ses yeux se posèrent sur le lit et sur le catalogue qu'elle était en train de feuilleté. Ezio fronça les sourcils et s'approcha du magazine. « T'as acheté des magazines ? Ça m'étonne de toi. Tu ... Tu as trouvé des choses intéressantes ? » lui demanda-t-il en attrapant le catalogue. Il l'ouvrit sur une page au hasard et vint s'affaler sur le lit, un peu fatigué par les quelques heures de route. « Je peux regarder au moins ? Ou c'est top secret ? » Il laissa échapper un petit rire avant de baisser les yeux sur le magazine.
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Ton coeur était beaucoup plus léger depuis qu’il était arrivé. C’était peut être égoïste de l’avoir traîné ici rien que pour toi mais après tout, n’étais-tu pas en train de devenir sa femme ? Tu disposais de tous les droits, du moment qu’il était consentant bien sûr. « L’ironie Scorsesienne, voilà qui m’avait également manqué » lui avouas-tu avec un sourire gaga avant de lui faire par de tes troubles intentions à son sujet. Si tu l’avais appâté ici, c’était avant tout pour profiter de lui. Cependant, pour une fois, tu n’avais pas de sombres desseins en tête « Hanw, t’es mignon bébé quand tu t’y mets. T’es mon prince charmant tout bronzé même en hiver… » plaisantas-tu avant qu’il ne s’intéresse à tes activités secrètes. « Naaaaaaon j’ai honte, regarde pas celui-ci ! C’est les robes ! » meuglas-tu en te jetant sur le lit les genoux les premiers. Tu avais alors dérobé le bouquin des mains de l’italien en le plaquant contre ta poitrine, les joues toutes rouges. Tu avais toujours été un sale garçon manqué mais ces derniers temps, tu te mettais à te féminiser et à fantasmer sur ta robe de petite princesse « Prends celui-ci, ce sont les thèmes de décorations tu sais… il y a aussi la bouffe, la musique et compagnie » lui proposas-tu en lui tendant un autre magazine au papier glacé et bien vendeur « Hmm déjà, je sais pas si cela va être possible, mais je pense qu’à la mairie cela va être purement administratif, or, je veux un truc plus…profond, je veux un prêtre ou un truc du genre » lui dévoilas-tu en ouvrant la page sur le premier post-it que tu avais collé « Parce que j’aimerais te dire oui devant ton Dieu pour le remercier de t'avoir mis sur mon chemin et de m'avoir donné notre petite crevette » délivras-tu à fleur de peau avant de pointer ton doigt sur la page « Donc, j’aimerais un truc dans ce style ça, pour te balancer mes voeux qui risquent d’être comiques... Donc on le ferait à l'extérieur l'après-midi et ensuite on rentrerait là où tu as choisi...et où j'ai pas encore vu ! » t'excitas-tu en tournant vivement les pages tout en jaugeant les réactions du Quincy « Dis moi si je vois trop grand… Je peux aussi le faire dans une cave hein... Tout ce que je veux c'est t'appartenir. »  
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Ezio était un curieux de nature. Il avait vu ces magazines et en avait prit un au hasard pour y jeter un petit coup d'oeil et voir ce que Louison attendait vraiment de ce mariage. Il ignorait ce qu'elle voulait vraiment. Un grand ou un petit. Un intérieur ou extérieur. Un religieux ou civique. Mais le bel italien n'eut pas le temps de regarder le contenu de la page que la blondinette lui enleva le magazine des mains. « Hé ! » râla-t-il en fronçant les sourcils. « Ah c'est les robes ? Ok, je ne veux pas voir alors. Donne un autre. » Louison vint lui tendre un nouveau magazine où se trouvaient visiblement des idées de lieux et de décoration. « Ouais je sais, il nous reste beaucoup de choses à prévoir. » Rapidement, la petite française s'approcha de lui et vint se confier sur ses envies. Elle n'avait pas tord pour le coup, la mairie s'était purement administratif, aux yeux de la loi mais visiblement elle voulait quelque chose de plus fort et intense. Exactement comme l'était leur relation depuis qu'ils l'avaient commencés. Ezio afficha un mince sourire conquis en entendant sa proposition. Elle était prête à mettre ses convictions de côtés pour remercier Dieu pour leur relation et pour le bébé qui grandissait en elle. « T'es trop mignonne mon coeur. » dit-il faiblement. Son regard se porta sur le page et, aussi surprenant que cela puisse paraître, il vit une allée en extérieur. Fasciné par la proposition de Louison, il contempla le papier quelques instants, vraiment surpris et intrigué. « Non t'inquiète Louison, je t'écoute, j'aime bien t'entendre parler de notre mariage. Je ... Je suis surpris, je ne pensais pas que tu avais fait des recherches comme ça. Je pensais être un peu solo dans mes planifications mais je suis content de voir que ça t'intéresse. » Il tourna son regard vers elle et afficha un mince sourire. Ezio se redressa et se tourna vers elle. « Bon écoute mon coeur, je pensais garder ça secret encore un peu pour te faire une surprise mais je vais te dire le lieu que j'ai réservé pour notre mariage. J'espère que ça va te paire. » Il se leva et alla chercher son tout nouveau portable dans la poche de sa veste. « C'est un lieu qui me tient à coeur ... tiens regarde. » Il lui tendit son portable pour lui montrer la photo du château, ainsi que celle de la salle de réception. « C'est là que mon grand-père s'est marié à l'époque. C'est à 15 minutes de Florence. Il avait choisi ce lieu parce qu'il avait ce petit côté français qui faisait son charme. Je veux qu'on se marie ici bébé. Il y a un grand jardin parfaitement entretenu donc on pourra faire venir un prête pour la cérémonie que tu veux. Ils m'ont dit qu'ils pouvaient mettre de grandes tentes blanches dehors si on veut. » avoua-t-il en espérant vraiment que ça lui plaise. « Je veux que tu ais le mariage dont tu rêve bébé. Du coup, j'ai réfléchis un peu aussi de mon côté et ... On ne va pas faire un gros mariage avec toute ma famille. C'est pas la peine, si on les invite tous, on va être 300 et j'ai pas envie de ça. Donc il y aura que mes parents, mes grands-parents, mon oncle et ma tante, mes cousines et nos amis ... Je sais que tes parents ne pourront pas être présents et hum ... tu as le droit d'avoir un semblant de famille aussi alors, la mère d'Andrea s'est proposée de t'accompagner tout au long du mariage. Tu lui as vraiment plus et elle veut s'investir dans notre union, elle voudrait vraiment être comme une mère pour toi. Le prends pas mal bébé, elle veut remplacer personne, juste prendre sa place le temps d'une journée pour pas que tu te sentes seule .. J'savais pas trop comment te le dire, si ça allait te plaire ou non. » avoua-t-il, un peu craintif de la réaction de Louison. Ezio prit nouveau place aux côtés de sa chérie, lui prit les mains et afficha un sourire sincère.
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Ezio était un planificateur. Le type de mec qui prenait les devants en permanence, qui adorait avoir le contrôle intégral sur tout. Si pour toi c’était aussi le cas par le passé, en le rencontrant intimement, tu avais su écraser tes désirs d'organisation pour le laisser te guider. Toutefois, pour le mariage, tu avais aussi ton mot à dire ! Il était assez difficile de s’imposer face à la perfection de l’italien sur ses capacités de programmation mais il pouvait être assez compréhensif parfois. « Hé, je sais que t’adore tout contrôler mais laisse moi de la place ok ? Je suis à fond dans cette histoire, arrête de me prendre pour une grosse je m’en foutiste ! » râlas-tu en croisant tes bras sur tes seins avant de le laisser te divulguer ce qu’il avait déjà concocté « Non mais t’es pas possible… J’allais découvrir le jour-j où nous allions passer notre mariage ? » l’interrogeas-tu sans réellement attendre de réponse puisque cette dernière était finalement venue à toi. Ezio t’avait en effet tendu son téléphone avec des photos du lieu qu’il avait réservé pour vous deux, un lieu chargé d’histoire familiale. Agrippée à son portable, tu bavais presque sur l’écran tout en écoutant les souhaits du brun « C’est parfait, j’aime beaucoup. L’idée des tentes aussi… Merci mon coeur » déclaras-tu en t’imaginant déjà dans ta robe blanche et à son bras. Néanmoins, tu avais aussitôt abandonné le téléphone lorsqu’Ezio t’avait parlé de la mère d’Andréa. Cela te mettait plus que mal à l’aise. Tu ne l’avais croisé que deux ou trois fois pour un total de deux heures de rencontre. Les mains enveloppées dans celles du Quincy, tu avais longuement expiré l’air captif dans tes poumons tout en lui lançant ton regard désapprobateur. « C’est gentil à elle mais… j’ai rien demandé. » soupiras-tu en haussant tes épaules. « Mes amies seront là pour tenir ma robe aux toilettes, j’veux pas que cela soit une inconnue moi… Après elle peut se mêler à mon petit comité VIP mais elle a genre 30 ans de plus qu’elles… Je l'aime bien mais je la connais pas du tout. Et puis, c’est pas un homme qui doit m’amener jusqu’à l’autel ? Je veux ton papy moi ! » terminas-tu par avouer en explosant de rire. Tu t'étais alors laissée basculer en arrière sur le lit, les mains sur ton ventre. Martin Scorsese et Louison Chamberlain. Inimaginable. « Et tu connais des musiciens ? » relanças-tu tout en faisant voltiger tes gambettes dans les airs. Tu espérais simultanément qu'il n’ait pas mal pris les limites que tu souhaitais maintenir avec la mère d’Andréa. C’était juste trop tôt, trop étrange. Tu avais ensuite pivoté ta frimousse vers le brun qui était allongé de profil, en ta direction « Pardon… » avais-tu fini par murmuré en roulant tout contre lui pour attraper sa nuque et plonger tes prunelles dans les siennes. C'était sorti de nulle part et Ezio n'allait sûrement pas comprendre mais cela te démangeait trop. « Pardonne-moi chéri » répétas-tu en t’emparant de ses lèvres avec une extrême douceur. Ton souffle s'accélérait vite et tes pensées perverses s'entrechoquaient. Tu avais alors rompu ce baiser pour ne pas déraper, retrouvant ainsi son visage qui t'ensorcelait depuis quelques mois déjà « Je te regarderais toujours comme je te regardais à Rome, toujours. » chuchotas-tu en faisant référence à votre dernière altercation.
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Ouais bon, pour le coup, Ezio avait envisagé beaucoup de choses. Il n'aimait pas laisser le hasard s’initier dans sa vie. Il avait besoin d'être en contrôle permanence sur tout et tout le monde. Il proposa à Louison la compagnie de la mère d'Andrea pour combler un peu l'absence de sa famille. D'une part parce qu'il trouvait l'initiative assez touchante et d'une autre part parce qu'il ignorait si cela allait lui plaire ou non. La réponse de la blondinette ne se fit pas trop attendre et, comme il pouvait s'en douter, elle déclina la proposition. Le Quincy afficha un mince sourire, conquis. « Tu veux carrément que Martin Scorsese en personne t'accompagnes à l'autel le jour de ton mariage ? » Il marqua une petite pause et fit mine de réfléchir avant de rigoler légèrement. « Il en sera honoré, j'en suis sur. » avoua-t-il en venant s'allonger non loin d'elle. Ezio la regarda faire de même et bouger ses jambes dans tous les sens. Ses yeux se posèrent instinctivement sur son ventre. « Non, je ne connais pas de musiciens, et toi ? » Ezio n'avait pas pensé à la musique, ni à la bouffe d'ailleurs. Étonnant d'ailleurs, connaissant la nature vorace et affamée du jeune homme. Louison s'approcha de lui et vint se blottir contre son corps. Elle plongea son regard dans le sien et s'excusa. « De ? » Ses sourcils se froncèrent mais son visage se détendit rapidement lorsqu'elle s'avança pour capturer ses lèvres. Le bel italien se laissa transporter par ce baiser tendre et intense. C'était si bon de la retrouver et de pouvoir de nouveau la toucher comme s'il ne s'était rien passé les derniers jours. Leurs lèvres se séparèrent presque à contre coeur. « Pourquoi tu t'excuses bébé ? » murmura-t-il en venant caresser doucement ses cheveux. Contre toute attente, Louison fit référence à la discussion qu'ils avaient eu quelques jours plus tôt. Touché au plus profond de son être, l'italien afficha un mince sourire. « Oh bébé ... » Il déposa un chaste baiser sur ses lèvres. « Il t'aura fallut quatre jours pour me répondre ? » dit-il sérieusement avant de rigoler. « Ca va, j'plaisante. » Il se redressa et prit appui sur son coude pour suspendre son visage au dessus du sien. « J'suis content que ça s'arrange entre nous, j'aurais pas supporté de te perdre ... » dit-il en posant sa main sur le bas de son ventre. Il vint la passer sous son t-shirt pour caresser sa peau nue. Ezio se pencha vers l'avant pour l'embrasser tendrement. Une fois le doux baiser terminé, il se redressa et vint se décaler pour se positionner juste devant son ventre. Presque timidement, il releva le t-shirt de la blondinette pour dévoiler son petit bidon. « ... et de le perdre. » Il reporta son attention sur son ventre avant d'y poser ses lèvres. Ezio posa sa tête délicatement pour venir la câliner et pourquoi pas écouter ce qu'il se passait à l'intérieur. Le Quincy voulait être présent pour sa future femme et son futur enfant. Ses yeux se levèrent vers Louison et il rigola faiblement. « J'entends rien. » articula-t-il sans émettre le moindre son. Il redressa sa tête et prit appui sur ses deux coudes.  « Il mio amore, ça ne va pas te plaire ce que je vais te dire mais ... il y a deux jours quand tu t'es changée devant moi, j'ai trouvé que ça commençait à se voir un tout petit peu. » Ezio trouvait ça vraiment adorable mais il craignait une énième réaction excessive de sa part. Louison voulait la grossesse sans le gros ventre et les gros seins, c'était pas gagné.  « Tu veux qu'on appelle mon papy pour lui dire pour notre mariage ? » Il changea rapidement de sujet, ne voulant surtout pas perdre ce moment de complicité qu'ils étaient en train de vivre, tous les deux. Enfin, tous les deux et demi.
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« Oui, je veux Martin, il me fait penser à mon propre papy… et je me sens bien avec lui » lui avais-tu répondu en faisant gigoter tes jambes dans les airs. Tu avais aussitôt bifurqué sur un autre détail du mariage pour faire oublier l’histoire de la mère d’Andréa. Ezio ne l’avait pas forcément soulevé ce qui te rassurait dans un certain sens. Tu espérais seulement qu’il ne cachait pas sa déception. « J’ai une tête à connaître du monde ? Je m’appelle Chamberlain, pas Scorsese » répliquas-tu avant de fermer ponctuellement le sujet du mariage pour revenir sur votre dispute d’il y a quelques jours. Le Quincy s’était alors moqué de toi ce qui lui avait valu une légère tape sur son torse ainsi que ton regard consterné. Quand il s’était ensuite suspendu au dessus de toi, tu t’étais adoucie en buvant ses paroles tout en tripotant ses joues. Tu ne te lasserais jamais de cette proximité, et tu voulais continuer de ressentir ces battements indomptables qui te réchauffaient en sa présence. Quand il était descendu à ton ventre pour faire référence à sa crainte de perdre le petit bout qui y grandissait, tu avais glissé tes doigts dans sa chevelure tout en plissant tes yeux. « Tu nous perdras jamais si tu restes tel que tu es » lui signalas-tu avant de frémir sous ses lèvres. Ezio pouvait quelques fois être enfantin quand il s’y mettait. En effet, lorsqu'il avait apposé son oreille contre ton ventre, l’italien n’avait forcément rien entendu à part peut être le croissant que tu digérais. « Bientôt tu pourras le sentir chéri, ce sera un bagarreur comme sa mère » chuchotas-tu avant de croiser le regard du beau brun qui te fixait en contre bas. Et là, la phrase tant redoutée avait été prononcé et aussitôt balayée comme si tu n’allais pas la relever. Néanmoins, pour une fois, tu n’étais pas en colère, du moment que cela ne rebutait pas le Scorsese. « Ça se voit déjà ? J’en suis qu’à un petit mois je crois… tu me goinfres trop aussi. Mais ça ne me dérange pas forcément. J'ai hâte de pouvoir dire aux curieux "J'attends cet enfant de mon mari qui soit disant passant est le plus bandant de la Terre" » rigolas-tu en lui faisant signe de remonter au dessus de toi « Attends ? Martin ne sait pas que l’on va se marier en février là ? » l’interrogeas-tu en faisant skier tes mains sur son dos pour terminer sur ses fesses « Hé bébé, je crois que j’ai pété mon câble, j’sais même plus à qui j’ai proposé d’être mon témoin, je crois que je vais en avoir dix mille. Puis ça me fait de la peine pour Camille parce qu’il est vraiment con mais c’est un peu mon frère… Tu veux pas lui donner une petite chance ? » lui demandas-tu en serrant tes dents comme si tu t’attendais déjà à recevoir un ouragan en pleine tronche. Tu avais ensuite volé un baiser à ton homme en lui offrant un sourire forcé « Je te ferais des tonnes d’enfants et je m’occuperais de toi touuuuuute ma vie. Je te ferais l’amour tous les soirs, je…eum, je me mettrais aux fourneaux et je te donnerais mon cul » finis-tu par avouer en contenant un rire nerveux.  
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Heu. Non. A choisir, il préférait que leur futur enfant n'ait pas le caractère impulsif et incontrôlable de Louison. C'est ce qu'il faisait son charme, au début mais là, c'était plus pénible qu'autre chose. Ezio aimait ce côté disjonctée et imprévisible qu'elle avait mais au quotidien, cela devenait rapidement un fardeau à porter. Il l'aimait sa petite française mais subissait, bien trop souvent, ses crises. Il marmonna un « hm » pas vraiment convaincu avant de se redresser légèrement pour la regarder et lui avouer que sa grossesse commençait à se voir, un tout petit peu. Ezio rigola en entendant sa réponse. Bon, il avait évité la crise de nerfs, c'était déjà ça. « Ça se voit un peu ouais, c'est surement parce que je le sais que je le vois. Au dessus de tes fringues on voit rien du tout si ça peut te rassurer. Ah ça ne te dérange plus ? J'ai le souvenir d'une Louison en pleure parce qu'elle ne voulait pas prendre un gramme. » lança-t-il en espérant lui faire comprendre que ses réactions étaient parfois démesurées. Bon, là c'était surement à cause des hormones donc il lui pardonnait, bien évidemment. « Le mec le plus bandant du monde, j'aime bien ce statut. » répondit-il en se relevant pour se rapprocher de nouveau d'elle. Ezio vint se poster à côté de sa blondinette et vint quémander de nouveau sa présence. Il voulait s'enivrer de leur proximité et retrouver la bulle qu'ils s'étaient formés à Rome. Louison fut surprise d'apprendre que son papy n'était pas au courant qu'ils se mariaient dans quelques mois à peine. « Bah non il ne le sait pas et mes parents non plus ... tu débarques d'où là ? Je te l'ai dit trois fois déjà Louison. » soupira-t-il. Ezio ne savait pas trop comment en parler à ses parents. Avec Martin, ça ira tout seul mais avec ses propres géniteurs, c'était une toute autre histoire. Il songea à ça quand la blondinette le coupa net dans ses pensées. Il fronça les sourcils en l'écoutant parler. Dès les premiers mots, il savait que la suite n'allait pas lui plaire. Louison voulait absolument que son pote soit le témoin de leur mariage. Ezio vint déglutir avant de se redresser en mettant une certaine distance entre eux. Il inspira longuement avant de prendre la parole, un peu perplexe face à ce qu'il venait d'entendre. « T'es prête à vendre ton cul pour qu'il soit le témoin de notre mariage. Ecoute Louison, j'veux bien être gentil et faire tous les efforts du monde mais là j'suis pas d'accord. Le mec il m'a jugé sans me connaître, il m'a agressé sans prendre la peine de réfléchir, il s'est permit de remettre notre couple en doute en se basant simplement sur ce que tu lui as dit. Ah bah j'me doute que tu as dû lui raconter beaucoup de choses pour qu'il vienne me parler comme ça. Depuis le début je cède à absolument tous tes caprices, je fais d'énormes sacrifices pour toi, des sacrifices que je n'aurais jamais cru faire un jour. Mais là c'est non Louison. C'est contre mes principes. Non. Je ne veux pas qu'un mec comme ça soit témoin devant toute ma famille, c'est même plus une question de fierté là, c'est une question de respect. » grogna-t-il, excédé qu'elle remette ça sur le tapis. Ezio était droit avec lui-même. Non, c'était non.
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En arrivant ici, tu avais décidé de prendre un tout nouveau départ et de tempérer ton caractère tout feu tout flamme. Tu croyais qu’Ezio en était tombé amoureux mais plus le temps passait, plus les sous-entendus pleuvaient à ce sujet et tu te rendais malheureusement compte qu’il en était à saturation. Une fois de plus le Quincy avait fait une allusion à ton comportement de bipolaire en puissance mais tu n’avais pas relevé. Tu t’étais simplement satisfaite d’un petit « Pffff » avant de le flatter comme il adorait. De toute façon, ce type de démonstration ne t’arrachait pas le coeur, bien au contraire. Tu aimais lui faire des compliments, ça le faisait péter encore plus haut. C'était parfois lourd mais pour ta part, c'était de ça que tu étais tombée amoureuse. De sa lourdeur à sa dévotion extrême.

De fil en aiguille, tu avais appris l’ignorance dans laquelle se trouvait encore sa famille pour votre mariage « Non mais je croyais que tu blaguais… T’as peur de tes parents ? Ils vont pas venir tu penses ? » lui demandas-tu en grimaçant. Tu redoutais ses géniteurs, pas sur le fait qu’ils pouvaient te détester, mais plutôt sur le fait qu’ils pouvaient lui faire du mal sans s’en rendre compte. Étant donné que vous parliez d’ailleurs des invités, tu t’étais permise de remettre sur le tapis le statut de témoin de Camille. Une fois de plus, ta demande n’avait pas été accepté et avec un effort gigantesque tu t’étais freinée pour éviter une dispute supplémentaire. Tu avais opté pour un peu de distance, histoire de te recentrer et d’être plus objective dans ta réponse. Tu t’étais alors approchée de la fenêtre pour observer le paysage paisible à l’extérieur. Inspire. Expire. Mets toi à sa place. « D’accord. » articulas-tu en hochant de la tête nerveusement. Ton regard était hypnotisé par un petit bateau qui prenait le large et par la trace qu'il laissait sur son sillage. C’était dommage, mais Camille avait sûrement fauté et dépassé la limite pour Ezio. Tant pis pour lui, tant pis pour toi. S’il pouvait déjà être assis quelque part, c’était pas mal. « Bon, alors on a la salle, on a à peu près les témoins. Tu t’occuperas du prêtre et de la cérémonie en extérieur ? » lui demandas-tu en te retournant de nouveau avec un sourire de pacotille. T’étais brisée intérieurement parce que Camille n’arrêtait pas de te demander d’être son témoin sauf que maintenant c’était absolument cramé et il allait falloir lui avouer « Je chercherais la musique. Je me rends compte que je ne sais même pas du tout ce que tu écoutes à par tes trucs typiquement italiens. Il nous faut aussi le traiteur, et une magnifique pièce montée avec nous tout en haut. J’crois qu’on devrait passer Noël en Italie pour travailler tout ça… T’en penses quoi ? » lui proposas-tu en grimpant de nouveau sur le matelas pour t’asseoir contre la tête de lit, silencieuse et fuyante. Tu n'étais plus aussi chaleureuse qu'au début, tu n'osais même plus l'effleurer. T'étais coincée de ton côté et une limite invisible vous séparait. Présentement, tu avais l'impression de vérifier une putain de liste de course, sans aucune émotion alors que tu parlais du plus beau jour de ta vie. Resaisis-toi blondie. Tout ce qui compte, c'est lui. Tu ignorais encore ce qui te valait cette force pour balayer ta nature et tes pensées mais grâce à elle, tu t'étais permise d'embrasser furtivement la joue du brun à tes côtés tout en retrouvant rapidement ta position d'origine. La tête bien droite, tu fixais le mur d'en face comme si tu n'avais rien fait. Néanmoins, un sourire timide avait percé tes lèvres lorsque tu avais senti son regard se déposer sur toi. « Quoi ? Me regarde pas. J'sais que tu me regarde. » lui lanças-tu tout en faisant un effort considérable pour ne pas céder et croiser ses prunelles.
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