Invité
est en ligne
Invité
Ewen De Suède-S & Oliver Matthiew Davis
Tout est gravé quelque part sur ma peau
Tell'ment qu'j'en ai les bras
Comme des romans-photo
Frissonnant fortement à la pause du stencil froid, je ne peux pas m'empêcher de sourire comme un débile. Ça fait un moment que je ne me suis pas fait tatouer. Une grosse pièce, je veux dire. Et je vais peut-être paraître maso, mais en vrai, je préfère les tatouages qui me font passer plusieurs heures sur la chaise. Un peu comme si des tatouages comme celui à mon poignet et ma clavicule me laissaient sur ma faim. Weird, i know.
Vous méprenez pas par contre : j'adore mon tatouage en commun avec ma cousine. Surtout pour tout ce qu'il représente entre nous. Les petites iconiques sur mes doigts aussi, ils sont même parmi mes préférés. La clavicule, c'est plus discutable, mais ça représentait beaucoup à l'époque. Très professionnel, Ewen me demande si ça va comme positionnement et m'explique que si ce n'est pas le cas, faut le dire maintenant. Je sais ça. Déjà que je lui demande de faire des lignes droites et des motifs complexes sur ma hanche, j'irai pas empirer la difficulté.
- Attends, je vais voir, signifiais-je avant de me lever et de faire les quelques pas qui me sépare du miroir plein-pied.
Me tenant droit, j'observe ou tombe un peu tout, penche un instant la tête tandis que je détaille le stencil. Même en stencil, ce design me fait baver!
- Parfait! Fis-je en me tournant vers mon colocataire.
Tenant la serviette, je me réinstalle comme je l'étais, m'assurant de ne pas le flasher sans le vouloir. Ça va, si je veux me la montrer, j'irai voir quelqu'un d'autre que le viking avec qui je partage ma chambre! Le regardant faire un instant, je reste silencieux pour ne pas briser sa concentration. Ce n'est qu'une fois qu'il s'installe au-dessus de la zone de travail que je me permet de parler.
- Tu peux prendre une pause si tu veux, mais normalement, je devrais pas avoir de problèmes à tenir toute la séance en continue, lui indiquais-je.
Au pire, je lui dirai si j'ai un problème. Tressautant au premier passage de la machine, j'échappe un léger rire. C'est toujours comme ça : les premiers traits, les muscles se crispent, puis, petit à petit, je ne bouge plus et dans une heure, je pourrais bien dormir. Je l'observe un moment, mais on se cachera pas, c'est pas la meilleure des positions pour faire ça, je vais finir par loucher fortement et me flanquer mal de tête si je continue. Alors quand il lance sa musique, je me laisse retomber sur mon lit pour attraper mon carnet de dessins et gribouiller tandis que l'encre pénètre mon épiderme.
Vous méprenez pas par contre : j'adore mon tatouage en commun avec ma cousine. Surtout pour tout ce qu'il représente entre nous. Les petites iconiques sur mes doigts aussi, ils sont même parmi mes préférés. La clavicule, c'est plus discutable, mais ça représentait beaucoup à l'époque. Très professionnel, Ewen me demande si ça va comme positionnement et m'explique que si ce n'est pas le cas, faut le dire maintenant. Je sais ça. Déjà que je lui demande de faire des lignes droites et des motifs complexes sur ma hanche, j'irai pas empirer la difficulté.
- Attends, je vais voir, signifiais-je avant de me lever et de faire les quelques pas qui me sépare du miroir plein-pied.
Me tenant droit, j'observe ou tombe un peu tout, penche un instant la tête tandis que je détaille le stencil. Même en stencil, ce design me fait baver!
- Parfait! Fis-je en me tournant vers mon colocataire.
Tenant la serviette, je me réinstalle comme je l'étais, m'assurant de ne pas le flasher sans le vouloir. Ça va, si je veux me la montrer, j'irai voir quelqu'un d'autre que le viking avec qui je partage ma chambre! Le regardant faire un instant, je reste silencieux pour ne pas briser sa concentration. Ce n'est qu'une fois qu'il s'installe au-dessus de la zone de travail que je me permet de parler.
- Tu peux prendre une pause si tu veux, mais normalement, je devrais pas avoir de problèmes à tenir toute la séance en continue, lui indiquais-je.
Au pire, je lui dirai si j'ai un problème. Tressautant au premier passage de la machine, j'échappe un léger rire. C'est toujours comme ça : les premiers traits, les muscles se crispent, puis, petit à petit, je ne bouge plus et dans une heure, je pourrais bien dormir. Je l'observe un moment, mais on se cachera pas, c'est pas la meilleure des positions pour faire ça, je vais finir par loucher fortement et me flanquer mal de tête si je continue. Alors quand il lance sa musique, je me laisse retomber sur mon lit pour attraper mon carnet de dessins et gribouiller tandis que l'encre pénètre mon épiderme.
(Invité)