Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityyou are my favorite what if my best i'll never know ✩ blaise
Le Deal du moment :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 ...
Voir le deal
29.99 €


you are my favorite what if my best i'll never know ✩ blaise

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Je peux savoir ce que tu fou là ? » oui, Blaise, qu’est-ce que tu fou là ? T’avais ouvert la porte de manière tout à fait random, en pensant qu’une des filles avaient oubliée ses cles, t’étais déjà à deux points de faire un scandale et de leurs hurler dessus, car oui il te fallait de peu pour gueuler sur une personne de manière tout à fait normale. T’étais en pyjama, ton short court et tes cheveux en vracs, t’avais aucune envie qu’il te voit, il t’avait déjà vu à poil mais c’était gênant, car c’était différent. Tu t’apprêter à lui refermer la porte dessus quand une autre personne sortait de nulle part, l’agent immobilier que t’avais engagé été tapis derrière lui, il racle sa gorge et te dit « C’est votre dernier locataire mademoiselle Redmayne, je vous ai appelé il y a une semaine pour vous prévenir. » tu le regard, il te regarde, tu regarde Blaise, il te regarde, tu roules yeux et les laisser entrée, toujours en roulant des yeux. Tu voulais lui prouver qu’il avait tord, alors tu pianoté sur ton portable pour retrouver un message ou un mail de sa personne et malheureusement il t’avait réellement prevenu de sa venue, ça te foutait la rage de devoir admettre que t’avais tord. Puis tu t’en ai voulue de ne pas avoir accepter d’aller avec Piper faire ses ongles, car ils auraient eu l’air con tout les deux avec les valises de Blaise et personne pour l’accueillir. T’aurais du dire oui, t’aurais du accepter d’être gentille pour une fois, mais non, le karma te retombe toujours dessus. « Je vous disiez donc que monsieur Hohenstaufen va être le prochain habillant de votre colocation, j’ai envoyé tout les dossiers et il me manque juste la signature des deux partit pour la finalisé. » il posait ce dit contrat sur la table de la cuisine ; tu les feuilletait de manière tout à fait désintéresser, ton plus grand interet été surtout sur Blaise, il été toujours aussi grand, aussi brun, aussi mignon, un sourire aussi charmant et séduisant, et ce je ne sait quoi qui te faisait toujours autant fondre. Tu tapoter avec le stylo sur le contrat en faisant mine de réfléchir. « tu veux vraiment vivre ici ? toi et moi sous le même toît ? »

@BLAISE HOHENSTAUFEN you are my favorite what if my best i'll never know ✩ blaise 387742012
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ce n'était pas mon intention de base. Me trouver un appartement alors que j'avais déjà ma place sur le campus au sein de ma maison, les mathers. Pourtant, depuis l'année dernière, je ressentais ce besoin de me retrouver, j'en avais assez des allers/retours de tout ce monde dans cette maison sans parler de cette foutue manie à dévaster les chambres en fin de soirée. J'avais besoin d'oxygène, de respirer loin de tout ce monde, d'un cocon, d'un repère et surtout qu'on ne touche pas mes affaires. Etant désormais un Hohenstaufen, profitant de l'argent de mon géniteur, j'avais finalement décidé de prendre une colocation. Un moyen pour moi d'obtenir ma bulle tout en gardant un certain pied dans la réalité avec mes colocataires. Ce qui était assez important d'un point de vu stratégique. Je rencontrais donc cet homme m'ayant trouvé selon lui la perfection, homme envoyé par celui qui avait contribué à me donner la vie, reprenant enfin ses responsabilités envers moi. Mais si la journée avait commencé sous les meilleurs auspices, je ne pouvais pas en dire autant du reste, quand la porte avait fini par s'ouvrir sur Julia. Si au départ, j'avais cru à une illusion optique, son regard agressif, mauvais envers moi avait fini par me convaincre du contraire. Et aussi ses mots. Ce que je faisais la ? C'est plutôt à moi de lui demander. Boston, vraiment ? Je fronce les sourcils, mais redeviens rapidement inexpressif. Je ne comprends pas très bien. Au fond, je crois que je me sens chamboulé, comme une impression de déjà-vu. Une page qu'on pensait tourner et pourtant qui revient. Sans crier garde. Je la regarde complètement débrayé en contournant finalement sa silhouette, me concentrant sur autre chose. Nous rentrons finalement dans l'appartement, elle s'occupe de feuilleter le livret tandis que je scrute l'intérieur, préférant me plonger dans tout autre chose qu'elle. Finalement, sa voix résonne dans la pièce et mes yeux se posent sur elle. Ses yeux noisettes, sa mine renfrognée, rien n'avait réellement changer. Ou peut être que si. Notre relation. Je n'avais pas envie de la revoir. Pourtant, j'étais pas insensible. « J'ai rien a me reprocher. Une chambre est une chambre. » répliquais-je d'une voix monotone, sans laisser la moindre expression sur mon visage.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Son visage été éteint, fermer, il regardait les pièces de manière désinvolte et détacher. C’était horrible, cette sensation été horrible, t’avait l’impression que vous êtes des inconnues, qu’il n’y avait jamais rien eu entre vous. Ça aurait pu être toi comme n’importe qu’elle autre filles banales ça aurait été la même chose ; alors ton cœur se serrez alors que tu serres le stylo entre tes doigts. Tu lèves un sourcil face à sa réponse avant de rouler des yeux, tu lis le premier paragraphe sur la colocation, il pouvait partir quand il veut, s’il continue de payer le loyer trois mois après avoir annoncez son départ. Pourquoi est-ce que tu avais peur qu’il te quitte alors qu’il venait d’à peine arriver ? peut-être que tu t’en voulais au final, à avoir décidé que toi et toi seule avait le droit au bonheur à ce moment-là. Tu signer le document et le rendait à son propriétaire qui t’adresser un sourire, l’agent immobilier badine deux trois mots sans que tu l’écoute vraiment, trop occuper à détailler Blaise, tu acquis et l’accompagne jusqu’à la porte. « Je te montre ta chambre ? » dis-tu alors que la porte se claque derrière toi, tu le devance et ouvre la chambre juste en face de la tienne. Elles avaient toute la même taille, deux salles de bains pour une chambre. « Il y a déjà deux autres colocataire, Daneel une lowell et Bo une fille un peu déjantée, elle n’est jamais là. » est-ce que ça allait bien se passer ? est-ce que c’était une bonne idée. Et puis qu’est-ce qu’il foutait là ? la Russie ce n’est pas la porte à côté et il n’avait jamais parler d’avoir envie de venir aux États-Unis. Du moins tu n’en a pas le souvenir. Alors tu tournes le pas et t’assoie sur le lit, balaye la salle du regard et fini par rester bloquer sur lui. Il été beau, il été.. toujours aussi magnifique. « Pourquoi t’es là ? » simple et direct, tu voulais avoir, qu’est-ce qui lui est arriver, pourquoi il en est là, comment il a les moyens de payer un loyer aussi élever ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Après un court entretien avec l'agent immobilier, et son contrat signé, l'homme nous quitte finalement, nous laissant tous les deux dans cet appartement gigantesque. Je comprends alors rapidement que ce n'était peut être finalement pas une si bonne idée que ça, d'habiter avec elle. Je suis submergé par les souvenirs que je tente par tous les moyens de refouler, parce que ce n'est pas le moment. Et au fond ça ne le serait vraiment jamais. Je la suis silencieux, découvrant l'appartement sous toutes ses coutures, m'informant aussi que deux autres colocataires avaient déjà pris leur disposition. J'allais être entouré de nana, pas de quoi se plaindre jusque la. Je pose mon sac à dos sur la table dans ce qui était à présent ma chambre. Spacieuse, tout le contraire de ce que j'avais pu avoir durant mon année à la mather house. Mes affaires devaient arriver bientôt, et je devais encore passer voir ma mère à Boston qui j'espérai n'était cette fois-ci pas entouré de cet espèce de pauvre con qui lui tournait autour depuis quelques mois maintenant. Je pensais me retrouver seul pourtant la jeune femme s'installe finalement sur mon lit, me demandant ce que je pouvais bien foutre ici. J'esquisse un sourire amer, parce que je n'oublie pas, et encore moins la concernant ce qu'elle avait fait. « Qu'est-ce que ça peut bien te foutre ? » demandais-je en levant un sourcil, après tout, n'était-ce pas elle qui avait décidé de rompre le contact ? J'en étais encore dégoûté, n'ayant pas compris ce jour-là et même aujourd'hui, l'incompréhension dominait mais j'avais arrêté les frais, préférant m'occuper de mes problèmes présents. « Tu sais très bien comment cette colocation va se passer, non ? Moins on se parle et mieux on s'en portera. » répliquais-je toujours d'un calme olympien. Alors qu'à l'intérieur, tout était différent. Je sentais cette hargne me gagner, cette souffrance que j'avais ressentis il y a quelques années. Cet abandon, le même que celui de mon père. Le pardon n'était pas de rigueur. Rien ne l'était. C'était même un miracle que je lui adresse la parole. Après tout ce qu'on avait vécu. Le temps c'était écoulé, emportant avec lui les moments passés. Je quitte finalement la chambre pour me rendre dans la cuisine. J'avais la dalle, et c'était bien plus important face à cette discussion qui pour moi allait n'être que stérile.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il pouvait être froid, distant et éteins. C’était ça le terme, éteins. Il ne brillait plus. Il n’était plus le centre de ton univers, il n’était plus Blaise le soleil qui illumine la planète Julia, il éteint et terne comme une étoile qui allait mourir. Encore une fois, tu te dis que c’est de ta faute, que c’est toi qui a instauré ce silence et cette ambiance, que tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même. le karma revient toujours Julia, tu récupère toujours le mal que tu as commis, et pour toi, je pense que les prochaines années seront maudite, car il y a un moment ou il faut apprendre à payer ses dettes. Tu lui montres l’endroit d’un pas lent, d’écrit les pièces et les conditions de vie, quand t’y penses l’appartement est tellement grand qu’il est possible que vous ne vous croisez jamais. Il pourrait faire des allers retour quand tu n’es pas là et toi être absente toute la nuit et ne le croiser qu’au petit matin. Puis, alors que tu t’asseyes sur son lit, tu penses aux filles qu’il va ramener ici, aux demoiselles qui vont frôler ses draps, et qui vont le frôler lui. Cette image t’arraches un pincement de cœur, pourquoi est-tu blesses alors que c’est de ta faute Julia ? Si Julia et Blaise n’est plus, c’est de TA faute. Tu ravales fierté et salive et lui pose une question simple qui m’hérite réponse approfondit, mais Blaise reste Blaise et la réponse ne te surprend pas. « Si je te demande c’est que j’en ai quelque choses à foutre. » sinon pourquoi tu poserai la question, tu roules des yeux et t’apprête à répondre mais il se barre. Ah d’accord, ça se barre comme ça, yolo, en pleine discussion. Tu soupires et le suit jusque dans la cuisine, c’est l’heure de faire un sandwich, vraiment ? Tu rumines intérieurement, si t’avais été Hulk t’aurais déjà retourné la table et fait un trou dans le mur. « Pourquoi t’es à Boston ? Ce n’est pas la porte à côté la Russie. Et surtout : comment tu peux te payer un endroit pareille ? Parce que je me rappel de nos galères Blaise, je sais que t’es pas blindé de thunes, alors dit moi d’où tu sors ton fric. » » il deal ? oui, je suis sure qu’il deal, ou alors un trafic de pute. Un truc pas net, faut qu’il te le dise sinon ça va te bouffer de l’intérieur et tu vas commencer à devenir Julia hystérique.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
On se retrouve dans la même pièce, encore une fois, ou plutôt la première fois depuis longtemps. Mais la seule chose qui me vient à l'esprit est de fuir, de tout faire sauf rester là, à la regarder, parlant comme autrefois parce que ça m'était impossible. Je la laisse donc dans ma chambre, déviant la conversation qu'elle avait commencé, mais aussi sa réponse. Vraiment ? Elle en avait quelque chose à faire de moi ? De ma vie ? De ma putain de vie depuis qu'elle m'avait quitté ? Vraiment ? Je fume intérieurement, ma mâchoire se crispe et mes poings se durcissent. J'avais tellement mangé, enduré depuis notre séparation. J'avais connu la faim, la rue, la peur et enfin le sang. Chose qui m'avait aidé à remonter la pente. A m'ouvrir d'autres horizons. Je m'étais bâtis tout seul et par personne d'autre, je ne devais de compte à personne et encore moins à Julia. Malheureusement pour moi, à peine j'ouvre le réfrigérateur qu'elle me rattrape dans la cuisine. Je sors de quoi grignoter, à vrai dire tout ce qui me passe sous la main arrive sur l'îlot centrale de la pièce. Ses mots se répercutent contre les murs de la pièce, et contre moi-même lui tournant le dos comme je pouvais le faire lâchement dans notre échange. Je referme finalement le frigo, pose mes mains sur la table et la regarde droit dans les yeux. Peut être qu'au final, là, maintenant, j'étais prêt à lui faire face pour qu'elle daigne enfin me laisser tranquille. « Qu'est-ce que tu veux au juste ? Un résumé détaillé de ma vie ? Cherche sur wikipédia, peut être que tu trouveras mon nom dans les plus grandes richesses anglaises parce que j'aurai tué une petite vieille. » Je savais ce qu'elle insinuait, ce qu'elle pensait. Je n'avais jamais vraiment été très clean mais de la à insinuer tout et n'importe quoi ? La drogue ? C'est ça dont elle parlait à coup sûr pourtant elle savait très bien que je ne serais jamais tombé aussi bas. Pas au point de dealer de la merde aux autres. « Ah et j'oublie, tu veux quelques grammes ? 10 euros le gramme ça t'intéresse ? » demandais-je de manière ironique pour qu'elle comprenne à quel point son insinuation était absurde.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il t’ignore, te snobe, marche jusqu’à la cuisine et fait comme chez lui, c’était déjà le cas non ? il été chez lui ici d’après les papiers que t’avais signer. Pourtant t’es encore chez toi, et il t’ignore sous ton toit, quel toupet, quel arrogance, quel… quel Blaise. Stupide gamin aux cheveux brun claire, à la peau si douce et agréable, au sourire si ravageur, stupide stupide stupide Blaise. Tu bouillonne de l’intérieur, partage entre l’idée de fracasser une poêle contre sa tête ou de lui déchirer ses vêtements, pourquoi ça te rendait autant hystérique ? « ON A PAS FINI DE PARLER. » hurle-tu à travers le couloir, pourquoi t’es obséder ? c’est toi qui l’as dit non ? tu vas m’oubliée ? je ne serai plus qu’un souvenir ? alors tiens toi en. Pourtant ça te manque, à la minute même ou tes yeux ce sont poser sur lui ça t’as manqué. Etre la sienne, sa julia, sa douce et tendre. Ses bras autour de tes bras, son odeur contre ta peau, tu ne sera jamais plus sienne, et tu en a décidée ainsi, c’est ton choix, ne l’oublie pas. Tu vas supporter de le voir tout les jours ? je ne pense pas, c’est irréalisable. Il se fou de ta gueule en plus, crétin. tu arques un sourcil avant de t’assoir en face de lui, le regardait faire son bordel. « Oui. » dis-tu d’un ton simple en levant un pouce en l’air. « Dit moi si ça te semble si simple, dit moi d’où vient ce jean levis, cette chemise abercombrie, ce fric que tu dépenses par ci et par là. Dit moi, Blaise. Affronte-moi. » rajoute-tu en te redressant, tu tire sur ton short qui remonte et te met face à lui, sur le coup tu te sent ridiculement petite et ridule tout simplement, premièrement parce que t’es en pyjama, deuxièmement parce que t’étais ni maquillé, ni coiffé, toi et ta coupe en boule, t’étais ridicule. Il avait compris ce que tu voulais dire, comme si il avait lu entre les lignes de ton esprit, arrête ça, arrête de voir en moi, s’il te plais. « je vais pas y arriver. Ça, toi, ici, entrain de bouffer, toi, ici, respirant le même air que moi. Ça va me… chambouler. Alors vaut mieux qu’on pose une base ? des règles ? si on peut commencer par être honnête l’un envers l’autre, alors on va peut être réussir à ne pas s’entretué ? » il avait pas de raison d’accepter, aucune, t’étais plus rien pour lui, t’étais même moins que plus rien si c’est possible, mais tu voulais que ça marche, pour son bonheur qui a toujours été plus important pour toi que le reste du monde.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Malgré les extras que je pouvais faire en découpant des cadavres pour mieux les broyer ou bien encore nettoyer le sang d'une facilité assez déconcertante et tout ça sans avoir le moindre remord, je ressentais cependant très bien la colère. Celle qu'elle réussissait à créer en moi, je pouvais la sentir se contracter en moi, dans mon ventre, se propager dans ma mâchoire, rien ne pouvait l'arrêter et surement pas mes mots. Etre impulsif pour quelqu'un comme moi, c'était assez illogique pourtant, je l'étais. Je quitte la pièce, plus pour me calmer qu'autre chose, échappant à un cri aigu que j'aurai cru se fondre dans celui que ma mère pouvait parfois émettre dans mon enfance. Mais je ne m'y arrêtais pas, non loin de la, je m'en fou. Dire qu'il y avait encore quelques minutes, je me sentais à l'aise, m'apprêtant presque à me dire que pour une fois, j'avais peut être trouvé un point de stabilité, un refuge mais visiblement, cet endroit allait être bien plus saccagé d'un conflit en Palestine que ressembler à un havre de paix. Je soupirai, j'en avais déjà ras le cul. Rien n'avançait parfaitement. Pourquoi est-ce qu'il fallait toujours que le paquebot dérive ? Que le passé refasse surface alors qu'on venait définitivement d'en refermer l'ouvrage ? Je rumine tout seul, et finalement ouvra ma bouche pour me moquer ouvertement d'elle. Franchement, même si j'avais déjà touché à la drogue, en dealer n'était pas une assez bonne paie par rapport à ce que je faisais réellement au black. « Que je t'affronte ? Tu te fou d'moi ? T'as perdu y'a bien longtemps tout droit de savoir ce qu'est devenue ma vie depuis que tu m'as lâché pour un péquenot. » J'étais de nature plutôt rancunier, et je n'oubliais jamais les fois où mon coeur avait été arraché comme si on ramassait sous une chaleur ardente des cerises toutes fraîches. J'avais énormément souffert après son départ, j'avais mis du temps à m'en remettre, surtout que malheureusement pour moi, cet événement avait été le début d'un enchaînement de catastrophe n'ayant laissé que trop peu de joie derrière eux. Elle essaie de paraître sous son plus beau jour, malgré le côté débrayé que lui oppose sa tenue, cependant, elle reste.. baisable ? J'ignorai cette pensée, trouvant ce commentaire des plus déplacés qu'il soit surtout après la rupture qu'elle m'avait offerte. « D'ailleurs, il est où ce mec ? » demandais-je tout sourire, encore un pauvre con qui l'avait lâché entre temps ? Non pire, quelqu'un qui l'avait utilisé ? « Des règles ? On limite la conversation. En gros on ne parle qu'en dernier recours. Moi ça me va. » Je commence à composer mon sandiwch n'ayant absolument aucune idée à qui cela pouvait bien appartenir de base, mais j'étais sûr à présent, que ça m'appartenait.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu bouillonnes. T'es une casserole remplis d'eau pose sur la gazinière depuis un peu trop longtemps et encore un geste hautain de sa part et t'allais lui éclater à la gueule ; mais tu te retiens. Parce que t'es une casserole un peu trop polie et peut être que t'es surtout la casserole responsable de tout ça, de tout ce merdier, si t'avais pas réagi comme une casserole stupide alors vous n'en serez pas là à cette heure-ci, à vrai dire va savoir ou vous en serez car young blaise et young julia aurait été capable de n'importe quoi, si ça se trouve vous auriez fini par rompre parce qu'il mettez trop de mayonnaise dan ses frites ou alors il t'aurais largué parce que t'as pas voulu bouger le retroviseur quand il te l'avait demander, on sait jamais, mais ça te réchauffe de repenser à vous. « Pour un pequenot. » repère tu dans un rire alors que tu t'assoie. Sujet sensible, encore et toujours, ce connard qui t'as quitter du jour au lendemain dans un café en heure de pointe, sans réel raison, juste parce qu'il en avait envie, il t'as dit bye bye sans criée garde et tout ce que tu avait c'était tes yeux pour pleurer, tu le mérité, tu mérites tout ce qui est tordue dans ce monde.« il m'a quitté. Tu voit, je suis capable de te dire la vérité, même si c'est moche à attendre, même si ça va te faire sourire, le pequenot m'a quitté. Heureusement, je suis jolie et plutôt pas mal foutue alors je suis passer à autre chose. » parce que c'est comme ça que ça marche, et ouai merde ça va le faire sourire, mais tu t'en fou, parce que tu le mérites, encore une fois. Limité de se parler ? Non, hors de question, le silence, tu déteste ça, c'est la pire des tortures, tu préfères encore qu'il te parle du beau temps au lieu de t'ignorer. « Non, je veux te parler. » est-ce que t'as vraiment le droit de poser tes règles ? On s'en fou, t'es chez toi, alors tu dit clairement ce que tu veux, tu veux lui parler, tu veux savoir ce qu'il lui est arriver ce qu'il pense, ce qu'elle ressent, tu veux savoir si il te trouve encore jolie, si il a mater ton cul en arriver, si il pense encore à toi quand il est seul, tu veux savoir ce qui se trâme sous cette tête de con. « Je veux qu'on se parle.. et je veux pas que tu ramènes de meuf ici, c'est mort. Tu vas baiser ailleurs mais pas quand je suis là. » t'as aucun droit de demander ce genre de chose, mais tu t'en fou, tu deande pas, tu ordonne. « Si t'en fais rentrée une ici, je lui arrache la tête. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'arrive pas à croire qu'on en parle encore, qu'on remue cette merde au fin fond d'une époque que je me voulais oublier. Tout ce qui s'était passé en Russie n'était à présent qu'un lointain souvenir que je me devais de ranger dans une case bien gentiment tout comme cette relation à présent terminé. Pourtant, je n'y arrive pas à m'en foutre, parce que je ne suis pas de ce genre de mec qui passe à autre chose avec une facilité déconcertante, non j'ai besoin de temps, énormément de temps pour me remettre d'une rupture et surtout de celle-ci. Je ne m'étais jamais autant senti bien, et à la fois mal, deux sentiments qui ne devraient pourtant j'avais s'accompagner, pourtant, nous étions gris. Un gris pas très clair d'ailleurs. Tout ce qu'il y avait de poussiéreux et terrifiant mais nous étions. Nous avions une existence. Et ça me plaisait bien de ressentir une certaine union, ce sentiment qu'est l'amour. ça me plaisait terriblement. Mais on ne choisit pas, les autres le font pour nous. Je lui avais permis de me détruire, ce qu'elle avait fait sans la moindre pitié. Rien que d'y repenser, une haine viscérale, incontrôlable monte en moi et j'ai envie de balancer ce qui me tombe sous la main pour détendre cette frustration mais je me retiens. Je ne suis plus le même qu'avant. J'apprends par la suite que le mec pour lequel elle m'a quitté, l'a quitté à son retour. Je souris. C'est trop tentant. Trop facile. Le karma s'était chargée d'elle aussi bien qu'elle l'avait fait avec moi. Petite satisfaction de la journée, me permettant de sentir cette volonté de vengeance de quelques crans. « Jolie et bien foutue c'est à revoir. » que je lâche sans le moindre tact juste pour la faire redescendre, suivis d'un petit état des lieux par mes rétines de sa tenue. J'étais foutrement blessant, mais je ne savais que réagir de cette manière la avec elle, je voulais qu'elle souffre, encore et encore, jusqu'à ce qu'elle rattrape les bleus qu'elle m'avait laissé en partant. Et tout comme eux, il suffit d'appuyer dessus pour la ressentir de nouveau. Cette peur. Cet abandon. Ce poids irremplaçable. Qui l'avait été finalement remplaçable après plusieurs années. « Et bien parle avec le mur. Rentre lui dedans aussi. » Et casse toi le nez. Et fous-moi la paix putain. J'en perdais presque l'appétit. Mais le pire je crois que c'est l'autorisation que je devais avoir limite pour ramener une nana ici. Là, je trouvais ça complètement aberrant. « Tu te fou de moi ? » demandais-je en sortant pour la première fois depuis le début de notre échange de mes gongs. « T'as certainement un mec, non ? Occupe toi de lui. Et n'interfère pas dans ma vie. Simple. » Pas d'autres explications possibles. « Et moi, c'est à toi que j'arrache la tête si tu me casse les couilles. » Niquer mes plans dragues ? Sérieusement ? Certes j'en avais pas des masses, mais quand je m'accrochais, je ne lâchais plus.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)