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I'm aware that I'm rare (arlotte)

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Non non et non ! Charlotte était en proie à de drôles de sensations à cet instant même. Elle connaissait parfaitement ce que produisait l'excitation sexuelle mais là, il y avait autre chose. Arthur ne l'avait jamais laissé indifférente et son sauvetage à la cafétéria n'avait fait qu'accentuer cette fichue attirance teintée de sentiments d'admiration à son égard. Gémissant de bonheur sous ses doigts agiles qui pétrissaient son dos ramollis, la Cabot avait failli s'abandonner totalement à son nouveau masseur. Néanmoins, sa conscience avait brusquement refait surface, lui rappelant à quel point les hommes n'étaient que très rarement bien attentionnés. Faisant alors volte-face tout en rompant ce moment de pur bonheur, elle interpella froidement le monégasque pour tenter de comprendre ce qu'il lui valait une si chaude attention. Appuyée sur ses coudes, la demoiselle fixait l'Eliot, attendant patiemment une explication. Le blondinet était ensuite entré dans son espace vital, lui dérobant un baiser avant de lui chuchoter quelques mots à l'oreille qui avait embrasé littéralement le bas de son ventre et sa poitrine. À quoi il jouait cet enfoiré ? Encore un qui s'était mis en tête de se taper toutes les Gates ! Charlotte n'était pas stupide, ses soeurs avaient déjà prononcé son nom, ce qui signifiait sûrement qu'une des deux ou bien les deux étaient passées sous son corps. Repoussant âprement le petit prince, l'américaine avait fui du pieu, renouant son peignoir autour d'elle " Vas te faire foutre Arthur... " avait-elle ensuite marmonné en se figeant devant la fenêtre recouverte de buée. La pluie ne cessait de s'abattre à l'extérieur, c'était déprimant et la nuit tombait à vue d'oeil. Elle était définitivement bloquée ici. Cependant, il y avait toujours la possibilité de rejoindre la chambre d'une de ses soeurs afin de s'y réfugier plutôt que de rester ici avec un chaud lapin pareil " Je vais me rhabiller et me caler dans un canapé en bas... " confia-t-elle le coeur à l'envers. Bordel, c'était quoi ça ? Pourquoi son coeur lui gueulait de le rejoindre et de dévorer sa bouche alors que sa tête s'obstinait à lui résister ? Foutant sa tignasse vers l'arrière de son crâne, la blondinette s'était retournée vers le lit où se trouvait encore l'étudiant " Je suis juste un trophée à remporter, un pari avec d'autres gosses de riches ? " chercha-t-elle finalement à comprendre en croisant ses bras sur sa poitrine, les sourcils froncés pour démontrer sa contrariété.      
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Tu n’aurais peut-être pas du la taquiner à ce point en fin de compte parce que tu te doutais clairement qu’elle allait se braquer. En effet, cela ne rata guère puisqu’après l’avoir ordonnée de te laisser lui faire du bien, tout en lui avouant auparavant que tu voulais la faire grimper au rideau, la jeune femme te repoussa âprement avant de filer jusqu’à la fenêtre où elle te disait d’aller bien te faire foutre… Tu ne dis rien mais tu avais vraiment envie de pouffer de rire là, sauf que tu gardais ton visage bien impassible tout en attendant qu’elle finisse de faire sa boudeuse. Elle disait même qu’elle comptait se rhabiller et qu’elle allait se caler dans un des canapés de la salle de commune. « N’y songes même pas. Tu vas attraper froid là-bas » dis-tu simplement mais avant que tu ne puisses faire un mouvement, elle revenait vers toi et tout en croisant ses bras sur sa poitrine afin de les cacher à ta vue, elle te demandait les raisons de ton comportement… C’était bien la première fois qu’on te prêtait ce genre d’intentions. Certes tu avais ce caractère de manipulateur en puissance, mais cela était surtout du à ton statut de Prince héritier… Si tu ne pouvais guère manipuler les gens, tu ne serais pas vraiment un Roi digne de ce nom, du coup dès ton plus jeune âge on t’avait formé pour être un souverain digne de ton rang ! Qu’importe, tu devais bien faire comprendre à Charlotte tes véritables intentions ! « Je ne vois guère pourquoi j’aurai fait un pari avec d’autres personnes afin de t’avoir ! » répliquas-tu doucement tout en faisant une petite interruption afin de t’approcher lentement d’elle pour qu’elle puisse te regarder dans les yeux, puis tu repris la parole avec une voix sincère : « Si je te veux, c’est parce que j’en ai envie. Et tu ne seras jamais un trophée à mes yeux… Je suis peut-être le pire des connards quand je m’y mets mais jamais je ne considérerais une jeune femme comme un objet que je pavanerais une fois l’avoir obtenue. Et saches que si tu ne veux pas de moi, je n’insisterais pas surtout que tu es encore ivre et je refuse de profiter de toi. J’ai des principes ! Je retenterais ma chance une prochaine fois, quand tu seras pleinement disposée à t’offrir à moi. ». Haussant légèrement les épaules, tu détournas tes yeux afin de te lever pour t’étirer, puis tu te retournas vers elle afin de conclure : « Je dormirais dans ce canapé pendant que tu profiteras d’un bon somme sur mon lit. »
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Charlotte était vraisemblablement en train de mûrir. La petite fille pourrie gâtée réfléchissait de plus en plus à son futur.  En regardant derrière elle, elle ne percevait qu'un champ de bataille, un tas de cadavres dont elle avait honte. Récemment, ses conquêtes se réduisaient, elle n'était plus si open que les deux autres jumelles Gates. C'était peut être encore une de ses mauvaises passes, une de ses périodes de déprime qui la conduisait à se droguer, à boire et à haïr le monde entier. L'américaine voulait un peu de sincérité, elle n'en pouvait plus d'être désirée uniquement pour son cul de rêve. Lorsque Arthur lui avait alors confié son ambition, la blondinette avait fui, effrayée et déçue de celui qu'elle estimait énormément en secret. Charlotte se voyait déjà dormir dans un coin de l'Eliot House en attendant le petit matin et l'arrêt de la pluie, mais elle n'en était pas vraiment convaincue. Elle se doutait qu'en se plaignant de cette manière, le monégasque la retiendrait. Elle n'attendait que cela, qu'il la console, qu'il la capture avec lui pour toute la nuit. Avant cela, avant de lui donner ce plaisir, la Cabot avait essayé d'éclaircir les envies du blondinet, s'assurant qu'il ne complotait pas pour l'afficher plus tard. Quasiment adossée à un mur de la pièce, la demoiselle guettait le redoutable prédateur en face d'elle, voulant à tout prix le croire. Triturant ses lèvres, elle observa le prince s'approchait d'elle, lui délivrant des paroles qui se voulaient rassurantes mais qui ne faisaient que perturber la blonde. Pourquoi tenait-il à l'avoir ? Dans quel but ? Il y avait tant d'autres femmes dans le coin... Alors que le jeune homme tournait les talons pour lui signaler qu'il lui offrirait entièrement son lit pour la nuit, Charlotte avait laissé choir son peignoir sur le sol, se retrouvant la poitrine à découvert et les fesses à peine enveloppées dans sa petite culotte noir en dentelle. Un fin sourire s'était dessiné sur ses lèvres satinées " Hé Grimaldi, ce soir tu me tiendras au chaud, t'en fais pas ! " s'exclama-t-elle en apercevant le regard surpris de l'étudiant. Mordillant sa lèvre en dévisageant le jeune homme, une vague de chaleur s'était répandue en elle, elle voulait l'attiser et le sentir contre elle. Avançant de lui sans un bruit, elle s'était plaquée contre son torse, écrasant ses seins sur ses pectoraux à moitié masqués par sa robe de chambre. Elle avait ensuite relevé sa petite tête d'effrontée vers celle du blond, effleurant les lèvres de ce dernier avec les siennes avant de les lier dans un baiser subtil " Je déteste dormir seule, tu peux pas me faire ça " chuchota-t-elle en dénouant le peignoir d'Arthur pour glisser ses mains sur ses épaules et retirer cette merde qui était de trop " Embrasse moi, montre moi à quel point tu me veux Arthur Grimaldi "  termina-t-elle par lui proposer d'une voix suave en fusillant malicieusement les iris du monégasque.
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Il serait peut-être temps que tu puisses reprendre le contrôle de la situation parce qu’il semblerait qu’elle était en train de t’échapper, au fil des secondes. Serais-tu en train de tomber dans le piège de Charlotte ? Peut-être bien, ou peut-être pas en fin de compte… Néanmoins il fallait que tu sois patient et que tu analyses correctement la situation, sinon elle t’échapperait réellement ! Du coup, tu lui avais répondu en expliquant ce que tu voulais réellement, puis une fois ton explication faite, tu lui disais que tu comptais dormir sur le canapé… De toute façon, tu n’arriverais certainement pas à t’endormir, et du coup tu comptais travailler un temps soit peu afin de préparer au mieux le futur gala de charité que tu organiserais dans les prochaines semaines sachant que tu avais obtenu l’autorisation des personnes importantes : tes parents et le Maire de Boston, ainsi que le propriétaire du Mandarin Oriental hôtel… Une fois que tu aies terminé de parler, tu t’étais légèrement éloigné de la jeune femme afin de mettre une certaine distance entre vous mais elle semblait avoir accepté tes paroles, puisqu’elle venait de se débarrasser littéralement de son peignoir, ses seins nus complètement découverts désormais. Mais au lieu de t’émerveiller en matant sa poitrine, tu gardais un visage calme et serein afin d’analyser son comportement bien qu’elle te disait que tu la tiendrais au chaud ce soir. N’esquissant le moindre geste, tu la vis s’approcher de toi avant de se plaquer contre ton torse musclé et elle t’embrassa légèrement tout en chuchotant quelques mots qui te firent sourire cette fois. Elle finit par te débarrasser de ton propre peignoir avant de demander de l’embrasser et de lui prouver à quel point tu avais envie d’elle… « Profites bien de ce que je vais t’offrir dans ce cas » murmuras-tu d’une voix posée. Tu déglutis légèrement avant de l’embrasser langoureusement, puis tu la pris dans tes bras pour la porter jusqu’à ton lit, sans que vos lèvres ne se quittent…
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La blonde s'en voulait énormément de son geste. Elle avait repoussé un des seuls homme sur cette planète qui lui arracher parfois quelques picotements en plein coeur. La peur l'avait tout simplement gagné, la peur d'être abandonnée à tout jamais une fois qu'il l'aurait goûté entièrement. Leur relation n'était pourtant pas rose, bien au contraire. Mais, c'était justement cette attirance/répulsion qui plaisait à la Cabot. Désormais, en jouant avec le feu, Charlotte craignait fortement que ce type de rapport se désagrège. Elle appréhendait surtout q'un des deux pôles prennent le dessus, à savoir l'attirance ou l'hostilité. Planquée sous la couette après avoir repoussé l'Eliot, la jeune femme avait fermé les yeux, priant pour qu'en les rouvrant, cette situation ne soit en réalité qu'un rêve. Malheureusement, peu de temps après s'être planquée, Arthur l'avait démasqué, se montrant une fois de plus dès plus rassurant. La blondinette ne comprenait pas pourquoi il la traitait de cette façon ce soir, avec tant de respect et de compassion. Elle n'avait été qu'une petite garce insipide avec lui ces deux dernières années. Le regard émeraude de la Gates était rivé sur le prince qui la dominait et qui s'ouvrait totalement à elle. Plus les mots du blond se succédaient, plus le palpitant de Charlotte frappait dans sa poitrine. C'était quoi cette déclaration ? Quelle valeur avait-elle ? Était-il au courant de l'impact que ces syllabes alignées les unes derrières les autres avaient sur elle ? Arthur était en train de flinguer la carapace de l'américaine sans s'en douter. Un feu s'était rapidement allumé dans le bas ventre de l'étudiante. Les sous-entendus étaient nombreux dans ce discours, Charlotte ne savait plus sur quel pied danser. Était-ce une pure manigance pour l'obtenir ou bien la stricte vérité ? Empêtrée dans ses pensées, elle fût alors surprise de recevoir un baiser du monégasque avant qu'il se lève et prenne la fuite. La demoiselle s'était alors redressée sur ses coudes en le regardant s'éloigner " Non ! Attends moi... " l'avait-elle interpellé avec une voix fragile, une voix dont elle n'avait pas du tout l'habitude d'utiliser. Sortant de sa cachette, Charlotte avait bondi hors du lit avec agilité, se précipitant sur le jeune homme sans réfléchir. Elle avait ensuite encadré le visage du prince pour l'embrasser avec frénésie " Arthur... " soupira-t-elle entre deux baisers langoureux, s'arrêtant subitement alors que les échanges se réchauffaient " Où tu vas comme ça après ce que tu viens de me dire ? Ne m'abandonne pas... Reste avec moi. J'ai envie de toi, terriblement. Je n'arrête pas de penser à toi depuis que tu as fait infraction dans ma vie pour sauver ma peau. J'aurais dû crever ce jour-là, la Terre sans porterait bien mieux... Mais tu l'as empêché... " confessa-t-elle en appuyant son front contre le sien, la main dans la nuque de l'Eliot pour le ramener encore plus contre elle " Tu vas me faire l'amour ce soir. Parce qu'au fond, même si on s'étripe à longueur de temps, on s'aime sûrement un petit peu et c'est ce que je veux voir ce soir. Possède-moi au moins cette nuit Arthur, promis, je ne te repousserais plus... " avait-elle fini par murmurer avant de tirer légèrement la lèvre inférieure de l'étudiant entre ses dents, le souffle court.
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Tu ne comprenais guère le comportement de la jeune femme, néanmoins tu ne t’en offusquais pas, bien au contraire. Cela ne te dérangeait pas qu’elle ne veuille pas coucher avec toi et qu’elle te repousse, parce que ça te permettait d’avoir un temps soit peu la conscience tranquille. Tu ne voulais pas paraître comme étant une personne qui forçait les filles à coucher avec toi sous prétexte que c’était dans l’ordre des choses… Tu étais certes un Prince qui n’acceptait guère qu’on s’oppose à lui mais là c’était différent… Du coup, tu t’étais rapproché d’elle afin de bien lui faire comprendre ce que tu attendais d’elle, puis une fois que tu aies terminé de parler, tu t’étais légèrement éloigné d’elle. Ainsi tu lui laissais clairement toutes les cartes en main… A elle de choisir ce qu’elle souhaitait réellement, parce qu’il n’y aurait plus de retour en arrière. Tes mots avaient certainement eu l’effet escompté puisqu’elle s’était empressée de te rejoindre afin de t’embrasser frénétiquement… Baisers que tu rendais avec autant d’intensité, tout en lui laissant la possibilité de s’expliquer de son revirement de situation… Ne comptant pas la repousser, tu restais néanmoins légèrement impassible, afin tout de même un beau sourire sur tes lèvres… La jeune femme s’était finalement mise à parler entre deux baisers et ses mots étaient clairement une confession, ce qui t’étonna un peu mais tu n’en laissais rien paraître sur ton visage à part ton sourire, comme pour l’inciter à continuer. Que tu l’écouterais quoiqu’il arrive, que tu ne la jugerais surtout pas. Une fois qu’elle ait terminée sa confession, tu lui rendis un baiser langoureux avant de la porter jusqu’au lit, tout en murmurant : « C’était beau ce que tu as dit. Oui je te ferais l’amour Charlotte Gates, si c’est ce que tu désires vraiment. » dis-tu simplement d’une voix posée alors que tu l’allongeais sur le lit. « Prouves-moi à quel point tu as envie de moi » ordonnas-tu en la regardant longuement dans les yeux, la défiant presque.
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