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you and me against the world (ezion)

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Louison Chamberlain & Ezio Scrosese

La journée fut, pour le moins, originale. C'était la première fois qu'Ezio passait un week-end complet, hors de toute civilisation, simplement accompagné d'une fille et pas n'importe quelle fille, sa copine, sa meuf, Louison. Le réseau ne passait pas du tout et espérer avoir la télévision ne servait à rien. Il y avait bien un poste dans le grand chalet qu'ils avaient loués mais le Quincy n'avait pas encore compris à quoi cela servait. Ils ne recevaient aucune chaîne, c'était le grand mystère de son weed-end. A défaut de pouvoir regarder des films, ils devaient tuer le temps autrement. Le calme de la nature lui faisait un bien fou, il se sentait détendu, hors du temps et de l'espace. Après une longue balade dans les alentours, les deux amants étaient rentrés au chalet. La blondinette faisait je ne sais quoi à l'intérieur, quant à Ezio, il était resté dehors pour fumer sa clope. La soirée commençait à pointer son nez et pour une fois, ils n'allaient pas la passer dans les bars avec la blinde de monde. Non, là ils étaient à deux, en amoureux. La cigarette au bec, le bel italien n'arrivait pas à détacher ses yeux de l'immensité du lac qui se trouvait devant lui. Le calme régnait en maître autour de lui, il n'y avait pas un bruit, pas un chat à des kilomètres à la ronde. « Louison ? » dit-il sans même prendre la peine de se retourner. Toujours dos à la fenêtre et face à ce magnifique paysage, il apporta sa clope à la bouche pour inspirer longuement dedans. En constatant que la blondinette ne venait pas, il tourna légèrement sa tête et reprit, peut-être un peu plus fort. « Louison, viens voir. » l'appela-t-il à travers la baie vitrée entrouverte. Ezio reporta son attention devant lui. En réalité, un magnifique couché de soleil s'offrait à eux, cela en était presque romantique, il voulait que Louison voit ça. Si madame daignait sortir de la salle de bain, bien sûr.


@Louison Chamberlain
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Déconnectée. Louison Chamberlain avait disparu de la circulation sans dire un mot, comme à son habitude. Elle était sauvage et elle le resterait jusqu'à sa mort. Si les autres ne venaient pas à elle, elle n'irait pas à eux. Dans un désir de fusion avec son petit copain, elle s'était ainsi envolée avec lui vers un lieu perdu où il n'y avait pas un seul con à la ronde pour les faire chier. La journée avait été splendide, ils en avaient donc profité pour régénérer leurs poumons. Leurs pauvres petits poumons asphyxiés par la pollution de la ville et leur consommation excessive de cigarettes. Après une dernière balade dans la forêt, les deux amants étaient rentrés au chalet loué pour le week-end. L'étudiante avait rapidement foncé aux chiottes pour pisser, la capacité de sa vessie n'étant pas son point fort. En sortant de la salle de bain, elle avait ensuite poussé un soupir de bien être, le visage radieux. Tout à coup, la voix de son homme tout puissant grognant son prénom lui avait fait arquer un sourcil. En alerte comme toujours, Louison avait accouru jusqu'au salon, son bandana toujours noué dans sa tignasse blonde. Serpentant entre les fauteuils, elle aperçut enfin Ezio sur la terrasse. Son corps taillé en V lui décrocha un sourire angélique. Elle était bien consciente de l'effet qu'il lui produisait, c'était plus fort qu'elle. Secouant la tête pour ne pas fondre sur place, la demoiselle avança à tâtons jusqu'à lui et plaqua sa poitrine contre son dos quelques secondes. Elle inspira profondément l'odeur imprégnée dans son pull avant de le lâcher à contre coeur pour se décaler à ses côtés. Calmement, elle s'était accoudée sur la balustrade en bois, camouflant son souffle saccadé de par son petit sprint. D'un coup d'oeil furtif, elle observa le brun qui contemplait l'infini au loin, cet horizon particulier qui se colorait sous l'effet du soleil couchant. Néanmoins, effrontée comme toujours, Louison cogna son épaule contre le bras de l'italien pour lui signaler sa présence " Qu'est-ce qu'il y a ? " l'avait-elle interrogé en tempérant l'excitation qui sommeillait toujours en elle. " Tu voulais qu'on partage ce coucher de soleil parce que t'es un gros romantique en fait ? " l'avait-elle taquiné en basculant sa tête contre celle d'Ezio, son regard noyé et absorbé par le vide qui s'offrait à eux. 
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Louison Chamberlain & Ezio Scrosese

Ce week-end improvisé était extraordinaire, Ezio n'aurait pas pu espérer mieux en proposant à sa belle de bouger. Il savait que de respirer un air nouveau allait leur faire le plus grand bien mais au delà de ça, il sentait que Louison en avait besoin. Il la sentait à cran et parfois même sur le défensive. Elle réagissait au quart de tour et ses réactions étaient parfois déroutantes pour ce calme de service. Ils étaient dans ce chalet depuis la veille et déjà le bel italien y voyait une amélioration. Il n'avait pas encore eu de crises bizarres de sa part, l'impulsivité de la blondinette semblait s'être atténuée par le calme envoûtant de l'endroit. Admirant le coucher de soleil, Ezio n'avait pas tardé à appeler sa belle pour qu'elle vienne le voir, avant que le jour ne disparaisse et les plonge dans une atmosphère toute autre. Il attendit quelques secondes de plus avant de la sentir l'enlacer dans dos. Un fin sourire s'afficha sur son paisible visage. Elle le lâcha et vint se poser à côté de lui se demandant pourquoi il l'avait appelé. Louison se moqua même un peu de lui, prétextant qu'il voulait juste partager ce moment romantique avec elle. Piqué dans son ego de mal dominant et absolument pas romantique, il haussa les épaules, faisant bouger la petite tête blonde qui reposait dessus. « En fait non ... Je t'ai appelé parce que j'ai envie de baiser et j'me suis dit que devant un coucher de soleil, ça pouvait être pas mal. » dit-il en levant les yeux au ciel histoire d'être convainquant. En réalité oui, il voulait partager ce moment avec elle mais avait trop de fierté pour l'avouer, alors Ezio n'hésita pas à tourner ça en dérision. Mais sous ses airs de gros durs, il ne semblait tromper personne sur ce coup-là. Tant pis pour sa fierté. Il tourna vers Louison et passa ses bras autour de son cou pour l'enlacer de tout son être. Il se colla littéralement à elle et inspira longuement. Il prit, bien sûr, soin de ne pas la cramer avec sa clope toujours délicatement posée entre ses doigts. « Attends. » dit-il en se reculant légèrement. Ezio apporta la cigarette à sa bouche et prit une énième taffe devant. En voyant qu'il restait une seule taffe à prendre, il retourna la clope et l'approcha de la bouche de Louison, il n'allait pas la gâcher, vu le prix que ces merdes coûtaient. Une fois la cigarette terminée, il se pencha sur le côté pour l'écraser dans le cendrier. Ouais, histoire de ne pas mettre le feu au chalet. « C'est bon. » lança-t-il en s'approchant de nouveau d'elle. Il se mit devant elle et lorsqu'elle l'enroula de ses bras, il avança pour la faire reculer contre la rambarde. D'un geste franc, il la suréleva pour la faire asseoir sur cette fameuse rambarde. Il se colla à elle, passa ses mains dans son dos pour éviter qu'elle ne tombe et posa sa tête contre sa poitrine, il était à la bonne hauteur là. Ezio rigola légèrement. « Bon peut-être que dans une autre vie j'voulais qu'on partage ce coucher de soleil. » murmura-t-il faiblement. Oh mon Dieu, ça lui coûtait d'avouer une telle chose, une telle faiblesse. Pour palier à cette prise de risque, il rigola, peu convainquant.
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Quelques oiseaux gazouillaient encore dans les arbres qui semblaient engloutir le chalet des deux étudiants. Les ténèbres n'allaient pas tarder à les envahir car le soleil déclinait de minute en minute pour disparaître derrière les montagnes. Collée à Ezio, la blonde désinvolte l'avait aussitôt chambré sur le caractère romantique de leur rapprochement. En pointant ce fait, elle savait pertinemment qu'elle le mettrait mal à l'aise et qu'il nierait l'évidence. C'était d'ailleurs ce qu'il venait de se produire, dans toute sa splendeur, le brun avait basculé dans une perversité qui lui sied à merveille. Louison qui commençait à s'habituer à son caractère de méditerranéen bien macho avait pouffé de rire, ne le croyant pas une seule seconde. " Mais bien sûr... " avait-elle à peine murmuré avant qu'il ne l'enlace tendrement contre elle. Ce type d'instant était rarrisime et Louison ne souhaitait en aucun cas qu'il s'arrête. De cette manière, quand l'italien se montrait affectueux, elle se taisait. Intérieurement, c'était l'effervescence, son feu se ravivait et se transformait même en incendie total. En communion parfaite, Ezio avait terminé sa cigarette et l'avait même partagé avec sa Chamberlain adorée. Partager, voilà une notion qui était auparavant étrangère à la demoiselle et qui prenait enfin tout son sens avec lui. Une fois la clope écrabouillée dans le cendrier, le jeune homme avait soulevé la française sur la rambarde, se faufilant entre ses jambes avec ses yeux malicieux. Ses mains maintenaient son dos et sa tête s'était logée dans le creux de sa poitrine, enfin ce qu'elle avait de poitrine. L'étudiante n'était pas une vache laitière, elle avait le strict minimum et elle en était d'ailleurs très fière. Au moins, quand elle courait, ça ne se foutait pas la malle dans tous les sens comme certaines. Caressant ses cheveux, Louison tendit l'oreille lorsqu'il lui confia à demi mot qu'il souhaitait au fond partager ce moment précieux avec elle. Déployant ses genoux, la blonde enroula ses guiboles autour de son homme et serra sa tête encore plus fort contre ses seins. " Ezio... " avait-elle chuchoté avec un désordre monstre en elle. " Dans cette vie, je veux tout partager avec toi " avait-elle révélé sans une once de fierté ou de crainte. Louison était à présent ouverte, le coeur déballé et à nu. Ses soucis s'étaient dissipés et ne la préoccupaient plus autant qu'avant. Elle commençait à se faire à l'idée qu'elle ne reverrait plus ses parents et que sa nouvelle famille pouvait être éventuellement devant elle. Attrapant sa bouille nichée contre elle, elle releva son menton entre son pouce et index, fusillant son petit ami avec une dévotion sans limite. " Et toi Ezio Scorsese, jusqu'où iras-tu pour moi ? Est-ce que je te rends heureux au moins ? " l'avait-elle interrogé en parcourant de sa bouche le long de sa mâchoire pour remonter jusqu'à ses lèvres enivrantes et brûlantes. " Putain, je peux plus me passer de toi, tu es ma pire drogue Scorsese. " avait-elle officiellement déclaré en encadrant d'une de ses mains les maxillaires de son visage. La Mather avait ensuite fait bouger ce dernier légèrement de droite à gauche, pinçant ses joues pour faire ressortir sa bouche. Elle avait alors éclaté de rire car elle avait l'impression de le manipuler comme une fichue marionnette inanimée.    
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Louison Chamberlain & Ezio Scrosese

Les yeux clos, Ezio profitait de cette proximité enivrante, de l'avoir là, rien que pour lui. Louison était sienne et lui avait fait la promesse, par son engagement, à ne pas aller voir ailleurs. Il avait confiance en elle, bien évidemment, il la laissait faire ce qu'elle voulait, quand elle le voulait. Pour ça, il n'était pas trop chiant. La confiance qu'il lui avait accordé était totale, il espérait qu'il en était de même pour elle. Le bel italien voulait qu'elle lui accorde sa confiance, qu'elle soit pleinement engagée dans leur relation et qu'elle ne se pose pas trop de questions sur ses activités. Pour l'instant, Ezio était fidèle et ne ressentait absolument pas le besoin ou l'envie d'aller voir ailleurs. Il avait trouvé un très bon équilibre avec elle. La tête négligemment collé contre sa poitrine, il était bien là, seul avec la fille qui faisait vraisemblablement chavirer son coeur. Il s'était allé à quelques émotions et lui avait avoué vouloir de ce moment romantique. Toutes conditions étaient réunies pour ce rapprochement, en même temps, en acceptant ce week-end, Ezio savait parfaitement à quoi s'en tenir. Il savait d'avance qu'il allait passer deux jours et deux nuits avec elle, coupés de toute civilisation mais cela ne semblait pas le perturber plus que ça, bien au contraire. Il était plus réceptif à sa belle et ne se focalisait que sur elle. C'était important pour lui car bon nombre de ses ex lui avaient reprochés son manque d'intérêt et son jemenfoutisme complet. Mais avec Louison c'était différent, tellement différent et lorsqu'elle avoua vouloir tout partager avec lui, le bel italien ne vint pas la contredire. Elle posa ses doigts sur son menton, sur sa petite barbe et l'incita à relever la tête; Ezio ouvrit les yeux et les plongea dans les siens, ne manquant pas d'afficher un fin sourire sur ses lèvres. Il la laissa parler et jouer avec lui en même temps. Abruti devant sa belle blonde, il ne montra aucun signe d'opposition, la laissa faire en rigolant légèrement. « Hmm, si tu veux que j'te réponde ... faut que tu lâches mes joues. » s'amusa-t-il d'une voix déformée par les grimaces qu'elle lui faisait faire. Les yeux levés vers elle, il haussa les sourcils lorsqu'elle le lâcha. « Mais t'as quel age ? » lança-t-il bêtement. Comprenant qu'il ne pourrait pas échapper à sa question, il se rapprocha encore un peu d'elle et remonta une de ses mains dans son dos, sous son t-shirt. « J'irais jusqu'au bout du monde pour toi mon coeur, j'irais décrocher la lune ... mais en attendant ... » s'arrêta-t-il de parler. Sa main monta jusqu'à son soutien-gorge et, d'un unique geste parfait, vint le dégrafer. « J'vais juste décrocher ton soutif. » dit-il en rigolant de sa propre connerie. Il reprit un air sérieux et la regard intensément. « Sans déconner, j'ai l'air malheureux Louison ? J'ai jamais été aussi heureux qu'en ce moment, j'ai rien besoin de plus, j'ai enfin trouvé quelqu'un qui me correspondait. Une fille faible et forte, une putain de fille sexy et un peu perverse sur les bords. » Oui, c'était important de le souligner. « Tu m'rends dingue ... Quand j'suis avec toi, j'veux faire des folies, j'en veux toujours plus. Toi aussi t'es devenue ma drogue, une sale drogue dont je ne peux plus me défaire ... J'suis devenu un toxico, tu m'as rendu accro. »
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Étourdie par son physique, par son sourire, par son âme, Louison devenait souvent une gamine en sa présence. Elle l'aimait l'attendrir même si cela ne prenait pas souvent. Ezio avait une sacrée carapace. Depuis qu'ils s'étaient officiellement mis en couple, la jeune femme avait fait de nombreux efforts, elle lui ouvrait souvent son coeur mais la plupart du temps, elle se retrouvait face à un mur ou plutôt un type qui lui glissait entre les doigts, empruntant la route de la déconne pour ne pas affronter ses sentiments. Oui, Louison était parfois fatiguée de ne pas lui soutirer davantage d'informations sur ce qu'il se passait en lui mais elle savait qu'elle ne le laissait pas indifférent. Cependant, pour combien de temps ? Est-ce qu'Ezio avait placé une sorte de date de péremption pour "sa blonde" ? Arrêtant de déformer son visage lorsqu'il le lui avait demandé, Louison fit mine de bouder. Elle avait toutefois cessé ses enfantillages quand le brun lui avait servi une réponse que chaque femme souhaiterait entendre. Un sourire illumina alors le visage de la française. Soit il était franc, soit il avait l'art et la manière d'embobiner n'importe quelle meuf. Soudain, le vicelard avait glissé sa main sous son sweat, détachant son soutien gorge avec un air abruti. Ça, ça le faisait rire bien sûr. Voyant sûrement que l'étudiante n'entrait pas dans son jeu, l'italien reprit sur un ton plus sérieux, délivrant des mots qui avaient un impact considérable sur la petite Louison. " Oh oui, ne te défais pas de moi " avait-elle songé si fort en elle, pourvu que ses yeux ne changent plus jamais de trajectoire et restent rivés sur son être. Quand Ezio se lâchait ainsi, la Chamberlain ne se tenait plus, ses pulsions se libéraient et souhaitaient être assouvies sans attente. Enfonçant ses dents dans ses lèvres charnues, elle retira son pull sous les yeux du bel âtre, encadrant son visage de ses longs doigts fins. Après un baiser bouillant et suggestif, la demoiselle se débarassa de son soutien-gorge qui avait glissé le long de ses bras, le faisant voler à l'intérieur par la baie vitrée. " J'ai... envie de toi. " avait-elle murmuré pendue à sa nuque. " Je veux que tu consommes ta drogue toxico, toute de suite, dans n'importe quelle position, plusieurs s'il le faut " avait-elle commencé à le chauffer lorsqu'un bruit suspect se fit entendre derrière elle, en contre-bas. C'était un bruit de feuilles mortes qu'on écrasait ou de brindille sèche qui se brisait sous une semelle. L'oreille fine de Louison capta ce son et la fit tout à coup sursauter sous les baisers endiablés de son amant. " Tu as entendu ? " l'avait-elle interrogé le regard paniqué, le souffle court. " J'crois qu'il y a quelqu'un, en bas. Regarde, discrètement. " avait-elle chuchoté en attrapant le pull-over à ses côtés pour l'enfiler et regagner une certaine dignité. Son coeur battait la chamade, les émotions qui en étaient la cause étaient pourtant contraires. L'excitation avait laissé place à la peur. Une peur peut être infondée à cause de l'ouïe surdéveloppée de la belle....  
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Louison Chamberlain & Ezio Scrosese

Ezio était aux anges. Il n'avait besoin de rien de plus qu'il n'avait déjà. Louison était rapidement devenue son essentiel, son nouveau repère dans la vie. Quand elle n'était pas là, il était perdu et cherchait, par tous les moyens, à avoir un contact avec elle. C'était plus fort que lui, cette fille l'obsédait littéralement. Il avait néanmoins encore du mal à s'ouvrir à elle, parce que ce n'était tout simplement pas dans ses habitudes. Habitué à son machisme légendaire, il n'arrivait pas à mettre sa fierté de côté. Pourtant, ce n'était pas Louison qui allait le juger, bien au contraire, elle n'attendait que ça la petite. Lorsqu'il se livrait à coeur ouvert, cela avait le don de l'exciter, il le savait pertinemment mai avait encore du mal. Aujourd'hui, Ezio avait eu envie de faire un effort et lui prouver qu'elle pouvait lui faire confiance. Et, à peine avait-il fini de parler, la blondinette encadra son visage de ses mains et vint l'embrasser langoureusement. Captivé par cette fille et la sensualité qu'elle dégageait, il prolongea le baiser, le rendant encore plus intense et fiévreux. A la suite de ça, elle enleva son pull et son soutien-gorge, lui dévoilant sa poitrine qui le rendait complètement dingue. Posant ses mains dans son dos, il la rapprocha toujours un peu plus de lui, pour sentir ce contact charnel qu'il réclamait tant. « Avec plaisir Louison, tes désirs sont des ordres. » répondit-il en venant l'embrassant de toutes ses forces. Mais c'était sans compter sur une Louison qui avait entendu un bruit. Ezio redressa sa tête et fronça les sourcils, il n'avait rien entendu du tout lui. Il leva les yeux au ciel en la regardant remettre son pull. « Tu m'fais quoi là ? Y'a aucun bruit, t'as entendu un oiseau ou une mouche, j'en sais rien. » grogna-t-il, pas content qu'elle se soit rhabillée. Sans chercher à comprendre plus loin, il vint enfouir son visage dans le cou de la belle blonde pour espérer l'exciter un peu et rependre cette partie de jambes en l'air qui s'était pourtant si bien annoncé. Louison n'était plus du tout réceptive, elle semblait inconsciemment le repousser. Excédé, Ezio recula sa tête et vint soupirer bruyamment. « Si j'regarde et qu'il y a personne, tu me devras une pipe. » murmura-t-il pour rentrer dans son jeu de la discrétion. Même s'il n'y croyait pas une seconde, le beau brun se recula un pas et fit semblant de refaire le lacet de sa chaussure en regardant en bas. Et là, ce fut avec stupeur qu'il croisa le regard d'un homme vraisemblablement caché derrière un arbre beaucoup trop étroit pour le cacher entièrement. Ezio se releva avec un sourire sur les lèvres, il approcha son visage de celui de Louison et déposa un léger baiser sur ses lèvres. Sans plus tarder, il lui prit la main la fit descendre de la rambarde. « Viens, on va s'manger un petit truc. » dit-il dans le plus grand des calmes en entrant à l'intérieur du chalet. Une fois rentré, il ferma la porte fenêtre et la verrouilla. La blondinette avait compris qu'il y avait quelqu'un en bas, elle n'était pas stupide. Ezio sortit son portable et constata qu'il n'avait toujours pas de réseau. Il marmonna quelques mots incompréhensibles en italien en regardant Louison qui avait l'air paniqué. « Panique pas mon coeur, c'est surement un randonneur qui s'est perdu .. ou un détraqué. » Ouais, le petit Scorsese était nul à chier pour rassurer les gens. Il s'avança jusqu'à la porte principale qu'il verrouilla également. « Viens avec moi. » dt-il en se dirigeant vers la petite pièce qui servait de débarra, de réserve ou de range outils. Il allaient trouver quelque chose pour se défendre là-dedans. Parce que dans la cuisine, à part des couverts en semi plastique, il n'y avait pas grand chose. Une fois devant le petit placard, il y trouva des barres de fer, surement les barreaux d'un ancien lit à étage. Il vint en prendre un qu'il tendit à Louison, puis un deuxième pour lui. « On sait jamais, ça peut dépanner. » lança-t-il d'une voix anormalement neutre, imperturbable.
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La température se réchauffait grâce aux baisers du brun mais un élément sonore intriguant avait alors interpellé la jeune femme. Ses sens avaient toujours été très développé, elle ne se trompait sûrement pas. Elle avait entendu quelqu'un et elle se sentait même épiée. Dans l'embrasement dès plus total, Ezio n'avait vraisemblablement rien perçu et avait même remis en question l'ouïe de la blonde. Ainsi, il s'était de nouveau rué sur elle, la dévorant de toute part alors que l'esprit de la demoiselle était possédé par ce fichu bruit. Face à son comportement, le brun avait finalement abandonné son élan d'excitation, lui proposant de regarder tout en s'attendant déjà à ce qu'il n'y ait rien. Et si c'était le cas, s'il n'y avait vraiment aucune âme à la ronde, Louison lui revaudrait cette interruption avec une pipe ? La blonde secoua la tête et souffla faussement exaspérée, le laissant adopter une technique particulière pour vérifier les bois en toute discrétion. Une fois relevé, il l'embrassa étrangement avant de l'emporter à l'intérieur sans explication ni inquiétude apparente. Ok, il y avait quelqu'un, elle n'avait pas halluciné. Ezio s'empressait de verrouiller chaque entrée possible, baragouinant dans sa langue maternelle tout en vérifiant le signal de son téléphone. La jeune femme était quant à elle stoïque, plantée au milieu de la pièce, les bras croisés sur sa poitrine. " Je n'ai pas peur. J'ai plus peur pour toi actuellement... " avait-elle marmonné en le suivant dans un placard qui empestait la vieille chaussette. Louison n'était pas vraiment inquiète, elle se laissait guider par son italien, le laissant la munir d'une barre en fer. Elle pouffa alors de rire en le dévisageant " Je dois donc tenter de nous défendre également ? " lui avait-elle demandé en attrapant l'objet comme une batte de baseball, le calant sur son épaule tandis que ses deux mains le serrer fermement devant elle, contre sa poitrine. " Je pense que je devrais aller à sa rencontre, je suis sûre que c'est la personne qui me colle au cul en permanence à Cambridge... Ou alors c'est un mec qui cherche à nuire à ma famille et qui m'a retrouvé, dans ce cas-là, on est foutu, et il vaudrait toujours mieux que je me livre à lui et que tu t'enfuis " avait-elle expliqué en osant jeter un oeil par la porte du débarras. " J'vais me le faire tu vas voir " chuchota-t-elle en passant à travers l'embrasure de la porte, glissant son dos contre le mur du couloir pour progresser prudemment. Tout à coup, un bruit de serrure que l'on crochetait se fit entendre et le parquet craqua sous le poids de l'intrus. Il était dedans. La jeune femme se retourna brusquement pour revenir sur ses pas, rentrant en collision avec Ezio qui l'avait suivi. " Aïe putain ! " murmura-t-elle en grimaçant, le regard affolé. La Mather avait ensuite poussé son amant jusqu'au bout du couloir, dans la chambre " Il est là, à l'intérieur, soit on lui tombe dessus à deux, soit on s'enfuit je ne sais pas... T'imagines s'il a des réponses sur moi " avait-elle difficilement glissé à son homme pour ne pas que l'inconnu les entende. Avec minutie et patience, Louison avait verrouillée la porte de la pièce derrière eux, fonçant vers les fenêtres et la baie vitrée qui donnait sur l'entièreté de la terrasse entourant le chalet. Une envie irrépressible de l'affronter grimper en elle. Qu'il soit mêlé ou non à l'histoire des Chamberlain. Il y avait bien un fils de pute qui avait flingué son grand-père, et si c'était ce type ? Ce type qui rôdait tout près d'elle...Sa vengeance n'était alors qu'à quelques mètres.      
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Louison Chamberlain & Ezio Scrosese

Ezio attrapa deux barres de fer et vint en donner une à Louison, histoire qu'elle ne soit pas en galère au cas où l'autre cinglé décidait d'entrer dans le chalet. Il avait fermé les entrées à clef mais sait-on jamais, ce genre d'individu pouvait se montrer déterminé. « Nan tu défends rien du tout, tu t'es cru dans GTA ou quoi ? » grogna-t-il, pas content. Rha putain, elle avait le don de l'énerver quand elle faisait ça. La blondinette se croyait invisible mais avec ses quarante kilos tout mouillés, elle ne pouvait pas aller bien loin. Ezio releva les yeux et lui lança un regard assez froid. Il commençait à la connaître et savait qu'elle allait vouloir jouer les guerrières et que lui, derrière, il allait ramasser les pots cassés. Lorsque Louison lui exposa son plan, il leva les yeux au ciel et fronça les sourcils. « Non tu restes-là, j'vais aller vo... » Il n'eut même pas le temps de finir sa phrase qu'elle était déjà partie à sa rencontre. Mais elle n'était pas possible cette fille. Ezio tendit le bras pour essayer de la rattraper mais elle se faufila à l'extérieur. A l'intérieur de lui, il se jura que si le mec ne la tuait pas, il s'en chargerait lui-même. Louison horripilait, elle le mettait hors de lui. Ne pouvant pas la laisser seule, il sortit du placard et la suivit sauf que la blondinette avait fait demi-tour. Le choc fut inévitable. Encore une chance qu'elle n'avait pas mis la barre en fer, entre eux deux. Elle lui attrapa le bras et lui fit faire demi-tour, direction la chambre. Une fois à l'intérieur elle mit le verrou en lui expliquant que le mec était à l'intérieur. Ezio allait la pourrir sur place mais il vint déceler une expression dans son regard qui lui fit changer d'avis. Ce n'était pas de la peur mais plus de la colère. Cette fille ne craignait pas pour sa vie, elle voulait juste avoir des réponses et se venger. Le Quincy fronça les sourcils et s'humidifia les lèvres. « Ok ... Va dans la salle de bain, je m'en occupe. » murmura-t-il pour qu'elle s'éloigne au maximum. Il savait pertinemment qu'elle n'irait pas mais il voulait juste qu'elle ne soit plus dans le champ de vision. Il lui fit de gros yeux silencieux pour l'inciter à reculer encore. Sans le moindre bruit, il alla jusqu'à la porte et se plaça à côté. Il posa délicatement ses doigts sur la serrure qu'il déverrouilla dans un silence de plomb. La montée d'adrénaline dans son corps le fit doucement sourire. Ezio adorait ça l'adrénaline. De faibles bruits de pas se dirigeaient vers eux. Il posa son doigt sur sa bouche pour faire comprendre à Louison de ne plus parler, de ne plus bouger. Son regard se reporta sur la poignée qui se mit à bouger d'une lenteur affolante. Le suspense était à son comble. Et là, tout s'enchaîna très vite. La porte s'ouvrit et un homme apparut devant eux, il vint dire quelques mots dans une langue que l'italien ne comprenait pas, surement du français. Sans chercher à comprendre plus loin, il leva sa barre de fer et vint infliger un violent coup sur sa tête. Le choc fut tellement brutal que l'homme tomba net au sol, s'écroulant à ses pieds. « Attends ... Il a dit quoi là ? » demanda Ezio en regardant Louison. C'était du français, il en était persuadé et à en voir la tête de la belle blonde, ce n'était pas forcément une bonne nouvelle.
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La situation était grave et les deux tourtereaux arrivaient encore à faire de l'humour. Encore une fois, bien que le jeune homme ait totalement interdit à Louison de se défendre, la demoiselle n'obéirait pas. En effet, si les événements tournaient mal, elle n'hésiterait pas à user de la violence. Elle s'était d'ailleurs montrée particulièrement intrépide, s'aventurant dans le couloir principal de la maison pour apercevoir leur éventuel agresseur. Munie de son arme, elle avait tout à coup entendu la serrure de la porte principale rompre et senti la présence de l'individu qui peuplait désormais les lieux. Les instincts primitifs prenaient tout à coup le dessus. Les sens de la demoiselle étaient démultipliées mais sa raison était revenue sous le projecteur. Ainsi, elle avait tenté de revenir sur ses pas, mais sur sa route inverse, elle avait percuté l'italien de plein fouet. Bonjour la discrétion. Débordée par ses émotions, elle embarqua le brun dans la dernière pièce au bout du couloir, les enfermant derrière eux. La blonde ne savait plus quoi faire. Toute sa vie, elle avait cru être paranoïaque mais là, cela ne relevait plus de la simple suspicion. Elle était suivie. À moins que cela ne soit qu'un bûcheron du coin...C'était tout de même peu probable. Louison ne voulait pas laisser cet inconnu se tirer comme ça. Pas avant qu'elle ne l'affronte en face à face, quitte à y laisser sa peau. Ezio semblait sur la même longueur d'onde. La jeune femme était terrorisée, il n'allait pas faire ça, non quand même... Elle voyait déjà la Une des journaux le lendemain " Ezio Scorsese, petit fils du brillant Martin Scorsese, sauvagement abattu avec sa crétine de petite amie française " Pétrifiée, elle recula tout de même quand le brun le lui avait demandé. Il était fort et il allait sûrement géré. Le coeur de la demoiselle allait exploser au fur et à mesure que les pas de l'inconnu se rapprochaient. C'était abominable. Après qu'Ezio ait déverrouillé la porte, la poignée n'avait mis que quelques secondes à tourner avant que l'assaillant apparaisse enfin dans l'encadrement. Recroquevillée contre le lit, la Mather avait croisé le regard de l'homme et ce dernier lui avait alors adressé quelques mots dans sa langue maternelle " Ma poupée blonde, ma petite Eden chérie...  ". Louison n'avait pas eu le temps de se relever pour freiner son amant. Ce dernier avait fracassé le crâne du type qui n'était autre que son père, Simon Chamberlain, lui seul l'appeler autrefois par son second prénom. Le troisième était Astrid et celui-ci venait d'ailleurs de sa mère. Portant ses mains sur sa bouche, la jeune femme couru vers le corps inerte de son géniteur à terre et inconscient. Accroupie, elle le souleva avec difficulté pour le foutre sur le dos et tâter son pouls. " Ezio, aide moi à le mettre sur le lit " lui avait-elle demandé quasiment en larmes. Louison ne pleurait jamais mais là, c'était au dessus de tout. Avec la force de son petit ami, le père de la française avait été allongé sur le pieu et rapidement ligoté aux barreaux. Après tant d'années à chercher des réponses, c'était le moment où jamais, l'étudiante souhaitait combler ses lacunes. Une fois les précautions prises, Louison s'était écroulée sur le sol, le menton posé sur le matelas pour observer son père qui respirait lentement. " C'est lui mon père Ezio. C'est grâce à lui que tu me connais et c'est grâce à lui que je suis aussi inconsciente. " avait-elle adressé au Quincy assis sur une chaise en face d'elle. Il était toujours armé de sa barre de fer, probablement au cas ou le Chamberlain tentait quoique ce soit. " Je ne sais pas quoi lui dire quand il va revenir à lui. Je le hais. " avait-elle murmuré en éclatant en sanglots, le coeur brisé. Elle ne le haïssait pas, au contraire. Même si elle ne l'avait jamais connu, elle l'avait toujours admiré et profondément aimé. Ce n'était que de l'amertume qui refaisait surface, l'amertume de ses seize dernières années passées en son absence. À présent, il ne manquait plus qu'à ce que le géniteur de Louison se réveille et reprenne ses esprits. 
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