you and fresh eyes. (maxime)

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— with maxime.

Me voilà enfin sortit de cette prison glauque qu’était l’hôpital de la ville de Boston. Sauf que malheureusement pour moi, mon calvaire était loin d’être terminé puisque j’allais devoir me présenter encore dans cet édifice dans l’unique but de pouvoir recommencer à marcher vu que j’étais dans une chaise roulante pour un long moment. Comment allais-je faire pour continuer toutes les tâches dans la maison ou même m’occuper de ma compagnie ? Bref, j’étais face à un énorme dilemme et je ne savais pas comment j’allais m’en sortir. Le médecin me disait que ça allait être très difficile pour moi sauf que je n’en avais rien à faire. Mon frère avait carrément eu la brillante idée de me payer un garde du corps pour m’aider dans diverses tâches ou si je voulais me lever et m’asseoir à quelque part sauf que j’avais une tête de mule et je n’avais pas besoin d’un homme soit payer dans l’unique but de me transporter dans ses bras tout le temps. « Marco, je te donne congé pour aujourd’hui. Merci beaucoup de m’avoir aidée à rentrer chez moi. » De son regard, il semblait quelque peu inquiet de me laisser dans une telle position sauf que bon, je voulais être tranquille chez moi. Au moins être avec quelqu’un que j’appréciais et c’est pourquoi j’envoie un message à Maxime afin qu’il puisse venir me rejoindre jusque chez moi. Lorsque j’eu sa confirmation, je fis un petit sourire avant de rouler jusqu’à la cuisine et sortir une bouteille de vin que je dépose sur la petite table du salon. M’appuyant contre les bras du canapé, je réussi tant bien que mal à m’asseoir sur ce dernier et de grimacer de douleur. « Bordel, j’en ai vraiment marre… »

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En recevant le message de Willow me demandant de venir chez elle, je n'ai pas hésité une seconde pour accepter. En réalité, j'ai longtemps cru qu'elle ne voudrait plus me voir, ou qu'elle voudrait s'éloigner de moi, c'est pour cette raison que je n'ai pas fais le premier pas avec elle. Je m'en veux toujours de son accident. On me l'a souvent répété, ce n'est pas de ma faute, mais je ne peux m'empêcher de m'en vouloir. Si seulement j'avais refusé, elle aurait peut être été prendre un cours de moto dans une moto école et pas seulement avec moi. Je l'ai vu chuté. Je suis celui qui l'a emmené de toute urgence à l'hôpital. Je me suis occupé d'elle lorsqu'elle a été dans le coma. Je me voyais pas la laisser seule, alors que je me sens coupable. Je sais qu'elle est en chaise roulante, qu'elle va devoir aller faire des séances de rééducation pour réapprendre à marcher en quelque sorte. Ca me rend mal, vraiment mal. Alors en venant la rejoindre chez elle aujourd'hui, j'ai vraiment envie de lui montrer à quel point je suis désolé pour tout ça. Donc avant toute chose, je vais acheter une boîte de chocolat pour lui redonner le sourire et pour me faire pardonner comme je peux. J'arrive ensuite rapidement devant chez elle, en voiture cette fois-ci. Une fois devant sa porte, je sonne pour indiquer ma présence mais je repense rapidement qu'elle est en fauteuil roulant, donc j'entre à l'intérieur. " Je me suis permis d'entrer... " Je retire ma veste pour l'accrocher au porte manteau et ensuite la rejoindre au salon et lui présenter la fameuse boîte de chocolat. " Cadeau. " Je souris pour ensuite déposer un baiser sur sa joue. " Salut... Comment tu te sens ? "

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— with maxime.

Je suis au courant que Maxime devait s’en vouloir pour ce qui s’était passé avec la moto mais heureusement pour lui j’étais toujours vivante sauf que je devais passer une bonne partie du mois avec cette chaise roulante qui me pourrissait la vie. Comment étais-je sensée sortir dans des clubs avec un truc pareil ? Lisandro venait tout juste de quitter l’appartement et donc je pouvais rester un minimum au calme sauf que pour le moment je me suis décidée à envoyer un message texte à Maxime en l’invitant chez moi. J’en profitais puisque mon frère n’était plus dans mes pattes. Étant assise sur le sofa après plusieurs essais, voilà que j’entends la porte s’ouvrir derrière moi. Tournant la tête vers le beau brun qui venait d’entrer, un petit sourire se dessine sur mes lèvres. « Je viendrais bien te faire la bise sauf que pour le moment j’en suis dans l’incapacité. » Dis-je avec ce même sourire amusé sur les lèvres. En voyant la boîte de chocolat, je la prise dans mes bras avant de l’ouvrir. « Tu sais que t’es un amour. » Le laissant embrasser ma joue, je prends l’un des chocolats pour en manger un tout en lui en montrant la boîte s’il en voulait. « Disons que j’ai connue mieux, j’en ai vraiment marre de rouler avec une chaise roulante. Au fait, si tu veux boire quelque chose fait comme chez toi vu que je ne suis pas une parfaite hôtesse en ce moment. »

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C’est compliqué à assumer de se dire que j’ai mis quelqu’un en chaise roulante pour plusieurs semaines. De se dire qu’elle va devoir aller en rééducation un peu par ma faute. C’est plus fort que moi, j’arrive pas à me dire que je ne suis pas coupable. Je me sens coupable parce que j’aurais dû refuser une telle folie. J’aurais du lui dire que je refuse et lui dire d’aller prendre des cours avec une moto école, c’est plus sécurisé. Donc je vais essayer de me faire pardonner et ça commence par une petite boîte de chocolat. Oui ça va lui faire plaisir je pense. Donc quand je sonne à sa porte, je prends l’initiative de rentrer et j’ai bien fais. Manquerait plus que je la fasse faire des efforts inutile avec sa chaise roulante. « C’est pas grave, je peux venir moi de faire la bise. » Je souris pour m’installer a ses côtés et déposer mes lèvres sur sa joue et ensuite lui tendre la boîte de chocolat et elle a l’air ravie. Je souris quand elle me dit que je suis un amour alors que je lui demande comment elle se sent. « Je suis désolé pour tout ça Willow, je m’en sens responsable... Et puis en plus d’être ton ami, je peux être ton infirmier personnel si tu veux... » Je souris en la regardant alors que je me lève pour aller dans la cuisine. « Tu veux que je te ramène quoi ? » Poir ma part, ça sera une bonne petite bière. Y a rien de mieux.

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Je pouvais lui en vouloir de m’avoir donné des cours de conduite d’une moto alors qu’il était loin d’être un instructeur sauf que je ne pouvais pas lui en vouloir car c’était mon choix peu importe ce que je pouvais en dire. Voyant cette petite attention avec la boîte de chocolats, un petit sourire se dessine sur mes lèvres quand j’avais vu cette petite attention de sa part. Jamais je ne m’étais dit qu’un jour, Maxime et moi allions être proches tous les deux. Comme je ne pouvais pas trop sortir à cause de cette chaise roulante, je ne pouvais pas aller faire du shopping ni même aller rendre visite aux personnes qui étaient importantes pour moi. Étrangement, je n’avais plus de nouvelles de Tate, je m’inquiétais un peu pour lui sauf que le jeune homme était une grande personne quoique je puisse en dire. « Hm, tu peux venir faire encore plus qu’une simple bise. » Ne pouvant m’empêcher de garder mon calme, je rigolais un peu. Disons qu’après les quelques mois que nous avions passés ensembles, nous nous étions rapprochés. Le laissant prendre place à mes côtés, voilà qu’il s’excusait encore pour la millième fois, chose qui fit en sorte que je roule les yeux. « Tu t’en sort bien Jackson, la seule chose que je veux c’est que tu arrêtes de t’en faire et j’accepte que tu deviennes mon infirmier personnel. » Petit clin d’œil, le beau brun se redresse pour me demander si je voulais boire quelque chose. Afin d’oublier la douleur, je passais mon temps à prendre quelques petits breuvages plus fort les uns que les autres. « Un verre de vin s’il te plaît, amène la bouteille au complet aussi. »

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feat. Mallow

Je sais que je dois me mettre en tête que je ne suis pas responsable de son état. Mais je suis comme ça. Le seul point positif à tout cela, c'est que j'ai pu m'occuper d'elle à l'hôpital. Après sa chute, je lui ai directement donné les premiers soins en attendant que les ambulanciers arrivent. Et forcément j'ai pu l'accompagner à l'intérieur. Enfin tout ceci fait partie du passé désormais et il faut que j'arrête de me rendre coupable. Après tout elle n'était pas obligé de venir vers moi pour avoir ces cours, elle aurait pu payer pour avoir un vrai cours. Mais non elle est venu me voir moi. Bref, je m'avance vers elle pour pouvoir déposer un baiser contre sa joue et je souris amusé en entendant sa réponse. " Plus qu'une simple bise ? " Je me mords la lèvre inférieure en la regardant, alors que mes lèvres se rapprochent un peu plus de ses lèvres pour déposer un baiser dessus. Pas trop non plus. Après elle va devenir accro quand même. Je la vois rouler des yeux quand je m'excuse encore une fois. C'est plus fort que moi, je ne peux pas m'en empêcher. Elle me dit d'arrêter et je ne fais qu'hocher la tête positivement. " Et c'est là où tu vas me demander de mettre ma blouse de travail sans rien en dessous ? " Je rigole en la regardant, pour ensuite me lever pour aller dans la cuisine, et chercher des boissons. Elle veut du vin, alors je range ma bière et je vais me contenter du vin, ça sera très bien aussi. Une fois la bouteille en main, je prends deux verres et je reviens dans le canapé à ses côtés. " Ne profite pas de ton état pour boire. " Je souris, pour ensuite ouvrir la bouteille de vin et en verser dans les deux verres. " Voilà pour toi. " Je souris en lui apportant son verre et ensuite trinquer avec elle. " Avec les cours ça va aller ? Sinon je peux passer à Harvard pour récupérer quelques cours... "

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Lui affirmant qu’il pouvait me faire bien plus qu’une simple bise, je gardais ce même petit sourire en coin en le dévorant presque du regard. Ma façon d’agir avec lui voulait tout dire, je n’avais pas l’intention de changer, au contraire. « T’as très bien compris Maxime, j’suis sûre que tu en meurs d’envie. » Le voyant se mordre la lèvre inférieure, j’avais ce même sourire charmeur aux lèvres et en le laissant se rapprocher de moi un peu plus, le voilà en train de m’embrasser. Prolongeant le baiser qu’il m’offrait, je glisse l’une de mes mains contre sa joue jusqu’à ce qu’il se recule, terminant cette légère attention venant de sa part. Sauf que cette excuse me fit rouler les yeux systématiquement. Pourquoi passait-il son temps à s’excuser comme ça, je ne suis pourtant pas morte ce jour-là alors hors de question que ça puisse gâcher la soirée. Sauf qu’il se reprit en m’affirmant devenir mon infirmier personnel pendant le temps de ma re-éducation. Une très bonne idée puisque je ne pouvais pas sortir de chez moi pendant un temps indéterminé. Mon médecin m’avait fortement suggérer d’appeler quelqu’un en qui j’ai une entière confiance afin qu’il puisse m’aider dans diverses tâches que j’allais avoir à faire. « C’est une idée. Sauf que je te voyais plus porter une jolie robe d’infirmière. Tu serais assez sexy dans ce genre de tenue. » Rigolant un peu, je le laisse marcher jusqu’à la cuisine pour nous chercher de quoi à boire jusqu’à ce que je remarque qu’il ne s’était pas pris de bière, une chose surprenante venant de lui. « Quoi, tu crois que je vais devenir une alcoolique qui bois pour oublier ? Non c’est vraiment pas mon genre. » Si ça s’était passé durant mon adolescence, peut-être que ça se serait passé autrement. Le remerciant au passage pour la coupe de vin, je trinque avec Maxime avant de prendre une gorgée de mon breuvage et de la tenir fermement dans mes mains. « C’est gentil mais non, pour le moment j’ai tout ce dont j’ai besoin… Sinon, c’est vrai tu as décidé de quitter Harvard ? »

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Elle réclame plus qu'une simple bise, alors je ne vais pas me faire prier non plus. Embrasser Willow c'est plutôt plaisant, c'est loin de me déplaire en réalité. Donc je me penche vers elle pour pouvoir l'embrasser. Elle prolonge mon baiser, je suis sûr qu'elle en rêvait depuis sa sortie de l'hôpital. Mais bon je ne voudrais pas qu'elle devienne trop accro à mes baisers. Je ne dis pas que ça me dérangerais, mais c'est toujours un peu compliqué, parce que j'ai toujours quelques contacts avec Athena. Surtout que je sais d'Emilia qu'elle pense encore à moi, et qu'elle en souffre encore, même si elle m'a en quelque sorte pardonné. Oui elle m'a pardonné, mais je ne sais pas ce que je veux. Me remettre avec elle ou non ? Si vraiment je le voulais, je pense que j'aurais déjà fais en sorte de la voir pour pouvoir lui parler, mais non je n'ai rien fais, et je préfère rester de mon côté pour pouvoir la laisser refaire sa vie. Ca veut peut être dire que j'ai en quelque sorte tiré un trait sur nous deux. Peut être ou peut être pas. En attendant je préfère ne pas me poser de questions et de continuer ce qui se passe avec Willow. On est sans prise de tête et c'est bien mieux. " Une jolie robe ? Ah oui tu crois ça ? " Je rigole en la regardant, m'imaginant dans ce genre de tenue. Non je préfère ma blouse quand même et non je ne viendrais pas vêtu seulement d'une blouse et nu en dessous. N'abusant pas, elle n'est pas handicapé des bras si jamais elle veut me retirer mes vêtements. " T'inquiète je taquine. " Je souris amusé, alors que je remballe ma bière pour pouvoir prendre un deuxième verre de vin. Oui pourquoi pas, ça change. Et puis je reste un français, je ne suis jamais contre un bon verre de vin. Donc je reviens sur le canapé, pour nous servir et lui donner son verre. " N'hésite pas s'il te faut quelque chose... Oui j'ai quitté Harvard, cette année de spécialisation, je pouvais pas assumer financièrement... " Et j'ai assez de dettes sur le dos avec les années précédentes à Harvard. " L'hôpital m'a proposé de m'engager en contrat indéterminé, alors j'ai accepté et je vais réussir à vivre un peu mieux. " Je sais qu'elle n'a pas ce type de problème, mais elle peut comprendre mon problème quand même. " Et Ethan qui ne cesse de grandir et avec sa mère on assume 50/50 donc ça fait pas mal de dépenses. " Et je n'ai pas envie de dépendre de quelqu'un ou que la mère d'Ethan assume à 100% notre fils.

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Nous ne voulions pas que ce soit compliqué entre nous deux et pourtant, j'ignorais encore ce qui se passait. Oui, je pensais encore à Tate sauf que ce dernier ne m'avait donné aucun signe de vie depuis plusieurs semaines et j'en avais marre de trouver les choses beaucoup plus compliquées qu'elles ne l'étaient. J'étais au courant que Maxime pensait encore à son ex et je ne pouvais certainement pas aller plus loin que ça avec lui. Sauf que Louve ne m'avait pas donnée une tâche très facile en ce qui concernait mon bizutage et j'étais au courant que si je voulais rester à la Mather House, j'allais devoir faire ce défi même si je n'en avais pas envie. Petit sourire amusé sur les lèvres quand je lui disait que je le voyais bien en petite robe d'infirmière, le truc dont tous les hommes fantasmes... « À moins que tu ne veuilles qu'on inverse les rôles dès que je serai sortie de cette chaise roulante en enfilant un uniforme d'infirmière, qu'est-ce que t'en dis. » Me mordillant la lèvre inférieure, je savais que le beau brun ne pouvait résister à un truc pareil. J'adorais ce que nous partagions tous les deux, sans prise de tête sauf que ça pouvait l'être encore plus compliqué dans les minutes qui allaient suivre. Tandis qu'il vint à déposer la coupe de vin et que nous trinquions, je pris une bonne gorgée. L'Italie me manquait, j'avais comme espoir d'y retourner une fois que mes jambes allaient être au mieux qu'elles ne le sont présentement. Nous avions pas mal de choses à nous dire tous les deux et j'avais appris que Maxime avait quitter la Mather House afin de travailler à l'hôpital comme nous avions eu la chance de nous rencontrés souvent quand j'étais hospitalisée. « Ah ouais, je vois. Mais sinon, tu t'en sort quand même bien financièrement ? Enfin, j'sais que ça ne me regarde pas tes problèmes sauf que si y'a quoique ce soit j'aimerais bien en être informée, c'est à ça que sert les amis non ?. » Reprenant une nouvelle gorgée, je ne le lâchais pas du regard avant de déposer ma coupe contre la table du salon. « Écoute Maxime, j'aurais quelque chose à te dire. Te fâches pas... »

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Je ne peux m'empêcher de laisser échapper un rire quand elle me propose d'échanger les rôles pour que ça soit elle qui porte la blouse d'infirmière. C'est vrai que c'est un fantasme de beaucoup d'homme, tout comme les femmes qui vont fantasmer sur un mec en tenue de pompier ultra sexy ou autre. C'est cliché, mais c'est la réalité. J'ai longtemps fantasmé sur les belles infirmière, mais maintenant que je suis dans le milieu et que je vois la réalité en face, et qu'il n'y a pas tant que ça d'infirmière sexy, j'ai mis ce fantasme de côté. Mais ça peut le redevenir si Willow veut jouer le rôle un jour, ça ne me dérangerais absolument pas. " Ca pourrait me plaire en effet... " Je souris amusé en la regardant. Mais on a le temps d'ici là. En attendant faut qu'elle se remette de son accident, et qu'elle puisse remarcher. Oui je m'en veux, mais je compte bien l'aider à aller mieux. Ca va prendre le temps qu'il faut, mais j'espère que ça ira vite. Parce que j'ai été dans son cas, lors de la prise d'otage à Harvard. Je me suis pris une balle dans le dos qui a bien failli me paralyser à vie, mais j'ai eu de la chance, j'ai juste été en fauteuil plusieurs semaines, et j'ai réappris à marcher. J'ai aussi du faire une croix sur le tennis, ma passion, à cause de ce mal de dos dès que je fais un trop gros effort. " Je sais, c'est gentil Willow mais c'est mon genre de réclamer... Mais ça devrait aller maintenant que j'ai un bon salaire tous les mois. " Après tout lorsqu'Ashleigh est morte, enfin qu'elle a été pseudo morte, elle m'avait légué un million d'euros, que je lui ai rendus. J'aurais pu les garder, mais ça me ressemble pas. Si un jour je viens à bien vivre ma vie, ça sera uniquement grâce à moi. " Oui je t'écoute... " Elle va m'annonce quoi exactement là ? C'est plutôt inquiétant le "j'ai quelque chose à te dire, te fâche pas".

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