Hello roomate (Oliver)

Hello roomate.Je tiens Aeryn dans mes bras et elle se met à ronronner aussi fort que son petit corps le peut. Je la caresse tout en regardant Oliver, merde il pourrais aller raconter sur le campus que j'aime tellement mon chat que je pourrais en paraître gay. Je le regarde les ouvert et je le pointe du doigt.

«Te moque pas de moi okey ?»

Je fronce les sourcils et je l'observe mais je perd vite mon expression en regardant le chat, je le pose sur le lit et je m'y assoit.

«Je l'ai sauvé de la rue ce chaton, en fait. Un jour j'avais eu des problèmes et j'avais finit sur le bord de la route sans savoir quoi faire de mes problèmes et ce chaton il a traverser la route pour s'asseoir face à voir, il m'a regarder sans rien faire. Cependant sa mère de l'autre côté de la rue s'est jeter sans regarder la route. elle s'est faites écraser, et j'ai dû m'occuper des trois bébé chatons, j'en ai donner deux puis elle, j'arrivais pas à m'en séparé. Je l'aime vraiment beaucoup. Et je la gâte parce qu'a cause de moi sa mère est morte. »

Je le regarde et je m'amuse à caresser le chaton distraitement. Je sais bien que c'est de ma faute si ce pauvre chaton à perdu sa mère et je sais bien que les gens peuvent me prendre pour un fou d'avoir autant d'amour pour ce bébé là mais en fait c'est un pur bonheur pour moi de m'en occupé et depuis de que l'ai le soir en rentrant dans ma chambre je tourne pas en rond je m'occupe d'elle, et je m'occupe l'esprit en même temps. Je ferme un instant les yeux avant de regarder Oliver à nouveau.

«J'aimerais que tu évite de divulguer sa au campus ils n'ont pas besoin de savoir que le petit fils du roi de Suède aime les chatons... hm. »

Je sens bien qu'Oliver est quelqu'un de bien et qu'il n'ira pas divulguer mes affaires sur la place public.
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Hello roomate !
Ewen De Suède-S & Oliver Matthiew Davis

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Apparement, il n’a pas aimé ma plaisanterie. Levant les mains, j’ai un mouvement tranquille pour repousser son doigt pointé vers moi avec ma paume. Mouvement calme pour ne pas le brusquer, mais mon expression s’apparente désormais à la sienne : les sourcils froncés, l’air un peu plus fermé.

- Doucement le Hell’s Angel, j’ai rien dit, lui fis-je remarquer. Pas la peine de vouloir me casser la gueule pour une simple blague.

Faut apprendre à respirer mec, c’était qu’une connerie sans réelle intention de nuire, juste le taquiner un peu. Briser la glace avec une légèreté. Un truc du genre, quoi. Le voyant se calmer peu à peu, je retrouve un sourire qui m’est plus habituel. Attentif, je le regarde s’asseoir et m’expliquer l’histoire qui le lit au chaton. J’en laisse planer un silence un moment et lorsque j’ouvre finalement la bouche pour parler, c’est aussi le temps ou il reprend la parole. Je reste un instant bouche bé avant de me ressaisir, secouant légèrement la tête. Mon regard se pose à nouveau sur mon colocataire et je lui offre un sourire tranquille, espérant qu’il comprenne que je ne suis pas une menace en aucune sorte.

- Tu en as plus sur le coeur que tu ne veux l’admettre, constatais-je, mais je m’appelle pas CS : tu fais ce que tu veux de ta vie, j’ai pas à aller la raconter nul part, expliquais-je avec un haussement d’épaules indifférent.

Je suis pas de ceux qui suivent les commérages de Cambridge’s Secret, même si à un moment les écrivains qui se cachent derrière le pseudonyme s’en sont donnés à coeur joie sur ce qui avait pu se passer dans mon lit. Après vu ce qu'il vient de dire et le look qu'il a, je comprends quand même un peu qu'il aie le réflexe de vouloir protéger ses arrières et sa réputation.

- J'ai quand même le droit de dire que le look motard pour de la famille royale, je trouve ça étonnant? Le questionnais-je avec un sourire en coin. Je m'excuse d'avance si je manque d'étiquette, fis-je avec un léger rire.

Je suis qu'un petit artiste bordélique de la classe moyenne, alors possible que y'aie des trucs qui le fasse tiquer parce que ça respecte pas les règles dans lesquelles il a été élevé et que de mon côté, j'ai ai pas conscience. Après, j'ai aussi la fâcheuse tendance à mettre tout le monde au même d'égalité et je sais que j'en ai déjà vexé plus d'un comme ça.

joemaw
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Hello roomate.Il m'affirme que ce n'était qu'une blague et que je devrais pas monté sur mes grands chevaux et pour être honnête je n'aime pas vraiment me mettre en colère contre quelqu'un surtout quand je viens à peine de le rencontré comme Oliver maintenant, je m'installe et je lui raconte pour le chat il semble vraiment s'adoucir et m'écouter avec attention et je trouve ça vraiment cool même si j'irais pas jusqu'à lui raconter mes petits secret mais c'était surtout pour qu'il comprenne pourquoi je m'occupais à ce point de ce chaton que j'aime vraiment beaucoup. Il comprendra alors que je me sens coupable avec mes problème d'avoir en plus fais tués sa mère. Je relève la tête quand il prends la parole et me dis que j'en ai plus sur le cœur que je ne veux bien le dire. Je souris, je suis démaqué on dirais !

«Eh bien on dirais que tu est su genre à vite cerné les gens, je me met en colère tu sais mais en générale personne ne le voit parce que j'aime pas qu'on me voie en pleine colère.
»

Je le regarde et je souris un peu, quand il reprends la parole pour parler de mon titre de royauté je ris franchement. Je sais bien que mon style vestimentaire peut en choquer certain mais mon grand père n'a pas essayer de me changer il trouvais mon style marrant alors il à dis que je pouvais rester comme je suis.

«En fait, je suis dans la famille royale que depuis 6 ans, mon grand père est venu me récupéré dans ma famille d'adoption qui eux étaient des motard pur souche. J'adorais ma famille.»

Quand je penses qu'ils n'ont même pas essayer de me garder avec eux j'en ai presque la nausée.
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Ewen De Suède-S & Oliver Matthiew Davis

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J'hausse les épaules, ça m'arrive oui. Je capte parfois des trucs que les autres ne verront pas. Est-ce que c'est le fait que je sois un artiste qui fait ça? Que lorsque j'ai l'oeil collé au viseur de mon appareil-photo, je me force à voir le monde différemment et à porter attention aux détails que d'autres trouvent insignifiants ou ne remarque pas? Peut-être.

- Une impression parfois, mais je peux tout aussi bien être à côté de la plaque, admis-je avec un léger sourire.

On se le cachera pas, un être humain, c'est difficile à cerner. Alors en 10minutes avec lui, je peux pas me faire une idée de qui est Ewen. Au bout d'un an de colocation, y'aura certainement encore des trucs pour me surprendre.

- C'est une émotion somme toute assez personnelle, la colère, alors c'est normal que t'aime pas trop qu'on te voit ainsi. C'est un peu la même chose pour moi. Bon, après y'a ceux qui aime bien faire des scènes et avoir du public quand il explose, mais après, je crois que c'est en partie de la comédie et que c'est pas toujours profondément ressenti, expliquais-je.

C'est mon point de vue et j'ai rien contre si quelqu'un veut me démontrer que pour lui c'est l'inverse et etc. mais, de mon côté, quand je suis vraiment furax, j'ai tendance à vouloir m'isoler, hurler un bon coup, tout foutre en l'air et envoyer de la peinture un peu partout. Après, c'est vrai que ça arrive souvent que lorsque je suis blessé de l'intérieur, je tente de noyer le tout dans l'alcool et que je finisse blesser de l'extérieur aussi, mais disons que ça c'est une autre émotion et un autre problème.

Lorsqu'il m'apprend qu'il fait partie de la famille royale de Suède, j'en reste un moment sur le cul, me demandant s'il déconne ou s'il est sérieux, mais même si j'ai tendance à mettre tout le monde sur un pied d'égalité, faut pas que j'oublie que y'a de la royauté ici et des héritiers d'industrie qui ont un compte en banque avec plus de zéros que ce que je pourrais figurer. Après, ça n'en fait pas de mauvais gens. Pas plus que les tatouages. Même si les deux mélangés, c'est assez surprenant. Et lui faisant part de mon étonnement, j'ai droit à me faire révéler une partie de son histoire.

- T'as le mal du pays parfois? Le questionnais-je. Que ce soit l'ancienne ou la nouvelle vie, précisais-je. L'adaptation doit pas être super facile. Il doit beaucoup t'aider, fis-je en pointant le chaton.

Avoir un être qui l'aime inconditionnellement, peu importe qu'il soit motard ou prince, j'imagine que ça doit poser un baume parfois.

joemaw
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Hello roomate.Je suis assez d'accord avec sa vision des choses, et je penses que c'est aussi ce qui nous poussera à bien nous entendre dans le futur. je le regarde et j'affirme d'un signe de tête que personne n'aimerais me voir en colère, la dernière fois on peut dire que sa s'est très mal finit autant pour moi que pour l'autre en face qui m'avais poussé à bout bien sûr. Je suis plus du genre à me foutre de tout mais quand on touche les cordes sensible je suis plus en mesure de rester calme.

«Totalement, quand je pète un plomb vaux mieux même pas tenter de me calmer parce que la personne qui ferais ça en prendrais autant alors qu'elle n'est pas sensé s'en prendre plein la gueule tu vois... Mais t'inquiète je suis plus du genre calme, il suffit de parler de certains sujet pour que je père un câble. »

Je souris et je prends le chaton dans mes bras je m'amuse un peut avec lui tout en gardant en tête qu'Oliver est en train de me parler et que ce serais mal poli que je ne lui réponde pas. Il penses que j'ai le mal du pays mais en fait pas du tout, je suis née ici moi.

«Je n'ai pas le mal du pays, en fait je suis née ici, ma mère biologique d'après ce que je sais voulais pas que ses enfants aient a reprendre le flambeau de Suède. Mais je suis née ici et j'ai toujours vécu ici avec mes parents adoptifs, c'est y a 6 ans quand je suis en même temps arrivé ici que mon grand père le roi est venu me cherché »

Le pauvre il doit vraiment être perdu avec tout ce que j'ai beau lui raconter mais il ne m'en dis pas beaucoup sur lui et j'en serais resque vexé. Je joue avec les moustaches du chaton pendant qu'il miaule pour rêler.

«Tu ne m'a encore rien dis sur toi, ferais-tu une enquête sur moi ? »

Je souris grandement content de ma vanne pourri on est d'accord !
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- C'est noté : ne pas m'interposer si je te vois en fureur, parce que je risquerais de finir à l'hosto, fis-je sur le ton de la plaisanterie. Après possible que j'oublie si ça arrive un jour, admis-je avec un haussement d'épaule. Tout le monde a certain sujet qui choque, Ewen. Faut simplement que j'apprenne les sujets à éviter et on devrait être nickel pour la colocation, affirmais-je avec un sourire.

Ça doit pas être si difficile après tout. De mon côté, y'a pas tellement de sujet qui m'énerve franchement au point de me faire facilement péter les plombs. Normalement, ça gradue lentement et ça s'empile et si la personne en face est assez allumé, elle a le temps de voir venir l'explosion et d'essayer de l'éviter. Genre en changeant de sujet. Bon d'accord, une chose qui fait que je m'emporte facile : qu'on cherche des problèmes à mes proches et aux personnes que j'apprécie. Là, je reconnais, y'a des cases qui saute.

Un peu surpris, j'écoute Ewen me raconter qu'en vérité, même s'il est petit fils du Roi de Suède, il est américain. Je peux trouver ça aussi surprenant que le fait qu'il aie le sang bleu et soit aussi tatoué? Malgré que la surprise, c'est lui qui a dû l'avoir quand son grand-père est débarqué. Quelqu'un me viendrait me voir en me disant que j'appartiens à la descendance du trône d'un pays quelconque, pardon, mais je risque d'éclater de rire plus qu'autre chose! Je trouverais pas ça crédible pour deux sous!

- Le clash a dû être assez grand entre les deux mondes, remarquais-je à voix haute.

L'entendant soulever le fait que je le questionne sur lui sans parler de moi, j'ai d'abord une tête étonné avant de laisser entendre un léger rire.

- Non, je ne fais pas d'enquête t'en fais pas, rigolais-je. Cependant, mon frère aîné est policier à Boston, mais je ne crois pas que ça pose problème, fis-je avec un léger sourire. Le paternel aussi est policier. Mais au Canada, ajoutais-je avec un mouvement vague vers le large.

Il dirait quoi lui d'ailleurs, s'il savait qu'Ewen est mon coloc? … Boh. En vrai, il trouverait sûrement un truc à me reprocher par rapport à ça. Ou il voudrait simplement rien entendre puisque, de toute façon, je ne suis plus son fils selon ses dires. Mouais. Secouant doucement la tête, je chasse mes pensées noires pour me recentrer sur la conversation.

- Je m'appelle Oliver Matthiew Davis. J'ai 25 ans, je suis canado-américain et à Harvard depuis janvier 2016, en Arts visuels et Histoire de l'art. J'ai une prédilection pour la peinture colorée et les photos en noir et blanc, déclinais-je, amusé d'ainsi donner plus ou moins mon pedrigee. Autre que ça, qu'est-ce que t'aimerais savoir? Demandais-je avec un léger rire.

joemaw
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(Invité)

Je l'observe faire en m'amusant toujours avec mon chaton dans les bras avant de finalement le poser sur le lit ou il s'empresse d'aller se coucher sur les draps pas encore installé sur le bout du lit. Je tourne la tête vers Oliver et je ris quand il penses que je pourrais l'envoyer à l'hôpital, ce pourrais être le cas mais je croit qu'il faudrait vraiment me pousser à bout et usé de tout mes points faibles contre moi aussi. Il dis ensuite que notre colocation devrais être tranquille et je hoche la tête. C'est le seule choses que je demandais en fait, avoir un chambre tranquille ou faire ce qu'on veux sans vraiment en être trop emmerder. Chacun son petit monde et tout le monde sera tranquille. Il me parle des classe des deux monde concernant mon grand-père et tout ces truc royaux là. Mais Oliver croit pas si bien dire, je vous raconte pas la tête des employés du château quand il ont vu débarque un motard en colère.. Ils m'ont pendant des semaines regarder de travers pensant sans doute que j'était pas la bonne personne.

«Tu croit pas si bien dire, les femmes qui s'occupe du château me regardaient de travers à chaque fois que je passer prêt d'elles, elle pensaient très franchement et sans s'en cacher que je venais seulement pour les richesses... Ce n'était pas du tout le cas, franchement j'en avais rien à foutre de tout leurs pognon il auraient pu se torché avec des billets que je m'en tapais, j'étais surtout en colère quand mon grand-père m'a voler à ma famille et qu'elle n'a pas essayer.. Bref je suis saoulant là. »

Je souris et je frotte ma nuque me m'étant machinalement à faire mon lit, mettre les draps tout ça, si j'était dans cette famille bourgeoise j'aurais pas su comment faire et j'aurais eu besoin d'un lèche cul quotidien.. la barbe. Non moi je suis un mec qui se débrouille avec les moyens du bord et quelques motos bien sûr ! Il me parle un peu de lui et je souris grandement je hoche la tête en souriant grandement je suis content d'en savoir un peu plus sur lui.

«Oh ! on aura tout le temps qu'il faut pour que je te pose des question sur toi, ne soyons pas pressé ! »

Aucun doute. Je m'entendrais bien avec lui, il semble être une bonne personne !
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