Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySo I apologize to you (Jaxeel)
-29%
Le deal à ne pas rater :
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
269.99 € 379.99 €
Voir le deal


So I apologize to you (Jaxeel)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
SO I APOLOGIZE TO YOU
— with Jax.

Je me sentais mal d’avoir annoncé à Jax sa paternité sur un coup de tête en étant bourrée tout en ajoutant sans délicatesse ce fameux : Ne t’inquiète pas de toute façon tu n’auras pas à avoir peur il est mort dans un accident de voiture où j’ai bien fahi y rester aussi. Je soupire, comment avais-je pus lui annoncer une nouvelle aussi importante et délicate de cette façon ? J’étais encore au bureau quand je lui ai envoyé un sms pour qu’il me rejoigne, et je n’avais pas encore mangé. Heureusement que le traiteur italien était encore ouvert. Je passe rapidement commande et je prends mon Porche Cayenne. Une fois la commande récupérée, je me rends directement à mon domicile. Je passe la réception de l’immeuble ou je suis salué par le portier, puis je prends l’ascenseur, un étage par appartement, donc oui la porte d’entrée c’est l’ascenseur, qui se déverrouille par une clé sous forme d’une carte magnétique. Une fois en haut l’ascenseur peut être envoyé à des invités. J’entre dans mon immense loft. Sloan est en week-end sur Paris avec sa petite amie et moi je me sens seule, mais j’ai aussi très envie d’avoir une explication avec Jax. Une bonne demi-heure plus tard la porte de l’ascenseur s’ouvre et il est là, toujours aussi beau. « Entre je t’en prie, je nous suis commandé à manger chez le traiteur italien. Tu as faim ? » la porte métallique se referme et je lui désigne la cuisine. Une fois dans cette dernière, je m’assoie sur le îlot centrale, oui je m’assoie sur le plan de travail et alors ? « Jax, je suis sincèrement désolée pour l’autre soir. » je baisse les yeux et je regarde le sol, je me trouve alors extrêmement gênée.

©️ LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Après la soirée que nous avions passer avec Danneel et le fais que j'avais dû lever la main sur elle, prête à la frapper en apprenant la nouvelle, je suis rentré chez moi pour le vider l'esprit. Pourtant rien ni a fais, sa reste entête et j'y peut rien... Merde comme si j'avais besoin de ça maintenant. Quelques jours plus tard alors que je m'appliquais a avaler la nouvelle encore au travers de ma gorges, je reçoit un sms de dans qui s'excuse. je suis retissent mais elle à dû souffrir autant que moi quand s'est arrivé, je ferme les yeux et je répond avec ma gentillesse légendaire. On décide de se voir et elle m'invite chez elle. Je me prépare et je m'habille Rapidement puis je me met en route pour son appartement. Je salut l'agent d'accueil et je monte dans l'assensseur, une fois chez elle je la voit face à moi. Elle me salut et me demande si j'ai faim, je seccoue la tête.

« Salut, non merci j'ai pas d'appétit ces derniers temps, Dann. »

Je la suite jusqu'à la cuisine et les mains toujours dans les poches et je m'appuis contre le rebord de la porte. Elle s'excuse encore une nouvelle fois et je hoche la tête. Je sais pas vraiment quoi lui dire, c'est dure d'annoncer une nouvelle pareille mais de rigolé en le disant bien sûr aider par l'alcool c'est pas non plus la bonne décision. Elle le sens bien, elle s'en sent mal.

« Je n'ai pas le droit de t'en vouloir de toute façon alors disons que c'est passer, mais la prochaine fois que tu me cache une truc du genre je te tue... un regard de tueur plus tard. Tu as dû en souffrir aussi, je veux savoir si tu t'en est remise depuis tout ce temps sans me le dire Dann, tu était seule pour vivre avec ce poids ? »

J'entre de suite dans le vif du sujet parce qu'il faut que tout soit pété maintenant, qu'on se dise les choses sans jouer aux cons parce que sa pourrais nous détruire ce genre de conneries.

code couleur : [color=#a80f46]
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
SO I APOLOGIZE TO YOU
— with Jax.

Seule ? Oui j’avais été terriblement seule pour affronter tout cela. Ma grossesse devant resté un secret j’avais pris des cours à domicile, et puis quoi encore ? Ah oui mes parents s’acharnaient sur moi, mon frère me boudais oui à ce moment-là de ma vie j’étais seule ! Je n’ose toujours pas relevé le regard, je fixe le sol, et pour la bouffe ? Je n’avais pas faim non plus, alors on était deux dans ce cas. Je soupire profondément. « Oui Jax, j’ai été seule. Pendant ma grossesse ma famille m’a laissé tomber, après l’accouchement ils m’ont loué un appartement et j’ai dû me débrouiller toute seule. Et puis il y a eu cet accident, et Jackson Junior est décédé, et là j’étais encore plus seule que jamais. Ne plus voir sa frimousse, ne plus entendre ses gazouillis de bébé innocent. » Des larmes coulent sur mes joue, et comme d’habitude j’essaye d’être forte, je cache rapidement mon visage en laissant mes cheveux tomber devant tout en gardant la tête baissée. « Et puis après tout cela, j’ai survécu disons. Je me suis renfermé. Il y a deux semaines, tout m’as explosé au visage. Je suis retombé sur cette photo. » Je prends un cadre posé juste à côté de moi et je lui donne pour qu’il voit de quelle photo je parlais. C’était une photo de notre fils, pris deux jours avant notre accident. « Il te ressemblais tellement. » C’est trop difficile pour moi de jouer les femmes forte plus longtemps et je laisse des sanglots ce faire entendre, et je relève le visage plein de larmes aux yeux et sur les joues, je plonge mon regard dans celui de Jax. « Je n’ai pas réussi à rester forte après sa mort, et il y a deux semaine, en revoyant la photo en plus de tout ce qu’il m’est arrivé, j’ai explosé Jax, j’ai essayé de mettre fin à ma vie. » Lui avouais-je avec désarroi tout en lui montrant les cicatrices fraichement refermé sur mes poignets. « Je suis une femme faible Jax. » J’essaye de sécher mes larmes avec mes mains, mais il n’y à rien à faire, je pleure encore et encore. Jax et moi étions deux caractère fort, des volcan en activité qui peuvent exploser à tout moment, alors oui j’essayais d’y aller en douceur avec lui.

©️ LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je voyais bien qu'elle était au bord des larmes déjà et moi je restais à ma place dans un premier temps, parce que je savais pas comment réagir, on parlais quand même de notre enfant, qui était née et qui est mort lors de ces six mois. Ce n'était pas rien je partageais sa souffrance peut être autant que celle qu'elle avais vécu toute seule pendant ce temps là. Mais alors qu'elle me disait qu'elle avais été rejeter à cause de moi, a cause de notre soirée ou nous avions était trop presser pour nous protéger, que nous avions unis nos corps et que nous avions crée un petit bout de chou. Elle ne méritait pas ça, pas que je la traite ainsi, pourtant elle avais été la seule que je n'avais jamais oublié de toutes mes conquêtes. Soudain, elle dis le nom du bébé et je croit défaillir elle l'avais nommé comme moi. Elle lui avais donner mon prénom.. Mon cœur fait un bon et je susurre.

« Jackson Junior... C'est comme ça que tu l'a appeler... »

Je fermes les yeux je suis perdu et au bord du gouffre, elle me montre une photos et je suis sur le point de pleuré, merde, comment j'ai pu à ce point mal traiter une femme pour ensuite la laisser dans sa galère, elle aurais dû m'en parler et j'aurais pu être là pour elle. Mais comme elle à dû me haïr... Elle crie en disant qu'elle n'est pas forte, me montre ses cicatrices et je n'y tien plus, je m'approche d'elle je prends ses poignets entre mes doigts carressant ses cicatrices de ceux-ci.

« Dann, je suis tellement désolé, j'aurais jamais dû te faire l'amour sans protection ce soir-là, j'aurais dû être là quand tu n'allais pas bien, je suis tellement désolé... Je m'en veux tellement si tu savais, je crève de ne pas avoir connu notre enfant si tu savais comme j'aurais voulu être là pour vous. Je suis désolé si tu savais Dann, c'est normal que tu me déteste avec tout ce que j'ai fait... »

Je baisse la tête les larmes coulant sur mes joues je suis épuisé, et je me déteste d'avoir oser pu faire un truc pareille comment ai-je osé.

code couleur :[color=#a80f46]
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
SO I APOLOGIZE TO YOU
— with Jax.

Je sens ses mains sur mes poignets, je craque, je ne peux pas rester là comme ça. Je suis toujours assise sur le plan de travail et le jeune homme est face à moi. Je l’enlace de mes bras et je viens poser ma tête sur son épaule pour pleurer contre lui, je passe mes jambe autour de sa taille. J’avais besoin de ce moment, j’avais besoin de ce contact. De n’être rien d’autre qu’une femme faible, que l’on console, être c’elle à qui l’on dit des mots doux pour la rassurer. Je lâche prise en ce moment, et j’avais l’impression de devoir tout plaquer et m’en aller. Mais tout me retenais, la société, mes amis, et tant de petits détails. Je sens alors la chaleur de son corps se propager sur le mien. Ses larmes coulent sur ma peau et les miennes sur sa peau à lui. Nous sommes là comme deux cons à pleurer notre enfant que nous n’avons pas sus protéger. Lui ? Il n’y était pour rien, il ne savait même pas qu’il avait un fils, mais moi, moi j’étais coupable de tout. « Arrête Jax, ce n’est pas de ta faute ne t’excuse pas. On était deux à vouloir cette partie de jambe en l’air sans ce protégé. Et pour la suite, tu n’as pas à t’en vouloir, je suis l’unique fautive. Je ne t’ai pas appelé pour te prévenir de ma grossesse, j’ai pensé égoïstement que cela te gâcherais ta vie de Don Juan, alors je n’ai pas eu envie de pourrir ta vie. Et pour l’accident, quand bien même tu avais sus, tu n’aurais rien pu faire Otto. » J’avais cette fâcheuse tendance à l’appeler par son second prénom quand j’étais amoureuse de lui à l’époque, et cette manie n’étais pas partie avec le temps, même si les sentiments eux avaient pris leur envol. Je placer le bout de mes doigts sous son menton et lui fit lever la tête pour que son regard accroche le mien. « Jax, tu es un Stogstrom, alors cesse de pleurer. Ton fils était un petit dur à cuire, une vraie tête brûlée, il n’aimerait pas voir son père comme ça. » Je dépose un bisou sur son front, signe inéluctable d’attachement et de protection. Je redescends de mon plan de travail. J’ouvre un petit coffre-fort à emprunte digital dissimulé derrière une porte de placard de la cuisine. « Tiens prends les, garde les, et tu regarderas leur contenue quand tu te sentiras prêt. » Je lui tendais trois clé USB. La noire, où toute l’échographie y avait été numérisée ainsi que tous les rendez-vous médicaux filmé et mis dessus. La bleue j’y suis mis toute les vidéo de moi pendant la grossesse, un message vidéo par jour durant neuf moi, message adressé à Jax. Et la dernière la verte, contenais des vidéo que j’avais filmé de notre fils, on m’entend dire sur la plus part des vidéo ‘Hey papa, maman ne te l’as pas encore dit, mais ne t’inquiète pas un jour elle aura le courage de le faire, je suis ton fils, et aujourd’hui je fais …’ et là aussi il y avait entre une à deux vidéo par jours et plein de photos.

©️ LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
On s'enlaçait, se tenait comme pour ne pas sombrer davantage. Elle me serrais et je faisait pareil, on avais besoin de ce moment à deux ou seuls les sentiments réels étaient présente sans personne autour de nous pour nous juger et nous critiquer. Je fermais les yeux et je vivais l'instant ou seul ma blessure ouverte était cible de mes pleurs.

« Tu n'aurais certainement pas gâché ma vie, loin de là Dann, et moi j'aurais été là pour vous, je me serais ranger pour vous tu le sais j'espère. Dann, je voulais tellement m'excuser et toi tu me dis que c'est pas nécessaire mais imagine la douleur que je ressent au plus profond de mon cœur.. »

Je la regardais maintenant, il n'y avais qu'elle qui usais de mon deuxième prénom et qui avais un pouvoir de réassurance sur moi. À son baiser sur mon front je me laissait faire allant poser mes mains sur ses hanches pour qu'elle me regarde dans les yeux, je glissais ma main dans ses cheveux et j'assurais.

« Maintenant je ne te lâche plus, tu devra supporter le connard que je peut être parfois, mais tu va voir toi et moi on va s'en sortir ! On va tout faire pour aller mieux et que notre fils, Jackson junior soit fier de nous de là où il est okey ? »

Je pensais dur comme fer qu'on devais rester ensemble, même si elle n'a pas de sentiments, qu'au moins en tant que bons amis on se soutienne et qu'on s'en sorte. Si elle à un mec et qu'il n'est pas d'accord je lui casse la gueule directement. Je souris grandement quand elle me dis que mon fil était un dur à cuire, je lui aurais très bien acheter un blouson en cuir et fais une mini crète pour qu'il soit comme moi. Si je l'avais connu. Elle se lève et me passe des cles usb avec des choses concernant notre fils dedans. Je la regarde et je prends les clés.

«J'en prendrais soin tu verra, la mémoire de notre enfant sera gardé avec moi et je les regarderaient bientôt.. ou je sais pas, mais j'en prendrais soin Dann.. »

Je les range dans mon blouson pour ne pas les perdres et je relève la tête vers elle.

« Raconte moi tout Dann, comment tu te sentais enceinte, tu devais être magnifique à voir, tu as eu beaucoup de douleur à l'accouchement ? »

code : [color=#a80f46]
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
SO I APOLOGIZE TO YOU
— with Jax.

Je le laisse ranger les clés USB, elles étaient à lui, et j’en avais une copie aussi, mais depuis le début je le lui avais préparé pour lui. Nous avions eu cet échange physique, ce câlin qui pour moi était bénéfique, c’est uniquement dans ses bras que j’avais trouvé le calme dont j’avais besoin pour arrêter de pleurer. Je le regarde alors faire, et puis le voilà qui me questionne sur ma grossesse, je souris bêtement, intimidé de savoir que Jax pouvais être aussi tendre et attachant. Je l’avais connu sous des airs plus badboy, un dragueur de haut niveau, et surtout un don juan à la mauvaise réputation. Mais qu’importe, je sors mon portable et lui montre le dossier ‘Baby’ des photos de moi enceinte, de Jackson Junior seul et avec moi, et une photo de sa chambre. « Oui je suis d’accord, maintenant toi et moi on va se serrer les coudes, pour lui, en la mémoire de notre fils. » Je laisse un rire m’échapper, magnifique ? Une grosse tourte oui ! Je le regarde tendrement avant d’attrapé sa main et de le conduire au salon. Je le pousse sur le canapé pour l’y faire s’assoir et je prends place à côté de lui. Je le regard les yeux dans les yeux. « Magnifique ? Non mais tu plaisante, j’étais énorme, au début franchement sa allait, mais après mon ventre il grossissait de plus en plus et tout le reste de mon corps restait fin, je ressemblais plus à rien. Et puis tu aurais dû voir quand il me donner des coups vers la fin de mon huitième mois de grossesse. On voyait la forme de son pied et parfois de sa main sur mon ventre et sa faisait mal, un vrais petit boxeur. Pour l’accouchement, j’ai accouché en urgence. J’étais en train d’essayé de ranger des courses et je suis tombé de l’escarbot, le choc à déclencher des contractions, et le temps d’arriver ç la maternité, c’était trop tard pour la péridurale. J’ai eu terriblement mal, j’ai même crus que j’allais mourir en réalité, et puis quand il me l’on posé sur le ventre, je ne sentais plus la douleur, je voyais que lui, simplement lui. Il était tellement magnifique, et puis je me suis mise à pleurer et à lui faire des bisous sur ses petites joues. » Voilà il savait tout ou presque, mais je ne voulais pas non plus rentrer dans les détails les plus longs à expliquer et qui ne serve à rien. J’avais toujours mon regard plongé dans le sien. Je ne voyais pas trop comment toute cette histoire avait pu nous tomber dessus, nous étions trop jeune à l’époque pour avoir un enfant et pourtant, pendant six mois j’avais été la femme la plus comblé du monde. Je pose ma main sur la sienne, et je lui souris tendrement. Je voulais qu’il voie à quel point parler avec lui me faisait du bien. Je retire ma main de la sienne et puis je plonge mon regard sur le feu de cheminée. « J’ai été la femme la plus heureuse du monde pendant ses six mois, je n’étais plus seule, et Jackson Junior m’avais redonné gout en la vie, j’étais jeune certes, mais une maman accomplie et très fière de mon fils. Il était ma raison de vivre Otto, je ne sais plus comment faire sans lui. » Je baisse un peu la tête, puis je replonge mon regard dans celui de Jax, me demandant si il pouvait me comprendre.

©️ LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je l'écoute attentivement, je suis concentré sur tout ce qu'elle pourrais me dire concernant notre enfant, sur la réaction qu'elle à pu avoir quand elle à apprit qu'elle était enceinte et la réactions de ses proches aussi. J'en reviens toujours pas qu'il aient pu la laisser tomber comme ça, qu'elle honte. Elle aurais pu se foutre en l'air pour des merdes de ce genre. Je souris légèrement reprenant peu à peu mon attitude de badboys, quand elle me dis qu'on gardera contacte maintenant. Je suis content parce que même si je ne suis pas doux avec les autres filles elle, elle n'est pas les autres elle est plus importante encore. On à présent sur le canapé et elle me raconte tout, comment tout s'est passer ses mois à attendre ce petit bout de chou. Je ris quand elle me parle de la forme de ses mains ou de ses pieds sur le ventre de Dann, et je n'ai aucun mal à imaginé comme elle serais belle enceinte, je rougis un peu à cette pensée et je détourne le regard vers le feu, elle me dis aussi qu'elle à était la femme comblé, jeune mais heureuse avec notre enfant.

« Je n'ai aucun mal à t'imaginer enceinte et dans mes pensée tu est vraiment très radieuse, Dann. J'aurais trop aimé être là, mais le choix de m'en parlé était le tiens et je suis triste que tu est pensé que j'aurais pas eu ma place à tes côtés pour ça. Je me fiche de ma réputation, là je suis un Don Juan pour tout le monde, mais j'aurais aimé être un papa, jeune papa.
Je penses que tout de même j'aurais voulu le connaitre et c'est ce qui me blesse le plus en fait c'est d'avoir vu ses photos, d'avoir apprit ton bonheur à ce moment là et de ne pas en avoir fait partis. Ce n'est rien mais j'ai du mal à avaler la pilule...
»

Il fallait bien que je soit honnête j'aurais tout faire pour séduire Danneel, à ce moment là, je lui aurais dit que j'aurais voulu fondait une famille avec elle. J'aurais aussi apprit à la connaître et je me serais attendrit avec le temps je n'aurais plus étais ce badboys que personne n'aime, parce qu'il est trop rude. Je regarde le feu, j'imagine des tonnes de scénario qui maintenant n'ont plus lieu d'être parce que tout ça n'est plus possible, parce que notre bébé est mort. Je jette consciemment mes scénario au feu, parce qu'il n'arriverons jamais.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
SO I APOLOGIZE TO YOU
— with Jax.

Ces mots, ils me blessent, ils sonnent dans ma tête comme une pointe au cœur, une lame enfoncé loin dans mon âme. Je soupire, je me rends compte que mon bonheur, la joie que je vivais avec Jackson Junior, je l’avais égoïstement gardé pour moi, et je ne l’avais partagé avec personne d’autre, alors quand Jax m’avoue qu’il aurait voulue être un jeune papa, j’ai un pincement au cœur. Je me sens mal, fautive de la plus lourde des fautes, criminelle sentimentale, je me sens horrible, oui je suis une horrible personne, je n’avais pas le droit de lui volé son bonheur, de le lui caché, et pourtant ce droit je l’avais pris, je me l’étais attribué sans sourciller, et pour quelle raisons ? Des raisons infondé, je pensais qu’il ne changerait pas, qu’il était bien trop don juan pour se ranger avec moi, que notre fils souffrirais de notre unions instable, alors je n’avais rien dis, pas un mot. Je dérobe mon regard du feu pour finalement le poser sur Jax qui à son tour fixer le feu. Nous avions tout deux jeter au flamme notre bonheur disparut, toute ses façon de vivre que nous aurions eu, nous les avions abandonné au flammes pour ne pas en souffrir. « Otto, je suis désolée de t’avoir volé ton bonheur, à l’époque je n’avais aucune confiance en toi, je pensais que tu ne pourrais pas changer, que notre lien n’étais pas suffisamment évolué pour que nous puisons vivre ce bonheur tous les trois, et quand ma propre famille m’as laissé tomber, alors j’ai crus qu’il fallait que je garde mon bonheur secret, et dans toute cette équation, je t’ai oublié, si ma famille n’avais pas été là pour moi, je ne voyais pas pourquoi toi tu serais là pour moi. Je suis une criminelle, j’ai commis un crime sentimentale entre toi et Jackson Junior ; Il n’a pas eu de père, et tu n’as pas eu de fils, et moi j’étais la seule à être heureuse. » Je pose ma main sur la sienne, et je viens poser le bout de mes doigts sous son menton, je tourne son visage vers le mien et je pose mon regard dans le sien, je retire ma main de son visage, et je le fixe, j’observe cet homme que j’avais tant aimé et désirer et que j’avais finalement chassé de ma vie en apprenant ma grossesse ; j’observe ce charme qui ne me laisse pas indifférente aujourd’hui encore. Je me pose une ribambelle de questions, aurions nous trouver le bonheur ? Aurions-nous été de bons parents ? Je soupire légèrement, je ne cherche pas à ce qu’il me pardonne, mais maintenant que nous nous somme promis de rester présent l’un pour l’autre, qu’il allait avoir une place dans ma vie après ses trois années de silence, je me dois de lui dire ce que j’ai sur le cœur. « Otto, je ne demande pas ton pardon, je ne quémande pas ta clémence, et je ne veux pas de ta pitié, tout ce que je veux c’est que tu vois ton fils sur ses clé USB, tu verras je le filmé h24, tu vas revivre toute sa vie. Mais si à un moment tu sens que le poids de cette douleur est trop lourd, que tu ne supportes plus de me voir après tout ça, si à un moment tu vois que notre amitié bat de l’aile, je t’en supplie, n’essaye pas de t’éloigner, viens me voir et parle-moi en, on trouvera des solutions. Je ne veux plus jamais vivre une seule journée sans t’avoir à mes côté, tu es un ami très important pour moi Otto, je veux que tu le sache. » Je dépose tendrement un bisou sur sa joue avant de le prendre dans mes bras. Je me montrer très douce avec lui, comme une mère au petit soins pour son ado blessé par l’amour, je le serre contre moi, laissant la chaleur de nos corps ce mélanger.

©️ LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tout était flou de mon regard dans le feu, je me perdais de plus en plus dans ce mal, dans cette douleur de n'avoir jamais connu se petit être de chairs, ce petit bébé qui était de moi en plus. Dann elle avais profiter ses premiers mois ceux que l'on dis qu'il sont les meilleurs de la vie d'un bébé. Et moi dans l'histoire on ne m'avais pas donner ma chance, à cause de mes tatouages, de ma réputation, est-ce qu'elle aurais au moins chercher à savoir si je pouvais me rangeais si on avais garder contacte à l'époque, si j'avais pas agis comme ma réputation me disait de le faire? j'en sais rien et j'en saurais jamais plus rien maintenant.. J'était loin dans mes pensées sombre quand elle me fais la regarder. je l'observe, je voit dans ses yeux sa sincérité, je voit qu'elle ne me ment pas et quand elle parle c'est comme si j'allais encore plus loin encore. Comme par système d'auto-protection contre une douleur qui pourrais être plus forte et plus dure encore. Je sais bien qu'elle ne l'a pas fait pour me faire du mal je sais bien qu'elle ne voulais pas m'imposer un bébé alors qu'à l'époque elle, était amoureuse de moi et moi j'agissait comme un connard. je ne suis pas comme ça dans le fond et je croit qu'aujourd'hui c'est encore la seule à connaître cette partie la de moi. Maintenant que je sais qu'elle n'a pas voulu faire ça, que c'était pour pas me forcer à quoi que ce soit je comprend mais quand j'ai su, j'aurais tout pété putain j'était pas bien , au bout de ma vie et elle insistais pour me parler j'ai lever la main sur elle. Imaginons deux seconde qu'on ai eu de gosse tout les deux formant une famille et que je lève la main sur elle, merde.. Au fond elle à peut être bien fait de rien me dire, j'aurais peut être eu des réaction que j'aurais pas voulu avoir comme le soir ou j'ai apprit.

« Tu as bien fait de ne rien me dire Dann, tu as garder ton bonheur pour toi et je peux pas t'en vouloir, non, tu te rappelle ce soir là ? j'ai levé la main sur toi, j'était choquer, en colère j'aurais tuer pour comprendre et maintenant que je sais je comprend. Un gars tatouer comme moi, un gars qui se met si facilement en colère, qui a la réputation de coucher à droite et à gauche, comment j'aurais fait un bon père avec ça, comment j'aurais fait le papa gâteau que j'aurais voulu être au fond hein ? Je le méritait pas et tu as très bien fait au final de rien me dire, je méritait peut être même pas de savoir et peut être que tu n'aurais jamais rien dis si tu n'avais pas bu ce soir là. »

Je baisais la tête me laissant câliner à la suite de sa dernière phrase, aujourd'hui j'aurais jamais blesser notre enfant j'aurais pris soin de Danneel, j'aurais fondé une famille avec elle mais avant je sais pas comment j'aurais réagis et maintenant je sais que jamais je lui ferais plus de mal que ça je serais là pour elle en tout temps. Je l'enlace et je me laisse bercé.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)