Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityYou ? Here... (emrylline)
Le Deal du moment : -50%
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer ...
Voir le deal
54.99 €


You ? Here... (emrylline)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Nouvelle journée en enfer pour Apolline, à savoir à son taff nocturne. Elle risquait encore de finir à des points d'heure, exténuée, après s'être faite mettre la main au cul par des individus peu recommandables... et derrière, il lui faudrait bien évidemment bosser pour éviter de se mettre à la bourre dans ses cours. Ce n'était pas une vie pour la blonde. Mais c'était ça ou finir dans la rue... déjà qu'elle se trouvait à deux doigts d'être expulsée de sa chambre pour impayés récurrents ! Mais pour l'heure, la jolie grecque mit tout cela de côté et plaqua un adorable sourire sur son beau visage. Il fallait plaire aux clients, les pousser à consommer... ordre de la patronne. Alors elle enchaîna les commandes, le service, au bar comme sur les tables. Un job speed pour lequel elle était tout de même douée, et qu'elle faisait avec cœur. Tout se passait sans trop d'accrocs jusqu'à ce qu'un type ne l'attire à elle pour la mettre sur ses genoux. Bas les pattes ducon, t'es pas au self ! vociféra-t-elle avant de se dégager après lui avoir faire prendre une douche de bière glacée. Une chance qu'elle ait de la défense, dans tout ça... mais heureusement que l'heure de sa pause arrivait, et qu'elle put sortir s'en griller une, sinon elle n'aurait pas tenu. Se cachant derrière la ruelle qui bordait le club où elle bossait, Apolline souffla un bon coup dans sa tenue trop sexy, se motivant encore et encore à y retourner... sans imaginer une seconde ce qui allait se produire sous peu.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C'était une soirée fraiche à Cambridge et ses environs. Tout était calme mais certains endroits restaient animés dans la pénombre. Oui, on pouvait par endroit trouver des petits coins de chaleur, d'evenement et de décadanse. Je n'étais pas spécialement friand de ces lieux mais il m'arrivait à certains instants de vouloir m'y rendre, rappel de ma vie d'avant, quand je vivais ici. Souvenir, souvenir ! Heureux, je marchais tranquillement dans les rues jusqu'au quartier "city center" afin de me rendre dans l'un des clubs assez selectifs que je connaissais grace à quelques amis. Nous avions souvent passés des soirées là-bas avec mon ancienne maison. Je contournais l'arrière du club pour rejoindre l'entrée par la petite ruelle, parrallèle. Tout sourire, je vis soudain dans un coin, comme recluse... Une silhouette en pleine réflexion. Je reconnaissais cette silhouette : je ne pouvais l'oublier, ne pas la reconnaitre... APOLLINE ! Avais-je sur un ton hautain et ébahi. Je me rapprochais comme pour mieux discerner la demoiselle tant il faisait sombre et je poursuivais : Bien, je vois que ça s'améliore... à présent, tu fais la pute !? Je montrais que j'étais très déçu d'elle, que je n'aimais pas ça mais on sentait dans les regards que je lui lançais que c'était mon éternel sentiment d'amitié, ma protection qui me faisait réagir. Inconsciemment, j'avais murmuré une pensée. Pourquoi? d'un air si désespéré, comme laissant tomber ma carapace et en comprenant que j'avais parlé tout fort, je posais ma main sur mes lèvres avant de faire mine de rien.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Apolline fit un bond colossal en entendant son prénom par LA voix qu'elle ne s'attendait pas à entendre dans cette ruelle, à cet instant précis. Lui. Ici. Emrys venait de la voir dans sa tenue trop sexy pour être honnête, et semblait la dévisager avec une déception que la piquante blonde décerna malgré l'obscurité les entourant. Emrys ?! lança-t-elle avant de manquer de s'étrangler face à cette appellation qui lui valut de s'avancer pour lui en coller une. Ce fut bref mais intense. Tu sais c'qu'elle te dit la pute ?! vociféra-t-elle, encore très proche du jeune homme, le visage fermé et visiblement en colère. La jolie grecque ne pouvait pas supporter cette appellation alors qu'elle ne vendait aucunement son corps. Il la jugeait sans trop chercher à comprendre et plus insupportable, cela n'existait pas à ce moment précis. Pour faire le tapin faudrait que j'me tape les soulards du bar, hors c'est pas le cas, je sers juste, pas de quoi s'emballer. Quant à la tenue, pas ma faute si la patronne a des goûts pas nets nets ! déglutit-elle avec difficulté, reculant d'un pas alors qu'il lui demandait pourquoi. Un petit soupir outrepassa les lèvres de la blonde, avant qu'elle n'existe un rire nerveux, qui se moquait davantage d'elle que d'autre chose. Apparemment t'as pas tellement envie de savoir pourquoi se ravisa-t-elle alors qu'elle venait de le voir plaquer sa main devant sur ses lèvres.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bien sur, la demoiselle n'avait pas bien prit mon expression. Une pute ? je n'espérais pas cela d'elle et j'aurai été déçu si c'était le cas mais ce mélange de rancœur et d'amour-amitié étrange, ... bien ça donnait cela. Souriant, ou plutôt affichant le plus mauvais sourire narquois au monde, je la regardais vociférer quelques paroles à mon encontre avec une certaine difficulté. Elle avait du mal à se montrer négative ou méchante envers moi : pourtant, elle n'avait pas eu de mal à me laisser sans nouvelle à mon départ d'Athènes. Oui, elle m'emmerde je sais... dis-je lassé. Je la regardais de haut en bas, appréciant la vision qui me faisait face, un corps toujours aussi parfait, toujours aussi sportif et svelte. Cela me rappelait nos journées plages à nager comme des fous, endurant comme tout. Elle continua son agressivité alors que pour ma part, je l'admirais tentant de me cacher derrière mon masque. Ma sirène, la revoir, me mettait du chaud au coeur mais elle avait choisi de nous séparer il y a bien longtemps. Quand je fis l'erreur de parler malgré moi, elle me lança que j'avais pas l'air de vouloir savoir et je n'hésitais pas à rétorquer : Oui, si c'est pour pouvoir mieux esquiver tout comme tu m'as esquiver il y a de ça des années alors que je ... Heureusement, je me calmais et empêchais un mot crucial de sortir. je reprenais de plus belle avec un peu moins de sourire, un sourire clairement absent à présent. Bref, moi je me suis toujours intéressé à ta vie, c'est toi qui a choisi de nous oublier, nous, les Zacharias alors que tu sais bien que j'ai quitté Athènes pour échapper au coup et à la persécution... Je baissais le regard, me raclant la gorge tant la gêne fut grande.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Emrys se permettait de la regarder de haut en bas après l'avoir salement qualifiée, ce qui perdait d'autant plus la jolie Apolline. Que souhaitait-il au juste ? Qu'ils s'engueulent une bonne fois pour toute ? Qu'ils règlent ça dans une piscine olympique ? Une multitude de questions se bousculaient dans l'esprit de la blonde alors que de son côté, se montrer vraiment mauvaise ou violente paraissait compromis. En revanche, du côté du beau brun, rester narquois et distant ne paraissait pas un problème. Pire, il lui collait une devinette entre les pattes pour mieux se calmer, soudainement, sans crier gare. Alors que tu ? Accouches ! s'exclama-t-elle, n'aimant particulièrement pas que l'on joue avec elle de cette manière. S'il avait quelque chose à lui balancer dans les gencives, qu'il le fasse. La jolie grecque n'était plus à ça près puisqu'il la tenait personnellement responsable de leur éloignement. Ah ouais, tu t'es intéressé à ma vie... marrant hein, t'as pas cherché la raison pour laquelle je donnais plus de nouvelles. Tu t'es pas douté qu'il pouvait s'être passé un truc, non ? Qu'après être restée collée à toi toutes ses années, le fait que ce soit silence radio, ce soit bizarre ! J'ai rien oublié, rien, nada. Penses pas alors que tu sais pas Zacharias ! T'as fuit Athènes, mais t'es peut-être pas le seul bordel ! Apolline lui tournait à présent le dos, essayant de se calmer pour ne pas s'effondrer. Ce n'était pas le moment.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bien, ça n'était pas facile de se retrouver face à sa vie passée encore. Dernier départ, j'avais tout fait pour tout oublier mais ce n'est définitivement pas possible d'oublier tout ça. Apolline en particulier ! Souriant, je l'avais vite perdu de nous entendre encore nous engeuler car intérieurement, ça me brisait et ce, depuis la première dispute, il y a un an et demi, deux ans quand elle arriva à Harvard. Je ne cessais de me blâmer de nos engueulades mais je lui en voulais d'avoir oublier notre amitié et quand j'avais essayé de savoir, je n'avais pas pu savoir et surtout, j'avais vite abandonné car j'avais mon lot d'emmerde alors quand elle osa me tourner le dos, offusquée, tout en m'expliquant qu'il y avait surement une raison, je déglutis. Je ressentais ça comme une nouvelle fois, un affrontement, aucun effort pour reconstruire notre amitié mais en déchiffrant ses phrases, je réalisais que je n'aidais pas non plus. Par ailleurs, j'en avais toujours eu marre de faire les efforts. Je posais une main, apeuré comme un enfant d'oser ce geste et je lui dis : Bien.. déjà, tu sais que je déteste ça... qu'on assume et qu'on tourne le dos ! Je la réprimandais car si vraiment, elle n'avait pas voulu qu'on se perde, elle ne m'avait pas oublié bien elle me connaissait donc toujours, le Emrys, le vrai, bien au fond sous la carapace. Elle savait qu'on ne devait jamais tourner le dos, se laisser aller, si on se laisser aller, c'était au fond de soi et pas visible. Je tentais de me calmer et repris ; Explique-moi si tu as une raison valable! Avais-je dit plus calme, moins froidement et réellement soucieux de savoir, de grandir, d'avancer et je crois au fond de la récupérer comme... euh, je ne saurais dire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Apolline savait très bien qu'en tournant le dos à Emrys elle empirait les choses. Elle le savait d'autant mieux qu'ils se connaissaient par cœur, depuis le temps, et ce malgré leur éloignement récent. Rien n'avait véritablement changé entre eux, du moins dans leurs réflexes mais il fallait qu'elle s'apaise, qu'elle reprenne le contrôle de son être. La blonde se mordilla violemment la lèvre inférieure, prête à tout balancer, à s'ôter ce poids qui lui pesait sur les épaules depuis sept longues années. Extrêmement long pour un petit bout de femme comme elle... mais la jolie grecque avait une force de caractère que beaucoup pouvaient lui envier mais demeurait un colosse aux pieds d'argile. Surtout en sentant la main d'Emrys la frôler, et sa voix s'élever à nouveau dans l'atmosphère sonore. J'sais bien, mais... Apolline prit une grande inspiration et se tourna vers lui, paumée comme jamais, à se mordiller toujours la lèvre inférieure, preuve de son important trouble. Mon père est mort y'a sept ans ! J'étais en mode deuil quand j'ai commencé à m'éloigner de toi. J'le perdais, lui, mon mentor bordel... j'étais prête à partir à Harvard, à commencer mes études et tout s'écroulait ! Mais c'était pas tout... Elle s'éloigna de quelques pas, frottant ses bras gelés à cause de sa tenue courte et fixa le sol, comme si c'était plus facile. Il a laissé une montagne de dettes à ma mère. Et on a appris derrière qu'il avait buté une fillette de sang froid. Une balle dans la tête. On a dû aller au procès et ma mère doit tellement de fric qu'elle n'aura pas assez d'une vie pour payer. Mais elle a refusé que je reste à Athènes, tu vois. Parce que le lendemain du procès, sur le chemin de chez moi, on m'a balancé des cailloux à la gueule parce que j'suis la fille de l'assassin ! Balayant les quelques larmes traîtresses qui pointaient le bout de leur nez, Apolline regarda enfin Emrys dans les yeux. J'me bats pour survivre depuis sept piges. Comme ma mère.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Quand elle se retourna, je me sentis soulagé. J'avais espéré qu'elle le ferait et non, qu'un départ suivrait. Apolline, mon amoureuse, mon amie d'enfance, mon tout, s'était retourné et ne m'avait pas laissé. Si nous n'étions plus tout cela, à chaque dispute, chaque rencontre, je la voyais comme telle et lui disait tout le contraire. Là, elle explosa et je restais bouche bée peu à peu dévasté de ce que j'entendais, j'apprenais passant de la haine, au mépris par la rage aussi. Pourquoi ma marraine lors de mes quelques appels ne m'avait elle rien dit ? Pourquoi n'avait elle pas explosé comme cela avant ? Apolline, pourquoi? Pensais-je en la regardant. Je ne pleurais jamais, oh grand jamais mais là, quelques larmes me submergèrent. Elles s'ancrèrent à l'entrée de mes yeux, imprégnant mes cils de larmes d'amour et de culpabilité. J'avais échoué plus encore dans ma vie en apprenant que je l'avais viré ainsi de ma vie pour une faute commise de sa part par simple tristesse ; j'aurai du l’écouter, ne pas me braquer et l'aider, revenir vers elle malgré tout. Honte à moi ! Je serrais les poings haineux de tous ce qu'elle avait subi. Je restais bouche ouverte face à elle, la regardant pleine de haine et de tristesse. Ma fierté, ma peur me faisait garder mes distances et tenter de retenir ses larmes nichés dans le creux de mes yeux mais je n'y arrivais plus. Désormais, certains s'étaient échappées coulant sur mes joues, se nichant dans mon fin collier de barbe. J'essuyais vulgairement et je lâchais ma fierté l'attrapant en murmurant : je t'en supplie... pardonne-moi ! Apolline devait le savoir ; je faisais un grand pas et si tout ne pourrait pas redevenir comme avant, j'espérais son pardon. Je la serrais fort comme si je ne voudrais plus qu'elle échappe de mes bras musclés qu'elle avait tant appréciée.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Apolline était épuisée après une telle confession. Pourtant, elle n'aurait jamais pensé que cela puisse être aussi simple. Vider son sac, balancer les informations et soulager ses frêles épaules, enfin. Un soulagement bien mérité qui fut toutefois entaché par ce qu'elle voyait actuellement sous ses yeux, à savoir un Emrys totalement anéanti. L'avait-elle à ce point tourmenté par ses mots ? Sûrement. Il avait dû penser que son excuse ne serait pas valable, et qu'elle l'avait zappé sans aucun état d'âme... mais la blonde l'aimait bien trop pour que ce soit si simple. Chaque minute loin de lui demeurait un véritable enfer, et encore maintenant, alors qu'il se tenait si proche, il lui paraissait tellement éloigné... l'envie de sécher ses larmes fut terriblement forte pendant un long instant mais il fallait qu'il réagisse, dise quelque chose. Qu'il ne la maudisse plus pour ne pas avoir donné de nouvelles... et ce fut un nouveau soulagement que de se retrouver entre ses bras forts et puissants, entre lesquels la demoiselle aimait tant s'y réfugier autrefois. Un long frisson lui parcourut l'échine alors qu'il lui demandait pardon. Ce fut à ce moment précis qu'elle entoura à son tour son corps de ses bras frêles, et déposa un frêle baiser contre son cou. Une manière comme une autre de lui dire qu'elle acceptait bien évidemment ses mots, et plus encore... T'es con Emrys... t'es tellement con... répéta-t-elle sans le lâcher, d'une voix plus légère. Finalement, c'est plus toi qui m'a oubliée que l'inverse...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Mon dieu, ce parfum, ce corps. Tant de souvenirs ! Un sourire, bien que les larmes perleraient encore quelques minutes, c'était certain. Elle m'écoutait et appréciait, je le sentais. Soudain, je la sentis me serrer fort à son tour comme pour acquiescer, me faire comprendre qu'elle ne m'avait pas zappé et ne le souhaitait pas, enfin je crois. Le temps se stoppait net en nous laissant profiter de cet instant fou de retrouvailles alors que dans l'émotion, elle m'insultait légèrement mais je ne réagissais pas car c'était vrai sur ce coup là. Je ne répondis rien appréciant juste le baiser dans le coup et humant encore ce doux parfum qui m'enivrait. Mais je fus tirée de ma léthargie si profonde mais belle du à ces tendres retrouvailles quand elle osa dire que c'est moi qui l'avait oublié. Je me senti vexé. Je reculais net. Je la regardais, la dévisagea presque. jamais... jamais je ne t'ai oublié.. enfin j'ai tenté quand j'ai vu que tu donnais plus de nouvelles et quand je t'ai dit que c'était brisé ! Je ne voyais pas l'utilité de me rapprocher à nouveau pour souffrir car je tenais trop à toi... Dis-je dans un excès de colère pourtant bien calme. Je relevais ensuite ma manche de veste pour dévoiler une chaine en argent dont l'arrière se voyait gravé de nos initiales avec en grec noté amitié éternelle ; c'était son cadeau pour mes 16 ans. Tu vois ! A jamais... dis-je émue mais toujours froid, c'était moi, ma marque de fabrique.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)