Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHappy Birthday, Baby (Benjona)
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Happy Birthday, Baby (Benjona)

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BENJONA

► HAPPY BIRTHDAY, BABY
Si t'étais pas né, on se serait jamais rencontré.
Et dans ce cas, ma vie n'aura pas été
aussi parfaite que maintenant.
I Love You ma fouine

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Un bip discret et j'ouvre les yeux. Un second et le coin de mes lèvres s'étire paresseusement. D'un mouvement lâche et lent, je tends le bras vers la table de chevet pour éteindre la petite alarme que j'avais mis sur mon téléphone. Minuit. 15 octobre. Doucement, je reviens à ma position initiale, posant mes lèvres dans le cou de celui qui dort encore dans mes bras, le dos contre mon torse. Ma fouine. Mon mari. Mon Jona. Qui atteint son quart de siècle cette année. Je ne sais pas si c'était sa vision de sa vie rendu à cet âge, mais j'espère qu'il en est heureux. Distribuant des baisers sur la peau nue de sa nuque et de son épaule, je le sers dans mes bras, caressant son torse.

- Joyeux anniversaire Baby, murmurais-je contre son oreille, enfouissant mon nez derrière celle-ci, me faisant chatouiller par ses mèches de cheveux.

Le réveiller ainsi à minuit n'est peut-être pas top selon certains, mais je voulais être le premier à le lui souhaiter. Égoïste et stupide? Peut-être. Mais avec baisers et câlins, ça passera bien non? Je m'en montre d'ailleurs peut-être plus câlin que bien souvent, finissant par le faire tourner sur le dos, passant au-dessus de lui pour l'embrasser complètement et caresser ses lèvres que j'aime tant.

***

- Daddy, je peux mettre des fraises?
- Seulement ton assiette ou la mienne, Puce, indiquais-je. Papa, ne peut pas en manger.
- Mais c'est bon, argumente-elle, croquant d'ailleurs dans une sans se gêner.

Je laisse échapper un léger rire. Elle a sa propre logique et ne comprend pas nécessairement que si Jona ne mange pas plusieurs sorte de fruits, c'est en vérité parce qu'il est allergique.

- C'est pas qu'il ne trouve pas ça bon, lui expliquais-je, mais il sera malade s'il en mange. On va essayer qu'il ne soit pas malade le jour de son anniversaire, n'est-ce pas?

Assise sur le comptoir, elle me fixe avec ses grand yeux bleus avant de faire "oui" lentement de la tête comme soudainement catastrophée par cette nouvelle. Son regard passe des assiettes à mon visage plusieurs fois tandis qu'elle semble évaluer quelque chose.

- Alors, plus de chocolat, finit-elle par décider, reprenant sa distribution de fruits et de fleurs dans les assiettes.

Le sourire aux lèvres, je me concentre à nouveau sur la cuisson des gaufres. La voisine a donné à Eva un bouquet de fleurs de son jardin, hier. Et ce matin, Miss a décidé que ça ferait joli dans les assiettes. Pour le moment, je la laisse faire. Elle y passe pas encore le bouquet. Et c'est mieux ça, plutôt que Brabracio essaie de le bouffer. Étrangement, même si on est deux en cuisine - et qu'Eva échappe toujours un paquet de trucs - il fait encore la grasse matinée avec Jona, ayant pris ma place dans le lit quand je me suis doucement extirpé des couvertures à l'aube, laissant ma fouine se reposer de nos ébats nocturnes. Le déclic de la cafetière se fait entendre, signe que le café a fini de couler dans la carafe et la petite tête blonde, caché sous ma casquette, me regarde à nouveau.

- Je peux le faire?
- Les cafés?

Elle hoche fortement la tête.

- Non, c'est trop chaud, refusais-je.

Des plans pour qu'elle s'ébouillante! Que ce soit en posant ses mains sur le verre de la carafe où en l'échappant parce que c'est trop lourd. Déçue, elle fait la moue, jouant avec le rebord de sa jupe.

- Mais tu peux aller réveiller Papa et lui dire qu'on a préparé le déjeuner, suggérais-je.
- Ouiii!

La rattrapant de justesse alors qu'elle était déjà prête à se laisser glisser en bas du comptoir, je l'ai à peine poser par terre, qu'elle fait le tour du meuble en courant, ses bottes de pluie rouges aux pieds, pour aller vers notre chambre.

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@Jonathan Skelton-Lynch
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► Happy Birsthday


I love you.


Le mouvement du matelas sous son poids me tire légèrement de mon sommeil. Comme chaque matin, la chaleur de son corps me quitte aprés un baiser sur le haut de mon épaule, la nuque, ou toute autre partie offerte à ses lèvres. Comme Chaque matin, sa chaleur est remplacé par celle moins délicieuse, de notre chien. Au début, je pensais que le cabot cherchait par ce geste, à dormir à côté de moi, ne serait ce que quelques minutes chaque matin… puis je me suis rendu compte, qu’il voulait, en réalité, profiter de la chaleur et l’odeur que laisse mon mari sur l'oreiller.
M’obligeant à ne pas bouger, je ne peux m'empêcher de sourire en me rappelant la veille. Quand son baiser sur ma nuque à dévié en une sorte de “cadeau” d’anniversaire. Il me l’a souhaité de la meilleur façon possible… 2 fois.
Je suis encore courbaturé, délicieusement languissant sur notre lit conjugale, et j’aurais bien besoin de plus d’heures de sommeils, si le noir qui m’entoure veut bien se refermer sur moi.

Chwink, chwink
… Un bruit de caoutchouc, au rythme, me réveille. Après 2 minutes ou 3 heures du moment ou je me suis assoupi … je ne saurais le dire. Le chuintement continue à se rapprocher, dans le couloir, et le mouvement de Brabraccio sur le matelas me tire complètement des dernière limbes de sommeil, sans que j’aie la force ni le courage d’ouvrir les yeux. Du moins, c’est le cas, jusqu'à ce que le chuintement entre dans la chambre, et se rapproche de mon côté du lit. L’odeur de bébé, mélangé à celui de gaufres, et un soupçon de cannelles chatouille mes narines, étire mes lèvres. J’ouvre mes yeux, sur le visage le plus adorable de l’univers, encadré par des mèches blondes, à moitié caché par une casquette qui lui tombe sur le front.
Elle pose ses mains sur le matelas devant moi, et dépose son menton dessus ,“Papa” commence-t-elle. Je fixe ses pupilles, et y revoit celles de mon mari. “Je veux pas que tu tombes malade. Je vais manger toutes les fraises” finit elle par dire. Je ne sais pas trop de quoi elle parles, mais pour elle, ça doit être assez sérieux, vu son petit froncement de sourcils, et l'expression grave qu’elle arbore.  Mon sourire s'agrandit, mon coeur débordant d’un amour que je n’ai jusqu'à dernièrement, ressenti que pour Benji “Merci petit coeur” Lui dis je, d’une voix rouillé. Me relevant, je la prends par les aisselles, et la met sur le lit. “Mais qu’est ce que tu porte la?” les bottes rouges, raison de ce bruit énonciateur de sa venue, n’était pas le seule vêtement saugrenu de sa tenue. Elle portait sa jupe blanche et un pull avec une image de pluie dessus. Tout simplement adorable. “Daddy Benji m’a dit de mettre tout ce que je veux. Papa Compleanno!”
Ca je sais ! Mes cours d’italiens en ligne avancent bien. Lentement, mais sûrement. Compleanno c’est Anniversaire. “Daddy Benji a raison, c’est mon anniversaire mon cœur, viens donner un bisous à papa” Lui demandais je en ouvrant les bras. Elle semble adorer l’idée, et me rejoins avec un gros sourire, m’embrasse la joue et me câline de ses petites mimines.
Depuis quelques temps maintenant, on a compris qu’avec une petite fille à la maison, il fallait être décent 90% du temps. Surtout le matin, si elle décide de venir s’incruster dans lit entre nous… J’ai donc pris l’habitude de me rhabiller après chaque passage de la tornade qui me déshabille. Même si j’adore sentir son corps nu contre le mien, c’est un faible prix à payer pour avoir la petite Eva avec nous.
Je suis donc très déscent, avec mon pull, et le pantalon de pyjama de Benji.
“Viens on va rejoindre Daddy Benji” Lui proposais je.
“Ouiiiii !!!!” s’exclame t elle en se décollant de mon torse pour me regarder. Tout juste assez longtemps pour me sourire, avant de se tortille et m’échapper. Elle se laisser glisser sur le côté du lit jusqu’au sol, et détale comme une endiablé, Brabraccio, pleinement alerte, sur les pattes. Je crois que comme moi, il commence à sentir l’odeur alléchante d’un petit déjeuner fait avec amour.
Lentement, et le coeur débordant de bonheur, je les suis jusqu'à arriver à la cuisine et voir toute la joyeuse famille “Joyeux mon anniversaire à tout le monde” décrètais je

DEV NERD GIRL

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BENJONA

► HAPPY BIRTHDAY, BABY
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Le bruit caractéristiques des bottes de pluies dans les pieds d’une petite fille qui court. Suivi de près par celui des pattes griffus sur le plancher et des médailles au collier qui cliquettent. La petite tornade blonde me heurte la jambe en riant. La main sur sa tête, je fais exprès de secouer la casquette trop grande pour elle, lui ébouriffant les cheveux au passage, mais surtout la lui descendant devant les yeux.

- Daddyyyy!

Elle se renfrogne, me tirant un léger rire.

- C'est pas gentil, boude-t-elle en replaçant la casquette.
- 'Faudrait t'en trouver une à ta taille, lui fis-je remarquer.
- Non, la tienne est plusse mieux, argumente-t-elle, coupant court à une possible discussion.

Sa réplique me tire un sourire et, elle, elle repart, allant probablement aider Jona à se lever du lit si elle a décidé qu'il n'était pas assez rapide pour elle. Cependant, tandis que je fais dos à notre chambre, occupé à transférer les gaufres dans les assiettes, j'entends les pas plus tranquilles de mon mari qui s'approche. Délaissant le petit déjeuner, je me tourne pour l'accueillir, m'appuyant au comptoir et l'attirant à moi en passant mes mains sur ses hanches, pour finalement les joindre dans son dos.

- Bonjour Mi Amore, soufflais-je après l'avoir embrasser, déposant encore un baiser sur son front. Bien dormi? Le questionnais-je, légèrement moqueur, massant délicatement le creux de ses reins.

Sa nuit a été assez courte ...par ma faute. J'ai voulu être le premier à lui souhaiter un bon anniversaire et je me suis peut-être laissé un peu trop emporté. On est retombé sur l'oreiller qu'aux lueurs de l'aube. J'y peux rien. Je succombe facilement à son corps. Surtout quand il agit pour que je craque justement. Il me charme comme un incube charmerait un pauvre mortel. Ici, le pauvre mortel se trouve plutôt chanceux de l'avoir dans sa vie, par contre. Rien n'est pareil avec lui. Et il a trouvé un moyen de me faire sourire tous les jours. Alors, je ne pouvais pas passer à côté de son anniversaire. Surtout que lui n'en oublie pas un.

Posant un baiser dans son cou alors que je profite encore de sa présence dans mes bras, je me rappelle la marque qu'il a fait sur le mien, près de ma nuque, cette nuit. Tirant un peu sur le col de son pull, j'en fais de même, mais ne reste pas assez longtemps pour qu'il soit apparent plus de quelques heures.

- À charge de revanche, murmurais-je contre son oreille en me redressant, un léger sourire au coin des lèvres.

Le squick classique du caoutchouc revient à la charge et je tourne le regard pour la voir sortir de sa chambre, suivi d'un Brabracio à collet en tutu de poupée rose et bleu. Je me disais bien qu'elle était tranquille aussi. Pauvre quadrupède. Il ne semble pas trop lui en tenir rigueur cependant, puisqu'il la suit, venant se planter à côté d'elle quand elle s'arrête près de nous.

- Daddy, ho fame! Nous renseigne-t-elle.

Un instant, je la regarde sans comprendre. Mes notions d'italien ne sont pas encore au top. Surtout quand ça ressemble à de l'anglais.

- J'ai faim, répète-elle avec un grand sérieux.
- Oh! Fis-je simplement. Ça arrive, Puce. Tu peux aller t'asseoir.
- Grazie.

Son vaillant compagnon sur les talons, elle quitte la cuisine pour aller s'installer devant la table basse du salon. Heu… C'est pas tout à fait ce que j'entendais par là, mais...

- Ciné-déjeuner? Questionnais-je Jona, avec un haussement d'épaules et un mouvement de tête vers la petite.

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► Happy Birsthday


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Je le regarde en souriant.
Je le fais souvent. Beaucoup plus, qu’il ne se rends compte.
Je le regarde faire, dos tournée, mes yeux glissent sur ses épaules, pour tomber sur ses hanches, et lorgner sur son fessier tellement musclé, ses cuisses musclé… que dis je son corps tout entier musclé.
Je crois que sans m’approcher de lui, on peut voir la différence de taille entre nous. Si on la voit pas en lui, alors on pourra la remarquer sur moi. Le pantalon que je porte, ou pour être exact dans les termes , que je traîne, derrière moi, en le rejoignant. Il me faudra faire deux ourlets pour qu’il soit à ma taille.
Ma taille, qu’il capture pour me rapprocher de lui, et coller mon bassin au sien. On s’emboite parfaitement, ça a toujours été le cas. Je me cale facilement contre son torse… comme tout son corps, il est tout autant muscle, mais contrairement au reste, il se détends sous mon toucher.
Ca n’a pas toujours été le cas, il n’a pas toujours été tellement facile à etreindre, ni enclin à me toucher les hanches. Il n’a pas accepté que je le carésse dès le début… Ou peut être que oui, mais avec des réserves. Il n’est devenu aussi amoureusement câlin que récemment. Au même moment ou il a appris à me sourire aussi tendrement, et à me taquiner comme maintenant.
“Mmmmmh , j’aurais pas pu espérer mieux” que je ronronne contre ses lèvre.
L’embrassant, profitant de sa bouche, comme j’en ai l’habitude, et du coins de l’oeil, quand il s’approche de ma nuque, je remarque Eva et le chien, sortir d’un commun accord de la cuisine, pour ce que je devine être une bêtise, et que je laisse faire, parce que …
“Mmmmmh” soupirais je encore. Comment est ce que je peux encore être aussi sensible, après la nuit dernière? Mes terminaisons nerveuses soupirent sous ses baisers et ses coups de dents. Les miens allant se planter dans mes lèvres, tandis que mes yeux roulent sous mes paupières closes. “Faut qu’on aille voir ce qu’Eva et brabra son entrain de préparer” chuchotais je dans un éclair de lucidité
“A charge de revanche” qu’il me réponds, m’arrachant un sourire.
“Quand tu voudras” lui promis je.
Mon regard se tourne la petite qui s’approche de nous, et je ne peux empêcher un rire de me secouer. Profitant de la proximité de benji, pour étouffer le son dans son pull.
Ouai j’avoue, je voulais seulement sentir son odeur de plus prêt. Un moment, avant de regarder notre fille à nouveau, et de suivre la conversation “Moi aussi Daddy Benji” affirmais je “J’ai faim, je me suis beaucoup dépensé hier soir” ajoutais je me mordillant l'intérieur de la joue.
A sa proposition, mon sourire s'agrandit encore plus si c’est possible “J’aurais pas pu imaginer meilleur programme, pour mon anniversaire. Te rappelles tu ce qu’on a fait l’année dernière? Pour mon anniversaire? Parce que … ça me semble tellement loin. Je crois que j’étais dans un événement mondain ”

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Sa réponse me fait sourire. « Il n’aurait pas pu espérer mieux. » Répondant à son baiser, je continue de le câliner comme il aime, comme j’ai appris à apprécier quand c’est avec lui. Pour l’enquiquiner un peu et pour me venger sans méchanceté de celui qu’il m’a fait cette nuit, je pose mes lèvres sur son cou, dans le but de lui faire un suçon qui durera au moins quelque heures. Le coin de mes lèvres se retrousse lorsqu’il affirme qu’il sera partant quand je voudrai pour une véritable revanche de cette nuit. Ce sera partie remise à bientôt donc. À dire vrai, ça m’étonne pas de mon incube préféré. Répondant cependant aux devoirs paternels à son rappel à l’ordre, mon regard accroche celui de notre fille, sortant de sa chambre.

- Je crois qu’on aura pas besoin d’aller voir nul part, murmurais-je en constatant les résultats de l’absence d’Eva et de son fidèle compagnon.

Fidèle compagnon qui est apparement l’instrument d’essai à la mode de la puce. Sans que ça ne semble trop le traumatisé, étrangement. On pari combien que quand elle sera en âge, le chien finira par se promener avec des griffées colorées de vernis multicolore? Parce que c’est évident qu’il y aura bien une de ses taties pour lui montrer les joies de la féminité. Ce sera de toute beauté. Accessoirement, si ça peut m’en sauver un peu, parce que je suis pas certain que je saurais bien me débrouiller avec tout ça.

Mon bras c’était resserrer par réflexe à la taille de Jona quand celui-ci est venu rire contre mon col de chandail, j’ai, pour ma part, un sourire en coin. Du moins jusqu’à ce qu’Eva m’adresse la parole et que je ne comprenne pas encore ce qu’elle veut. Répétant, elle précise - en anglais, cette fois - qu’elle a faim et mon mari soutient l’idée. Je le regarde un instant, un peu surpris avant de me pencher à son oreille pour murmurer, histoire que la petite ne nous entende pas.

- Évite de m’appeler comme ça au lit, ça me ferait vraiment étrange, avouais-je.

Sinon, je suis pas certain qu’il pourra se « dépenser » autant que cette nuit. Eva ayant décidé de s’installer à la table basse du salon avec ses ustensiles, je propose donc un ciné-déjeuner en famille.

- Essaie de lui faire choisir autre chose que le Roi Lion s’il-te-plait. Ou toi choisis quelque chose, proposais-je tout bas à Jona.

Je vous jure, je suis certain que je connais au moins 75% des répliques et chansons de ce film. En italien. Important de préciser. J’en comprends pas la moitié, mais je les connais.

- L’an dernier, je suis aller te chercher à ce que je croyais être une simple soirée mondaine et t’es venu dormir au loft avec moi, répondis-je à sa question. Mais c’est que le lendemain que j’ai su que la fête était pour ton anniv. T’as dit que la nuit et la matinée avec moi était nettement mieux comme ambiance pour ta fête que… comment t’as dit exactement? Questionnais-je, faisant une pause pour essayer de me rappeler. Ha merde, je me souviens plus, finis-je par admettre au bout d’un moment. Mais l’expression m’avait fait rire.

Prenant les trois assiettes en mains, je me dirige vers le salon, pour les déposer, m’assurant que le chien n’en bouffe pas la moitié avant que la petite ne décide qu’il faut absolument qu’elle partage.

- Doucement avec ça, Eva. Le chocolat c’est pas bon pour les chiens, lui rappelais-je, sachant très bien que le cabot aura tout de même droit à une gaufre nappée au moins.

Plus ce qu’elle aura au visage ensuite. Un point pour lui, il semble avoir l'estomac solide. Et il est loin d'être difficile.

M’assurant qu’il est bien installé sur le canapé, je me penche vers Jona pour lui tendre son assiette, m’arrêtant pour l’embrasser une fois de plus. Comme si j’en avais pas assez. Comme si, un jour, j’en aurai jamais assez!

- Tu ne bouge pas aujourd’hui, précisais-je. Pas de tâches, que du plaisir. Et je suis là pour exaucer tes désirs, expliquais-je en m’installant près de lui, lui laissant amplement l’espace pour venir s’appuyer sur moi.

C’est sa journée de repos, en gros.

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Ma journée de repos.
Mon meilleur anniversaire depuis... l'année dernière en fait.
Je lui demandes s'il se rappelle ce qu'on avait fait. Car en octobre, l'an dernier je le connaissait déjà depuis quelques mois. On n'avait pas encore couché ensemble, mais on avait partagé le même lit à plusieurs reprises. Et c'était aussi délicieux que ça l'est encore.
En ce temps la , on apprenait à se connaître. On découvrait l'autre, son corps, ses envie, ce qui le fait soupirer de plaisir, ce qui lui fait fermer les yeux et se mordre le coin des lèvres, ce qui le fait grogner, ou gemir... Aujourd'hui, on sait tout de l'autre. On le connait comme on se connaît sois même. On sait exactement ce qui lui fait de l'effet, on adore son sourire en coin, on se délecte d'un frisson qu'on ressent sous nos doigts, parce qu'on sait "comment" on l'a fait frissonner.
Oui on l'aime... d'une autre manière qu’au début. On l’aime parce qu’on en a besoin. Parce qu’on ne peut pas s’imaginer sans cet amour, et qu’on n’arrive pas à se rappeler ce qu’on était avant cet amour. On l’aime parce que, être sans lui est tout simplement inconcevable. On l’aime parce qu’on sourit comme un con en le regardant faire les choses les plus banales.
Comme maintenant, debout dans notre cuisine, sa main sur ma taille. Je secoue la tête, pour me remettre les idées en places, et le fixe à nouveau     " … que de crever d’ennuie en cherchant les traces des aiguilles, dans des visages botoxé." terminais je pour lui, quand il bloque sur l’expression que j’ai utilisé, afin de décrire mon anniversaire de l’année dernière.  Une soirée préparé par ma mère.
Mère. Elle ne m’a pas encore appelé, me souhaitant le joyeux anniversaire habituel. Me demandant quand est ce que j’allais venir la voir aux hamptons. Omettant certainement de parler de Benji… Comme si par ce simple geste, il cesserait d’exister, et ne serait pas à côté de moi, sur la canapé, ou sur le lit.
Comme pendant chaque conversation téléphonique.
Je n’ose même pas imaginer sa réaction, quand je vais lui annoncer, qu’il est devenu légalement ma “moitié”. Et je ne veux pas trop laisser mon imagination divaguer, parce que… je sais… que la réalité va être beaucoup plus divertissante.
Je l’embrasse. Mon mari. Avant de me détacher de ses bras. Lui promettant par la, que mon eloignement n'est que temporaire. Le laissant prendre les assiettes dans ses mains, je le précède dans le salon, et m’installe à côté d’Eva “Hey petite coeur ! Je veux te montrer le film que je regardais tout le temps pour mon anniversaire” Prenant la télécommande, je scroll entre la liste de films qu’on a, passe au dela du "Il Re Leone"  et choisit celui qui me faisait toujours rire, gamin.
"Maman, j’ai raté l’avion!" Un film de noël, mais que j’adorais visionner, dès que j’en avait l’occasion.
“Daddy Benji aime ça?” le taquinais je en me blottissant dans ses bras “parce que Papa Jona adore sa journée de paresse à se faire chouchouter” lui dis je en lui volant un baiser “hum… t’as toujours su exaucer tous mes désirs”
Tu es tous mes désirs.

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Cherchant l'expression qu'il avait utilisé l'an dernier, je pouffe en l'entendant sortir une toute autre phrase.

- C'est pas vraiment ce que j'avais en tête, mais ça convient, je crois, fis-je avec sourire amusé. Je te laisse juger.

De ce que j'en connais de sa mère et de l'univers dans lequel elle gravite, ce serait pas vraiment surprenant. Aux nombres de personnes refaites qu'il doit y avoir dans le cercle de connaissances mondaines, c'est le genre d'environnement où tu te demandes si y'a au moins assez de pièces originales encore pour faire une personne complète. Non, je suis pas fan de tout ça. J'ai pas été élevé là-dedans. Et je suis, d'un sens, heureux que Jona, même s'il a côté l'univers, ne soit pas porter sur la chose non plus. Il prend soin de son apparence, passe peut-être des heures devant le miroir pour choisir ce qu'il portera pour un évènement, mais il n'a pas à passer sous le bistouri pour se sentir correct. Et puis, c'est parfois intéressant de le voir sélectionner sa futur tenue. Quoi? Mon mec en sousvêt qui pose devant le miroir en essayant pantalons et chemises de toutes sorte ou simplement les poser devant lui pour voir si ça s'agence bien et vous pensez que je profiterais pas des premières loges? Come on!

Assiettes en main, j'apporte le repas pour tout le monde, laissant Jona se débrouiller pour choisir le film qu'on regardera. À savoir si on y portera vraiment attention, ça c'est autre chose. À mon grand plaisir, je l'entends proposer à la puce de lui faire découvrir un nouveau film. Thanks god! Ça donnera une pause de Il Re Leone. Remettant son petit déjeuner à notre fille - avec quelques recommandations qui s'avéreront inutiles sous peu, j'en suis bien conscient - je la laisse se débrouiller pour déchirer des morceaux de gauffres et les tremper dans le petit pot de chocolat dans son assiette. Heureux compromis pour ne pas toujours lui couper tout et éviter - en partie, faut pas rêver, ça reste une enfant - d'avoir trois litres de chocolat un peu partout. Elle finit quand même par en avoir sur les doigts, mais ça se gère.

Analysant les premières images sur l'écran, j'hésite un instant à répondre à mon mari, blottit contre moi.

- Je crois que je connais. Je suis pas certain, admis-je.

Ça me rappelle quelque chose. Mais si je l'ai vu, ça fait quelques années déjà.

- Oui, ça me va, lui assurais-je.

Pas vraiment ce que je m'attendais à la mi-octobre comme thème, mais ça reste léger et ça fait changement des cartoons.

Répondant à son baiser, je souris encore à sa réponse. Posant encore un baiser à sa joue, je glisse jusqu'à son oreille pour y murmurer quelques mots.

- On cherchera si y'en a d'autres que t'aimerais exaucer, soufflais-je assez bas.

Même si elle ne comprendrait pas nécessairement, je n'ai pas envie qu'Eva capte mes paroles. Cependant, en reprenant ma place, je me rends compte que ce n'était pas vraiment obligatoire puisqu'elle est parfaitement concentré sur le film qu'elle découvre.

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IL rit.
J'aime quand mon mari rit. Il à un rire sincère qui illumine ses yeux, et le rajeunit. J'aime le savoir content. Dans mes bras et totalement relâché.
Notre fille nous interromps et nous ramène à la réalité, me faisant rire avec le costume qu'elle a donné au chien. Ils sont tout les deux des princesses maintenant.
Ça me rappelle que pour noël, j’achèterais certainement une couronne à Brabra, afin qu'elle s'amuse à lui faire porter quand elle même porte les siens.
Je crois qu'elle se rends compte qu'elle est notre princesse à nous... notamment parce que je l'appelle princesse, et qu'elle commence à associer le roi et le prince à moi et son père.

S'installer devant le film fut récompensé par une asiette de gauffre à l'odeur alléchante. Et un corps dur, aux formes alléchantes qui m'attire à lui, pour m'installer, et m'offrir une journée d’oisiveté pure et simple.
J'aime ça.  J'aime qu'il éxauce tout mes voeux, et j'adore la manière avec laquelle il réagit quand je le lui avoue. Son petit effleurement de ma joue, et surtout son souffle contre ma nuque, dès qu'il me parle à l'oreille. Me tournant vers son visage, je lui réponds en chuchottant
  " Je crois que j'aurais quelques idées... plus tard "
Embrasse moi. Encore...

DEV NERD GIRL

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Un sourire vient se placer au coin de mes lèvres tandis qu’il me dit avoir quelques idées de désirs que je pourrais exaucer pour lui. Sa petite précision comme quoi ça devra attendre plus tard ne laisse aucun doute sur la catégorie dans laquelle peut se classer ses désirs.

- Sans problèmes. Tu piques ma curiosité, soufflais-je avant de l’embrasser.

Ma curiosité et mon envie. Qu’est-ce qu’il peut bien avoir en arrière de la tête pour plus tard? Je ne sais pas, mais je ne crois pas que je serai déçu. Depuis qu’on a commencer à se croiser sous les draps, je ne l’ai jamais été. Surpris, oui, ça plusieurs fois. De manière agréable le plus souvent. Au début, il me faisait perdre mes repères, maintenant c’est son énergie et son imagination qui me surprenne. Comme la dernière fois qu’il a fouiller dans mon coffre à outils pour me faire une surprise. Charmante image.

***

Le film fini, les mains de la puce bien baveuses parce qu’elle s’est fait une joie de partager son repas avec Brabra, je récupère les assiettes pour les poser sur le comptoir. Revenant au salon avec un linge humide, je dois courrir un instant après notre fille avant de l’attraper et de la soulever provoquant un grand rire de sa part. Elle gigote un moment, ne me facilitant pas nécessairement la tache pour lui retirer tout le chocolat qu’elle a au visage et la bave qu’elle a sur les mains, mais cherchant un peu son souffle à force de rire, elle finit par se calmer tranquillement.

- Tu vas chercher ton cadeau pour papa? demandais-je contre son oreille.
- OUIIIII!

Une exclamation à m’en maltraîter les tympans lorsque c’est fait aussi près, mais la joie qu’elle y apporte compense. Courant toujours, le canin rapidement sur les talons, elle se dirige vers sa chambre tandis que j’en profite pour regagner ma place près de mon mari, profitant de nos quelques secondes de répits pour l’embrasser. Le squick squick des bottes de pluie rouges nous annonce le retour en trombe de la puce, portant fièrement à bout de bras un sac cadeau de papier pailleté bleu et rempli de papier de soie multicolores dépassant de partout. Je vous laisse deviner que c’est elle qui a tout choisi. Le contenant comme le contenu. Ce sac est un peu lourd pour elle, je le sais, mais elle m’a presqu’engueuler ce matin parce que je ne l’ai pas laissé le porter jusqu’à sa chambre quand je l’ai sorti de la planque où je l’ai mis hier en revenant des courses avec elle. S’il tombe par terre, Brabraccio se fera une joie de sauter dedans : il est bourré de bonbons. Oui, c’est ce qu’elle a trouver comme idée pour faire plaisir à Papa.

Au prix d’un dernier effort, elle le pose sur la table basse, avant de se tourner vers Jona.

- Faut pas toucher tout de suite! ordonne-t-elle, me tirant un léger rire.

Encore sur son boost de chocolat, elle se précipite à nouveau dans son domaine avant de revenir avec une carte dessinée à la main qu’elle remet à Jona, après avoir sauté sur le canapé à côté de lui. Se mettant debout sur le meuble, au risque de s’attirer une réprimande de notre part, elle fait les deux pas qui lui manquait avant de pouvoir faire un calin à ma fouine, se laissant ensuite tombé à côté de lui quand elle le libère.

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA
 


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► Happy Birthday


I love you.


Je n'avais pas du tout d'idée. Pas encore. Mais avec lui, les idées arrivent sans problème, je suis beaucoup plus créatif, et étonnamment plus impulsif...
Je sais donc que plus tard, je vais avoir des choses à lui demander. Je sais déjà que mon esprit divague sur ce que ça pourrait être. J'ai déjà des idées qui commencent à se former dans mon esprit, et ma main cherche le contacte de mon homme pour le ramener à moi. Je la laisse se faufiler docilement sur sa cuisse, et la tien contre la mienne. Notre fille est dans la pièce, je suis donc très respectueux, et ne fait que l'embrasser à nouveau.
  " Je t'aime" soufflais je contre ses lèvres.

Les gaufres sont bonnes. Le chocolat n'est pas mon fort, mais quand il est aussi amoureusement étalé sur mon plat, j'adore. J'en mange avec les doigts, j'en sens encore sur mon menton, et ça me fait pouffer de rire, surtout quand je vois Eva faire de même, et laisser Brabra lui lécher ce qui reste sur son visage. Il le fait consciencieusement, même si je le gronde au début ... le rire de la petite fille me dissuade de me répéter . C'est contagieux, et très drôle.
  " OH ! Oh ! j'ai un cadeau ? " M'étonnais je, m'essuyant du chocolat que j'ai sur moi.   " C'est un poney dit ?" Plaisantais je quand Eva alla le chercher dans sa chambre. Je fais en sorte qu'elle ne m'entendes pas plaisanter, pour ne pas être déçue et je suis tout autant excité qu'elle, quand elle revient avec un sac au moins aussi grand qu'elle.   "Tout ça c'est pour moi ? " m'écriais je pendant qu'elle monte sur le canapé et m'enlace "Ohhhh petit coeur " roucoulais je "Merci ! " dis je l'embrassant. Je ne sais pas ce que c'est mais peut importe, je sais que je vais aimer "Je peux l'ouvrir maintenant?  " demandais je tendant la main vers le sac.

DEV NERD GIRL

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