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in the end, everyone leaves (ezion)

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Ezio rentrait bredouille. Il avait passé toute la nuit dernière ainsi que la journée à la chercher, en vain. Louison s'était évaporée sans laisser de trace. Elle était partie sans même lui dire un mot, profitant de son sommeil pour se barrer. L'italien lui avait fait une promesse, il ne la laisserait jamais partir sans se battre alors, il passa tout son temps à essayer de lui envoyer des messages pour comprendre son départ. Déjà à Monaco, il avait sentit son éloignement mais il était bien loin de s'imaginer qu'elle puisse tourner les talons aussi vite. Sa française ne voulait plus le voir, fallait qu'il se fasse une raison. Le Quincy avait essayé de contacter quelques amies à elle, seulement celles qu'il connaissait, sans grand résultat. Deux heures du matin, il avait fait le tour de la ville et ne l'avait pas trouvé, les recherches ne servaient plus à rien à cette heure-ci. Alors il capitula pour la nuit. Checkant une dernière fois son portable, il soupira bruyamment en le fourrant dans la poche de son jean. Ezio coupa le moteur et descendit de son Range Rover. Il claqua la porte et leva la tête vers son appartement, tout en déglutissant. En fait, il avait un léger espoir qu'elle soit revenue mais non, toutes les lumière étaient éteintes. Il s'humidifia les lèvres et entra dans son immeuble, tête baissée. Il grimpa les marches d'une lenteur déconcertante. Une fois en haut, il ouvrit la fermeture éclaire de sa veste et leva enfin la tête. Son coeur se serra et, machinalement, il arrêta de marcher. « Louison ? Je t'ai cherch... » Les yeux rivés sur elle, il fit un pas dans sa direction et fronça les sourcils en la voyant toute recroquevillée devant sa porte. « Qu'est ce qu'il se passe ? T'étais où ? Est-ce qu'au moins tu vas bien ? » lâcha-t-il, les bras ballants. Il n'osait pas l'approcher, quelque chose lui disait que c'était pas une bonne idée.

@Louison Chamberlain
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Le soir tombait de nouveau. Tu t’apprêtais à passer ta deuxième nuit loin de son étreinte, de son parfum et de son souffle tiède qui ralentissait lorsqu’il plongeait enfin dans le sommeil. Hier, tu découvrais avec Suzy l’inconcevable, ce matin, tu en parlais à ton meilleur ami. Malheureusement, aucun d’entre eux ne faisait partie de la nouvelle équation. Il n’y avait que toi + lui qui étaient égal à ce truc qui flottait dans ton utérus. Camouflée sous ton bonnet en fourrure, tu piétinais encore et encore le goudron, ne sachant plus ce qui était bon à faire. Tu l’avais pourtant promis à Liam, tu devais lui dire. Dans le pire des cas, il aurait une nouvelle blonde à séduire, il oublierait vite cet événement. Aux alentours de minuit, tu avais terminé ta boucle autour de l’immeuble du Quincy, enfin décidée à l’affronter. Après l’ascension des escaliers pour rejoindre l’appartement de ton fiancé, tu avais rapidement constaté une absence de vie derrière la porte. Il ne t’en avait pas fallu plus pour commencer à gamberger sur l’endroit où il pouvait bien se trouver. « Louison, tu vas rester ici, camper ici, jusqu’à ce qu’il arrive ok ? » Tu t’étais ensuite écroulée contre la cloison, tapant violemment ta tête contre la porte derrière toi, les larmes aux yeux. Tu étais épuisée, tu n’en pouvais plus de fuir. Après plus d’une demie heure à poireauter, tu t’étais couchée comme une mendiante sur le tapis de l’entrée, fermant tes paupières pour plonger dans le sommeil. Tandis que tu te sentais bien loin du seuil de cette porte, un bruit de clé t’avait subitement alerté et sorti de ton coma. Tu t’étais aussitôt redressée contre la porte avant de remonter tes genoux contre ta poitrine, t’apprêtant à rencontrer un voisin fêtard. Les yeux rivés sur la cage d’escalier, tu aperçus assez vite la silhouette d’Ezio. Ta respiration s’était alors stoppée nette, tu ne pouvais plus partir, tu étais piégée et tu l’avais voulu. Chaque son prononcé par sa bouche était une épine de plus qui s’enfonçait dans ton coeur. La bouche tremblotante, aux bords de l’explosion, tu le fixas sans dire un mot. Pourquoi il n’avançait plus ? T’avais pas la rage quand même ! Ne te sentant plus à l’aise en cette position, tu te relevas avec difficulté en t’aidant du mur, fourrant ensuite tes mains dans les poches de ton sweat « J’ai connu mieux, bien mieux. Et toi, t’étais où ? Tu me remplaçais ? On s'en fout de toute façon »  tu avais ensuite posé ta tempe contre la porte, réprimant tes émotions du mieux que tu pouvais étant donné les circonstances « Je… je venais te dire que je m’en vais, il vaut mieux. Je peux pas… » Oh si tu pouvais, tu ne voulais que ça rester à ses côtés pour toute ta vie mais cet élément qui partageait ton corps ne pourrirait que votre idylle, et surtout sa vie à lui. « J’peux pas te faire ça, j’ai même pas voulu » murmuras-tu en tournant ta bouille vers l'appartement d'en face, essuyant promptement une larme qui n'avait pas pu être ravalée.
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Ezio ne savait absolument pas comment réagir face à Louison. Elle avait tout fait pour l'éviter ces derniers jours, il n'osait pas trop s'approcher par peur d'une violente réaction de sa part. Il commençait à la connaître, ou plutôt à appréhender ses réactions excessives. Il s'arrêta donc à quelques pas d'elle et essaya, tant bien que mal, de savoir comment elle allait. Les mots de sa blondinette étaient tranchants et incompréhensible. « Quoi ? Qu'est ce que tu racontes là ? » grogna-t-il, pas content qu'elle puisse retourner la situation contre lui. C'était du Chamberlain tout craché ça. Elle sa putain de peur des autres filles. Sauf que ce soir, ce n'était ni l'endroit, ni le moment de parler de jalousie. Il était question d'autre chose, de l'éloignement de Louison. Rien d'autre. Et là, l'hécatombe. « Tu t'en vas ? Tu vas où ? Tu plaisantes là j'espère ! » marmonna-t-il. Si c'était une blague, elle était de très mauvais goût. Il fronça les sourcils encore un peu plus et fit un pas dans sa direction. « Me faire quoi ? Qu'est ce que tu as fait Louison ? » Espérer lui parler était peine perdue, Ezio ne le sentait absolument pas coopérative. Elle était dans son délire, elle avait l'air saoule, ouais c'était peut être ça. « T'es saoule ? » Et alors qu'il allait lui poser une énième question, le voisin d'en face ouvrit la porte et le fusilla du regard. Agacé, l'italien commençait à s'énerver et cela se ressentait dans son attitude. Sans chercher à comprendre plus loin, il passa entre eux deux, ouvrit la porte, attrapa le poignet de Louison et la força à entrer dans l'appartement. « Viens là toi. » grogna-t-il. Ezio referma la porte sans même prêter attention au voisin et mit le verrou. Il l'avait attrapé, il était hors de question qu'elle ne se barre, pas encore. « Bon maintenant Louison, t'arrêtes de me prendre pour un con et tu m'expliques ce qu'il se passe. Qu'est ce que tu m'as fait de si horrible ? Tu m'as trompé c'est ça ? Avec qui ? Raphael ? » lui déballa-t-il. Au final, Ezio n'avait que des questions à la bouche. Il était juste totalement perdu, il ne voulait pas y croire.
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Les interrogations pleuvaient sur toi et tu n’avais aucune envie d’y répondre. Y répondre équivaudrait à créer des mensonges pour ne pas avouer la vérité. Tu évitais à présent son regard, focalisé sur cette porte blindée en face de celle du Quincy. Les bras croisés sur ta poitrine, une jambe nerveuse qui trahissait ton effondrement, tu fus tout à coup surprise d’apercevoir la tête du voisin. Tu l’avais alors regardé avec ton regard de chien battu, le suppliant de t’aider mais Ezio était intervenu et t’avait enfermé chez lui sans ton consentement. « Lâche moi » avais-tu exprimé sans grande résistance non plus. Une fois à l’intérieur, tu t’étais mise à contempler les lieux comme lorsque tu avais découvert pour la première fois l’intérieur de la Chapelle Sixtine avec ton grand-père. Sauf que cette fois-ci, tu ne regardais pas cet endroit avec tant d’émerveillement, tu le regardais avec abattement, comme s’il s’agissait de la dernière fois. Ici, tu avais passé tant de moments exceptionnels mais c’était la fin. Tu entendais vaguement le Quincy qui s’échauffait derrière toi et tu ne savais plus vraiment comment répliquer pour ne pas affronter le réel sujet. Tu t’étais néanmoins retournée, sentant rapidement Trevi qui frottait son flanc contre ta cheville. « Je ne suis pas saoule, je peux pl… » Tu t’étais subitement arrêtée, cette phrase était de trop « Si je t’ai trompé, c’est si grave que ça ? On ne serait pas quitte par hasard ? » Non pas que tu détournais le problème mais si tu souhaitais faire ta petite annonce, certaines choses devaient être éclaircies. Avançant de quelques pas vers lui, tu le dévisageas avec insolence, grattant ton bonnet qui te démangeait « Chaque fois que je me retourne, je me retrouve nez à nez avec un des fantômes de ton passé, sauf qu’elles existent en chair et en os. Je dois pas m’inquiéter je sais, blah blah blah. Mais quand je ne suis pas là, elles font bien l’affaire quand même. Ou alors elles apparaissent toujours au bon moment, elles sentent ta vulnérabilité ou tu leur montres bien ! J’en ai marre, j’en ai marre » hurlas-tu en jetant enfin ce putain de bonnet qui piquait au bout de la pièce derrière toi « Je vais repartir en France. J’irais dans un hospice de fou, parce que je suis clairement folle ou alors dans une abbaye de bonnes soeurs dans la Creuse » tu t’énervais contre lui parce que c’était bien plus facile que de t’en prendre à toi. Tu préférais désormais qu’il se réveille et te jette dehors pour ne plus devoir le mêler à cette nouvelle « Tu dois pas comprendre ce que je raconte, Raphaël aurait compris lui, il est français… » murmuras-tu pour le provoquer en fixant difficilement les prunelles du brun.
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Au moins ici, ils pourraient parler tranquillement sans être dérangés par les voisins. Du moins, c'est ce qu'Ezio espérait, il ne savait absolument pas à quoi s'attendre, surtout de la part de Louison. Avec elle, c'était tout ou rien, elle partait dans les extrêmes sans même qu'il ne puisse réagir, elle le rendait impuissant et esclave de ses réactions. Le Quincy lui demanda cash ce qu'il n'allait pas chez elle et émit l'hypothèse d'une possible tromperie de sa part. La réponse de la Mather ne vint pas le rassurer du tout. « Évidemment que c'est grave si tu m'as trompé. Tu n'as pas osé faire ça quand même ? Dis moi que c'est pas vrai ? Et moi qui essayait comme un connard de te rassurer comme j'ai pu. Je n'ai pas eu une seule pensée pour une autre fille Louison, pas une seule ... et toi tu te vautres dans le lit de ton ex, tu me déçois ... j'avais de l'estime pour toi ! » dit il sur un ton extrêmement calme. L'italien ne voulait pas s'énerver, en fait il ne voulait juste pas y croire. C'était impensable qu'elle puisse l'avoir trompé et baiser avec son ex. Son calme était déconcertant face à la furie qu'il avait en face de lui. « Arrête tes conneries parce que la ça ne va pas le faire. » Ezio vint essayer de la mettre en garde et la prévenir qu'elle allait trop loin dans ses mots mais la blondinette ne l'écouta pas et continua son delire paranoïaque. « Qu'est ce que tu veux que je te dise Louison ? Hein ? Pourquoi tu es venue ? Pour m'annoncer que je suis cocu ? C'est bien, t'as réussi ton coup ... maintenant dégages de ma vue, retourne en France avec ton Raphaël, s'il est si parfait que ça. » Le y on de l'italien commençait à augmenter. Il la pointa du doigt. « Tu sais quoi ? Je m'étais promis de me battre pour toi mais la je vais me battre contre du vent, t'as aucune confiance en moi et tu n'en as jamais eu. Tu crois que je baise encore tout ce qui bouge mais depuis Milan je n'ai sauté aucune autre meuf que toi ! J'ai jamais aimé une fille comme je t'aime ... Je suis prêt à n'importe quoi pour toi mais tu as commis l'irréparable. Barres toi de ma vie, je ne veux plus te voir. Va trouver un mec en qui tu auras confiance et fou moi la paix ... T'inquiète pas pour tes affaires je te les ferais livrer dans votre nouveau chez vous. » Sans même prendre le temps d'attendre une réponse de la part de la blondinette, il déverouilla la porte et quitta le salon pour gagner sa chambre, loin d'elle.
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Tu hochais sempiternellement la tête, tes yeux accrochée à ses lèvres qui t’interrogeaient, qui te persécutaient même. Tu l’avais cherché, tu avais fait plané le doute et maintenant, tu dégustais la tornade italienne, un spécimen vraiment rare. Non, c’était plutôt un tremblement de terre qui te secouait de plein fouet. Tu gardais ton sang froid, ignorant les avertissements du brun quant à ton hystérie soudaine. Pour une fois, tu avais vraiment peur de lui, tu ne l’avais jamais vu monter dans les tours de cette façon et la manière dont il te regardait à présent était atroce. Lorsqu’il t’avait pointé du doigt, tu avais reculé d’un pas, positionnant tes mains sur les hanches tout en acquiesçant stupidement à ses paroles. Enfin, tu t’étais tout de même arrêtée à partir du « barre toi de ma vie », là, c’était allé trop loin pour rien. « Ezio… » chuchotas-tu pendant qu’il déverrouillait la porte, mettant vraisemblablement un point final à cette altercation. « Ezio non… » tes appels à l’aide à peine perceptibles n’avaient pas stoppé le Quincy. Ce dernier était passé à tes côtés sans un regard, s’enfonçant dans le corridor qui menait à sa chambre. Avait-elle vraiment été la « votre » de toute façon ? Seule, dans le hall, tu te retrouvais face à un silence pesant, interrompu néanmoins par le son régulier de l'horloge qui rythmait le néant. La porte ou Ezio ? Ezio ou la porte ? Et merde. Tapant du pied sur le parquet, tu t’étais retournée vers le couloir, prête à t’ouvrir. La journée passée loin de lui ne t'avait de toute façon pas permise de prendre une décision, il était temps. Tu avais donc parcouru sur la pointe des pieds le couloir, te plantant en plein milieu de l’encadrement de la porte de la chambre « J’ai rien fait du tout » soufflas-tu en apercevant l’apollon ouvrir son placard. Timidement, tu avais pénétré dans son refuge, ôtant ton pull pour te retrouver en soutien gorge. Le sweat s’était échoué sur le sol derrière toi, sans un bruit. Prenant ton courage à deux mains, tu avanças vers le brun malgré son regard empli de rancoeur et de colère. Assez proche de lui, tu capturas ses mains pour les placer sur ton abdomen, de par et d’autre de ton nombril. Un frisson avait parcouru tout ton corps à cet instant là, sa peau était froide et ton ventre bouillant « Sono incinta Ezio, oui, je porte ton bébé » avais-tu enfin avoué en réprimant un sanglot pour répéter de nouveau la stricte vérité qui mériterait tout de même l'avis d'un professionnel. « Je suis enceinte, et cela ne peut être que le tien, jamais je te tromperais, je t’aime plus que tout et… et » et tu t’étais enfin permise de t’effondrer, pleurant de nouveau de tout ton être, incapable de t'arrêter.   
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Ezio était énervé. Lui qui se mettait jamais en colère, là, il était au bord de l'implosion. Il n'en revenait pas du comportement de Louison. Comment avait-elle pu ? Elle qui pleurnichait toujours parce qu'elle avait des doutes, voilà qu'elle s'était vautrée dans le lit de son ex. L'idée que quelqu'un d'autre puisse la sauter l'énervait au plus haut point. Peu habitué à ressentir ce genre d'émotion, l'italien ne savait pas trop comment réagir. Alors, plutôt que d'avoir un geste déplacé ou une parole de trop, il préféra quitter le salon et aller s'isoler dans sa chambre. Il ne voulait plus la voir. Plus jamais. Il passa sa main dans ses cheveux et s'approcha de l'armoire. Ah Louison voulait ses affaires ? Pas de souci, il allait tout lui rassembler et tout lui rendre. Il ne voulait plus rien avoir à faire avec elle. Il détourna les yeux en entendant la voix de son ancienne copine arriver à ses oreilles. « T'es une grande malade toi ! » grogna-t-il dans sa direction lorsqu'elle lui avoua n'avoir rien fait. Ezio ne comprenait plus rien, il ne savait plus quoi croire ou quoi penser. Mais rapidement, Louison enleva son pull pour afficher sa poitrine. Il plissa les yeux et bougea sa tête de gauche à droite, il était hors de question qu'il se fasse piéger ainsi. « Ah nan nan, tu ne m'auras plus comme ça, c'est fini ça ! » râla-t-il en effectuant un pas vers l'arrière. Mais la blondinette continua d'avancer dans sa direction. Ezio voulait dire quelque chose mais le regard craintif de la jeune fille l'en empêcha. Il la laissa quand même approcher puisque finalement, il l'aimait comme un dingue cette fille et sa dernière parole raisonnait encore dans sa tête. Et là, contre toute attente, elle lui prit ses mains et les déposa sur son ventre. L'italien s'attendait à ce qu'elle le chauffe mais au lieu de ça, elle se contenta de placer ses mains sur elle. Il baissa la tête et fronça les sourcils. Ce fut lorsqu'elle parla en italien qu'il se figea. Le regard d'Ezio se bloqua sur son ventre tandis qu'il cligna difficilement des yeux. Il pouvait entendre son coeur battre et s'accélérer dans sa tête. Incapable de dire quoi que ce soit, il ne bougea. Ses sourcils se froncèrent encore un peu plus lorsqu'elle avoua ne pas l'avoir trompé, qu'elle l'aimait plus que tout. Le regard du Quincy se leva vers elle dans le plus grand des silences. Sa mâchoire se desserra d'un coup et il lâcha un faible soupir de soulagement. En voyant Louison si démunie, il était faible. Sans chercher à analyser ce qu'elle venait de lui dire, il enleva ses mains de son ventre et vint encadrer son visage. Il releva sa tête et la força à le regarder. Ezio l'analysa quelques secondes et vint capturer ses lèvres humides à causes des larmes qui ne cessaient de couler. Il se recula rapidement et, sous le choc de son annonce, il se laissa tomber vers le bas et vint s'asseoir sur le lit. Il vint enfouir son visage entre ses mains et ferma les yeux. Louison ne bougeait pas, elle restait debout devant lui, en train de pleurer. Finalement, il releva la tête et regarda son ventre qui était plat. « Tu comptes faire quoi ? » lui demanda-t-il faiblement, presque dans un murmure. Ezio n'arrivait pas à réagir, il avait trop peur de mal faire et de la perdre pour de bon.
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Tu étais revenue, devant lui, sans aucune défense, sans aucun mensonge à lui tendre pour qu’il s’éloigne de toi. Tu lui avais enfin avoué et le poids qui pesait sur tes épaules toutes frêles était désormais un peu plus acceptable. C’était l’aveu le plus lourd et perturbant de ton histoire. Après ces quelques mots prononcés, tu avais attendu sa réaction, le visage plongé vers le tapis que tu piétinais avec tes chaussures. C’était un tapis hors de prix qui ne méritait pas un tel traitement, Ezio devait vraiment être perdu pour ne pas te faire enlever tes pompes. Les yeux fermés, les joues imbibées de larmes, tu sanglotais le plus silencieusement possible. Tu étais désormais soumise à lui, incapable d’en dire plus. C’était à lui maintenant, à lui de s’exprimer ! Durant cette journée, tu avais songé à deux principaux scénarios après ton annonce le « Je n’en veux pas, débrouille toi » ou le « Non ? C’est vrai ? Mais c’est magnifique ! » Mais aucun des deux n’étaient apparus. Le Quincy était pour une fois déstabilisé mais non insensible à ta détresse comme le prouvait ce baiser qu’il t’avait délivré. Mais cela s’était arrêté là. Ezio s’était éloigné, t’abandonnant à ton sort, sur ce tapis, les bras ballants, le visage recouvert de flotte. Tu l'avais timidement regardé s’échouer sur le bord du lit, terrifiée par ce qu’il devait se tramer dans sa caboche à cet instant-là. À quoi pouvait-il bien penser ? Quand il t’avait enfin interpellé, tu t’étais débarrassée de ta paralysie, le rejoignant craintivement pour t’asseoir à plus d’un mètre de lui « En réalité, je voulais savoir ce que toi tu en pensais avant d’agir et faire quoique ce soit. Tu es le père de ce truc Ezio. Tu as ton mot à dire, tu ne penses pas ? » Cependant, dans ta petite cervelle de blonde, tout était déjà presque décidé. Tu ne le quitterais pas, c’était un cadeau du ciel, une malédiction camouflée qui te mettait au défi et qui t’unissait encore plus à cet homme. Épuisée de lutter contre tes désirs, tu t’étais laissée basculer en arrière sur le matelas avant de rouler sur le côté pour finir contre le Quincy. Blottie contre lui, tu avais frotté ton nez humide contre son biceps, inspirant son odeur qui imprégnait tous ses vêtements  « Tu sais…À la fin de ce dernier été, mon coeur a chavirer pour un italien qui m’a fait découvrir son pays à travers ses yeux. En quelques jours à peine, je suis tombée éperdument amoureuse de lui et depuis, je ne veux plus le quitter. Je lui ai tout donné pour la première fois de ma vie, mon coeur, mon corps et aujourd’hui, je serais aussi heureuse de lui offrir une famille s’il le souhaite. Mais s’il n’en veut pas maintenant, je comprendrais… Je veux juste ne pas le perdre, il compte plus que tout pour moi. Je ne suis pas la meilleure des femmes qu'il pourrait avoir, j'en suis consciente, mais je l'aime sûrement plus que quiconque sur cette planète, pour ce qu'il est au fond, pas pour son pognon, pas pour son physique, pour lui. » Après ces deux mois de fusion, tu n'avais pu t'empêcher de le chevaucher, terminant ton speech au dessus de lui, ton regard à la couleur insondable noyés dans les siens « Ezio, je t'aime, ne me laisse pas, ne me laisse pas... Regarde moi je t'en supplie... »
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Pour la première fois de sa vie, le stress avait gagné Ezio. Lui qui se voulait si imperturbable, la force tranquille qu'il disait, le voilà dans une situation qu'il ne contrôlait pas et qui le dépassait totalement. L'angoisse avait envahit son corps et ne semblait pas vouloir le lâcher. Ses yeux se baissèrent vers le tapis lorsque Louison se décida enfin à bouger pour venir s'asseoir à l'autre bout du lit, loin, bien loin de lui. Son regard était vide de sens, tout s'entrechoquait dans son cerveau. Le Quincy voulait connaître la décision de la blondinette à ce sujet, à propos de l'éventuel bébé qui grandissait en elle, à propos de leur couple plus bancal que jamais. « Si, surement. Tu me prends un peu de cours là. » répondit-il, les yeux toujours rivés vers la carpette. L'Italien ne savait pas organiser ses pensées dans sa tête et restait focalisé sur cette histoire de tromperie. Qu'il pouvait être borné et têtu quand il s'y mettait celui-là. Puis, rapidement, il sentit la tête de Louison se coller à lui. Il inspira longuement tout en l'écoutant parler. Un fin sourire se dessina lorsqu'elle évoqua leur petite escapade à Rome. Elle serait heureuse de lui offrir une famille. Elle qui avait pourtant affirmé haut et fort ne pas vouloir d'enfant. Immobile, il écouta son long monologue en réfléchissant à ces paroles, s'en imprégnant comme si sa vie en dépendait. Il recula légèrement ses bras pour la laisser monter sur ses genoux. Louison lui demanda de le regarder, elle le suppliait presque. Finalement, il leva les yeux vers elle mais ne la toucha pas, malgré tout ce qu'elle venait de lui dire, de lui avouer. « Je t'aime aussi Louison mais ... mets toi à ma place deux secondes. Tu sais dans quel état tu m'as laissé hier soir ? T'es ... T'es partie sans un mot, je me suis imaginé tous les scénarios possibles et inimaginables. Tu n'as pas répondu à mes messages et ta connasse de copine qui m'a raconté n'importe quoi. J'ai flippé, j'te jure. Et tu débarques là, sortie de nulle part, en me disant que tu m'as trompé avec ton ex. J'sais pas comment on fait en France pour dire les choses mais en Italie c'est pas comme ça que ça se passe. » Ezio se risqua à poser ses mains sur ses cuisses, parce qu'il en avait envie mais surtout besoin. Il vint déglutir avant de reprendre, ne la lâchant pas des yeux. « J'ai ... J'ai vraiment cru t'avoir perdu et en fait, tu débarques avec cette nouvelle, sortie elle aussi de nulle part. T'as été assez folle pour faire croire à ton italien que tu l'avais trompé, tu cherchais quoi exactement ? Que j'te mette dehors ? C'était ça pour toi la solution de facilité ? » Allez Ezio, il va bien falloir aborder le sujet du bébé. Il ne savait absolument pas comment s'y prendre donc dans le doute, il prit encore un peu de temps pour réfléchir. Le Quincy enroula ses bras autour de Louison et vint poser délicatement sa tête contre sa poitrine. Il ferma les yeux pour entendre le coeur de sa fiancée battre. Inconsciemment, il resserra l'étreinte. « Je ne veux pas te perdre Louison, je veux pas perdre ce qu'on est en train de vivre et j'veux plus jamais que tu me laisses sans nouvelle ... C'était horrible. » Et puis, parce qu'il n'arrivait toujours pas à aborder le sujet, il redressa sa tête pour baisser son regard sur le ventre de la blondinette. Il posa ses mains dessus, exactement comme tout à l'heure. « On est des débiles ... » murmura-t-il en rigolant légèrement. « T'as tous les symptômes d'une femme enceinte et on a rien vu ... J'ai rien vu ... J'suis désolé, j'aurais dû m'en rendre compte. Tu sais, tu m'as un peu coupé l'herbe sous le pied tout à l'heure avec ton ex là mais si vraiment tu ne m'as pas trompé, j'serais honoré d'avoir cet enfant avec toi. On est des trous du cul qui ne font rien dans l'ordre et qui précipitent tout. » Ezio fronça les sourcils. Tout commençait à se mettre en place dans sa tête, il était plus lucide déjà. Et il en vint à une seule et même conclusion. « Tu sais que mon grand-père me tuerait si on avait cet enfant hors mariage ? C'est pas dans notre culture ça, on est très tradition dans la famille ... J'parlais avec Lucky hier de la façon dont j'pourrais te demander en mariage après la belle demande en fiançailles que je t'ai faites ... Mais en réalité ... J'me rends compte que tout ceci n'a aucune importance. » Il afficha un mince sourire sincère. « Louison, épouse-moi ... et promets-moi de ne plus jamais me faire une frayeur pareille. » Ezio parlait avec son coeur et ce soir, après avoir cru l'avoir perdu pour toujours, son coeur lui disait de foncer et de ne plus se poser de question.
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Ce que tu venais de faire, c’était presque digne d’un des travaux d’Hercule merde ! Tu venais de lui révéler ce qui pouvait vous renverser à jamais et tout ce qu’il trouvait à dire c’était : « Tu me prends un peu de cours là ? » Cette réaction était néanmoins compréhensible, tu t’étais donc abstenue de tout commentaire querelleur, te contentant d’une simple grimace avant de le rejoindre. C’était maintenant à son tour de digérer cette annonce. De retour parmi les morts, tu n’avais plus qu’une seule envie, le coller, ne plus le lâcher et bien entendu, lui faire entendre qu’il était le seul et que tu étais prête à tout pour lui. Tandis que tu déballais ton coeur pour qu’il y croque dedans par la suite, tu ne percevais malheureusement aucune réaction de sa part. Il était impassible, froid et sans aucune émotion. Rien de bien rassurant… Pour le réveiller de ce mutisme, tu t’étais placée sur ses jambes, le secouant presque en l’implorant de te regarder. Finalement, ton obstination avait payé et il avait repris la parole, miracle ! Ce que tu lui avais fait était inhumain, c’est vrai, tu n’avais pas réfléchi une seule seconde à ce qu'il avait pu endurer ces dernières heures. Néanmoins, en l’entendant insulter Suzy, ta meilleure amie, tu n’avais pu t’empêcher de pouffer de rire. Bon sang, la Dunster était vraiment un atout pour toi, une perle que tu ne voulais plus lâcher depuis votre rencontre. Plus Ezio se lâchait, plus ton visage s’ouvrait. Tu le reconnaissais davantage quand il parlait de cette façon, avec détachement. Il en était presque drôle. Néanmoins, tu avais regagné ton sérieux lorsqu’il t’avait fait part de ses craintes de te perdre et de la stupidité de ton comportement. Tu étais d’accord, t’avais abusé. Sur le moment, tu avais agi impulsivement et tu n’avais pas réfléchi, c’était tout toi « Oui c’était ça le but… Je voulais pas t’imposer ce fardeau… » murmuras-tu. Le suspens était toujours à son comble, Ezio n’avait toujours pas érigé de réponse sur sa volonté quant à cet enfant. Ton coeur se rétrécissait dans ta poitrine face à ce moment de silence qui s’était faufilé entre vous. Heureusement, ton Dieu s’était rapproché physiquement, rapportant la chaleur que tu préférais le plus au monde. Sa tignasse s’était alors écrasée contre ta peau nue, te chatouillant quelque peu. Assez vite, tu avais glissé tes mains à l’arrière de son crâne, l’apportant encore plus près de toi. Ce contact était une pure merveille, le meilleur cadeau que tu pouvais recevoir actuellement. Scellant tes paupières entre elles, tu avais enregistré les paroles du brun au plus profond de toi. « C’est réciproque mon amour. Je n’ai pas su gérer, je suis désolée, ça m’a dépassé. Totalement. Je crois qu’il n’y a plus rien qui pourrait me faire réagir aussi follement » déclaras-tu en souriant pendant que le Quincy posait de nouveau ses mains sur ton bidon encore tendu. Tu le regardas faire avec émotion, il était si beau quand il voguait vers l’inconnu de cette manière « Je serais aussi honorée de mettre au monde ce machin. Et je t’assure une fois de plus que je ne t’ai jamais trompé et ce n’est pas près d’arriver. » Tout à coup, tu avais aperçu l’italien fronçait ses sourcils ce qui avait crée un bref mouvement de panique en toi. T’avais dit un truc qui fallait pas encore ? Ouf, non. Les traditions familiales s’étaient désormais infiltrées suivies de près par… une demande en mariage carrément inattendue. Non, une fois de plus, tu n’étais pas en train de rêver. Pourtant, dix minutes plus tôt à peine, tu étais à la limite de ne plus jamais le revoir, c’était hallucinant « T’es un gros malade tu le sais ça ? » Un large sourire avait illuminé ta bouille, après cet orage où tu n’en voyais plus la fin, le soleil avait enfin triomphé « T’as raison, j’emmerde les demandes extravagantes, je préfère de loin celle-là. Bien sûr que je vais t’épouser et je… je te promets de ne plus te faire aussi peur… » Enfin libérée de cette pression tu avais gorgé tes poumons d’air avant d’abandonner les genoux de ton homme « Mais… il va falloir accélérer le processus de tout ceci. Je veux pas me marier dans une robe pour femme enceinte moi. Puis Martin le verrait de toute façon… T’en es sûr ? Tu veux qu’on se marie ? Ta famille te renierait vraiment pour avoir tout fait à l’envers ? Ça me gêne tu sais… Je veux pas que cet enfant soit l’équivalent d’un couteau que je te glisserais sous la gorge » lui confias-tu en te débarrassant de ton pantalon et de tes chaussures, comme tu le faisais à peu près chaque soir ici depuis deux mois. La routine reprenait le dessus, tu étais soulagée mais encore sonnée par cette nouvelle et cette vie qui grandissait en toi. « Sérieux, tu t’imagines être père dans neuf mois ? Et moi maman ? Comment on va faire ? On… on est encore étudiants chéri. Moi qui voulait aller jusqu’à la thèse… » lui divulguas-tu en te rapprochant de ta commode où tu y attrapas une de tes nuisettes. Retirant ensuite ton soutien gorge, tu enfilas dos à ton fiancé ta robe en soie avec des questions plein la tête.
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