Mais qu'est-ce que tu fou là, bordel ! (Danneel ; Oliver)

Ce matin j'avais dû aller faire un courses, du coup j'avais pris ma petite chérie, ma Harley -je lui donne même le petit nom de Harley Queen, parce qu'elle est ma reine ;)- et une fois prête je l'avais enfourché pour finir par faire un tour de centre ville avec. On m'avais toujours dis que j'avais fière allure avec elle alors j'avais certainement pas me privée de la sortir même quand je suis à l'université voyons. J'allais faire ma courses et en revenant voilà que je suis stopper à un feu rouge, je suis tranquille un pied au sol face à la route que je devais emprunter pour rentré, mon chaton là aussi m'attends dans la chambre de la Loweel et doit être en manque de nourriture actuellement. Le pauvre entre tout je n'avais pas eu le temps d'aller lui prendre à manger et comme je suis un papa gâteau avec mon chat je voulais lui faire plaisir et aujourd'hui lui donner de la pâté. Je sais que ce n'est pas très sein pour un chat, que le mieux c'est les croquettes mais étant donner de c'est seulement de temps en temps je me permet. Je tourne la tête vers le bruit de moto constant prêt de moi et mon cœur fait un bon. Une nana sur un super bolide, vraiment la fille est plutôt jolie alors je remonte mon regard sur sa silhouette quand... Merde je la connais. Attendez, la seule qui me semble être comme ça dans mon entourage... Danneel ? C'est vraiment toi là dessous. Le feu passe au vert et elle accélère comme une folle je peu pas laisser passer ça. Elle est complètement folle ma parole ! Je prend le même chemin qu'elle mais je soupire quand je voit qu'elle s'arrête prêt de la Lowell House. «Mais bordel, Danneel, qu'est-ce que tu fiche sur un bolide pareil ? Tu te rend pas compte de la vitesse à laquelle tu va ? » C'est pas possible elle peut pas être consciente d'aller aussi vite, sinon c'est comme une tentative de suicide ? Encore.

Entre avoir des principes et être une sale conne la ligne est très fine. Et pour le coup lorsque j’aperçois Ewen sur sa bécane tout gaiement à l’arrêt à un feu rouge, c’est plus fort que moi, il m’énerve, je ne le supporte pas. Mais qu’est-ce que j’attends pour le virer de la Lowell House sérieusement ? Dans ma tête je vois totalement rouge. Je ne réfléchis peut-être pas à ce moment-là, mais j’accélère. Ewen avait débarqué dans mon quotidien familial, et c’est l’histoire de toute une vie qui était ébranlé, toute l’histoire de ma vie. C’est un cauchemar, je suis en plein délire, je vais me réveiller, que quelqu’un me pince par pitié ! J’avais le cœur complétement fermé à toute possibilité de le voir un jour comme mon jumeau, non à mes yeux il était l’arnaqueur qui veux son bout du gâteau, et pour cause, le gâteau en question c’est l’héritage, je me crève l’âme pour que mon grand-père soit fier de moi, tous les jours ; et là je découvre depuis peu que j’ai un frère ?! Non pour moi mon frère c’est Danny et personne d’autre, mon aîné, mon grand frère. J’étais un monstre de mélancolie et de rage à ce moment même où ma moto, une sportive, une Kawasaki ninja noir mat et avec quelque touche de violet à l’effigie de la Lowell House. Le moteur ronronne et ma haine boue dans mes veines, je n’attends même pas que le feu passe au vert pour passer comme une fusée à côté d’Ewen. Le chemin pour me rendre à la confrérie je le connais par cœur, alors je trace ma route comme une ermite solitaire, je n’ai pas envie qu’il me rattrape. Une fois devant la Lowell House je cris de rage dans mon casque, puis je me gare et je descends, enlevant mon casque que je pose sur mon guidon. Je jette un regard sombre sur la moto qui se gare pas loin de moi. Putain mais je ne me reconnais même pas ! Je suis une fille chaleureuse, douce, toujours avec le sourire et là, bah là clairement j’avais cette colère en moi dont je ne soupçonner pas l’origine. Cette origine elle est pourtant simple, la peur ! Oui la peur d’être mise de côté par mon grand-père, la peur de devoir ouvrir mon cœur à une personne qui me détruirais plutôt que de me protéger, et pourtant j’en ai toujours rêvé d’avoir un frère hyper protecteur, mais je ne voulais pas laisser sa chance à Ewen. Pourquoi ? La confiance, je n’arrivais plus à la donner, les gens en avaient trop abusé. « Un bolide ? Ho tu parles de ma moto, crétin ? Et puis je n’allais pas vite. Si ? Je ne m’en suis pas rendu compte. » Non mais je rêve pour qui il se prend à limite me faire une scène pour ça ? Là s’en est trop. Je refuse qu’il vienne dans ma vie sans rien dire et qu’en plus de ça il me face limite la morale, ça c’est hors de question. Je fronce les sourcils et j’entre dans les dortoirs homme de la confrérie, direction la chambre trois ! J’ouvre en grand. « Salut » lâchais-je rapidement en voyant une personne dans la chambre. Je me dirige vers les affaires de Ewen et commence à en jeter une partie sur son lit. S’il veut me faire des leçons de vie pas de soucis, mais dans ce cas il vire en Suède ! Je n’avais qu’à appeler mon grand-père le supplier un peu et hop il serait parti pour quinze jours de stage en bonne conduite. Ewe arrive et je fronce les sourcils. « Si jamais tu essayes encore une fois de me faire la morale, je te promets que je ne serais pas tendre avec toi. » Je lance un regard vers le jeune homme présent dans la chambre, si je me souvenais bien sa devais être Oliver ? J’avais eu accès au dossier d’inscription de tous les Lowell donc certain prénom était resté dans ma mémoire. Je repose mon regard sur Ewen. « Je suppose que tu n’as pas prévenue ton colocataire que tu avais une sœur jumelle ? Et que tu ne lui as pas dit non plus que tu été qu’un petit con hypocrite ! Oliver sérieusement méfie-toi de lui. » Je lançais un regard compatissent à ce jeune Oliver.

Je la voit partir et j'en tien pas rigueur sur le coup j'en profite même pour poser mes doigts sur sa bécane elle fais pas semblant au moins quand elle choisit un bolide au moins sur sa on pourra pas dire qu'on fais pas partie de la même famille cependant quand enfin j'entre dans les couloirs et que je voit le porte grand ouverte alors que je sais qu'Oliver aime être au calme dans la chambre je m'approche d'un pas plus pressé, récupérant au passage mon chaton qui allais se faire la malle. Je m'appuie contre le bord de la porte et je la laisse faire un instant, on aurais pu croire que j'allais me mettre en colère en fait non, j'arrive à comprendre qu'elle m'en veuille pour tout un tas de truc par contre je vais bite la calmer moi la demoiselle. Je l'observe et je souris. «Salut Oliver, désolé de t'emmerder avec nos problème de famille. Je te présente ma sœur jumelle, Danneel de Suède. Elle viens ici parce que je lui ai gueuler dessus parce qu'elle est passer a deux doigts d'un école où des gamins pouvaient sortir à tout moment avec sa moto, au dessus de la vitesse indiquée, de plus elle a grillé un feu rouge et voulais faire la belle. » J'observe Dann', à ce moment elle doit ce sentir mal à l'aise déjà parce qu'elle n'a pas pensée au fait qu'elle aurais pu blesser des gosses déjà. De plus je sais bien qu'elle cherche à me faire dire que je suis pas de la famille et j'en tien pas rigueur en tant normal. «De plus le chameau ici présent, comprend pas que je fais vraiment partie de sa famille et qu'elle devrais ce calmer, parce que si elle veux j'appelle notre très cher papi et je lui parle de la non politesse qu'elle à eu de presque défoncé la porte tout ça parce qu'elle à des privilège chez la Lowell j'ajoute davantage à tout ça déjà qu'étant présent dans la chambre, ma très chère sœur que tu est mal polie et que tu devrais avoir honte de faire toute une crise qui en plus attire les plus curieux mh... » Je montre d'un doigts des gens présent dans le couloir qui comprennent sans doute pas la conversation actuelle dans cette pièce qu'est notre chambre.

Je suis dans tous mes états et sans réfléchir je me dirige vers un meuble, mais le jeune blondinet s’interpose, je fronce les sourcils et je me recule d’un pas, visiblement et à en juger ce qu’il dit, ce meuble est à lui, bon d’accord passe. Je ne faisais même pas attention à mon frère qui pourtant parler, mais je m’en fichais. Je souriais à Oliver. « Désolée je n’avais pas l’intention de m’en prendre à tes affaires, ce n’étais pas voulu. » Et puis alors que mon frère parle de l’attention que l’on attire, je le tire dans la chambre et claque la porte au nez des petit curieux, me retrouvant alors enfermé dans la chambre avec Ewen et Oliver pendant encore un petit moment, car sincèrement les petites fouines n’allaient pas partir tout de suite de derrière la porte. « Non mais tu vas arrêter de dire n’importe quoi ! Ce n’est pas parce que je suis la VP de la Lowell que j’ai des privilèges arrête ton baratin tu veux ?! » Je soupire bruyamment, non mais de quel droit il ose dire que j’ai des privilèges ! Avec la présidente qui est une amie aussi on fait tout pour que la confrérie tourne bien, mais ça forcément personne ne le retient, non les gens ne retienne que le côté privilège mais en oublie vite les obligations qu’on as envers la confrérie. Il avait mentionné notre grand-père dans son long discours que j’avais tous juste écouté. Mais surtout il avait touché à une corde sensible, les enfants … Je me sens comme tétanisé de peur. Je n’avais pas vue l’école, et si j’avais eu un accident ? Si j’avais renversé un enfant ? Je n’arrivais toujours pas à me pardonner pour Jackson Junior, alors si j’avais aujourd’hui encore pris la vie d’un enfant je ne m’en serais pas relevé. « Parle de grand-père autant que tu veux, mais ne parle plus jamais d’enfant … » Ma voix est sombre, grave, mon regard est noir. Une nouvelle fois je soupire. Il ne connait pas mon passé, je ne peux donc pas lui en vouloir.

Je me tourne vers Oliver, et j’avais bien entendu remarquer le cendrier, je lui lance un sourire en coin. « Tu sais que c’est interdit de fumer dans les chambres ? Je veux bien passer outre si tu me file une clope s’il te plait. » Non je n’allais pas lui faire un scandale pour ça, mais ça me permettait de lui taxer une clope sous le ton de l’humour. Je prends place sur le bout de lit de mon frère où je n’ai pas encore mis d’affaires dessus. Est-ce que j’ignore totalement mon frère après qu’il est parlé d’enfant ? Oui. Je lance un regard sur lui quand même, mais mon regard est toujours aussi froid. « Et je suis pas mal polie d’abord. » lâchais-je envers mon frère. J’avais vraiment du mal à le supporter, et pourtant il était bel et bien de ma famille. Je souris à Oliver, bon bah alors elle est pour demain ou pour aujourd’hui cette clope ? Je ne savais plus trop quoi faire. Je me retrouver dans une chambre avec deux hommes, imaginer les ragots qui allaient bientôt arpenter les couloirs. Je soupire une nouvelles fois. « Je pense que demains vous allez êtres des héros, et moi la traînée de service … » Car oui les gens ne voient que ce qu’il voient, mais pas ce qu’ils entendent, donc ils avaient juste vue la VP s’enfermer dans une chambres avec deux bizuts.

Honnêtement, j'observais les scènes se dérouler sous mes yeux mais je commençais doucement à en avoir marre de ses petits caprices de gamine mal comprise. Je l'observer user de ses charmes pour qu'Oliver ne la foute pas dehors avec comme excuse le fais qu'il ai besoin de son intimité et qu'elle semble trop vouloir fouiné. Elle m'engueule quand je parle d'enfant et je voudrais jouer sur ça mais quand je voit son regarde j'y voit surtout un peine immense qui me pousse à oublié cette idée. j'entre dans la chambre alors qu'elle claque la porte et je l'observe prendre ses marques je commence lentement à m'ennuyer de son numéro. Elle demande une clope à Oliver qui semble faire de son mieux pour être polie surtout depuis qu'il à comprit qu'elle est notre Vice présidente. Je croise les bras sur mon torse le chaton poser sur le lit et je regarde ma jumelle. « Eh le chameau t'a rien de mieux à faire en tant que Vice présidente là au lieux de faire du chantage à mon colocataire ? Vraiment parce qu'on ton petite numéro comment sérieusement à me chauffer là et j'aimerais bien ranger le bordel que tu as foutu puisque que madame n'est tellement pas polie qu'elle touche les affaires des autres sans leurs permission. Franchement ta pas honte de ton comportement maintenant ?» Je soupire et je les observe parler, comme si j'existais pas. Allez y faites comme bon vous semble. Je regarde mon colocataire et après avoir essayer par tout les moyens de lui faire comprendre d'arrêter d'être aimable avec elle je l'observe. «[Oliver faut vraiment que tu arrête d'être gentil avec le dragon parce que sinon elle va prendre racine ici et franchement si vous voulez être pote,
aller boire un café crache sur mon dos si vous voulez mais pas ici... » Je les regarde tour à tour et je soupire une nouvelle fois, ben quoi je suis sérieux, partez, j'en ai marre de votre blabla,je suis le mauvais gars ici et Danneel le sait très bien alors continuons de penser sa et fuyez. J'ai été patient jusqu'à présent même quand elle joue son rôle de gentille petite fille alors qu'on sait bien qu'en dessous de toutes cette mascarade elle n'est pas comme ça, ouvrez les yeux les gens.

J’observe le jeune homme qui visiblement chercher son paquet de clope puisque visiblement le premier est arrivé à rupture de cigarette. Je suis toujours très observatrice, j’aime connaître le moindre des mimiques des gens, essayer de les cerner. Et de ce que je pouvais voir sur Oliver c’était son envie de ne surtout pas se retrouver bien malgré lui confronté à une guerre fratricide. Les faveurs ? Il pouvait bien avoir toutes les faveurs qu’il souhaite vus qu’il supporte mon taré de frère avec ces bonne manière et compagnie, mais putain qu’il me tape sur le système avec ses remarques à deux balles ! « Disons que tu auras les faveurs à vie si tu m’en file une. » Je lâchais un petit rire tout en attrapant le paquet. J’en sort une clope puis renvois le paquet en direction d’Oliver. « Merci. » Je vois que sur le lit il y a un chaton. C’est fou ce qu’il est adorable, j’adore les animaux, je regarde la petite boule de poil et fait en sorte de ne pas souffler ma fumer vers lui, jamais je ne ferais sa à un animal. Je venais d’allumer ma clope et d’en prendre une latte. La fumée qui envahit mes poumons me détient prisonnière d’une mort en suspens plus jeune, mais putain je me rappeler plus à quel point une clope avait le pouvoir de me rendre zen, alors imaginez-vous un joint ? Je soupire et me lève du lit de mon frère pour aller vers celui de Oliver « J’ai jamais honte de rien, tu devrais la savoir. Et en tant que vice-présidente je peux prendre de mon temps pour apprendre à connaître les membres de la confrérie. » Je fronce les sourcils et l’observe puis mon regard s’adoucis et se pose sur Oliver.

« Dit Oli’ je peux m’assoir ? Vue que mon cher frère me refuse l’hospitalier de son lit. » Eh bien oui même si mon frère pense le contraire, je suis une personne polie et je ne squatte pas le lit des autres sans demander, enfin sauf celui de mon jumeau diabolique. Je tire sur le petit tube mortel sur le long terme, et j’en savoir la fumée qui traverse mes voies respiratoires avant de la souffler en direction de Ewen dans un long soupire de déception. « Ce n’est pas très gentil de traiter sa sœur de dragon. » Mon attention se porte à nouveau sur le colocataire de mon jumeau, je lui souris, après tout il ne m’a rien fait blondie pour que je sois désagréable avec lui, donc bien au contraire je suis sympa avec lui. Je fini par écrire mon adresse sur un bout de papier et le temps à Oliver « Si un jour mon frère te fou à la porte pour se taper une de ses bimbo, passe à la maison j’ai tris chambre, tu pourras en squatter une. » Je plonge mon regard dans celui de Ewen, bon maintenant c’est fini ? Il n’a pas bientôt fini sa comédie ? « Tu parles de politesse, mais en attendant tu es presque entrain de jeter ton coloc dehors car tu ne supportes pas me voir parler avec lui. Et puis qui à parler de cracher sur ton dos ? Tu crois que tu vaux vraiment la peine que je porte un intérêt quelconque à ta petite personne au point de cracher sur ton dos ? Non je n’ai pas que sa à faire tu es insignifiant, donc je ne vois pas pourquoi je parlerais de toi-même en mal. »

S’il voulait jouer au plus con on aller jouer, mais il risquait de perdre et de perdre très gros même. Déjà pour commencer les animaux son interdit dans les chambres. Je lance un regard sur le chaton et me mort la lèvre inférieure, puis je détourne mon regard sur Ewen. « Joue pas au plus con avec moi Ewen, tu risques de perdre. Commence par envoyé cet boule de poil en Suède ou confie-le à qui tu veux mais les bestioles sont interdites dans les chambres. » Je lui lance un regard blasé, alors mon coco on continue comme ça ou c’est bon ? Je pose mon regard sur Oliver, et si je le sauvé de la mauvaise humeur de mon jumeau ? Quelle heure il est ? 18h30 parfait. « Oliver, ça te dit de dîner avec moi ce soir ? Comme sa mon frère aura tout le temps de se calmer d’ici ton retour, et tu ne subiras pas sa mauvaise compagnie. Et quand tu rentreras il sera docile comme un chaton. » J’orne sur mes lèvres un sourire narquois que je lance à mon frère, oui je me fou de sa gueule et alors ? Je n’ai plus que à attendre une réponse de blondi, en espérant qu’il accepte car en vrais avec tout ce qui ne vas pas dans ma vie, j’ai surtout besoin de me changer les idées et de fréquenter de nouvelle tête.

Cette situation commençait à me passer par dessus la tête. Je n'avais aucunement le situation en mains, sa craint un max. Je les observait tout les deux avoir une conversation des plus normale pendant que je sentais la colère monté en moi envers notre vice présidente. Je savais plus quoi faire pour qu'elle me fiche la paix alors qu'elle squattais la chambre de mon colocataire et moi tout en la regardant j'entends qu'Oliver va s'en allé et je refuse que sa arrive c'est à nous d'aller nous disputer le trône ailleurs parce qu'il est quand même en premier dans sa chambre. Je regarde la belle sur le lit. «Eh le chameau on est en train de pousser le maitre des lieux dehors, tu veux qu'on s'en aille au lieux de foutre la merde, il n'est quand même pour rien dans nos histoire tu ne croit pas ? » Je lui lance un regard qui veux dire qu'au fond elle n'a pas vraiment le choix parce que je m'en voudrais qu'il penses que cette scène là va arrivé tout les quatre matins et je suis certain même si c'est une chèvre que ma sœur va partir avec moi... J'attends qu'elle se lève mais elle commence à parler du chat comme quoi il n'a aucun droit d'être là et que si elle voulais elle pouvais me virer pour ne pas avoir suivi le règlement. Je serre les points parce que franchement si je voudrais avec son petit gabarie je la porterais comme un sac à patate et je la foutrait gentiment ou pas.. dehors. Je regarde Oliver qui va pour s'en aller lui demander qu'elle ne sens prenne pas au chaton qu'il est sage et j'en suis touché après tout il pourrais clairement s'en foutre. Je penserais à le remercier plus tard. «Attends Oliver, sérieux pars pas... merci de prendre soin d'Aeryn, attends je m'occupe de Danneel, on s'en va reste s'il te plais. » Je m'approche de la VP et sans gentillesse je la porte contre moi la montant sans ménagement sur mon épaule, elle n'avais qu'à bien se tenir et tant pis si je me fais viré de la Lowell pour manque de respect envers ma sœur. Je sais qu'elle voulais me faire chier mais elle est aller trop loin j'avance vers la porte et je fais signe à Oliver d'un sourire lui disant que je reviendrais plus tard et je sors avec Dann dehors devant la porte faisant obstacle à la chambre je la regarde en colère.« Que tu me déteste je m'en tape Danneel, mais tu as manqué de respect à Oliver et franchement tu manque de tacts, tu apprendre que j'ai jamais ramener une fille dans la chambre, ensuite je comprend bien que tu me déteste mais s'il te plais trouve autre choses pour m'emmerder parce que là tu as mêlé Oliver dans nos histoire alors qu'il ne le méritait pas. Tu veux me viré de ta confrérie fais le si ça te chante mais fou la paix à Oliver. Vraiment. » Je croit les bras sur ma poitrine et je la regarde, est-ce qu'elle va comprendre qu'elle est aller trop loin ?