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wake up × kick ass × repeat (balou)

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basile & louve
Comme bien souvent, t’es prête à tout ou presque pour ne pas avoir à t’excuser. Que ce soit Basile ou un autre, la chose est quasiment pareille ; à moins que la situation s’annonce tendue, au point où la seule possibilité d’arranger les choses et de lui présenter tes excuses. Mais t’es persuadée que sur ce coup-ci, c’est pas le cas. Qu’il t’ouvrira quand bien même tu viens pas à t’excuser. Et quand tu vois la poignée de la porte s’abaisser, un sourire grandit sur tes lèvres ; intérieurement, tu cris victoire. T’as clairement réussi ton coup cette fois-ci encore, à moins qu’il vienne à retourner la situation à la dernière seconde. Et quand il pénètre dans la salle de bain, t’essayes de remplacer ce sourire par une moue pleine de douleur. Pour répondre à sa question, tu remontes ton bras pour cibler du bout de ton doigt le bas de ton dos, tout en restant bien allongée dans ta position ; t’accompagnes d’ailleurs ton geste d’un « Juste ici… ». Puis tu finis par lui tendre les bras pour qu’il t’aide à te relever ; mais évidemment, à peine quelques secondes plus tard, ton sourire réapparait alors que tu scrutes cet air sérieux sur son visage. « Ca va, ça va ! » que tu lui lances en te relevant finalement comme si de rien n’était. « Je savais que j’étais bonne comédienne, mais pas à ce point. Tu me flattes ! » Puis comme pour te faire pardonner, tu te hisses sur la pointe de tes pieds afin de déposer un léger baiser au coin des lèvres de ton amant, avant de lui attraper la main pour le tirer hors de la salle de bain. « Tu vois, tu peux pas me laisser enfermée longtemps, t’es trop faible Drahi, tu fais pas le poids face à moi. » que tu le nargues avec un sourire satisfait ; de quoi l’énerver un peu plus, sans doute. « Allez, t’en fais une tête d’enterrement ! Viens, on va manger un truc, ça va te remonter le moral mon petit loup. » Tu te dis qu’il va peut-être falloir que t’arrêtes de lui lancer des piques sans arrêt si tu veux pas finir à la porte de son appart à te morfondre sur ton sort alors que tu l’auras bien cherché. Alors tu files droit dans la cuisine et tu sors deux assiettes et deux verres pour préparer la table, histoire de lui laisser un peu de répit malgré tout.
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Lorsque Basile ouvrit la porte, il découvrit une Louve étendue sur le sol, l'air d'avoir mal, quoique pas mourante. Aucune blessure apparente, pas de tache de sang ni rien, c'était quand même rassurant. Reste qu'il pouvait y avoir une blessure invisible... Quand on est aussi casse-cou que le Mather, on s'y connait un brin ou deux en blessure. Accroupi près de la jolie Mather, il inspecta ce qu'elle pointa et alla mettre son doigt dessus, pour évaluer le degré de douleur.

-Là?

Peu importe, elle lui tendait bientôt le bras, que Basile prit doucement pour l'aider à se relever. Il se préparait à lui dire de s'asseoir, pendant qu'il l'aurait mieux regardé, quand il croisa le regard de la belle brune, qui se mit à sourire, l'air de rien. Basile était bouche bée, choqué. La phrase suivante le vit fulminer.

-Oh putain Louve, dis-moi que je rêve.

Ou plutôt, que c'est un cauchemar. Mais oui, elle avait fait semblant rien que pour le piéger et faire en sorte qu'elle quitte la salle de bain sans un mot d'excuse. Pour le coup, il était sonné. Encore hébété, il se méritait un baiser sur la joue avant d'être entraîné hors de la pièce. Au moins, elle n'était pas triomphaliste.

-Je te déteste la Perol.

Mais comme il lance quand même un petit sourire en coin, la Perol pouvait espérer qu'il ne la détestait pas trop non plus. Le Mather songeait déjà à une vengeance prochaine, mais il faudra qu'il se montre patient. Pour ce matin, elle l'avait eu, c'est clair et ne restait qu'à se mettre à table et manger en espérant que son tourment prenne fin... En vrai, il était juste trop découragé maintenant pour réagir davantage.

-J'ai pas vraiment le choix han...

Comme Louve préparait la table, Basile file dans sa chambre, non pas pour s'y enfermer et bouder comme un gamin, il est au-dessus de ça lui... Mais plutôt pour mettre des pantalons légers, limite style Aladin, mais hey, c'est confo', une casquette juste parce que c'est fun. Après, il venait s'assoir à table et commençait à manger sans attendre son invitée. D'habitude, il sait avoir des bonnes manières, mais là, avec le numéro de ce matin, il pouvait encore les mettre de côté.

-Au moins, t'as fait à manger ma petite Louve.

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Jouer la comédie, c’est tout un art. Et t’as mis du temps pour te perfectionner et arriver au niveau auquel tu te trouves ; bon, t’es encore loin d’une actrice hollywoodienne, t’es plutôt au rang d’un film bollywoodien mal fait. Mais visiblement, ça a suffit à faire mordre Basile à ton hameçon puisqu’il s’est à demi précipité dans la salle de bain pour te porter secours. Et tu pousses le vice un peu plus loin, tu fais mine de grimacer, de geindre, de lui montrer à quel endroit exactement la douleur se fait ressentir. Mais que nenni. Au moment même où il pose son doigt sur l’endroit en question, tu laisses éclater la supercherie au grand jour. Et, au vu de sa réaction, t’as tapé dans le mille. Tu peux d’ailleurs pas t’empêcher d’afficher un grand sourire fier et narquois à la fin, bien contente de l’avoir manipulé si facilement. « Tout à fait Drahi, tu rêves. » que tu ironises. Il t’en faut pas plus pour l’attraper et le tirer vers la cuisine, histoire de rattraper tes mille et une âneries de bon matin. Parce que t’as ramené de bonnes choses qui lui rappelleront autant qu’à toi votre pays. Si t’avais envie de jouer la romantique, t’appuierais sur le fait que ça te rappelle votre première rencontre, alors que vous bouffiez votre goûter avec Marin et que tu présentais des miettes plein tes dents. Haute comme trois pommes à cette époque, t’es même pas certaine qu’il se souvienne de toi. T’as toujours eu la sensation que le moment auquel il s’est rendu de compte de ton existence, le salaud, c’est à l’adolescence. T’évites quand même de te dire que c’est ton corps de lâche qui a fait le poids, parce que selon le cas, on peut se dire que y a pas grand-chose à se mettre sous la dent.

Quelques couverts et assiettes posées sur la table, et le voilà déjà qui joue le mal élevé. Si tu lui en avais pas fait voir de toutes les couleurs y a de ça encore quelques minutes, tu te serais sûrement permise une petite gifle, histoire de. Mais non. Tu te contentes de lui jeter un regard noir et un sourire des plus hypocrites, avec un petit « Mais oui, AU MOINS. » au passage. Comme si tu lui devais un truc. Ou peut-être que tu lui devais effectivement quelque chose au vu du réveil et de la scène qui s’en est suivie. Mais t’abdiqueras pas là-dessus, trop fière pour ça ; t’es pas du genre à te dire que tu dois quelque chose à quelqu’un, y compris si ce quelqu’un s’appelle Basile. « Je me suis toujours demandée pourquoi t’étais célibataire depuis tant d’années, mais je crois que j’ai la réponse maintenant. » que tu balances en secouant légèrement la tête de gauche à droite, par exaspération à peine cachée. Et puis tu finis par t’installer en face de celui qui t’empoisonne la vie, en déposant sur la table une bouteille de jus d’orange fraîchement pressé ; parce que ce genre de détail compterait pour n’importe quelle nana, alors au fond, t’es certaine que ça a son petit effet sur cette tête de mule. « T’as fait quoi hier soir, du coup ? » que tu le questionnes en tapant un croc dans une viennoiserie. « J’ai rencontré un type hier soir dans un bar, il m’a filé son numéro. Plutôt pas mal, j’avoue. Il m’a gentiment proposé de me raccompagner chez moi… » Tu marques un temps de pause, un air sérieux scotché au visage, à l’affut d’une réaction de sa part. Un peu pour te rassurer, encore une fois, sur le fait qu’il en ait quelque chose à faire du fait que tu puisses te rapprocher d’autres mecs que lui.
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basile & louve
Un rêve? Un cauchemar plutôt et puisque Louve était si déterminée à le voir ouvrir cette porte et à avoir le dernier mot, Basile était bien prêt à le lui laisser. Après tout, à ses yeux, ça valaient bien peu de choses et ce matin, c'est clair qu'elle avait l'avantage. La prochaine fois par contre... et durant sa vengeance, garantie que ce sera elle qui le suppliera et qui souhaiterait que tout cela soit un rêve. Oui, Basile est du type plutôt rancunier, même envers une amie, amante et tant d'autres choses. De toute façon, entre eux, la haine n'a jamais été bien loin de l'amour.

C'était bien le cas ce matin en tout cas, puisque rarement le Mather avait autant détesté la Perol et il le faisait savoir d'ailleurs, en boudant et tout et tout. Au moins, Louve s'était permise de faire le petit déjeuner et mettait maintenant la table, tandis que de son côté, il jouait les fainéants. La Mather ne manqua pas de le lui faire remarquer, mais vu tout ce qu'elle a fait, fallait pas trop compter sur un potentiel coup de main de sa part ce matin. À le voir en tout cas, Louve lança une nouvelle pointe qui le vit esquisser un sourire cette fois. Qu'on lui reproche son célibat l'avait toujours amusé. Basile vit bien comme il en a envie et les gens peuvent bien s'imaginer ce qu'ils veulent.

-Ah? Tu crois que je suis secrètement amoureux d'une garce?

Oups... mais bon, depuis cette fameuse nuit qu'Ils ont passé ensemble, la glace était brisée en quelque sorte, le seul hic, c'est que tous les deux, ils ne savaient pas trop quoi en faire, de cet amour et de ses sentiments l'un pour l'autre. Au final, ils font les choses à leur façon et c'est tout aussi bien.

Louve se joint à lui pour manger et heureusement qu'elle ne lui dit pas ce qu'elle pense, à savoir qu'il lui empoisonne la vie... Bref, elle revenait à la charge sur la veille et cela fit hausser Basile des sourcils.

-Je te l'ai dit, je suis sorti avec des potes. On célébrait la mi-session.

Ce fut son tour de prendre une mordée de viennoiserie et d'entendre son amie commencer à jouer de cette jalousie. D'ailleurs, dernièrement, elle avait tendance à en abuser, sachant que cela faisait démarrer Basile au quart de tour. Du coup, c'était à son tour de tenter de jouer les Ryan Gosling et de cacher sa réaction pour un air neutre à la limite du jem'enfoutisme.

-Ah ouais? Tant mieux pour toi... mais t'es ici ce matin.

Genre, n'essaies pas de m'en passer une petite vite, ça ne fonctionnera pas avec moi.

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C’est dans ta nature, la fierté, le mensonge, le déni. D’ailleurs, il t’est trop souvent arrivé de perdre des gens à cause de ce côté trop imposant de ton caractère. Ca a été le cas d’Elyas, il y a quelques mois, alors que Monsieur te faisait une déclaration à cœur ouvert le soir du bal. Au lieu de ça, tu t’es mise à gerber. T’es pas certaine de s’il s’agissait de nausées dues à ta grossesse pas encore reconnue ou du dégoût de ce flot de sentiments soudain. Mais en tout cas, une fois tes entrailles déversées non loin du bâtiment, t’as filé sans un mot, sans un signe. Et tu lui as plus jamais donné de nouvelles. Tu te dis que ça a dû être brutal pour lui, sans doute autant que pour toi ; mais c’était la meilleure des solutions. Puis qu’importe : s’il s’était passé quelque chose avec lui, t’en serais jamais arrivé là avec Basile. Et ça, c’est un truc bien trop important dans l’histoire pour ne pas aborder ce sujet et ne pas souligner cette excuse. Puis, au fond, peut-être que si ça avait été Basile, quand bien même un flot trop importants de mots mignons aurait risqué de te faire reculer de trois pas, t’aurais sans doute fini par lui sauter dans les bras, avec plus ou moins de fierté. Et, du coup, pour Basile, tu dois bien avouer que t’es prête à tirer un trait sur une grosse partie de ta fierté. Alors quand bien même il t’exaspère avec son attitude de type mal élevé, tu prends sur toi, t’acceptes.

« C’est pas spécialement secret, ce point-là. » que tu réponds avec un sourire amusé. Quel con. T’as encore ces mots en tête, le ‘t’es à moi’ bien trop révélateur de ce qui se joue dans sa tête. Et même si tu dois avouer que ça t’a fait et que ça te fait toujours plaisir qu’il t’ait dit ça, tu te dis qu’il a aucune possibilité de faire comme si de rien n’était. Parce qu’en quelques mots, il s’est cramé pour trop longtemps. T’as jamais eu l’impression que c’est le genre de type à dire à n’importe quelle nana qu’elle lui appartient, quand bien même tu sais que c’est un coureur de jupons. Ou que ça l’a trop longtemps été, parce que t’arrives à voir une certaine amélioration qui est loin de te déplaire, au contraire. Des belles paroles, t’es persuadée qu’il doit en avoir plein son sac ; mais y a certaines choses qui ne se disent pas à toutes. Ou en tout cas, t’essayes de te l’assurer. Mais quelque part, tu te demandes quand même ce qu’il a fait de sa soirée de la veille. Ok, il était avec des potes. Mais ça veut rien dire pour toi, et t’aimerais juste l’entendre dire que t’as pas à t’inquiéter. Rien de plus. Mais évidemment, t’as pas l’impression que ce soit dans son vocabulaire. Et pour le coup, tu renchéris pour tenter de le faire bouillonner un minimum. Sauf que t’es un peu déçue quand il ouvre sa bouche pour te balancer dans la tronche que c’est pourtant chez lui que t’es ce matin. Ok, c’est vrai ; un point pour lui. Ou deux. Mais quand même. « Tu crois que j’ai fait le bon choix ? » Tu t’attends déjà à l’entendre que non, que t’aurais pu rester chez toi pour pas l’emmerder avec ton réveil à la con. Mais t’as cette petite lueur d’espoir qui te dit que non, peut-être qu’il va porter ses couilles plus qu’à l’habitude et remballer un peu sa fierté ? Pas sûr, vous vous valez bien au fond. Et, en l’attente d’une quelconque réaction ou réponse de sa part, tu t’enfiles le reste de ta viennoiserie, un peu comme une louve qui n’a rien eu sous les crocs depuis vingt mois. Un estomac sur pattes.
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