SO I APOLOGIZE TO YOU
— with Jax.
Ces mots, ils me blessent, ils sonnent dans ma tête comme une pointe au cœur, une lame enfoncé loin dans mon âme. Je soupire, je me rends compte que mon bonheur, la joie que je vivais avec Jackson Junior, je l’avais égoïstement gardé pour moi, et je ne l’avais partagé avec personne d’autre, alors quand Jax m’avoue qu’il aurait voulue être un jeune papa, j’ai un pincement au cœur. Je me sens mal, fautive de la plus lourde des fautes, criminelle sentimentale, je me sens horrible, oui je suis une horrible personne, je n’avais pas le droit de lui volé son bonheur, de le lui caché, et pourtant ce droit je l’avais pris, je me l’étais attribué sans sourciller, et pour quelle raisons ? Des raisons infondé, je pensais qu’il ne changerait pas, qu’il était bien trop don juan pour se ranger avec moi, que notre fils souffrirais de notre unions instable, alors je n’avais rien dis, pas un mot. Je dérobe mon regard du feu pour finalement le poser sur Jax qui à son tour fixer le feu. Nous avions tout deux jeter au flamme notre bonheur disparut, toute ses façon de vivre que nous aurions eu, nous les avions abandonné au flammes pour ne pas en souffrir. « Otto, je suis désolée de t’avoir volé ton bonheur, à l’époque je n’avais aucune confiance en toi, je pensais que tu ne pourrais pas changer, que notre lien n’étais pas suffisamment évolué pour que nous puisons vivre ce bonheur tous les trois, et quand ma propre famille m’as laissé tomber, alors j’ai crus qu’il fallait que je garde mon bonheur secret, et dans toute cette équation, je t’ai oublié, si ma famille n’avais pas été là pour moi, je ne voyais pas pourquoi toi tu serais là pour moi. Je suis une criminelle, j’ai commis un crime sentimentale entre toi et Jackson Junior ; Il n’a pas eu de père, et tu n’as pas eu de fils, et moi j’étais la seule à être heureuse. » Je pose ma main sur la sienne, et je viens poser le bout de mes doigts sous son menton, je tourne son visage vers le mien et je pose mon regard dans le sien, je retire ma main de son visage, et je le fixe, j’observe cet homme que j’avais tant aimé et désirer et que j’avais finalement chassé de ma vie en apprenant ma grossesse ; j’observe ce charme qui ne me laisse pas indifférente aujourd’hui encore. Je me pose une ribambelle de questions, aurions nous trouver le bonheur ? Aurions-nous été de bons parents ? Je soupire légèrement, je ne cherche pas à ce qu’il me pardonne, mais maintenant que nous nous somme promis de rester présent l’un pour l’autre, qu’il allait avoir une place dans ma vie après ses trois années de silence, je me dois de lui dire ce que j’ai sur le cœur. « Otto, je ne demande pas ton pardon, je ne quémande pas ta clémence, et je ne veux pas de ta pitié, tout ce que je veux c’est que tu vois ton fils sur ses clé USB, tu verras je le filmé h24, tu vas revivre toute sa vie. Mais si à un moment tu sens que le poids de cette douleur est trop lourd, que tu ne supportes plus de me voir après tout ça, si à un moment tu vois que notre amitié bat de l’aile, je t’en supplie, n’essaye pas de t’éloigner, viens me voir et parle-moi en, on trouvera des solutions. Je ne veux plus jamais vivre une seule journée sans t’avoir à mes côté, tu es un ami très important pour moi Otto, je veux que tu le sache. » Je dépose tendrement un bisou sur sa joue avant de le prendre dans mes bras. Je me montrer très douce avec lui, comme une mère au petit soins pour son ado blessé par l’amour, je le serre contre moi, laissant la chaleur de nos corps ce mélanger.