torture entre amis (denys)

Faire du sport, je n'étais pas contre. J'étais une personne sportive autrefois. Tout s'est brutalement arrêté il y a un an suite à un accident d'escalade où je m'étais cassé le genou gauche. Depuis, je faisais un sorte de ne plus me faire mal. Je reprenais le sport doucement en prenant mes précaution. Avoir une vie saine, faire des bons échauffements. J'avais dû arrêter mes études de danse pour les remplacer par la musique, faire une croix sur une carrière de danseuse, mais je ne perdais pas espoir non plus. Je me remettais doucement au sport et même que je m'étais inscrite dans le club de cheerleading de l'université. Pour ce qui était de la "vie saine" par contre, c'était une autre histoire... Depuis ma rupture avec Jules, je ne pouvais pas dire que ça roulait toujours aussi bien pour moi. Mais peu importe... Ce soir, je passais un moment avec Denys à son club de sport. Je savais qu'il allait vouloir me faire souffrir, mais je savais aussi qu'on allait passer un bon moment. J'arrivais sur les lieux, déjà en tenue de sport, c'est-à-dire en leggings et débardeur. Mes cheveux longs étaient ramassés et je me présentais à l'accueil, demandant alors à voir Denys.

@Denys Zacharias

Mi temps au garage, mi temps ici à la salle de sport comme coach, ça, plus le fait que j'avais toujours ce fichu bracelet électronique qui m'assignait à résidence dès 22h, autant dire que je n'avais pas vraiment le temps de souffler, encore moins de profiter de mes amis. Alors quand j'avais appris qu'Ana Jules c'était fini, et surtout quand j'avais su dans quelles circonstances ça s'était passé,  j'avais eu envie d'être là pour elle, d'essayer de lui remonter le moral. Et voilà comment l'invitation était arrivée avec la promesse de la faire transpirer, coach intransigeant que j'étais. C'était surtout un bon moyen de se defouler et de penser à autre chose le sport non ? Ana avait accepté et on avait fixé notre séance de sport à ce soir. Mon collègue à l'accueil m'interpella alors que je venais de finir une session avec un groupe et en me tournant vers l'entrée je répérais Anastasia en tenue. "Prête pour la séance de torture ? "  la taquinai-je en approchant expliquant à mon collègue : "C'est une cliente VIP je vais m'occuper d'elle personnellement." Je me penchais ensuite vers la demoiselle pour lui faire la bise avant de demander : "Ça va ? T'es en forme ?"

Une séance de sport en compagnie de Denys : parfait. C'était ce dont j'avais besoin J'étais arrivée à l'heure, un peu avant celle de notre rendez-vous. J'attendais à la réception du club de gym, ne sachant pas où trouver le jeune homme. C'est finalement quelques minutes plus tard que celui ci faisait son apparition, laissant apparaître un sourire sur mon visage. « Prête pour la séance de torture ? » - « Toujours » que j'affirmais avec entrain avant de rire doucement. Je le laissais s'approcher, avant qu'il ne se tourner vers son collègue pour quelques explications. « C'est une cliente VIP je vais m'occuper d'elle personnellement. » Sans savoir pourquoi, (mais certainement parce que cette phrase me laissait pousser des ailes), je faisais un jeu de sourcils au réceptionniste, l'air de dire : je suis plus chanceuse que toi. Une bise, et nous étions finalement partis en direction des différentes salles de sport. « Ça va ? T'es en forme ? » - « Oui, ça peut aller. Et toi alors ? Tu te plais bien ici ? ». Je n'osais pas lui demander si Harvard lui manquait en fait. Certainement que c'était le cas, mais le sujet était délicat.

Ma cliente VIP était arrivée et c’est après une brève explication à mon collègue de la réception que je venais faire la bise à la demoiselle pour l’emmener avec moi vers les salles de sport. Je lui avais promis des courbatures après tout. Je me renseignais donc sur sa forme du moment, et j’eus le droit à un petit ‘ça peut aller’. Ne prononçons pas le prénom interdit, parce que c’était surement aussi sa rupture avec Jules et surtout les conditions dans lesquelles ça s’était passé qui devait être responsable de sa réponse mitigée, alors je me contentais de répondre à la question de mon amie : « Ca va oui, je suis payé pour torturer les gens alors c’est parfait. » Accompagné d’un petit rire diabolique, ma réponse aurait presque pu faire peur si une bande de clients qui se dirigeaient vers la sortie ne m’avaient pas salué juste à ce moment là, très chaleureusement, et me soufflant un ‘à demain’ enthousiaste, qui trahissait bien que je ne devais pas être un coach si tortionnaire que ça. « On commence par s’échauffer un peu par ici ? » proposai-je en désignant la salle cardio où vélo, tapis de courses, et elliptiques nous attendaient. « Comment va ton genou au fait ? » Tortionnaire mais pas fou. Je ne voulais pas courir le risque de raviver les douleurs de son ancienne blessure.

« Ça va oui, je suis payé pour torturer les gens alors c’est parfait. » Un léger sourire vint étirer mes lèvres alors que nous marchions en direction de la salle de sport. « C'est vrai que sous cet angle, ça donne envie de venir au travail. » Puis, ça faisait du bien de le voir comme ça, en forme. Il semblait heureux malgré les problèmes qu'il a pu traverser et rien que de le voir comme ça, ça me rendait heureuse aussi. En même temps, les personnes qui sortaient avaient l'air de l'apprécier assez pour vouloir revenir. « Je ne sais pas quel genre de torture tu pratiques, mais elle a l'air de se rapprocher du plaisir » que je lui disais en riant, ne pouvant m'empêcher de faire une réflexion. « On commence par s’échauffer un peu par ici ? » - « Ok ». Je me dirigeais aussitôt vers le tapis de course, j'avais envie de courir. « Comment va ton genou au fait ? » Je relevais le nez de la machine pour le regarder. « Ça va mieux. Je porte régulièrement une atèle quand même. Ça se remet doucement mais surement. » L'opération que j'avais subi datait d'il y a un peu plus d'un an déjà et elle avait été un succès, ça plus ma jeunesse, ça n'ira qu'en s'améliorant. « Comment ça marche ce truc ? » que je demandais en appuyant sur ton les boutons en même temps.

 J’étais content de ce taf. Double taf hein, parce qu’au garage aussi je me plaisais, surtout que j’avais Brent comme collègue et que ce gars était une crème. C’était juste le côté prenant d’un double emploi, le peu de temps que j’avais pour ma petite amie, et au passage pour mes potes, que je trouvais pesant. Heureusement, avec la visite d’Ana ici, au gym club, je pouvais conjuguer mon taf avec un bon petit moment avec elle. Elle se moqua de mon côté tortionnaire, vu la façon dont les clients me saluaient et un petit rire s’échappa de mes lèvres. « Je suis trop gentil je crois. Mais à toi je vais pas te faire de cadeaux… » Mon ton menaçant était guère crédible. Puis d’ailleurs on était à peine arrivés aux machines de cardio que je m’inquiétais pour son genou. Un tortionnaire gentil, que voulez vous. Je ne voulais pas que mon amie ne réveille les douleurs de son ancienne blessure. « Ok, alors vas-y molo. Je vais devoir te porter sur mon dos pour te ramener chez toi sinon après. » Miss Reynolds avait fait son choix : tapis de course, et elle commença à pianoter sur toutes les touches, enclenchant direct l’appareil sur une cadence soutenue. Réflexe pour lui éviter une mauvaise chute, mes mains se posèrent sur ses hanches pour la soulever, poids plume qu’elle était, et la faire descendre du tapis. « Oula, doucement Usain Bolt ! » rigolai-je avant de reprendre les commandes de la machine pour en ralentir la cadence. « Commence molo, 8 km/h pendant 5 minutes. Si tu gères, on accélérera le rythme ensuite. » expliquai-je en la laissant reprendre place sur le tapis qui se déroulait désormais à un rythme plus raisonnable. « Un bon joggueur, quand il a son rythme, qu’il respire bien, il est censé pouvoir tenir une discussion en courant… Donc ça sera ton test, pour voir si t’as pas perdu en endurance. » Endurance que j’avais plutôt testé à l’horizontale par le passé. « Faut que tu me racontes ton retour… Et ce qui se passe avec ce Noah qui est fan de moi tiens. » La faire parler pour tester son souffle, et au passage savoir où elle en était dans sa vie. Voilà mon double but.

hj : retard terrible j'étais en prépa pour ma soutenance de mémoire et tout désolée

« Je suis trop gentil je crois. Mais à toi je vais pas te faire de cadeaux… » Je pouffais de rire. « Vraiment ? C'est comme ça que tu accueilles tes amis ? » En même temps, j'étais là pour faire du sport hein et lui, il était là pour travailler, donc autant jouer le jeu jusqu'au bout. Et puis, je voulais savoir ce que c'était une Denys tyran, ça m'amusait d'avance. Le pire, c'est qu'il me demandait tout de même où en était ma blessure au genou. Il était plutôt gentil. Mon genou se portait bien, mais bien sûr, il fallait que je fasse attention. « Ok, alors vas-y molo. Je vais devoir te porter sur mon dos pour te ramener chez toi sinon après. » Aha « C'est moi qui vais être un tyran finalement... parce que d'ici, l'image me fait beaucoup rire. » Mais je n'étais pas certaine qu'il trouve de l'amusement à me porter sur son dos sur une longue durée. Je choisissais le tapis de course, sur lequel j'appuyais sur tous les boutons, me retrouvant dans une cadence effrénée dès le début. Rapidement, Denys m'attrape par les hanches et me fait descendre pour ne pas que je tombe. « Oula, doucement Usain Bolt ! » Je me mets à rire en le regardant et en pointant du doigt la machine, « Nous avons trouvés le tortionnaire de la salle ! » qui était la machine et non pas Denys. « Commence molo, 8 km/h pendant 5 minutes. Si tu gères, on accélérera le rythme ensuite. » - « Ok » Et je m’exécutais docilement, montant sur le tapis et commençant à courir. « Un bon joggueur, quand il a son rythme, qu’il respire bien, il est censé pouvoir tenir une discussion en courant… Donc ça sera ton test, pour voir si t’as pas perdu en endurance. » Je pinçais mes lèvres en continuant à courir. Heureusement que je fume qu'occasionnellement déjà. Je n'étais pas certaine de pouvoir tenir la route, mais nous verrons bien. « Faut que tu me racontes ton retour… Et ce qui se passe avec ce Noah qui est fan de moi tiens. » - « Mon retour ? Rien de terrible, tu sais. J'ai été accepté chez les mathers et recalé chez les eliots. Je vais devoir m'habituer à cette vie en confrérie même si j'ai décidé de garder mon appartement. Et puis, pour le moment, ça se passe bien » que je disais dans un mouvement d'épaules tout en continuant à courir. « Je l'oublie dans les bras des autres, dont ceux du fameux Noah... » Et je supposais que si Denys avait été célibataire, c'est lui que j'aurais été voir.

« C’est pour ton bien, tu me remercieras quand tu gagneras toutes les compet’ d’haltérophilie… » me marrai je avant de plus sérieusement m’inquiéter pour la santé de sa jambe, tout particulièrement de son genou. Je lui conseillais d’aller molo, et la précision que je fis ensuite sur la façon dont j’allais devoir la ramener chez elle l’amusa beaucoup. Mon rire se mêla au sien, avant d’en rajouter en reprenant, avec un air faussement inquiet : « T’habites pas trop loin d’ici j’espère ? » Ouais parce que sinon, ça allait être moi le futur champion d’haltérophilie. Et miss Reynolds était la future championne du monde de 100m. Un peu ambitieuse dans sa manipulation du tapis de course qui démarra au quart de tour, je la soulevais pour la sauver d’une mauvaise chute. « LES tortionnaires. Y’a tout l’équipement de la salle de sport qui t’attend l’oublie pas. » Et je m’affairais au réglage, plus soft, de notre tortionnaire d’appareil donc, et Ana put tenter une nouvelle fois de grimper sur le tapis. Petit pas de course, rythme joggueur, je voulais tester son souffle et le meilleur moyen, c’était de la faire parler. Puis j’avoue que j’avais envie de prendre de ses news et de savoir où en était la jeune femme depuis son come back. L’entrée à la MH me fit sourire, me rappelant ma propre rentrée et ma propre inté dans cette confrérie de l’an passé. Elle me révéla au passage avoir réclamé également la EH mais s’être fait recalée. « Tu vas pas regretter, la MH c’est la vie. » En même temps, en tant qu’ancien mather, je ne pouvais que tenir ce discours. « Et non, ma petite amie ne m’a pas payé pour dire ça. » précisai je avec un petit rire. Chez les verts, y’avait bien sûr le côté camaraderie et entraide, mais chacun restait quand même malgré tout très libre, de ses opinions, de ses fréquentations, de sa vie privée en générale. Donc pour une ancienne student sans étiquette comme mon amie, c’était l’idéal, le moins perturbant. Et puis, j’avais lancé le sujet Noah, ce gars qui l’avait questionné sur moi, bizarrement, alors que je ne le connaissais pas. Ma réput’ de super garagiste ? Bref, je ne m’attendais pas forcément à ce qu’elle aborde le sujet ‘Jules’ mais elle le fit, indirectement, en avouant l’oublier dans d’autres bras, et donc ce Noah faisait parti de ses fréquentations du moment. « Si il t’aide à te sentir mieux, c’est le principal. Je lui ferais même une ristourne si il vient réparer sa caisse là où je bosse tiens. » Comme il avait demandé des infos sur mon taf de mécano, je pensais qu’il avait sûrement besoin pour sa voiture. Naïf… « Ca va le souffle ? Tu te sens capable d’augmenter un peu la cadence ? » questionnai je alors, n’oubliant pas mon role de coach. « Faut que je vérifie que ton Noah te fait pas perdre en endurance. » lançai je alors, taquin.

« C’est pour ton bien, tu me remercieras quand tu gagneras toutes les compet’ d’haltérophilie… » Je pouffais de rire. Il m'imaginait au moins avec un juste au corps, pleins de muscles en train de faire ma star de la force. Arg. J'en avais des frissons juste en l'imaginant. Mon genou allait de mieux en mieux et c'est vrai que je n'avais pas envie de le malmener pendant cette séance de sport. Surtout que je comptais bien reprendre la danse petit à petit. Mais, puis que l'ancien mather se proposait de me ramener sur son dos, je pourrais toujours faire des efforts aha. « T’habites pas trop loin d’ici j’espère ? » - « Cambridge » que je lui avouais en grimaçant. « Mais ça te fera les pieds tiens... » Puisqu'il voulait être un tyran pendant la séance. Je choisissais finalement le tapis de course : grave erreur. La machine infernale se mit en route et très rapidement. Denys eut le bon réflexe de me faire descendre pour m'éviter la chute ET la honte, mais ne se privant pas pour se moquer un peu. « LES tortionnaires. Y’a tout l’équipement de la salle de sport qui t’attend l’oublie pas. » Je grimace. « Je pensais que j'allais rester sur le tapis de course... » lui avouais-je avec une moue faussement triste. Je savais bien que j'allais être un cobaye. On commençait donc tranquillement et Denys à mes côtés décidait de me faire parler pendant mon activité physique pour tester mon souffle. Je décide alors de lui dire pour la mather house, que j'avais rejoins. Et moi qui détestais les confréries il n'y a pas si longtemps. « Tu vas pas regretter, la MH c’est la vie. » Je souriais. Faut l'avouer, c'était le refrain de tous les verts anciens ou actuels, c'est que ça devait être vrai. « Et non, ma petite amie ne m’a pas payé pour dire ça. » Je souriais, n'osant pas trop rire en courant. « Ça se passe bien avec elle ? ». J'étais curieuse d'en savoir plus. Même si j'avais déjà aperçu la petite amie en question, je ne lui avais jamais vraiment parlé. Je lui parlais moi aussi de mes relations. Précisant que j'oubliais Jules dans les bras du fameux Noah qui avait posé des questions à propos de Denys. « Si il t’aide à te sentir mieux, c’est le principal. Je lui ferais même une ristourne si il vient réparer sa caisse là où je bosse tiens. » Je fronçais les sourcils en regardant droit devant moi. « C'est un eliot » que je précisais, information cruciale. « Je ne suis pas certaine qu'il veuille réparer sa voiture... » Je pinçais mes lèvres d'un air désolé. Je crois que j'avais fait une erreur en donnant des informations à Noah. « Ça va le souffle ? Tu te sens capable d’augmenter un peu la cadence ? » - « Oui, c'est bon » Même si j'allais peut-être le regretter ensuite, aha. « Faut que je vérifie que ton Noah te fait pas perdre en endurance. » Je souris, « Tu veux savoir s'il est meilleur que toi ? » demandais-je sur le même ton taquin.

« En fait, c’est moi qui vais morfler le plus avec cette séance de sport c’est ça ? » me marrai-je en apprenant l’adresse de la demoiselle. « Je vais peut être te ménager un peu finalement… » me radoucis-je, même si j’avais jamais réellement eu envie de la faire souffrir. J’savais ce qui c’était passé pour elle, son accident, son genou, et j’avais pu voir combien ça l’avait peiné à l’époque, alors hors de question qu’elle force trop. D’ailleurs, je m’occupais du réglage du tapis de courses après la presque chut de miss Reynolds, qui s’était vue plus rapide qu’elle ne l’était. Cadence plus douce, et je lui désignais tous les autres appareils qui l’attendaient. « Pss, faut que tu essaies autres choses, le tapis de course ce n’est QUE l’échauffement. » rigolai-je devant sa petite moue. Elle commença à trottiner et moi à la questionner sur sa rentrée, notamment son arrivée à la MH, une confrérie que j’avais double raison de vanter, évoquant au passage le fait que ma petite amie ne m’avait absolument pas payé pour dire cela. Le sujet Ashleigh lancé, Ana me posa cette question, si ça se passait bien avec la jeune femme. J’aurais du répondre oui, sans hésiter nullement, normalement… Pourtant c’était bizarre, ce n’était pas aussi spontané que ça. « Euh, oui… Ca va. » Et pas si enthousiaste aussi. Peut être parce qu’on ne se voyait presque pas, et que le pot de colle de petit ami en moi en était frustré. Mais forcément, connaissant bien le caractère d’Ash, c’était sur moi que je prenais, refusant d’aborder le sujet. Je préférais d’ailleurs rapidement la questionner sur ce fameux Noah, avec qui il se tramait quelque chose, ce qu’elle me confirma. Il était eliot, et elle semblait douter que son intérêt pour le garage qui m’employait soit purement mécanique. « Ha comment ça ? » demandai-je. Toujours aussi naïf, le fait d’être eliot étant loin d’être synonyme de diabolique pour moi. La preuve, je m’étais amouraché de plus d’une des demoiselles de cette confrérie par le passé. Et puis Marin y était désormais alors, raison de plus pour ne pas voir le mal potentiel qu’il y avait à être bleu. Je la taquinais sur son endurance, attendant son accord pour appuyer sur le bouton régulant le rythme du tapis, augmentant ainsi sa vitesse de course. « Il l’est ? » repris-je alors. « Attention à ta réponse, j’ai toujours la main sur les commandes de ton appareil… » me marrai-je alors.