Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDYLIN - let me fall, baby let me drown - Page 2
-28%
Le deal à ne pas rater :
-28% Machine à café avec broyeur à grain MELITTA Purista
229.99 € 318.99 €
Voir le deal


DYLIN - let me fall, baby let me drown

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu glisses ta main dans mes cheveux et ce simple contact me fait perdre mes moyens. J’en veux plus. J’te veux. J’ai envie d’sentir tes mains sur moi et tes lèvres sur les miennes. J’ai besoin de cette proximité tout comme j’ai envie d’fuir. Ma main se fraye un chemin vers ta nuque, mes doigts effleurant ta peau et nos souffles se mêlent dans une dernière hésitation avant que je ne réduise à néant ma raison et que mes lèvres retrouvent enfin les tiennes. J’ferme les yeux et je me laisse emporter par la vague de chaleur. J’laisse le feu s’initier dans mes veines et mon cœur battre de plus en plus fort dans ma poitrine, comme s’il voulait sortir de sa cage. Ma main libre glisse sur ton bras et s’accroche à ton biceps alors que je te sens me presser tout contre toi. Nos bouches se réapprivoisent dans une danse lente et langoureuse et nos corps pressés l’un contre l’autre me donnent envie de plus. J’laisse échapper ton nom entre mes lèvres dans un soupir, le souffle court et la bouche avide de redécouvrir la tienne. Une dernière lueur de lucidité face à ce sombre désir qui ne fait qu’augmenter… je mets fin à notre baiser et appuis mon front contre le tien… «  Putain… qu’est-ce que tu me fais… » Ma voix est rauque et mes lippes reviennent chercher les tiennes quelques secondes plus tard, comme un droguer cherchant sa came, la main droite parcourant les muscles de ton dos en dessous de ton haut, dans la hâte de sentir ta peau contre la mienne.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Nos corps bouillent, s’enflamment et brûlent joyeusement alors que nos bouches réapprennent à se connaitre, comme de vieux amis qui se retrouvent après des années. Ce genre d’amitié qui ne cesse jamais vraiment, qu’on met sur pause quand on se quitte et sur laquelle on presse play à notre retour. C’est un peu ça, notre relation. Comme si on avait fait pause à tous ces moments parfait, à ces sentiments qui nous submergeaient et qu’on avait simplement laissé cours à cette haine, cette frustration, cette honte, cette peine. Ce soir, on laisse de côté toute cette merde pour reprendre là où on s’était laissé et bon sang que ça fait du bien. Mon nom glisse de tes lèvres entre deux baisers et je viens l’avaler rapidement, avide d’en avoir toujours plus. Il n’y a pas plus belle bouche pour prononcer ces trois lettres, crois-moi. Haletante, tu poses finalement ton front contre le miens, gémissant presque ne demandant : « Putain… qu’est-ce que tu me fais… » Ou est-ce réellement une question? Parce qu’à moi, ça me semble d’avantage comme une affirmation. Et Dylan, l’effet que tu me fais toi aussi. « T’arrête pas bébé. » Que je t’intime alors que tes mains parcourent déjà ma peau. J’en peux plus, je me recule le temps de faire passer mon t-shirt par-dessus ma tête dans un geste rapide et habile d’une seule main. Je le jette sur le comptoir et reviens tout contre toi, mon érection poussant déjà fortement sur la fermeture éclair de mon jeans. Mes lèvres contre les tiennes, je me penche un peu et t’attrape par les cuisses pour te soulever du sol et te prendre dans mes bras. De ma main libre, je t’encourage à passer les jambes autour de mes hanches et caresse ta cuisse.

hj:
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)