Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility~Destroy what destroys you~
Le Deal du moment : -29%
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
Voir le deal
269.99 €


~Destroy what destroys you~

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Charlotte & Raphaël

►Destroy what destroys you

_______________________________________




Tu marchais vers la Cabot, histoire de voir des filles parce que tu te faisais un peu chier, t'avais rien de prévu ce soir-là, tu voulais juste t'amuser. Tu fumais ta clope à ton habitude, remettant de temps en temps tes cheveux en place, souriant aux quelques personnes que tu croisais. Enfin arrivé, tu te posas au bar de maison en regardant à droite à gauche histoire de repérer de jolies filles. Tu ne savais pas vraiment si tu étais apprécié ou non à la Cabot mais quelques filles devaient avoir de mauvais souvenirs de toi, toi qui n'avait jamais rappelé, toi qui t'en foutait un peu d'elles. Mais toi-même tu ne savais pas si tu appréciais cette maison. Tu y venais de temps en temps, quand tu savais que ta soirée n'allait mener à rien. Tu buvais ton verre, en faisant tourner le liquide, le regard dans le vide. Ce genre de moment où tu penses à ta vie, à tout, ce qui est important et ce qui ne l'est pas. En ce moment, tu recroisais toutes les personnes qui avaient marqués ta jeunesse. Louison, Hannie... Tu souriais, te demandant si le destin allait encore te jouer des tours. Tu remarquas une fille plutôt mignonne et tu lui fis ton plus beau sourire, avant de te rendre compte que tu la connaissais déjà. De peur qu'elle vienne te gifler tu tournas rapidement la tête et regarda vers ta droite. Tu aperçus de dos une fille que tu n'avais pas l'air de connaître et qui te semblait assez jolie. Tu ne pouvais voir que son profil et tu avais donc peur de te tromper sur la marchandise. Tu hésitas avant d'aller lui parler. Elle était assez bien habillée, plutôt ton style. Tu te décidas à aller lui parler, tu remis tes cheveux en place en préparant ton sourire le plus charmeur. Tu t’approchas et t’essaya directement en face d'elle, le sourire aux lèvres.
"Salut, moi c'est Raph, je t'ai aperçu et..."
Au moment où tu vis son visage, ton sourire disparu aussitôt. Tu soufflas.
" Encore toi..." Tu levas les yeux au ciel. Cette fille n'était autre que Charlotte. Votre relation se définissait à une relation d'ennemies qui se cherchent. Vous vous plaisez, enfin tu avais l'impression, mais votre relation était trop compliquée pour qu'il se passe quelque chose de vrai. Quelques soirées ensemble où vous étiez plutôt proche mais tout se finissait toujours en embrouille ou juste en non-dit. Tu remis tes cheveux en place et remis ton paquet de clopes dans ta poche, toujours sortie à ton habitude, prêt à partir après une remarque de ta vieille amie.


_______________________________________

FICHE BY LAVENDER J. TREVENA


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Charlotte était passée à son quartier général récupérer quelques affaires qu'elle avait oublié dans sa chambre. La Cabot House ne lui manquait pas plus que cela. Elle préférait vivre et dormir dans un endroit différent chaque nuit. Que cela soit chez elle, dans la baraque des Gates sur Boston, dans des hôtels luxueux ou chez des hommes fraîchement rencontrés. Elle était plutôt bohème et ne s'attachait nulle part. Ce soir, alors qu'elle venait de se doucher et de mettre enfin la main sur sa palette d'ombres à paupières, elle était redescendue apprêtée, prête à aller faire la fête avec n'importe quelle fille qui l'accompagnerait. Elle s'était donc plantée vers le bar de la maison, noyée dans une veste cintrée qui planquait un haut en dentelle assez vaporeux enfoncée dans une mini-jupe en cuir. Elle n'avait pas tenu très longtemps avant de dérober une bouteille et de se servir un premier verre, l'apéro dirait-elle. Une habitude qu'elle avait gagné de son année passée en France. En parlant de France, alors qu'elle cherchait une proie à amener avec elle, un homme l'avait interpellé avec un accent particulier, un accent parisien qu'elle reconnaîtrait entre mille, Raphaël. Entre eux, cela n'avait jamais été très clair, Charlotte s'en servait autant qu'il se servait d'elle. Il avait beau être assez friqué, enfin, à son échelle, -car peu de monde était aussi riche que les Gates-, il avait une attitude de mauvais garçon qui attirait la blonde car elle savait que sa famille n'approuvait pas de telles fréquentations. Ils attendaient au contraire un fils à papa coincé dans un costume et une cravate qui l'étranglait. Ils pouvaient toujours rêver ! " Fais pas le dégoûté Castelli ! Oh oh attends pars pas si vite ! " cria-t-elle en se soulevant de son tabouret tout en attrapant l'avant bras du fuyard " Tu vas me suivre et venir à une fête sur Boston avec moi, t'as pas le choix, je trouve personne d'autre d'intéressant ici "  le complimenta-t-elle maladroitement en relâchant le poignet virile de son ami ? Ennemi ? De ses yeux de biche, elle le reluqua de haut en bas en hochant la tête " Ouais, t'es nickel pour aller là-bas, j'appelle mon chauffeur, il doit pas être très loin ! Tu viens ? " lui proposa-t-elle en s'avançant vers la sortie sur ses Louboutin, elle avait poliment tenu la porte à Raphaël avant de se poster sur le trottoir, attendant impatiemment sa berline " Tu me passes une clope ? Qu'est-ce que tu racontes de neuf mec ? "  
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Charlotte & Raphaël

►Destroy what destroys you

_______________________________________



La blonde t’avait attrapée le bras afin que tu ne puisses pas t’enfuir. Tu écartas ton bras et tu la regardas.
« Je fais pas semblant. Je suis dégoûté. » Tu lui lanças un petit rictus, toujours décidé à partir.
Elle t’imposa une soirée à Boston insinuant maladroitement que tu étais la seule personne intéressante qu’elle avait trouvée. Tu levas les yeux au ciel. Vos soirées se passaient toujours de cette façon, elle trouvait un plan foireux ou une boite de bourge et te forçait à y venir sans poser de questions. Tu le savais ça, que lutter ne servirait à rien et que tu viendrais au final et son petit compliment te fit sourire. Mais ton sourire partit rapidement. Tu savais d’où venait votre pseudo amitié. Le fait qu’elle traine avec toi n’avait pas pour but de ravir sa famille. Pourtant t’étais presque aussi friqué qu’eux. Ça devait être à cause de ton côté fêtard surement, tu ne savais pas trop, tu te trouvais normal toi, mais eux tu ne les voyais que comme de vieux bourges ingrats. En attendant, elle ne t’invitait pas pour le plaisir de tes yeux. Tu soupiras, pour la première fois, hésitant. Même si tu savais qu’elle se servait de toi -ce que tu faisais également de ton côté quand l’envie t’en prenais- tu ne pouvais pas faire la fine bouche. Ta soirée ne menait pour l’instant à rien et tu n’avais vu personne d’autres dans ce bar qui aurait pu égayer ta soirée. Elle te regarda de haut en bas avant de te juger apte à aller à cette soirée. Tu ne pus t’empêcher de rire légèrement, tu étais habillé comme à ton habitude contrairement à elle, richement habillée de ses Louboutin à son haut en cuir. Mais tu ne pouvais pas la juger, vous vous ressembliez sur ce point, le goût pour la marque. Elle avança vers la sortie et te tenu la porte. Tu sortis de la pièce, un clope à la main que tu allumas aussitôt que l’air frai te caressa le visage. Avec son plus beau sourire, elle te demandait une clope. Et puis quoi encore ?
« Va t’en acheter putain, ta la tune pour non ? »
Tu soufflas ta fumer à son visage en souriant avant de lui en passer une, histoire de passer sa phase insupportable d’enfant qui supplie sa mère de lui acheter un jouet. Elle souhaitait savoir ce qu’il se passait dans ta vie et franchement, à part le fait que c’était la troisième personne qui surgissait de nulle part rien de neuf.
« Juste de vieilles rencontres qui ressortent, rien d’ultra intéressant. Sinon et toi Gates ? Toujours dans un nouvel appart tous les soirs ? »
Tu lui souris, attendant une réaction de sa part. Bien que tu fisses la même chose, tu ne pouvais pas t’empêcher de la faire chier avec ça à chaque fois que tu le pouvais. Ce n'était pas le genre de personne avec qui tu parlais de ce qui te concernait, malgré le fait que vous vous connaissiez depuis longtemps maintenant, tu ne lui faisais pas confiance.




_______________________________________

FICHE BY LAVENDER J. TREVENA


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Charlotte aimait qu'on lui réponde. Toute sa vie, tout le monde avait cédé à ses caprices sans la remettre à sa place. Au final, cela ne lui avait pas servi. Aujourd'hui, elle était une petite garce sans coeur, cherchant toujours les limites à ne pas dépasser. Raphaël était un des rares à pouvoir lui dire non, ce dont elle avait toujours eu besoin. Ainsi, elle s'était fortement attachée à lui malgré ce qu'elle laissait paraître. Postés sur le trottoir de la Cabot House, la blondinette avait rapidement quémandé une clope à son ami qui en fumait déjà une sans le lui avoir proposer. Oui, Charlotte avait les moyens de se payer des milliers de paquets mais elle préférait largement les affaires des autres, cela avait meilleur goût. Alors que Raphaël lui en offrait enfin une avec réticence, la jeune femme avait dégainé son briquet léopard de son sac pour l'allumer, questionnant le Mather avec une curiosité absolue. Ce type était toujours autant mystérieux, préférant toujours renvoyer la balle à Charlotte, ce qui avait le don de l'exaspérer. " Putain, t'es chiant ! T'es jamais précis... " protesta-t-elle en inspirant une première bouffée de sa cigarette gratuite " Ouais, toujours en train de découvrir de nouvelles bites et de nouveaux appartements, je m'enfile tout ce que je peux sur le dos de mes proies, j'aime ça " confia-t-elle en regardant au bout de la rue, apercevant enfin son chauffeur s'avancer vers eux " Regarde le ce con, il était au Macdo je parie, il bouffe un hamburger, il va salir la voiture avec ses doigts gras là "  râla-t-elle en faisant de grands gestes pour qu'il l'aperçoive. Heureusement qu'il était arrivé à cet instant-là, car la blondinette n'était en réalité pas très heureuse de son mode de vie. Elle prétendait juste le contraire, comme à son habitude. Sa vie était parfaite, sans ombres. Lorsque son véhicule aux vitres teintés s'était immobilisé devant eux, la jeune femme l'avait contourné pour s'enfoncer à l'intérieur, ne prenant pas soin d'éteindre sa clope, elle avait tout les droits. " Bouge tes fesses Castelli ! gueula-t-elle en ouvrant sa fenêtre pour foutre en l'air la cendre agglutinée au bout de sa cigarette. Lorsque le français avait enfin posé ses fesses dans l'habitacle insonorisé, la caisse était repartie de plus belle, se dirigeant vers une fête dans un building luxueux. " C'était qui ses connaissances du passé ? " lui demanda-t-elle en effleurant sa lèvre maquillée de son annulaire avec un regard inquisiteur.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Charlotte & Raphaël

►Destroy what destroys you

_______________________________________



La française venait de t'insulter d’exaspération car tu n'étais pas précis sur ta vie, tu ne l'étais jamais avec elle. Tu la regardais tirer une taffe en rigolant un peu, garder une part de mystère avec elle t'avais toujours fait plaisir, tu n'as jamais su pourquoi. Peut être parce que c'était comme ça que marchait votre relation, du mystère. Et même si parler de tes problèmes en général ne t'avais pas dérangé, ce n'était sûrement pas avec Charlotte que ça arriverait. Au fond vous connaissiez vos problèmes respectif -quelques mots lâchés lors de soirées bien alcoolisés- mais pas assez pour en parler en étant sobre. Tu remettais tes cheveux en place, la laissant te raconter ses baises et tirant sur ta clope et tu te sentais un peu coupable de l'avoir ait chier avec ça. Tu savais, tu connaissais son regard, son faut sourire qui voulait tout dire. Même si votre relation n'était pas des plus saines, tu la connaissais assez bien pour savoir quand elle mentait. Elle avait toujours les mêmes petits tics nerveux et même si elle ne s'en rendait pas compte, toi tu les voyais. Tu voulais la réconforter, mais ça n'a jamais été ton truc ce genre de choses et la seule phrase que tu réussis à lui dire avait simplement pour but qu'elle ne se sente pas seule. Tu tiras une énorme bouffée de ta clope en lui souriant.
" Tu peux pas être pire que moi Gates je suis le diable."
Tu rigolais, en espérant que ta remarque apaiserait peut être légèrement sa peine même si tu savais que ce que tu avais dit n'y changerais rien.
Tu la regardais insulter son chauffeur de loin, avec ses petites remarques de fifille pourri-gâté  qui t'avaient toujours fait rire. Ce coté bourge t'avais toujours attiré, une fille qui sait ce qu'elle veut et qui n'a pas peur de marcher sur les autres pour y arriver. Aussi exaspérant qu'attirant, ce côté d'elle ressortait souvent quand vous étiez ensemble mais toi tu adorais ça, qu'elle gueule tout le temps, qu'elle tape du pied et qu’elle insulte tout ce qui bouge. Tu la regardais pété un câble en rigolant.
"Laisse le tranquille le pauvre, il mange ce qui va avec son salaire, soit gentille avec lui"
Au moment où la voiture arriva devant vous, la blonde ne prit pas la peine d'éteindre sa cigarette et rentra dans la voiture, toujours aussi agréable avec son chauffeur. Tu pris soin d’éteindre ta clope avant de rentrer après une remarque de la Mather.
"Ça va j'arrive, calme"
Tu te posas à côté d'elle dans la voiture aux vitres teintés. La blonde avait raison, ça puait le macdo. Tu ouvris la fenêtre et posa ton bras dessus en respirant l'air frai. Elle te regardait, te questionnait sur ces vieilles connaissances du passé. T'avais pas trop envie d'en parler. Lui parler de Louison reviendrait à lui avouer que tu avais déjà sérieusement aimé quelqu'un, lui avouer que tu avais déjà été faible, lui avouer que maintenant que vous étiez en bon termes c'est quelques chose qui pourrait peut être arriver encore une fois.
"Plusieurs filles avec qui je suis sortie avant Harvard dont Louison, peut être que je t'en avait déjà parlé peut être pas, en tout cas c'est pas super intéressant, j'ai pas trop envie d'en parler"
Tu remettais frénétiquement tes cheveux en place, en regardant dehors par la fenêtre sans faire face à la blonde.


_______________________________________

FICHE BY LAVENDER J. TREVENA


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Charlotte était fatiguée depuis petite. Elle n’arrêtait pas de s’occuper pour ne pas ressentir un vide intérieur monumental. Ce soir, elle avait beau avoir le dos en vrac et les yeux déchirés, elle voulait sortir, sortir pour ne pas rester seule en face à face avec elle même. Elle savait pertinemment que plusieurs de ses proches ressentaient la même chose. Raphaël en faisait peut être partie d’ailleurs. De plus, se vanter de ses conquêtes à n’importe qui n’avait rien de flatteur mais c’était sa façon de se donner de l’importance et d’exister. Peu de temps après qu’elle se soit livrée à de telles confessions intimes au Mather à ses côtés, son chauffeur avait enfin pointé le bout de son nez derrière son volant, s’empiffrant d’un hamburger. La blonde avait réagi au quart de tour, faisant rire son acolyte. « Quoi ? Avec ce que je lui paie, il pourrait mieux manger je te jure » répliqua-t-elle en se précipitant à l’intérieur avec sa cigarette bien entamée. Une fois enfermée dans l’habitacle, elle appela impatiemment son ami bien plus respectueux qu’elle. Ce dernier avait en effet pris soin de jeter son mégot avant de pénétrer dans le véhicule. Une fois en mouvement, Charlotte avait décidé de cuisiner le français sur sa précédente réflexion quant à ses fantômes du passé. Cela lui faisait du bien de pouvoir s’intéresser à autre chose que sa personne. Au moins, cela lui évitait de penser à son désert intérieur. Écoutant le brun, l’américaine qui n’était pas totalement stupide avait senti une vague de déception chez son pote. Elle ne connaissait pas la fille qu’il avait cité mais vraisemblablement, leur histoire l’avait à tout jamais bouleversé. Charly en était presque jalouse. « Bah euh… t’en es sûr ? tu veux pas m’expliquer ce qui se passe en toi ? Des fois ça aide de verbaliser ce que l’on ressent, si on ressent des trucs bien sûr, moi c’est le néant. C’est peut être pour ça que je suis bonne à rien, je n’ai aucune blessure qui pourrait me servir à… à me surpasser et à avancer. » balança-t-elle sans émotion avant d’écrabouiller sa clope dans le cendrier devant elle. La Cabot savait ce qui clochait en elle mais elle n’avait jamais su débloquer ses freins. Elle tournait en rond, se sentant prise au piège, un piège indescriptible « Tu l’aimes encore ? Genre, tu penses que vous pourrez un jour être de nouveau ensemble ? » l’interrogea-t-elle en glissant sur la banquette pour se rapprocher de lui et enrouler son bras autour de sa nuque. « J’arrête de te casser les couilles j’ai compris » rajouta-t-elle en l’embrassant furtivement sur la joue avant d’éclater de rire « T’as du rouge à lèvres partout, t’es beau comme ça » se moqua-t-elle alors que le building dans lequel la fête avait lieu était enfin tout proche. Le chauffeur de Charlotte les avait d’ailleurs averti en se stationnant devant. « Tu restes sage là-dedans, tu me fais pas honte hein ? » l’avait-elle prévenu la main sur la poignée, prête à sortir et à se faire photographier par un vieux papparazzi pervers planqué quelque part. Oui, Charlotte était sans arrêt suivie, traquée et elle en avait finalement profité pour provoquer sa petite famille à travers les magazines.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Charlotte & Raphaël

►Destroy what destroys you

_______________________________________



T'étais tranquillement posé dans la voiture, respirant l'air frai qui rappait ton visage. Tu sortis ton paquet en jetant un petit regard en coin à la blonde, en attente d'une approbation pour fumer. Tu fumais trop, tu le savais mais c'était ton moyen de décompresser, de te calmer, te calmer de tout et t'aimais bien avoir un truc dans les mains. L' américaine voulait vraiment que tu lui racontes tes problèmes insignifiants, elle pensait que ça pouvait aider de parler de ce qu'on ressens de temps en temps, laissant même paraître une pointe de faiblesse, insinuant qu'elle ne ressentait rien et qu'elle aurait aimé avoir une blessure qui l'aurait faite avancer, qui l'aurait marqué.
Tu baissas les yeux, la regardant en coin en souriant.
" T'inquiète pas j'ai de quoi te faire ressentir des trucs"
Tu rigolas un bon coup " Je rigole Gates me frappe pas"
Tu continua à rire quelques instant, te demandant si lui parler de tes sentiments était une bonne idée. Après quelques minutes de réflexion tu te dis que si tu ne lui disait pas maintenant, ce serait quand tu serais bourré, la tête dans les chiottes alors autant en parler maintenant. T'avais les yeux baissés et tu la regardais en coin.
" Je suis pas sûr que ça aide les blessures de ce genre, évidemment ça dépend, ça peut nous aider autant que tout simplement nous détruire. Après c'est sur que ça m'a rendu plus fort, plus sur de moi mais aussi plus égoïste plus arrogant, j'ai perdu le peu de gentillesse que j'avais en moi pendant un moment... Ça revient doucement mais j'aime comme je suis maintenant j'ai pas envie de changer." Tu relevas la tête en lui souriant. Cette blessure avait également laissé un vide en toi, un vide irréparable et tu le savais.
" Cette fille, on pourrait dire que c'est la première fille qui m'ai largué" Tu rigolas légèrement. Tu refusais de dire les mots exact, tu refusais de le dire qu'elle t'avais brisé le cœur, t'étais trop fier pour ça. Elle continua en te demandant si tu l'aimais toujours. Tu t'allumas ta clope cette fois tu en avait vraiment besoin. Tu posas ta tête contre le dossier en souriant tristement.
"Je sais pas, je pense pas, c'était ya bien longtemps tout ça maintenant. Après je peux pas dire qu'on finira jamais ensemble, je connais pas le futur mais bon,c'est enfin le moment de lâcher prise je pense.."
La blondinette s'approcha de toi,passas son bras autour de ta nuque et t'embrassa sur la joue. Tu rigolas dégoûté, enlevant son rouge à lèvre d'un revers de la main. Vous étiez enfin arrivés et elle te demanda de rester bien sage et de ne pas lui foutre la honte. Tu sortis de la voiture en souriant.
"Tu sais que je suis un ange Gates"
Tu savais très bien que quelques paparazzis seraient là pour elle et tu voulais t'amuser avec eux. Après tout, la blonde t’avais invitée pour faire chier ses parents alors pourquoi ne pas lui donner ce qu'elle voulait? TU sortis de la voiture et tu passas ton bras derrière son dos en lui embrassant la joue avec un petit clin d’œil.


_______________________________________

FICHE BY LAVENDER J. TREVENA


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
En la présence de Raphaël, Charlotte se montrait souvent transparente, lui faisant par de ses états d'âme sans crainte. Elle était bien consciente de leur relation ambiguë et destructrice mais elle s'en foutait, elle lui faisait confiance. Elle pouvait aussi compter sur lui pour ne pas creuser trop profond et la faire rire avec ces sous-entendus foireux. " T'es con Raphaël, je me retiens de te frapper, la prochaine fois, tu t'en prends une dans les couilles " signala-t-elle avant de revenir sur un sujet apparemment fâcheux, les ex du brun. Charlotte était avide de ce type de discussion pour essayer de s'imaginer ce que l'amour pouvait provoquer de bien et de mal. Elle admirait secrètement le français, son discours lui vendait du rêve. La déception l'avait changé et il en était fier. La blonde souriait tendrement en regardant par la fenêtre, n'osant pas offrir ce spectacle à son acolyte. Alors comme ça, une femme lui avait brisé le coeur et selon lui, tout était bien terminé depuis des lustres ? Mon oeil avait-elle pensé en observant les décors défilaient. " Je peux te dire un secret ? Tu le dis à personne hein ! Profondément, je crois en l'amour et aux âmes soeurs, comme dans les films débiles t'sais... Si entre vous c'était puissant, fusionnel et particulier, c'est peut être elle la bonne... Malheureusement, certains événements peuvent bouleverser l'union de deux êtres faits pour être ensemble. J'espère que tu rencontreras une fille qui te fera oublier ce coup de pute du destin " s'était-elle exprimée avant de se rapprocher de lui pour redevenir la Gates emmerdante et lourdingue. Enfin devant le bâtiment qui accueillait la fête, la jeune femme avait prévenu Raphaël de ne pas lui foutre la honte avant de sortir enfin du véhicule avec une élégance à couper le souffle. C'était probablement sur ce point que les soeurs Gates se différenciaient. Charlotte ne faisait jamais dans la vulgarité, elle avait peut être un penchant morbide pour le sexe mais elle n'était pas outrageuse. Elle gardait une image contrôlée et raffinée. Enlacée par le Mather, la demoiselle s'était ensuite laissée embrasser la joue en public pour alimenter les rumeurs à son égard. " Petit joueur ! Je te prête mes lèvres volontiers tu sais " lui murmura-t-elle à son oreille avant de se diriger vers le hall à ses côtés, sentant toujours sa main plaquée sur sa colonne vertébrale. Une fois à l'intérieur, la Cabot avait appelé l'ascenseur menant à l'étage désiré, reluquant le brun à ses côtés. Le temps que les portes s'ouvrent, la demoiselle avait réajusté le col de la chemise de son ami, essuyant au passage sa joue de son pouce humidifié de sa salive " Alala Raphaël, cette soirée va mal finir une fois de plus, je le sens " avoua-t-elle dans un soupir avant d'être interrompue par la sonnerie de la cage en fer. Pénétrant à l'intérieur de l'ascenseur avec le français, la jeune femme contrôlait à présent ses désirs primaires. Les têtes effrontées comme celle de Raphaël avaient tellement le don de l'exciter. " Y a un gros DJ qui mixe ce soir, on va rentrer on entendra plus rien ! " s'était-elle exclamée toute émoustillée. Après de longues secondes à grimper vers le ciel, l'ascenseur s'était ouvert sur un hall plongé dans l'obscurité et bruyant puisque la fête avait lieu juste derrière. Deux gros gorilles surveillaient l'entrée et s'étaient mis en travers du chemin des deux étudiants " Charlotte Gates les minables, dégagez, il est avec moi, c'est mon mec " avait-elle balancé en séparant les deux corps impressionnants des videurs. Ces derniers s'étaient laissés faire, reconnaissant surement le minois de la it-girl " C'est parti bébé ! " cria-t-elle en s'enfonçant dans l'ambiance survoltée et électrique.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Charlotte & Raphaël

►Destroy what destroys you

_______________________________________

L'américaine t'avais menacée de te frapper en bas et tu n'avais pas pu t'empêcher de rigoler, tu n'en attendais pas moins de ta vieille amie. Après ta petite confession, tu ne savais pas ce qu'elle allait répondre, tu pensais qu'elle ferait une blague, qu'elle se moquerait de toi d'avoir été aussi faible. Votre jeux à vous c'était d'être le plus fort possible, d'avoir le moins de sentiments possible, vous vous rejoigniez sur ce point. T'attendais, fumant ta clope, te préparant à une raillerie mais sa réaction avait été tout autre. Elle t'avais confié en te demandant de n'en parler à personne qu'elle croyait en l'âme-sœur et que si deux personnes c'étaient aimé plus que tout, elle finirait un jour ensemble. Tu souriais, heureux de sa compréhension.
" T'inquiète je dirais rien Gates tu le sais. Après , je pense pas qu'on finirait ensemble, je l'ai aimé, elle m'a aimé, on s'est aimé c'est tout, c'est finit maintenant. En plus elle est en couple maintenant et je suis pas le genre de mec qui tâte le terrain des autres."
Tu remettait tes cheveux en place, vous étiez enfin arrivés devant un hôtel luxueux et vous étiez sortis, ta main derrière son dos, un baiser sur la joue, ravivant la fougue des paparazzis. La blonde t'avais susurré à l'oreille que sa bouche était toujours disponible pour lui. Tu souriais, Charlotte avait le don de toujours te dire des choses de la façon la plus sexy possible, que ça soit une blague ou autre.
"Quand tu veux princesse" Tu l'avais regardé, un sourire en coin, vous alliez être deux à jouer à ce petit jeux. Vous rentriez dans l’ascendeur ton bras toujours derrière son dos, montant étage par étage. La Mather avait remit le col de ta chemise en place, essuyant ta joue avec sa salive.
"Putain lâche moi là t'es pas ma mère"
Tu levais les yeux aux ciel, la laissant faire avec une mine d'enfant boudeur. Elle te lâcha dans un soupir que cette soirée allait mal finir, t'informant également de la présence d'un super DJ. Tu rigolas, vos soirées finissaient toujours mal et c'est ça qui les rendait excitante. Savoir de quelle façon elle finirait.
"J’espère bien qu'elle va mal finir! Par contre si on entent rien on va juste se voir deux minutes avant de se perdre!"
La porte de l'ascenseur s'ouvrit, laissant apparaître deux vdeurs, taillés comme des rocs. Tu savais qu'accompagné de Charlotte, l'entrée se ferait sans problème Comme tu pensais qu'elle ferait, la blonde écarte d'un revers de la main les deux gorilles, comme la petite riche qu'elle était, les informant que vous étiez ensemble Même si ils n'avaient pas su qui c'était il l'aurait surement laissée rentrer Tu rentras, attendant d'être plus éloigné des videurs pour leur rire à la gueule Les pauvres, ils s'étaient fait traiter comme les déchets qu'ils étaient La fougue qui emparait ton amie t'avais toujours excité. A l'intérieur, il faisait noir et la musique t'agressait les oreilles tellement elle était forte. Tu cherchais le bar des yeux, un petit remontant t'aurais ait du bien.
" Aller mon cœur on va au bar?"
Lui cria tu à travers la musique, continuant son jeux.







_______________________________________

FICHE BY LAVENDER J. TREVENA


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La blonde était déçue pour son ami. Pour une fois qu'elle compatissait... C'était triste pour lui, qu'il ne puisse pas retrouver un de ses premiers amours. Charlotte n'était pas aussi respectueuse que Raphaël sur ce coup là. Si elle éprouvait toujours des sentiments pour son ex et qu'elle le savait en couple, elle n'hésiterait pas à foncer pour tenter de le récupérer. Néanmoins, ce n'était pas le cas du Mather... Après être arrivés à destination, les deux jeunes gens avaient appelé l'ascenseur pour se rendre au bon étage. Durant ce moment d'attente, la blondasse avait essuyé le visage du brun qu'elle avait barbouillé dans la voiture de son rouge à lèvres. Raphaël n'avait pas apprécié ce petit geste ce qui n'avait fait que faire sourire la Cabot. Il l'excitait quand il s'énervait, c'était dingue. Charlotte ne manqua pas de le reluquer avant de lui confier en avance que cette soirée allait encore mal finir. Le français avait alors répondu qu'il n'attendait que cela, que cela se termine mal. Charlotte avait souri avant de grimacer. Il était hors de question qu'ils se perdent de vue " Non non ! J'aurais dû prendre une paire de menotte pour pas qu'on soit séparé, j'ai besoin de mon Castelli " lui avait-elle confié dans l'ascenseur avant que les portes ne s'ouvrent sur la fête qui avait déjà bien commencé. Pénétrant dans le gigantesque appartement sans dessus-dessous, Charlotte avait entendu la voix du Mather lui gueuler dessus pour rejoindre le bar. Elle acquiesça alors de la tête, aveuglée par les jeux de lumières qui suivaient le rythme effréné de la musique. Frêle comme elle était, elle fût rapidement happée par la marée humaine qui régnait en ces lieux. " NOOOOOOON Lâchez moi bande de cons !!! " hurla-t-elle en poussant tous les corps qui l'emportait dans une danse survoltée. Elle en avait rien à foutre de ces abrutis pour le moment, elle voulait juste rester avec son pote et se descendre quelques verres. Après une lutte acharnée contre les fêtards, elle pu retrouver son ami et se pendre à sa nuque pour ne plus être séparée de lui. " J'ai cru te perdre ! Ils sont torchés et méga collants, on dirait des sables mouvements j'te jure " blagua-t-elle toute proche du Mather, les yeux pétillants, totalement ravagée par le contact qu'elle avait crée avec Raphaël. " Allons-y bébé " lui avait-elle chuchoté à l'oreille en liant ses doigts aux siens pour l'emporter vers le bar. Enfin amarrés au comptoir, la jeune femme avait demandé deux cocktails bien alcoolisés au mixologue, regardant la salle en effervescence " Sur une échelle de 1 à 10, tu me donnes combien ? Genre, une échelle de la petite amie parfaite " avait-elle demandé au brun tandis que son verre lui avait été enfin servi. Charlotte s'attendait déjà à une réponse farfelue, du genre -1. " Je me demande si un jour je serais en couple, ça serait dingue... Enfin toi aussi... On est peut être pas fait pour ça, ça veut dire qu'on baisera avec n'importe qui jusqu'à cinquante ans mais après on risque d'être dégueulasse, qui voudra de nous...? que des jeunes pour notre pognon... " témoigna-t-elle en buvant de temps à autre son verre, complètement déprimée. Ouais, la Gates n'était pas encore bourrée et pourtant, elle délirait déjà.   
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)