besoin d'une amie ► apple.

Poppy très une très bonne amie, mais rien que de lui avoir arraché des mains Aaron, Constance ne pensait plus la même chose. D'un autre côté ce n'était pas de sa faute puisque c'est lui qui l'avait choisie et non elle. La blonde haussait un sourcil voyant qu'Apple ne savait pas réellement quoi répondre à sa question. « Je crois qu'il y a une raison pour laquelle elle a pensée à elle avant l'une de ses sœurs... Elle doit être vraiment amoureuse, tu sais. Alors oui... n'en veut pas à Poppy. De toute façon ça ne servirait à rien d'autre que foutre la merde dans la maison ! » Elle n'avait pas tort et elle savait de quoi elle parlait puisqu'elle était la présidente des Cabots. « Si j'étais à sa place j'aurais fait pareil qu'elle de toute façon. J'essayerai de tout mettre à plat avec Poppy dans les prochains jours et d'essayer d'oublier Aaron dans ma mélancolie... Bon, j'espère que je ne t'ai pas trop retenue. » Constance esquissait un petit sourire avant de lui faire un câlin, heureuse d'avoir dit tout ce qu'elle avait dans le coeur. Ça lui faisait désormais un poids en moins.

Constance m’avait demandée conseil… devait-elle en vouloir à Poppy ou non ? C’est sûr que dans le meilleur des mondes, c’est mieux si elle ne lui en veut pas. Mais à même temps… c’est quasiment impossible de n’avoir aucune rancune envers quelqu’un qui vient juste de « piquer » ton petit ami. Si j'étais à sa place j'aurais fait pareil qu'elle de toute façon. J'essayerai de tout mettre à plat avec Poppy dans les prochains jours et d'essayer d'oublier Aaron dans ma mélancolie... Bon, j'espère que je ne t'ai pas trop retenue. Elle me serra dans ses bras et j’enroulais mes bras autour de sa taille, en fermant les yeux. Cette situation ne devait pas être facile pour elle… Mais j’étais là pour la soutenir, coûte que coûte ! Je peux rester encore, si tu veux... Je ne suis pas pressée !

Constance commençait à être de plus en plus fatiguée, n'ayant pas assez dormi à cause des ses cauchemards. Apple enroulait désormais ses bras autour de la taille de la blonde et se détachait d'elle. « Je peux rester encore, si tu veux... Je ne suis pas pressée ! » Constance toujours assise commençait à s'infiltrer dans son lit, pas très excitée à l'idée de recommencer à cauchemarder. Pourtant elle ne se défaisait pas de son sourire béat à cause de la présence d'Apple. Il était tard mais la jeune femme était fatiguée, il fallait qu'elle réfléchisse et ce en restant dans le calme. « Tu peux me laisser s'il te plaît, j'ai pas assez dormi. » Elle lui faisait de nouveau une accolade et la salua d'un signe de la main. Maintenant manquait plus qu'un bon gros dodo.