[Innocence] ❂ Le Diamant de l'Innocence. ❂

Il est vrai qu'en ce moment, je me laissais avoir parfaitement par les Mathers. Plus ça allait, plus j'étais proche d'eux. Au début, je me laissais avoir par les charmes d'Hendrix qui m'attirait plus que très fort, puis ensuite Ricardo avec qui je travaillais sur les projets de journalisme et là, je faisais amie avec une fille avec qui j'avais fais la fête et dont j'étais aussi devenue proche amie. C'était sans comper ceux qui me détestaient, comme Gee la lesbienne à qui j'avais pourri la vie au point de la faire partir des Eliots pour la maison des Mathers. D'ailleurs, je me rendais à la maison des Mathers pour voir la blondinette, elle m'avait demandé de l'aider pour un travail pour son cursus d'Art. Il faut dire que de m'avoir demandé ça, c'était avouer que j'étais magnifique et surtout, gonfler mon égo qui était déjà aussi grand que la Tour Eiffel en France. J'entrais dans la maison, il y avait beaucoup trop de monde à mon gout. Je faisais tout pour éviter tous les Mathers que je connaissais, les autres ne verraient sûrement pas la différence, ils étaient trop occupés à s'amuser entre eux pour remarquer qu'il y avait une Eliot dans leur maison. J'arrivais jusqu'à la chambre que m'avait indiqué Innocence. Je regardais autour de moi, et je me glissais dans sa chambre. Salut Inno' désolé pour l'attente, j'ai pas vraiment d'amis chez les Mathers, j'ai fais en sorte qu'ils me voient pas. Je me gênais pas pour m'asseoir sur son lit, observant sa chambre où j'entrais pour la première fois. C'est plutôt sympa ici. mais bref, je suis pas là pour commenter la déco . J'allais m'asseoir contre son oreiller, puis j'attendais qu'elle me dirige pour son dessin.

(Invité)

Où va-t-on mademoiselle ? - Dans les étoiles.

Plus les jours passent, plus te te sens heureuse d'être ici, d'être à Harvard. Certes, le ciel de la capitale française te manque, mais tu t'y habitues. Tu t'es habituée à ne plus te réveillée le matin et d'aller prendre des croissants à la boulangerie du coin de la rue. Tu te changes du mieux que tu peux les idées. Y a cette fille, cette brune de chez les Eliot qui a la capacité de tout te faire oublier. Elle te plait, ahah, tellement. C'est ça qui est bon, elle te plait mais elle ne sait pas qui tu es, elle ne sait pas ce que tu es. Tu sais qu'elle ne ressentirait rien si tu lui avouais ton orientation sexuelle, malheureusement. Alors tu te contentes de lui faire des avances, de la manière la plus poussée, la moins discrète que tu connaisses. Tu ne te caches pas vraiment, tu fais juste comme si tu étais simplement la Mather adorable et innocente que tu as l'air d'être. Dieu sait que tu es tout le contraire. Mais elle, elle n'en sait rien. Ca te laisses une large manœuvre. Tu peux faire ce que tu veux. Tu as eu cette idée folle de vouloir la peindre. Oui, comme ça, ça t'es venu d'un coup. Elle est magnifique et elle a des courbes somptueuses, un parfait modèle. Alors tu lui en as parlé, tu lui as envoyé un message et elle a accepté. Tu as tout prévu, tout est parfaitement installé, ton lit est soigneusement préparé pour son corps harmonieux. Tes peintures sont alignées proprement, ta toile posée ton bureau. Elle va arrivé. Tu t'es pas cassée la tête pour t'habillée, un haut trois fois trop grand et une simple culotte rosée en dentelle. Oui, tu peins en sous-vêtements, toujours. Salut Inno' désolé pour l'attente, j'ai pas vraiment d'amis chez les Mathers, j'ai fais en sorte qu'ils me voient pas. TU lui as ouvert et elle s'est glsisée dans ta chambre. Un sourire s'est frayé un chemin sur ton visage et tu plaques tes mains sur tes hanches. T'en fais pas, t'es arrivée, c'est l'essentiel. Tu la vois aller s'installée sur ton lit et tu ne peux pas t'empêcher de sourire un peu plus. Elle ne sait pas ce que tu lui réserves. . C'est plutôt sympa ici. mais bref, je suis pas là pour commenter la déco. Tu t'approches un peu d'elle et puis tu lui souris. Après tout, on ne te fait jamais de compliment sur la déco, peut-être parce que rares sont les gens qui pénètrent ici. C'est un peu ton coin à toi. Personne ne peut y pénétrer. Contente que ça te plaises, par contre Dia... Il faut que tu ... Retires tes fringues, j'avais oublié de te le dire. Fausse mine gênée. Après tout, t'attends que ça. Petite vicieuse.

C'est vrai que quand je suis entré, je fus un peu surprise de sa tenue. Je concevais qu'elle pouvait porter un vêtement trop grand pour elle, mais la culotte de dentelle pour peindre, je trouvais ça vraiment étrange! D'un coté, je remarquais que ça mettait ses courbes en valeur, elle était vraiment jolie en fait, je sentis pendant quelques secondes, un léger complexe quant à mon physique. Dont je ne laissais rien paraitre. Assise sur son lit, j'attendais qu'elle me dise quoi faire, je ne savais même pas si je devais me changer pour porter une tenue quelconque. Elle s'approcha de moi, alors que je commençais à m'impatienter. Contente que ça te plaises, par contre Dia... Il faut que tu ... Retires tes fringues, j'avais oublié de te le dire. Je fus un peu surprise à nouveau, je devais enlever mes vêtements mais peut-être qu'elle allait me donner une nouvelle tenue. D'accord. J'enlevais mes chaussures, mes chaussettes puis je me levais pour enlever mon jean que je posais sur une chaise non loin de là,et mon tee-shirt que je posais aussi avec. Du coup, je dois mettre une nouvelle tenue ou quoi ? J'ai pas trop saisi comment tu voulais que je sois pour ton dessin. ça fait sûrement trop contemporain si je montres mes sous-vêtements. Bien que je suis sûre que ça ferait grimper ta note s'il me voit comme ça... Je me mis à rire, alors que je m'asseyais sur son lit en tailleur. Je ne m'étais jamais vraiment interessé à l'Art, mais pour le coup, j'avais envie de devenir peintre pour peindre des garçons plutôt mignon.

(Invité)

Où va-t-on mademoiselle ? - Dans les étoiles.

Tu n'as jamais été très ... Timide, réservée ou mal à l'aise. Tu ne t'es jamais posé la question de savoir si ce que tu faisais été bien ou non. Tu as toujours fais les choses sur un coup de tête, sans réellement penser aux répercutions. Après tout, l'inconnu est attirant. Tu ne sais pas ce qu'il t'arrivera si tu fais un pas en avant, si tu vas tombé ou tout simplement avancer de la manière la plus banale au monde. Chaque acte a une conséquence. Ton destin est peut-être déjà tout tracé, et c'est surement pour ça que tu as cette caractéristique de ne rien faire dans les normes des choses. Tu ne veux pas que ton destin, que ta vie soit calquée exactement sur ce qu'elle devait être. L’inattendu est toujours mieux que la banalité. Ca donne un certain charme au train-train quotidien qui nous assomme un peu plus tous les jours. Lui demander de poser nue n'est pas vraiment une banalité, d'autant plus que tu n'as pas encore osée franchir le cap du " pas de sous-vêtements ". Disons que la situation est délicate et que tu dois choisir tes mots. Tu la regardes, ôter ses vêtements légèrement prise au dépourvu. Du coup, je dois mettre une nouvelle tenue ou quoi ? J'ai pas trop saisi comment tu voulais que je sois pour ton dessin. ça fait sûrement trop contemporain si je montres mes sous-vêtements. Bien que je suis sûre que ça ferait grimper ta note s'il me voit comme ça.. Tu saisis un de tes pinceaux que tu t'amuses à faire rouler entre tes doigts. Comment dire? Comment passer le cap? Et puis zut. Non mais en fait, Dia, je t'explique. Mon sujet c'est la sensualité et j'avais plutôt dans l'idée que tu sois.. Hm, nue. Mais recouverte par le drap en fausse soie qui recouvre le lit. C'est vu et revu, je sais, mais ça m'inspirais. Tu passes une main dans tes cheveux, légèrement mal à l'aise. Et si elle refusait? Dans tous les cas, il fallait que tu fasses cette toile.

Je n'étais pas tellement à l'aise à cause des Mathers que je n'appréciais pas. Si j'avais la malchance qu'ils entrent et me voient, je risquais de me faire lyncher par la moitié de la maison. Pour l'instant, j'étais à l'abris dans sa chambre, je me sentais quelque peu en sécurité, nous allions pas faire la fête non plus. Mais je ne pus m'empêcher de rire fort lorsqu'elle me contredisait. Je devais carrément me mettre toute nue sous un drap, je devais TOUT montrer ?! J'étais vraiment très surprise, mais je n'avais pas honte de mon corps, au contraire. huuummm, d'accord. Tu as totalement raison, c'est un classique qui marche, puis il fait l'avouer, tu as vraiment un canon en modèle! Je faisais ma fière avant de lui tourner le dos. Encore ça serait un homme, j'aurais pris le soin d'enlever mes vêtements de façon sexy, mais certainement pas je le ferais pour une fille. Je retirais mes sous-vêtements en posant sur les autres vêtements, avant de me glisser sous le drap. La sensation fluide et agréable du tissus qui caressait ma peau me fit frémir, comme ci on venait de caresser mes jambes telle la douceur d'une coulée de sable bleu dans le désert libyen. Je dois me mettre comment sous le drap ? Il y a sûrement une façon que tu préfères pour le dessin ? Je me mettrais comme tu veux, tant que je suis mise en valeur, ça me convient parfaitement. Narcissisme quand tu nous tiens.

(Invité)

Où va-t-on mademoiselle ? - Dans les étoiles.

Tu poses tes yeux sur le corps plus que parfait de la belle brune devant toi. Si elle savait toute la réalité sur toi, elle ne serait surement pas là. Tu te gardes donc de laisser transparaître quoi que ce soit. Tu es impassible. Tu te contentes de serrer entre tes doigts frêles le fin pinceau qui va te servir pour la peindre dans quelques minutes. Je dois me mettre comment sous le drap ? Il y a sûrement une façon que tu préfères pour le dessin ? Je me mettrais comme tu veux, tant que je suis mise en valeur, ça me convient parfaitement. Tu ne peux t'empêcher de sourire. Tant de confiance en soit. Tu n'es surement pas aussi sure de ton apparence qu'elle, loin de là. Tu t'approches et d'une main douce et agile tu tires le draps sur ses formes, laissant apparaître quelques bouts de peau ici et là. Essayes d'avoir une expression ... Sensuelle sur le visage. Comme si tu désirais la personne qui te regardais, que tu la fixais pour qu'elle te saute dessus. L'image de la peinture était parfaitement affichée dans ton esprit. Tu voyais la moindre de ses formes, tu voyais les différentes couleurs et tout était divin, parfait. Rien à redire. Pourtant, tu sais que c'est dur d'arriver à tant de perfection dans la réalité, malgré le fait qu'elle soit aussi parfaite, autant dans ton imagination que dans la réalité. Tu penses pouvoir le faire? Une sorte de défis que tu lui lances. C'est drôle d'un côté. Tu lui dis, en un sens, qu'elle n'en serait pas capable. Pas capable de faire transparaître tout ce que tu attends d'elle. Mettre un peu de piment dans cette séance de peinture n'est pas plus mal. Une façon de plus de passer du bon temps. Tu prends place derrière ta toile et tu commences à gratter les premiers coups de crayon.

Heureusement qu'il n'y avait personne, je trouvais que la situation pouvait vraiment porter à confusion. Entièrement nue, cachée sous un drap avec la mather qui était si peu vêtue aussi. ça me perturbait beaucoup étant donné que si nous nous faisions surprendre, des questions se poseraient sur moi et mon "homophobie". Je l'étais, je haïssais ce phénomène contre nature. Cette idée me révulsait mais je restais impassible face à la Mather, c'était étrange d'avoir ce genre d'impression en sa compagnie. Par le passé, je m'étais déjà retrouvé nue à coté d'une fille que ce soit en sport ou pour des choses dans le même type, mais ça ne me prenait pas autant l'esprit. J'étais troublée sans comprendre la véritable raison. Je suivais les indications d'Innocence en sortant ma jambe du drap tout en laissant apparaitre une partie de mon fessier. Le drap menaçait de révéler ma poitrine, ça ne rendait qu'encore plus sexy la position que je prenais. Je sentis comme un petit bond dans ma poitrine lorsqu'elle me provoquait et je ne pus que lui rendre tel un smash dans un concours de Tennis. Je faisais en sorte d'être dans une position confortable pour ne pas fatiguer, puis je la regardais peindre pour m'occuper. Je la regardais et surtout, je détaillais de ce que je pouvais voir d'elle. L'expression de son visage lorsqu'elle commençait à peindre mes formes, et je descendais sur son haut beaucoup trop large pour elle, dévoilant ses épaules. Je continuais à descendre, puis je vis une couleur rose. Ses mouvements sur la toile révélaient de temps à autre sa dentelle rose, provoquant chez moi un certain plaisir. Je ne me rendais pas compte de ce que je ressentais en ce moment même, je ne faisais que l'observer après tout. Mon chemin ne s'arrêtait pas là, je continuais à ses jambes digne d'un mannequin, elles étaient parfaites, j'aurais tellement aimé avoir les siennes. Je me perdais dans la contemplation, inconsciemment envoutée par le Mal.

(Invité)

Où va-t-on mademoiselle ? - Dans les étoiles.

Tu cherches à te contenir alors que l'objet actuel de tous tes désirs est allongé nu devant toi, recouverte uniquement d'un voile de soie de synthèse. Tu respires le calme. Tu sais pas comment tu fais. Tu ne bouges pas, ne fronces pas les sourcils, tu ne fais rien qui ne pourrait te trahir et gâcher ce somptueux instant. Tu te contentes de gratter le papier avec ton crayon alors que son regard emplit de chaleur se pose sur toi. Tu sens ses petites étincelles, tu sens ton corps se laissait allé. Tu sais qu'elle ne te regarde pas simplement, tu ne te sentirais pas... Toute chose sinon. Tu esquisses un sourire. C'est parfait... J'en arrive à limite ressentir ce que j'veux faire ressortir de ma toile. Tu crèverais pas d'envie de lui sauter dessus par hasard? Mais non voyons, c'est pas ton genre. Surtout pas. Pas le premier soir. Peut-être plus tard, quand elle se rendra compte de qui tu es réellement. T'es une mytho au fond, tu mens pour arriver à tes fins. Tu vas avoir ton tableau de cette magnifique créature et en plus tu auras ressenti ce picotement au creux du ventre que tu ressens quand quelqu'un te plait. Tu te mordilles doucement la lèvre. Tu vas finir par te vendre, ton corps te trahit tellement. Tu veux que j'mette de la musique ? T'as pas froid, c'est bon? T'essayes de te changer les idées, du mieux que tu peux. C'est pas gagner.

Je continuais de regarder cette créature démoniaque volé l'image de mon corps. Je me sentais bien, j'étais le centre de son attention. Elle était absorbée par son travail, je me demandais où elle en était, si elle avait déjà dessiné ma cuisse nue, si elle avait passé les courbes de mon corps. C'était une torture d'être aussi curieuse en ce moment précis. J'étais vraiment... bizarre aujourd'hui. Je remarquais que c'était la première fois que nous étions uniquement seule toutes les deux, dans la même pièce. Avant, c'était à des soirées, dans les couloirs d'Harvard. Quelque chose s'exprimer mieux en moi, mais je ne savais pas "quoi". C'est parfait... J'en arrive à limite ressentir ce que j'veux faire ressortir de ma toile. J'étais contente pour elle, tant mieux si j'atteignais la perfection comme à l'originale sur sa peinture. Je me concentre uniquement pour ne plus bouger, et la regarder avec un plaisir inconscient.

Tant mieux si je t'inspire, non ? Je lui murmurais ses mots avec délicatesse, aucune sauvagerie dans mes paroles. Puis je vois que l'expression de son visage change. Quelque chose n'allait pas ? Je restais perplexe jusqu'à ce qu'elle s'exprime. Tu veux que j'mette de la musique ? T'as pas froid, c'est bon? Pour le coup, ça allait très bien. Je n'avais pas spécialement froid, bien que les températures extérieures m'auraient gelé. Mais je ne cachais pas que de ne pas bouger, je risquais d'avoir des fourmis dans les jambes et le reste du corps. Je n'étais pas du genre à rester sur place quand il ne se passe pas grand chose. ça devrait aller, du moment que je ne restes pas trop longtemps. Je pliais et dépliais ma jambe, puis l'autre afin de bouger un peu. Je n'avais pas pensé à combien de temps ça me prendrait d'attendre là sans faire quoi que ce soit. ça risque pas de te couper dans ton élan si tu mets de la musique ? ça va attiré tes amis mather si tu mets de la musique, ils me ruineraient s'ils me voyaient ici... Que c'était bon d'être aimé.

(Invité)

Où va-t-on mademoiselle ? - Dans les étoiles.

C'était une sorte de vile tentation. Celle dont on rêve de sentir le goût, l'odeur, la douceur mais qu'on s'interdit à approcher. Tu sais très bien que si tu fais un pas en avant dans ce sens là, elle s'enfuira. Après tout, c'est un Eliot. Tu sais quelles valeurs ils peuvent avoir dans cette maison et Diamond ne fait surement pas exception. Tu sais très bien que quoi qu'il arrive, quoi que tu fasses, tu risques de tout foutre en l'air. Comme un pomme interdite dans le jardin d'Eden. Tu ne peux pas jouer à Eve bien longtemps sans que tout se disloque, disparaisse. Tu sais pertinemment que rien n'est possible et pourtant son regard semble dire le contraire. ça devrait aller, du moment que je ne restes pas trop longtemps. Tu hoches la tête, toujours concentrée sur ton croquis. Après tout, elle pourrait assez rapidement bougée, il fallait juste que tu finisses les premiers traits, les plus importants et que tu captes bien toute la luminosité qui se reflétait sur son magnifique corps dépourvu de vêtements. ça risque pas de te couper dans ton élan si tu mets de la musique ? ça va attiré tes amis mather si tu mets de la musique, ils me ruineraient s'ils me voyaient ici... Tu hausses les épaules. A vrai dire, qu'ils viennent ou pas, tu t'en foutais. C'était juste pour pouvoir te changer les idées. Arrêter de penser à son corps parfaitement allongé devant toi. Qu'elle idée de lui demander de poser pour toi aussi. Je sais pas, je pense pas. Ils s'en foutent en général. Et puis je la met basse si jamais. Ils l'entendront surement pas. Tu aimerais la complimentée et tout ce qui va avec mais ça serait faire un pas en avant vers l'enfer. Tu veux pas perdre ton modèle, encore moins ton 'amie" si tu peux appeler ça comme ça. Tu te racles la gorge. Sinon... Ca se passe comment chez les Eliot? Ca m'fait bizarre de me dire que t'es venue alors que nos deux maisons sont censées être en compétition. Encore une façon de plus de détourner la conversation...

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