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in the end, everyone leaves (ezion)

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Ezio peinait à digérer la nouvelle. Il ne s'attendait tellement pas à devenir papa tout de suite, la question ne lui avait même jamais effleuré l'esprit. Même quand elle lui avait demandé son avis, quelques semaines plus tôt, il n'avait relevé, prenant cette question un peu à la rigolade. Les mains posées sur son ventre, l'italien avait, encore une fois, pété un câble et suivit son impulsivité. Pourtant, il n'était pas du genre à agir sur un coup de tête mais depuis qu'il connaissait Louison, il avait changé. Du tout au tout. « J'suis aussi taré que toi, tu déteins sur moi. » dit-il faiblement, avec un large sourire sur ses lèvres. Son regard détaillait son doux visage tandis qu'il n'eut pas longtemps à attendre avant d'avoir la réponse de sa fiancée. Elle acceptait. C'était fou, complètement fou. La petite Mather était toute sa vie à présent, il ne se voyait plus sans elle et, ensemble, ils allaient avoir un enfant. Alors pourquoi attendre. Une vague de soulagement vint l'envahir lorsqu'elle lui fit part de sa réponse. Elle était pour unir sa vie à la sienne. Ezio resta ensuite silencieux lorsqu'elle descendit de ses genoux. Il la regarda lui confier ses doutes et ses interrogations, ne pouvant s'empêcher de regarder le ventre très plat de Louison. « Ne t'inquiète pas Louison, ma famille ne me renierait pas si jamais notre enfant venait au monde sans mariage. C'est pas le déshonneur sur les Scorsese, il faut vivre avec son temps ... mais c'est vrai qu'on est assez conservateur des cultures dans ma famille. Et moi aussi en quelque sorte, je veux fonder une vraie famille avec toi, je veux qu'on fasse les choses bien. Bon c'est vrai qu'on a tout précipité mais ça ne nous empêche pas de faire ça bien. Je te veux jusqu'à la fin de mes jours et je veux que tout le monde le sache. » dit-il avec sincérité, en la regardant de loin se déshabiller. Louison était si belle. Encore perturbé de la façon dont les choses s'étaient déroulées, le Quincy n'osait plus bouger de sa place sur le lit, il restait en retrait, à la contempler. « Père dans neuf mois ? Non pas vraiment en fait, personne n'est vraiment prêt pour ce genre de chose ... surtout quand c'était pas prévu. Mais y'a pas de raison qu'on y arrive pas. Allez, viens là. » dit-il en tendant son bras pour qu'elle vienne le rejoindre sur le lit. Louison vint s'allonger derrière lui. Ezio enleva ses chaussures et son pull, pour venir s'allonger à côté d'elle. « Rien ne t'empêche de continuer tes études bébé ... Neuf fois, ça fait quoi ça, fin juin ? Tu peux éventuellement suivre les cours jusqu'à ce que tu ne puisses plus, passer tes exam début mai. Et si jamais tu n'arrives plus à suivre, tu peux redoubler. Tu es jeune, tu as le temps, ta thèse tu peux toujours la faire, si ça te tient à coeur, il ne faut pas que tu abandonnes tes rêves. » lança-t-il en caressant ses cheveux tendrement. Il s'approcha d'elle et déposa un tendre baiser sur son nez. « C'est vrai qu'on est encore que des étudiants mais ... rien ne m'empêche de trouver un travail. Tu sais bien que j'suis là en mode touriste, je suis des cours qui me plaisent mais qui ne me passionnent pas. J'ai jamais rien foutu de ma vie à part glander et voyager, il peut être temps pour moi de me trouver un boulot ... C'est peut être l'occasion pour moi de mûrir un peu nan ? » Ezio lâcha un petit rire. Il ne quittait pas ses yeux, il était bien à ses côtés, la retrouver était ce qu'il pouvait espérer de mieux. « J'veux pas que tu t'inquiète pour notre avenir ok ? On est à deux, on ne manque pas d'argent, on va s'en sortir, je te le promets. Ai confiance en moi, en nous. » Et puis, attiré vers cette nouvelle petite chose dans le ventre de Louison, il posa une main sur son ventre et afficha un sourire un peu gêné. « T'as mal ? Comment tu t'sens alors ? » lui demanda-t-il, curieux. Ezio voulait tout partager avec elle et ne voulait pas se contenter que des bonnes choses.


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Parfois, tu jalousais un peu Ezio et ses principes. Toi, tu en étais totalement dénué. Tu avais grandi en petite sauvage, dans les campagnes ou sur Paris avec des grands-parents qui avaient rangé leur parentalité depuis de nombreuses années. Tu t’étais forgée toi même, selon ce que ton coeur te disait, ainsi, les coutumes, les rituels et tout ce bazar n’existaient pas chez toi. Cependant, tu comprenais que pour le Quincy, certaines choses avaient de l’importance. « Tu peux pas savoir à quel point j’ai aussi hâte que tu montres à tout le monde que tu me veux pour l’éternité » murmuras-tu en enfilant ta nuisette tout en continuant de te confier au brun, sans filtre. Beaucoup d’interrogations te démangeaient, tu étais aussi friande de connaître son point de vue à lui. Une fois habillée pour la nuit, tu avais rejoint ton fiancé qui te faisait signe sur le pieu. Fébrilement, tu t'étais repliée contre lui et tu avais glissé tes doigts sur ses abdominaux pendant qu’il caressait ta petite tête blonde. « Je vais accouché en juin ? Non pas possible, je voulais aller en Russie j’t’ai dit, je voulais supporter les français et voir les italiens perdre bien entendu… Pfff Et pas question que je redouble ! Même pas envisageable nan nan » ta fierté en prendrait sûrement un coup. L’échec, tu n’y avais jamais encore été confronté et tu ne souhaitais pas que cela commence cette année. Alors que tu t'emportais comme d'habitude, Ezio te stoppa net dans ton élan par un baiser étrangement placé. Le nez ? Tu avais souri illico en mordillant ta lèvre, l’embrassant à son tour sur son museau. Qu’est-ce qu’il t’avait manqué… Malheureusement, ton moment de quiétude s’était rompu en écoutant les hypothétiques projets d’Ezio. Choquée, tu avais aspiré de l’air bruyamment « Han » tu t’étais ensuite positionnée sur tes genoux, en le dévisageant « Qu’est-ce que tu racontes là ? Ezio ! Je ne veux pas que tu entres dans la vie active, j’sens qu’il va y avoir une coupure trop forte, j’ai peur… Je te veux sur le campus avec moi… Non mais je… je m’inquiète pour notre avenir que tu le veuilles ou non. Tu vas faire quoi ? Si tu trouves même pas ta voie dans les études, qu’est-ce que tu vas faire sur le marché de l’emploi hein ? » il ne manquait plus que cela maintenant. Après ce florilège d’interrogations, tu t’étais de nouveau couchée contre lui tout en fermant les yeux « Ton nom t’aidera sûrement » dis-tu faiblement avant d’être assaillie par la main de ton futur époux sur ton ventre. Ce contact t’avait fait rouvrir les paupières, et face à la bouille émerveillée du Quincy, tu avais décidé d’abandonner ces discussions pour le moment, pour profiter de cet instant si rare « Parfois… ça tire un peu ici et là mais c’est supportable. C’est juste les nausées le plus chiant. Sinon, pour le moment je crois que je suis un peu dans le déni. J’arrive pas à concevoir que quelque chose vit en moi, c’est dingue... Mais tu sais quoi ? Je suis heureuse. Je suis à côté de toi, mon petit bébé… Putain j’ai déconné… j’ai cru te perdre tout à l’heure… j'veux plus jamais que tu me regardes de cette manière. Mon coeur il a eu super bobo et celui de notre fils aussi. Oui, parce que je veux aussi un petit garçon  » tu n’en pouvais plus de te contenir depuis que vous vous étiez retrouvés dans la même pièce. En appuyant légèrement sa main sur ton ventre habité, tu t’étais précipitée sur sa bouche pour l’embrasser avec la plus grande des passions. « Je t’aime, je t’aime et je t’aime » répétas-tu en le recouvrant de baisers. Son front, ses joues, son nez et bien évidemment sa bouche y étaient passés. « J’ai envie de toi mais je vais me freiner. Je suis tellement contente que j'ai envie de pleurer, logique tu vois... »
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Visiblement, la question du mariage semblait être réglé. Ils allaient sauter le pas dans peu de temps, peut-être avaient-ils trop attendus, peut-être que l'union sacrée pourrait être la réponse au manque de confiance de Louison pour lui. Ezio était rassuré de savoir qu'elle ne l'avait pas trompé et, qu'en plus, elle voulait unir ses jours aux siens. Il était aux anges et n'aurait pas pu espérer de si belles retrouvailles. Allongé aux côtés de sa belle, il afficha un mince sourire lorsqu'elle fit référence à la Russie. Ah non, ce n'était plus possible maintenant. Elle pourra regarder les italiens gagner, uniquement à la télévision. Et puis, la conversation dériva sur un sujet beaucoup plus lourd, plus sensible. Leur avenir. « J'en sais rien ... Tu sais je me fais chier à Harvard. Alors ouais c'est sympa, j'aime bien ce que je fais mais sans plus tu vois. Je vais en cours parce que je ne sais pas quoi faire d'autre. Y'a bien un domaine dans lequel je suis doué ... Je ne peux pas m'empêcher de penser à tout ça. Imagine, qu'est ce que le bébé va penser de moi, il faut que je nous assure un avenir parce que l'argent qu'on a n'est pas vraiment à moi. Enfin si, c'est à ma famille mais, je ne le mérite pas. Peut-être que j'devrais étudier l'offre que mon papy m'a faite. » lui répondit-il, un peu sonné par cette prise de conscience un peu brutale. Louison vint se coller de nouveau à lui. « Ouais, mon nom ... » murmura-t-il avant d'inspirer longuement. Ezio dériva le sujet sur le bébé, en posant sa main sur son ventre. Il était curieux et voulait en savoir plus. Lui, il ne pourrait jamais comprendre ce que ça faisait de faire grandir un petit être en lui. Alors il se devait de poser un maximum de question pour la soutenir, pour partager la grossesse de sa future femme. Les mots que Louison vint employer lui souleva le coeur, il était touché de la dureté et de l'intensité de ses paroles. « J'suis désolé bébé mais j'ai vraiment cru que tu m'avais trompé et, comme tu as pu le voir, je ne l'aurais pas supporté. J'ai ... » Il vint sourire bêtement. « Ça m'fait bizarre ce que tu dis. J'arrive pas à imaginer que dans quelques mois on va être trois. Toi, moi et ce truc qui grandit en toi. C'est merveilleux ... Et en plus tu veux un petit mec, alors là, c'est encore mieux. Bon, si on a une fille c'est bien aussi mais ça me plairait bien un garçon. » avoua-t-il, l'air enfantin. Ezio était comme émerveillé par la situation, il gardait sa main sur le ventre de sa promise, parce que ça l'intriguait énormément. Louison remonta légèrement et vint l'embrasser partout sur le visage. « Moi aussi je t'aime, il mio amore. » Il se mit à rire lorsqu'elle vint lui dire qu'elle avait envie de lui. « C'est peut-être pas raisonnable, en effet. Mais pleure mon coeur, au contraire, tes hormones te travaillent et ... on vient quand même d'avoir beaucoup d'émotions d'un coup là. C'est normal de vouloir pleurer parce que t'es heureuse. Moi aussi j'suis un peu ému là ... Bon j'vais pas me mettre à chialer mais le fait qu'on va avoir un bébé, ça me bouleverse un peu, j'avoue, ça m'angoisse mais me rend heureux. Vas-y ... ça joue sur mes hormones à moi aussi ou quoi ? » Il rigola avant de se redresser légèrement, s'appuyant sur son coude pour se tourner vers elle. Ezio était très ému, c'était visible, il avait le regard très légèrement brillant. « Autant qu'on en parle de suite ... J'crois qu'au début, le risque de le perdre est énorme, nan ? » lui demanda-t-il. En vrai, il n'y connaissait rien du tout mais préférait être prévenant et se protéger en quelque sorte.
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Le temps s’écoulait très vite depuis que tu l’avais rencontré. C’était sûrement bon signe, cela prouvait que ces moments en sa compagnie n’étaient pas chiants et infiniment longs. Au contraire, ils paraissaient bien trop courts de par leur richesse. Ouais, le temps passait vite et il fallait probablement réfléchir dès maintenant à l’après, quand ce petit bout, fille ou garçon respirerait pour la toute première fois. Car votre situation était encore bancale… Vous étiez encore étudiants et tu comptais bien poursuivre afin d'obtenir un diplôme. Néanmoins, pour Ezio, tout était différent. Ses projets ne t’enchantaient guère, encore moins cette perte de confiance soudaine que tu avais perçu à travers ses confessions « Tu excelles dans pleins de choses, il faut juste réfléchir à celle que tu aimes le plus. Notre enfant admirera son père, je me fais pas de soucis pour ça, j’en serais jalouse je le sais déjà. Et tu ne seras jamais seul. Je travaillerais aussi, je ne veux pas devenir une femme au foyer. Surtout pas. Réfléchis y oui… » dévoilas-tu en prenant bien soin de camoufler ton angoisse. Cette discussion n’était pas close mais pour l’heure, d’autres interrogations bien plus intéressantes titillaient ton beau brun. Malheureusement, tu n’arrivais pas toi même à expliquer ce qui se produisait en toi. C’était encore tout nouveau, tout mystérieux. Tu ne sentais pas grand chose, juste des symptômes ici et là qui s’apparentaient à des tas de petites maladies bénignes que tu avais rencontré par le passé, rien de plus. De fil en aiguille, tu étais passée à cette peur qui t’avait paralysé quelques minutes plus tôt. Son regard, ses propos, la violence qu’il avait utilisé pour t’écarter étaient encore présents en toi. Certes, tu avais cependant été un peu vache en intégrant l’haricot qui grandissait à toi dans ta peine, mais tu voulais qu’il prenne dorénavant conscience de la situation dans sa totalité, avec cet enfant entre vous. Ses réactions étaient de toute manière encourageantes, rassurantes et ta méfiance s’en était d’ailleurs allée « Oui, on va être trois mon amour. Il va saccager tout ton petit monde parfait celui-ci. » Dans une vague de chaleur et d’émotion, tu avais ensuite recouvert le visage de ton homme de baisers, beaucoup trop heureuse d’être épaulée à ce niveau là. Et voilà, les larmes étaient remontées alors que tu avais en même temps envie de lui. C’était terrible, incontrôlable. Tu ne t’étais pas permise de chialer de bonheur depuis cette annonce mais là, c’était l’occasion. En écoutant l’italien aussi fragile que toi à tes côtés, tu avais explosé en sanglots, percevant chez lui aussi un certain bouleversement. Tu ne l’avais jamais vu aussi ému et c’était si beau… « Mon chéri… Désolée, il fallait que ça sorte, tu peux pleurer aussi, je le dirais à personne. » articulas-tu péniblement tout en te laissant aller à cette joie incommensurable. Légèrement gênée, tu t’étais blottie contre lui, enroulant un de tes bras derrière sa nuque tout en planquant ta bouille contre son torse. Le Quincy qui était bien connu pour être assez terre à terre t’avait ensuite interpellé sur les chances de le perdre dans les premières semaines, un véritable coup de poignard qui traversa ton coeur « Dis pas ça ! On le perdra pas. C’est mon bébé et il va rester là. J’ai un utérus super confortable et résistant » grondas-tu en le poussant de toute tes forces pour qu’il s’allonge et que tu puisses te glisser à moitié sur lui. Une de tes jambes barrait désormais les siennes pendant que ta tête cherchait une position confortable sur sa poitrine bien musclée « Mais tu as raison… Tout est fragile durant les premiers mois, je crois qu’on peut être plutôt serein à partir du 4ème ou 5ème mois. J’en sais rien en vrai ! Faut aller voir un spécialiste. » Tes doigts étaient parallèlement partis conquérir sa peau tiède, courant le long de ses abdos pour remonter vers son téton qui t’amusait énormément étant donné le temps que tu étais restée à le tripoter « T’aime ça hein ? » plaisantas-tu en ricanant comme une idiote avant de reprendre ton sérieux « Tu sais que j’ai eu peur que tu n’en veuilles pas du tout. C’est pour ça que je ne suis pas venue de suite. Je pensais que tu voudrais que j’avorte, ce que je n’aurais pas fait tu sais. Avec ou sans toi, il y aurait eu un petit Scorsese. Ou alors j'ai cru que tu m’aurais jeté mais… mais au fond je savais que tu me soutiendrais. Je commence à te faire vraiment confiance. Je me demande juste comment tout ça a pu arriver. C’est complètement fou. Tu me calculais à peine il y a trois-quatre mois. Et là, aujourd’hui, je vais devenir ta femme, je porte ton enfant et je ne vois plus que du positif en toi. Je suis amoureuse d'Ezio Scorsese au point que cela puisse devenir pathologique… » Tu avais marqué une pause, totalement songeuse avant de le serrer fort contre toi et de passer ta main dans son boxer pour caresser la bête qui te manquait terriblement. « Je vérifie qu’elle est toujours là » plaisantas-tu en embrassant longuement son torse cuivré « Je t’autorise à prendre officiellement soin de moi Ezio. Il faut que tu me tempères, je compte sur toi. »
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La voir en larmes semblait attendrir Ezio qui ne voyait plus qu'elle et ce futur bébé qui allait commencer à grandir à l'intérieur du petit ventre de sa blondinette. Il n'en revenait toujours pas et espérait avoir la réaction que Louison attendait de lui. C'était une sacrée nouvelle, il n'était pas facile pour lui de savoir comment réagir, surtout après le sketch qu'elle lui avait fait subir juste avant. Il la regarda avec des yeux conquis et protecteur. « Je ne pleure pas moi, j'suis un guerrier et les guerrier ça ne pleure pas. » s'amusa-t-il à dire. De mémoire, le Quincy n'avait jamais pleuré, pour rien ni personne. Si bien sûr, lorsqu'il était petit pour de petites blessures mais cela s'arrêtait là. Jamais aucune fille n'avait réussi à le faire pleurer, il était trop jem'enfoutiste pour ça. Et pourtant, quelque chose lui disait que l'excentrique Chamberlain pourrait un jour réussir à le faire sortir de sa zone de confort et pourquoi pas lui arracher une larme. Déjà qu'elle arrivait miraculeusement à l'énerver avec une facilité déconcertante. Ezio perdait son titre de force tranquille avec elle. La blondinette avait le dessus sur lui et pouvait en faire ce qu'elle en voulait. Rapidement, elle se colla à lui et vint se blottir dans ses bras. Machinalement, il vint enrouler son bras autour d'elle, déposant quelques caresses dans le milieu de son dos. Il rigola légèrement en entendant sa remarque. « T'as un utérus confortable et résistant, j'espère mon coeur. Il ne faut pas écarter cette hypothèse, tu sais je n'y connais rien mais c'est connu que dans les premiers mois d'une grossesse, il y a de gros ... risques ... Qu'est ce que tu fou ? » Ses yeux se baissèrent vers son téton qui semblait amuser grandement la petite Louison qui jouait avec. « Tu m'fais pointer, ahah. » dit-il en rigolant. Le sérieux revint vite entre eux lorsque la petite frenchie se livra sur son ressenti. Enfin, il savait ce qu'elle pensait et ce qu'elle ressentait. Mais bon, c'était sans compter sur la blondinette qui vint glisser sa main sur sa queue pourtant au repos jusqu'ici. « C'est dangereux ce que tu fais là Chamberlain. » Il la regarda faire et plissa les yeux, incapable de résister à ce genre de provocation. Ezio se redressa et la fit basculer sur le dos. Il prit appui sur son coude et resta suspendu quasiment au dessus d'elle. Il caressa son visage de sa main libre. « Je te tempère déjà un peu Louison, regarde où tu es, tu es venue me rejoindre, j'suis pas certain que tu l'aurais fait avant. J'suis trop calme et toi trop impulsive. On se complète tellement bien. Je suis la glace et toi le feu. Enfin la glace, pas pour tout ... Bref, t'as compris le principe. J'suis touché par ce que tu m'avoues là, c'est vrai qu'on a tout fait dans la précipitation mais on est comme ça, on est aussi taré l'un que l'autre. On est dans notre bulle, dans notre univers et j'espère que tu n'en sortiras jamais. Tu sais, c'est pas parce que je ne dis jamais rien que je n'ai pas de doute. J'suis le seul à t'avoir fait l'amour et des fois j'me dis que peut-être tu voudrais essayer avec quelqu'un d'autre. T'es une sacrée demandeuse, j'peux pas m'empêcher de penser qu'il arrivera un moment où tu te lasseras de moi ... » avoua-t-il en jouant avec une mèche de ses longues mèches de cheveux blond. Il vint déglutir, ne pensant pas se livrer autant. Pourtant, la situation s'y prêtait énormément, elle était à la confidence. « J'suis vraiment content qu'on puisse avoir l'opportunité de créer notre propre famille, déjà à deux puis bientôt à trois. C'est complètement fou cette histoire. Comme tu dis, il y a trois mois de ça, tu voulais juste me détruire la réputation et là, tu m'as complètement changé. En bien, j'suis un autre homme depuis que t'as cédé à mon charme, j'suis un nouveau Ezio Scorsese et ... J'suis fier de ce que tu as fait de moi. » conclut-il, sincèrement. En espérant que tout ces mots conforte Louison dans sa démarche de confiance en soit mais également en lui. Le Quincy ne voyait plus sa vie sans elle, sans son âme soeur.
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Le soir, lorsque tu n’étais encore qu’une gamine, tu songeais souvent à l’homme qui te capturerait pour la vie avant de plonger dans le sommeil. Durant ces instants qui te séparaient de l’obscurité, tu n’imaginais pas vraiment le physique de ce prince charmant mais plutôt son caractère. En y pensant de nouveau, Ezio représentait définitivement ce portrait que tu t’étais auparavant crée, et ce, malgré ses frasques du passé. Ezio était un homme fort, un homme dominant et protecteur comme tu aimais. Le mec qui n’hésiterait pas une seule seconde à se sacrifier pour tes beaux yeux. Oui, Scorsese rassemblait tout tes désirs en une seule et unique personne. Tu le voulais pour l’éternité auprès de toi et fonder cette famille. Il n’était pas question de perdre cette vie au creux de ton ventre. Cette idée te foutait les jetons alors pour ne pas t’y attarder et broyer du noir, tu t’étais mise à provoquer l’italien avec quelques gestes suggestifs. Ta libido était au maximum, surtout après cette abstinence ayant duré des jours. Face au calme implacable du Quincy, tu t’étais ressaisie, légèrement emprisonnée sous son corps parfaitement bien sculpté. Tes yeux se noyaient dans son regard sérieux. Le temps semblait s’être arrêté. Tu t’étais alors abandonnée à lui, lui donnant l’ordre de prendre soin de toi à l’avenir. Ce qu’il faisait déjà depuis deux mois sans que tu ne t’en rendes vraiment compte. Face à cette déclaration, tu avais senti que les défenses du brun s’étaient ponctuellement abaissées. Son regard s’était fait plus fuyant, sûrement de par les confessions perturbantes qu’il s’autorisait enfin à te faire. Allongée sous lui, tu jonglais entre la mèche de tes cheveux entre ses doigts et son visage angélique que tu voulais dévorer. Il était touchant. Ton coeur tapait dans ta poitrine, au point d’alourdir ton ouïe. Lorsqu’il s’ouvrait de cette manière, tu ne répondais plus de rien. C’était encore plus excitant que de le voir tout nu sous la douche ou en train de dessiner avec passion. C’était dix mille fois plus fort. Tu buvais ces paroles avec une admiration monstre, les yeux brillants. Il ne te faisait pas de peine, c’était plus particulier que cela. C’était juste attendrissant, tu avais l’impression de rencontrer le vrai Ezio Scorsese, le mec moins sûr de lui, l’humain avec ses faiblesses. Dès lors qu’il semblait avoir terminé ses aveux, tu avais encerclé son visage, caressant ses joues de tes pouces avec un sourire ému «  Mon amour… Je t’aime tellement. Tu vas me faire de nouveau pleurer. Tu sais, je crois que la meilleure décision que j’ai prise dans ma vie, c’est d’avoir osé t’offrir ma virginité. Comme tu le dit si bien, tu es le seul à m’avoir fait l’amour et je ne crois pas que quelqu’un d’autre pourra me faire du bien avec amour comme tu l’as fait et comme tu le feras encore. Je ne pense qu’à toi, qu’à ton corps. Je suis une grosse demandeuse d’Ezio Scorsese et pas du sexe en général. C’est ce que tu me procures toi dont j’ai envie en permanence. » tentas-tu de le rassurer avant de déposer un léger baiser du bout de tes lèvres sur les siennes « Il y a trois mois à peine encore, si j’voulais détruire ta réputation, c’était peut être pour que tu me regardes un peu plus… Peut être qu’inconsciemment, j’étais déjà raide dingue de toi. Qui ne le serait pas…Mais je m’en fous, je t’ai gagné et maintenant, t’es le mien. Sache que cette version améliorée d’Ezio Scorsese me rend aussi fière que toi. Il te manquait juste la bonne personne pour l’activer, elle devait toujours être là, bien cachée » expliquas-tu en portant ta main droite au niveau de son palpitant « Ce coeur est une mine d’or… À part ta famille, il a intérêt à n’être habité que par moi et par Scorsese Junior okay ? » essayas-tu de t’assurer avec un regard faussement menaçant « C’est moi qui ait peur que tu te lasses de moi… Tu voudras toujours de moi quand j’aurais le ventre énorme et que je te ferais chier à longueur de journée ? Tu vas être capable de supporter cette situation Ezio ? Réfléchis bien une dernière fois. T’es prêt à ne pas dormir des nuits et des nuits ? Prêt à me partager avec un tout petit être ? On n'aura pas profiter longtemps de l'un et de l'autre finalement... Nos baises phénoménales vont me manquer après... » déclaras-tu en caressant lentement son avant bras bien virile. Effleurer sa peau avait un effet si relaxant sur toi... de quoi calmer ces craintes qui te tourmentaient.
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Jouant avec sa mèche de cheveux entre les doigts, Ezio avait ouvert son coeur à celle qui avait faillit le faire disjoncter une demi heure plus tôt. Il venait de lui avouer quelques doutes qu'il gardait enfouis à l'intérieur de lui, bien cachés sous son légendaire caractère jemenfoutiste. Il fuyait son regard, pas par peur qu'elle le juge mais par ego et par fierté. Il n'était pas habitué à se livrer autant et pourtant, ce soir il en ressentait le besoin. Après lui avoir confié ses doutes, il attendit patiemment sa réaction. Louison prit à coeur ses révélations et semblait touchée. Elle essaya de le rassurer comme elle le pouvait, les rôles semblaient s'être inversées pour une fois. « Arrête j'vais pleurer aussi. » dit-il sous le coup de l'émotion, en la taquinant un peu. Il laissa échapper un petit rire entre ses lèvres avant de rebondir sur ses révélations. « T'es en train de me dire que cette photo que t'as mis sur Skype avec une fille, photo qui y est encore d'ailleurs, c'était juste pour attirer mon attention ? Je crois que le pire dans tout ça, c'est que ça a marché. D'ailleurs ... puisqu'on en est aux révélations, est ce que tu sais que je ne me suis pas retrouvé par hasard dans ta chambre d'hôtel au Laos ? J'veux dire par là qu'il n'y avait plus de place dans l'hôtel et la réceptionniste ne voulait pas me laisser dormir là, j'me suis retrouver comme un con avec mes valises. Du coup, j'ai essayé d'arranger les choses avec elle, elle a essayé de me mettre avec quelqu'un, elle m'a sortit toute la liste des étudiants qui allaient loger là. Quand j'ai vu ton nom, j'ai pas pu résister, je lui ai demandé la clé de la chambre. Et j'suis arrivé dans la chambre alors que tu prenais ta douche, j'me souviens la tête que t'as fait quand tu m'as vu, c'était épique. J'étais vraiment content de me retrouver là avec toi. Puis on a été boire un verre où j'pense qu'il s'est passé un truc ce soir-là, tu sais, juste avant qu'on aille se bourrer la gueule sur la plage. » lança-t-il, presque nostalgique de ce temps-là. Rien n'était dû au hasard, Ezio croyait dur comme fer que leur rapprochement devait se faire. Louison prit sa main pour la poser sur son coeur. Inconsciemment, il vint déglutir en sentant son propre palpitant à travers sa poitrine. « J'te le promet Louison, il n'y a et n'aura que vous deux dans mon petit coeur. » dit-il en souriant bêtement. A son tour, la blondinette partagea ses doutes et ses angoisses, elle ne voulait pas le perdre non plus. Ils étaient deux dans ce cas-là. Elle était définitivement trop mignonne. « Bien sûr que je voudrais encore de toi quand tu auras un gros ventre, j'ai hâte de voir notre mini nous grandir en toi. Excuses-moi de te l'apprendre mais tu m'fais déjà chier toute la journée. » Ezio éclata de rire. « J'suis prêt Louison, je n'ai aucune hésitation, cette vie-là je la veux avec toi et personne d'autre. J'suis prêt à ne plus jamais fermer l'oeil de la nuit pour répondre à tous tes désirs et tes caprices. J'suis prêt à me lancer dans cette superbe aventure avec toi, tu n'as pas à avoir de doute à ce sujet. Je veux te partager avec un petit garçon qui me ressemblera ou une petite fille qui te ressembleras. Et t'inquiète, on le laissera pleurer pendant qu'on baisera. J'veux pas sacrifier ma vie de couple, jamais je ne te délaisserai bébé, sois-en certaine, t'es toute ma vie, mon repère, tu passes avant tout le reste. Tu passes même avant ce truc là. » dit-il en pointant du doigt le chat qui dormait sur le radiateur non loin d'eux. Il remarqua le temps pourri qu'il faisait dehors, il y avait énormément de vent, de la pluie et limite de la grêle. Ezio se redressa et vint se mettre sur les genoux. Cette situation lui inspirait énormément de choses. Il prenait conscience petit à petit de ce qu'il était en train de se passer. Il allait être papa. Bon, dans longtemps mais les faits étaient là. « En plus on pourra rester ici, on a un bureau qu'on peut transformer en chambre pour le petit. Il sera bien tu verras, on va tout mettre en oeuvre pour l’accueillir dans les meilleurs conditions possibles. Il n'aura pas des parents parfaits, il nous aura nous. Une mère d'une extrême beauté, une française au caractère bien trempé qui cache une profonde sensibilité. Et un père, beau gosse, avec beaucoup de classe et de charisme. » lança-t-il, histoire de se jeter quelques fleurs. Il se mit à rire, l'euphorie l'avait gagné. Il était tout simplement heureux. Alors c'était ça le bonheur ? « Ok c'est bon, j'ai envie d'toi là. » dit-il sans vraiment s'en rendre compte. Tout ceci l'avait excité. Putain Louison allait devenir sa femme et la mère son enfant, tout ça dans la même soirée. Il fallait fêter ça.
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Revenir dans le passé te faisait un bien fou. Dire que tu n’avais pas été un tant soit peu jalouse d’Anja revenait sûrement à mentir. Cet été avait été le plus magique que tu avais vécu depuis que tu étais née. Tu ignorais vraiment si c’était tes coups bas qui avaient écarté cette blonde mais si c’était à refaire tu le ferais sans hésiter. De toute façon, tu n’avais pas été la seule à provoquer votre rapprochement, tu n’en revenais d’ailleurs pas encore de ses déclarations. Il allait vraiment réussir à te faire pleurer de nouveau. Un frisson avait parcouru ton corps quand il t'avait parlé de son intrusion dans ta chambre d’hôtel. « Oui je voulais attirer ton attention espèce d’aveugle ! Je pouvais faire que ça, j’étais pas une de ses filles que tu avais l’habitude de te taper. Ni une princesse…. Et je me rappelle très bien de cette soirée. J’avais très envie de t’embrasser. Je te faisais boire à fond, mais moi, je trichais… Mais bon, j’ai pas eu le courage de tenter ma chance, surtout que tu étais encore… obsédée par une autre. » confias-tu avec une certaine difficulté. Tu espérais bien que cette dernière partie était du passé et à présent tu ne voulais plus y penser. C’était toi qui occupait son petit monde, pas elle, ni une autre. Tu t’en assuras tout de même auprès de lui, y ajoutant la variable bébé au beau milieu. Oui, tu étais désormais prête à partager son coeur avec votre enfant. Que lui. Ou eux peut être, dans un futur éloigné. Tu ne pouvais cependant t’empêcher de songer à cette grossesse. Ton corps allait en prendre un coup, tu n’allais sûrement pas garder ta silhouette svelte et ton comportement allait profondément être bouleversé. Tu souhaitais juste qu’il reste jusqu’au bout. Qu’il ne t’abandonne pas à la moitié de ce périple. Toutes ses réponses étaient si imprégnées de sincérité… Tu mêlas son rire au sien quand il injecta quelques touches d’humour dans son discours. Tu étais juste émerveillée par la perle que tu avais dégoté. Plus il se projetait, plus il faisait des plans pour vous trois, plus l’excitation grimpait en toi. Quand il s’était redressé sur ses genoux, te libérant de son emprise, tu n’avais pu t’empêcher de laisser couler une larme tout en riant à ses bêtises. Tu l’avais ensuite imité, te rapprochant de lui sur tes genoux. À l’image du temps qui se déchaînait à l’extérieur, en toi, c’était un déferlement de désirs et d’amour qui te submergeaient. Il avait envie de toi ? Après t’avoir dit de te contrôler plus tôt ? Et après c’était toi qui était incompréhensible ! Face à lui, tu avais laissé courir tes doigts de ses épaules jusqu’à sa nuque pour l’enrouler entre tes paluches « Il faudra refaire la peinture dans le bureau. Heureusement, mon homme sait manier beaucoup de pinceaux  » sous-entendas-tu en remuant tes sourcils. « Dis le moi encore Ezio, tu as envie de moi ? » murmuras-tu en approchant tes lèvres de son cou tout en enfonçant ton petit nez contre lui pour respirer profondément son odeur. « Tu n’as pas dit qu’on ne devrait pas ? » lui sussurras-tu à l’oreille avant de mordiller cette dernière du bout de tes dents et de lécher son lobe de bas en haut avec une sensualité abusive « Fais moi l’amour, avec une douceur et une passion désespérée. Occupe toi de moi, rend moi encore plus accroc à toi que je ne le suis déjà. » rajoutas-tu en effleurant furtivement sa lèvre supérieure de ta lèvre inférieure « Domine moi, fais moi totalement tienne, j’peux pas te résister et si tu ne le fais pas… Alors je te violerais sûrement dans ton sommeil » terminas-tu par déclarer en fixant ton index que tu laissas glisser entre ses pectoraux jusqu'à son nombril « Je veux voir ce qu’il se cache là-dessous, je crois que c’est lui qui m’a mise enceinte ! Je veux voir ce coupable !  » t'exclamas-tu en récupérant tes mains baladeuses pour les nouer dans ton dos. Le regard espiègle, tu fixais amoureusement ton futur mari, te balançant de droite à ta gauche en attendant qu'il réagisse. Un brin joueuse, tu avais passé tes mains sous ta nuisette, abaissant l’élastique de ta petite culotte le long de tes cuisses avant de réussir à t’en débarrasser définitivement « À toi » dis-tu en ondulant ton bassin sous son regard corrosif.
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