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Romane ✿ J'ai oublié de prendre les mouchoirs !

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Il est vrai que j'étais plutôt sure de moi, je n'avais pas peur à cause de Romane. Je me sentais protégée, peut-être même un peu trop. Le problème... C'est que tu n'as plus de temps... avait-il dit à l'homme. Je n'eus pas le temps de regarder que l'arme de mon fiancé retentissait. Je sentis une petite douleur dans mon ventre, le bébé avait sûrement entendu le coup, enfin ça l'avait travaillé un peu. Je passais tendrement ma main par dessus mon vêtement avant de reporter mon attention vers lui. Je penchais la tête pour regarder l'homme mort. Tant pis, c'était lui qui perdait son argent, pas moi. Je sentis que Romane était passé à une toute attitude au fond de lui que je ressentais bien dans la froideur, son regard à peine venait-il de dire trois petits mots. On s'en va. je ne m'étais pas fais prier. Je le laissais faire, après tout, c'était comme chez lui, je n'avais que le pouvoir qu'on me donnait en tant que fiancée. Je n'avais d'ailleurs pas décrocher mon regard de Romane pendant que nous sortions de là. Ça me faisait bizarre de faire ce genre de « chose » avec lui, c'était la première fois. Pour ma part, ce n'était que routine vu que mes frères m'avaient toujours refilé ce genre de travail lorsque j'étais en Italie à ma majorité. Sûrement parce que j'étais un visage angélique, qu'on me prenait pas au sérieux et bien évidemment, ils pouvaient taper les personnes qui se comportaient comme ça avec moi. Bref, heureusement Romane n'était pas comme ça. Bien que je le sentais vraiment changé depuis qu'il avait tué l'homme. Une fois installé, je le sentais qu'il était un peu en colère, quelque chose l'énervait, sûrement ce qu'il venait de se passer. Je grimaçais quelques secondes, réfléchissant à la façon de l'apaiser. Je ne mettais pas longtemps avant de prendre sa main droite et je la glissais lentement sous mon haut afin de lui faire sentir mon ventre, de la passer sur mon ventre. Je ne savais pas si le bébé sentait que c'était son père ou si c'était le hasard mais je l'avais senti bouger. Je sursautais un peu, surprise. « Je crois qu'il te fait coucou. » dis-je en souriant. C'était un petit moment de tendresse, je voulais pas qu'il soit en colère. Je faisais comme je le pouvais. C'était le moment de lui demander ce que je voulais depuis que nous étions sortis de l'échographie. Je caressais sa joue de ma main libre avant de reprendre la parole calmement. « Je crois aussi... qu'il voudrait que ce soit toi qui choisisse son prénom, et que... je choisisse le second. Il t'aime. » Je déposais un baiser sur sa joue avant de reculer mon visage. Si ma « proposition » de lui laisser l'honneur de choisir le prénom par lequel on appellerait notre fils lui plaisait, ça pouvait peut-être le détendre et le calmer à l'intérieur. Je serrais légèrement la main de Romane tout en le fixant. J'avais envie qu'il soit bien, qu'il soit heureux comme je le souhaitais depuis que j'étais devenue son amie, avant de comprendre que mon cœur avait voulu plus qu'une amitié entre nous.
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Je restais assis au volant mais sans démarrer, pensif en silence, ma main toujours frottant mes lèvres le regard rivé droit devant moi. Ouais, j'étais énervé et plus j'y pensais et plus je comprenais pourquoi. Revenir à ce mode de vie m'irritais mais ce n'était pas vraiment le problème, non en réalité ce qui me dérangeait le plus, c'était d'y voir ma fiancée, ça... Ça ne me plaisait pas DU TOUT... La savoir présente à magouiller et régler mes comptes avec moi, qu'elle agisse comme elle l'avait fait là, non je n'aimais pas ça. J'étais donc énervé, cette prise de conscience me pesait et j'avais horreur de ça, c'est là qu'après m'avoir suivit et être elle aussi montée en voiture en silence, Teo me pris alors la main pour venir la faire glisser sous son haut pour la poser sur son ventre. Mon regard d'instinct se riva sec mais toujours aussi ferme dans le sien avant de descendre sur son ventre quand je le sentis bouger sous mes doigts, d'ailleurs Teo sursauta « Je crois qu'il te fait coucou. » avant de me sourire et de caresser ma joue de sa main pour continuer calmement « Je crois aussi... qu'il voudrait que ce soit toi qui choisisse son prénom, et que... je choisisse le second. Il t'aime. » pour venir déposer un petit baiser sur ma joue tout en me serrant un peu plus la main toujours en me fixant. Moi avoir senti le bébé bouger ne m'avait que d'avantage interpelé car il était l'une des raisons principale qui m'énervait de la savoir avec moi comme ça. Mon regard était d'ailleurs revenu sur elle, la laissant faire en restant placide et inexpressif à l'analyser dans ses mots et ses gestes et c'est là que je cru comprendre... Et là j'avais soudainement envie d'exploser, comme le faisait mon père quand il piquait sa crise car à ce niveau là, j'avais bien hérité de lui et pourtant les secondes passaient et je n'en faisais rien, la fixant intensément la colère brulant mes lèvres mais je restais silencieux, continuant de me contenir et ravalant ma rage en me pinçant les lèvres. C'est en me concentrant sur sa suggestion que je reposais mes yeux à travers le par-brise pour répondre en expirant un grand coup pour tenter de me calmer mais malheureusement toujours froidement "Il s’appellera Caleb... C'est le nom que j'ai promis à ma mère si j'avais un fils...". Ce soir il était clair que j'allais devoir passer voir mes parents, je devais parler avec eux, j'en avais besoin...
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Je voulais à tout prix l'apaiser. Essayer qu'il retrouve son calme parce que je le sentais vraiment que ça n'allait pas du tout pour lui, et je n'osais pas lui dire. Lui proposer quelque chose de mignon, comme le prénom du bébé dont je voulais lui en parler depuis tout à l'heure. J'étais complètement perturbé par son attitude, et surtout j'avais du mal à soutenir son regard si sombre. Cette façon de me regarder ne me plaisait pas, mais c'était le seul homme à qui je n'arrivais pas à faire affront, à qui je ne pouvais pas bouillonner le sang dans mon corps pour répliquer et lui crier dessus pour qu'il sorte sa colère. Mon coeur se pinçait de le voir comme ça, moi qui avait espérer depuis le début de notre relation enfin « officielle », j'espérais son bonheur et le rendre heureux. Et je me doutais bien qu'être dans cet état là, ce n'était pas vraiment un véritable bonheur. Aucun sourire ne se dessinait sur mon visage, plus rien de tendre, je me sentais un peu mal. Sa main que j'avais passé sur mon ventre, je la repoussais de cet enfant mais pour mieux la prendre entre mes mains, garder le peu de chaleur que Romane pouvait émaner afin de compenser aux paroles qui furent froides de la part de mon fiancé. Il s’appellera Caleb... C'est le nom que j'ai promis à ma mère si j'avais un fils... J'eus un léger sourire, j'étais heureuse qu'il tienne à ce nom. Je ne savais pas pourquoi sa mère y tenait, ça ne me dérangeait pas vu que je m'entendais très bien avec elle. En même temps, elle était styliste, j'adorais la mode, c'était le feeling parfait entre nous. « C'est joli. » murmurais-je. Mais mon sourire s'effaçait vite pour une neutralité totale. Je n'avais pas réussi à apaiser. Je posais mes yeux vers Romane pour le regarder vraiment droit dans les yeux. Si nous étions pas dans cette voiture, je l'aurais pris dans mes bras, je l'aurais serré contre moi comme je le pouvais. Mais ce n'était pas possible. D'une main, je lâchais celle de Romane pour approcher de son visage et glisser ma main sur sa joue. Je le regardais, très inquiète. « Je sens que quelque chose ne va pas, Romane. » Je me tournais un peu pour pouvoir le regarder correctement sans me tordre la nuque. Il fallait que je me lance. « Depuis qu'on est sorti de l'échographie, je te sens vraiment... j'ai compris que tu sois un peu mouvementé par rapport à l'écho' c'est la première fois et c'est différent... mais... là … je t'avoue que je ne comprends pas que cet homme puisse te mettre en colère. Il s'est passé quelque chose qui t'a contrarié ? » Ne pas avoir remarqué que quelque chose ne lui avait pas plu me faisait peur, parce que pour moi, rien de spécial ne s'était passé depuis que nous étions sortis de l'hôpital. « Je veux que tu sois bien... et pour l'instant, je n'ai pas réussi à t'apaiser. Même en te rapprochant de ton fils. Tu sais que tu peux tout me dire, cela depuis toujours...je pourrais t'aider... si tu m'en dis un peu plus... pour t'apaiser. » J'espérais pouvoir l'apaiser, et qu'il soit bien. Nous étions pas à Harvard, mais pas non plus en famille ou en affaire, nous étions simplement « ensemble », on a traversé tellement de choses tous les deux, que de savoir que quelque chose le perturbait me faisait peur. On dirait une cocotte minute sur le point d'exploser...
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Je sentais bien qu'elle captait le malaise et ma colère et en même temps ça devait se lire clairement sur mon visage et dans mon regard. Malgré son geste, son petit sourire je voyais bien qu'elle était embêtée de mon état mais comprenait-elle seulement le pourquoi du comment? Je ne pense pas... C'est d'un léger et simple petit « C'est joli. » qu'elle répondait avant de venir glisser sa main sur ma joue maintenant visiblement plus inquiète « Je sens que quelque chose ne va pas, Romane. », non sans blague?... Tsss ça paraissait évident pourtant... Elle continuait « Depuis qu'on est sorti de l'échographie, je te sens vraiment... j'ai compris que tu sois un peu mouvementé par rapport à l'écho' c'est la première fois et c'est différent... mais... là … je t'avoue que je ne comprends pas que cet homme puisse te mettre en colère. Il s'est passé quelque chose qui t'a contrarié ? », non mais elle était sérieuse là? Elle pensait l'échographie et l'autre abruti responsable? Elle ne remarquait pas qu'elle faisait parti du problème? Certes, les deux raisons qu'elle me citait étaient en cause mais la raison principale était bel et bien ELLE. Et ça, elle ne le voyait même pas... Mais au fond, c'était sans doute parce que le problème venait de moi. Elle enchainait tandis que je baissais les yeux « Je veux que tu sois bien... et pour l'instant, je n'ai pas réussi à t'apaiser. Même en te rapprochant de ton fils. Tu sais que tu peux tout me dire, cela depuis toujours...je pourrais t'aider... si tu m'en dis un peu plus... pour t'apaiser. » et l'entendre dire ça, me débrida d'un coup. C'est d'un regard toujours sévère que je relevais sec mes yeux sur elle pour lui répondre sans pincettes "Tu ne vois donc rien...? Ce n'est pas ce connard qui me met dans cet état et encore moins l'écho mais bel et bien TOI Teo! Rien de plus que TOI! Comment veux tu que je sois bien avec ton comportement..? T'es enceinte de mon fils et tu pars à la chasse au merdeux sans même que je sois au courent! Et puis là... Tu t’émisse dans MES affaires, me stoppe pour t'amuser à le frapper, pour ensuite me tripoter et me rouler des pèles devant lui! Et puis quoi encore! Tu crois que c'est un jeu? Ça t'amuse? C'est donc ça que tu compte apprendre à ton fils? Tss....", je marquais une pause, tournant la tête en me pinçant la lèvre pour me calmer, baissant les yeux, je soufflais avant de reprendre plus doucement "Le truc... C'est que ce monde là te plais et que tu prends du plaisir à en jouer... Il est là mon problème... Mais bon laisse tomber tu peux pas comprendre...". Oui en réalité le ick venait de là tout bêtement, qu'elle soit ce qu'elle est... Une mafieuse heureuse fier de l'être, qui prenait plaisir à agir comme tel... Tout ce que j'essayais de fuir jusqu'à il y a peu quand on remontait quelques mois en arrière... Tout l'opposé de ce qu'est ma mère, de ce qu'était Camilla... À croire que je ne l'acceptais toujours pas mais une chose était sûr, je ne voulais pas que mon fils grandisse dans cette optique là, je ne voulais pas qu'il devienne comme ça. C'est en voyant les hommes de mains de mon père arriver, que je démarrais le moteur pour partir.
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L'inquiétude me gagnait. C'était depuis un moment que je connaissais Romane, et sentir comme ça que ça allait pas et ne pas comprendre, ça me travaillait beaucoup. Je n'aimais pas le voir comme ça, moi qui m'était promise de le rendre heureux. Je n'y arrivais pas aujourd'hui. Je cherchais à lui demander, je préférais lui demander directement que d'essayer de deviner et peut-être tomber dans le faux. Je sentis que son regard sur moi qui me glaça directement. Je sentais clairement qu'il allait exploser et que j'allais vraiment savoir ce qu'il se passait. Et on peut pas dire que j'étais « déçue » de ce que j'entendais de la part de mon fiancé. C'était moi qui l'énervait, qui le mettait dans cet état. J'étais vraiment un peu surprise, je quittais son regard pour baisser le regard. C'était difficile à admettre que c'était de ma faute, mais il était le mieux concerné pour le dire. Il me résumait presque ce qu'il s'était passé. Il m'expliquait son ressenti sur ce qu'il s'était passé. Je comprenais mieux pourquoi il était énervé. Mais je levais mon regard au moment où il parlait de notre fils. Non, non et non. J'allais pour lui répliquer que je n'allais pas laisser l'éducation de nos familles influencé celle que nous allions lui donner. Me plaire dans ma situation ? D'apprécier d'être une mafieuse heureuse et fière de l'être ? Il se fout de moi ? Je frappais contre la boite à gants, j'avais le droit de m'énerver aussi. En plus d'être sensible à cause des soucis que me causaient ma grossesse, je me sentais mal à cause de ce qu'il venait de me dire. Il démarra la voiture alors que ses hommes arrivaient pour « faire le ménage ». Mais ça n'allait pas m'empêcher de lui dire ce que je voulais. « Non mais arrêtes! Tu le sais très bien que j'suis pas comme ça! J'ai jamais dis que j'aimais être une fille de mafieux, au contraire, j'ai toujours voulu être une fille normale comme maintenant, à épouser un homme que j'aime, en plus de ça, d'avoir un enfant de lui ! L'éduquer, le choyer, lui faire des plats à mon enfant et à son père quand il rentre le soir ! Mais ce que tu comprends pas, c'est que contrairement à toi, on dirait, j'ai accepté ma situation, je sais que je dois vivre avec vu que je n'ai carrément pas le choix, et je fais en sorte d'y survivre tout en vivant ce dont j'ai toujours souhaité : une vie normale avec beaucoup de bonheur, un futur époux et la maternité. Ce que je cherche en acceptant ce mariage, à avoir un enfant à qui je peux offrir une belle vie parce que moi-même, je vis dans le bonheur. Et toute manière, que ça me plaise ou non, je vois pas pourquoi tu me le reproches étant donné que j'baigne dedans depuis toute petite et que je peux pas changer ça! Et encore, aujourd'hui j'accepte certaines choses comme le mariage, parce que je t'aime ! Et de ce fait, je voudrais trouver ce bonheur qui m'est tendu en t'épousant malgré la seconde vie que l'on est obligé de suivre toi et moi... Mais saches que si je pouvais vivre d'autre chose que du business de ma famille, crois-moi que je le ferais! » Je me vautrais dans le siège tout en posant mon coude près de la fenêtre en regardant dehors. « Cependant, ce n'est pas le cas... » dis-je en soupirant. Je n'avais pas de don particulier pour autre chose que pour être une « mafieuse » et de suivre mes devoirs envers ma famille. Je regardais le paysage défilé, je sentais mon buste se soulever et redescendre violemment sous la force de ma respiration. Je prenais une longue et silencieuse inspiration pour me calmer. « Et saches que notre fils, c'est nous qui l'éduquons, pas ton père, ni ta mère et encore moins mon père. On peut lui offrir une vie différente de la notre. » Je tournais mon visage pour regarder Romane, je passais légèrement ma main sur la sienne avant de la reposer sur ma cuisse. Je me taisais. Je me retenais de pleurer à cause de ce qu'il s'était passé, je posais ma main sur ma bouche en regardant dehors. Je devais être plus forte que ça, mais être aux cotés de Romane dans cette ambiance, c'était dur... Un aléas de la vie, autant en parler maintenant que ça explose à un moment où je m'y attendrais le moins...
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Je savais très bien que je me montrais dure en lui disant tout ça, mais honnêtement, je ne m'attendais vraiment pas à la voir agir de la sorte, à frapper ce type alors que c'était de ses propres mots MON problème mais qu'en plus elle m'embrasse et me câline devant lui comme ci nous étions seul en amoureux à la maison, sans la moindre gène et donc sans le moindre sérieux! Oui, je n'aimais pas ça et je ne pouvais pas m'empêcher de le lui dire car là franchement ça ne passait vraiment pas. Je voyais bien que j'y allais fort dans sa façon de réagir, dans son regard mais bizarrement, quand je vins à parler de notre fils là, elle changea net d'expression. Elle en frappa même mon tableau de bord et les sourcils froncés je regardais son geste en continuant de rouler, merde ma voiture quand même! Et c'est là qu'elle se lâcha sec maintenant aussi énervée que moi me disant que non, elle n'était pas comme ça, qu'elle enviait une vie banale à vivre normalement avec un mari aimant et un enfant bien éduqué avant de m'envoyer en pleine gueule qu'elle au moins elle acceptait ce qu'elle était contrairement... À moi. Pour finir qu'elle ne faisait que "survivre" dans ce milieu malgré ses envies. Tss... Alors c'était quoi ce jeu qu'elle venait de me jouer? Certes, elle n'aimait donc pas cette vie mais dans ce cas... OÙ était le rapport avec son comportement de tout à l'heure?! Il n'y avait aucun besoin d'agir de la sorte si il n'y avait pas le plaisir en cause! Oui, j'y pensais fort à tout ça pourtant je ne desserrais pas les dents, continuant de fixer la route à l'écouter enchainer en soupirant « Cependant, ce n'est pas le cas... Et saches que notre fils, c'est nous qui l'éduquons, pas ton père, ni ta mère et encore moins mon père. On peut lui offrir une vie différente de la notre. », j'avoue.. L'entendre mentionné ma mère me fit réagir au quart de tour et mon regard vint se river sur elle alors que je freinais sec pour me garer sur le bas côté. Crispé l'espace d'une seconde, c'est dans une longue inspiration que cet état d'alerte s'envola à la suite de sa phrase. Qu'elle critique mon père était une chose mais si il y a bien une personne sur qui on ne devait pas parler devant moi, c'était bien ma mère. Son regard se tourna sur moi avant qu'elle ne vienne poser sa main sur la mienne l'espace d'un instant le regard humide. J'avalais ma salive en silence, reposant mon regard sur la route puis dans mon rétroviseur avant de lui répondre enfin "Tu as raison sur un point, je n'assume pas d'être de ce monde là... Mais pour le reste... Ne rejoue plus jamais les pinup bad girl comme tu l'as fait là-bas devant moi c'est compris?", j'étais sérieux en disant ça, peut-être un peu ferme à la fin de ma phrase mais je n'étais pas méchant en lui demandant ça, je voulais juste qu'elle comprenne que chez moi, on n'agissait pas comme ça "Avec ta famille tu fais ce que tu veux Teo, tu règle ça comme tu l'entends, à la légère, en mode rebelle décontractée ou non je m'en branle ça ne me regarde pas, c'est vos histoires. Mais en ce qui me concerne moi et mes affaires, on ne fait pas ça et je tiens à ce que se soit clair entre nous.", la fixant un instant, je soupirais en venant reprendre en douceur sa main afin de calmer la tension. Oui je m'apaisais enfin mais au moins les choses étaient dites et placide entre elle et moi à présent et ça j'en avais besoin, je ne voulais plus d'autres dérapages de ce genre là, surtout si il fallait qu'on recommence ce genre de plan ensemble.
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C'était vraiment pas agréable de s'engueuler avec lui, d'une parce que je l'aimais mais aussi parce que je tombais de haut. J'avais tellement envie de pleurer, ce n'était pas tous les jours qu'on s'engueulait mais aussi, nous pouvions pas être parfait. Je le savais mais ça faisait quand même mal. "Tu as raison sur un point, je n'assume pas d'être de ce monde là... Mais pour le reste... Ne rejoue plus jamais les pinup bad girl comme tu l'as fait là-bas devant moi c'est compris?" J'avais clairement l'impression d'entendre mon père et qu'il ne me restait plus qu'à dire "Oui, papa." mais toute façon, même moi je n'arrivais plus à faire de l'humour. Cette situation m'ébranlait pas mal. J'essayais tout de même de lui répondre, bien que ma voix se faisait vraiment faible. « Oui... » Mais c'est clair que dès que je suis enceinte, j'allais en péter des têtes, bien que ce ne serait pas pour ses affaires, je ne devais pas y mettre mon nez. "Avec ta famille tu fais ce que tu veux Teo, tu règle ça comme tu l'entends, à la légère, en mode rebelle décontractée ou non je m'en branle ça ne me regarde pas, c'est vos histoires. Mais en ce qui me concerne moi et mes affaires, on ne fait pas ça et je tiens à ce que se soit clair entre nous." reprit-il. Bon là, il venait clairement de me faire comprendre que je n'étais pas incluse comme je le voulais dans ses histoires, du moins, je le ressentais comme ça, je devais apprendre à calmer mes ardeurs, surtout. Je continuais de fixer le paysage, il fallait que je me reprennes. Mais je sentis la main de mon fiancé sur la mienne, je détachais mon regard du paysage pour me tourner vers lui. « Excuse moi... » Je n'avais pas voulu lui faire de tort avec ce qu'il s'était passé, je m'étais permise des choses comme ça, sur le coup, l'impulsion... Je devais penser à me calmer et surtout à ne pas recommencer tant que j'avais Caleb dans mon ventre. Je caressais la main de Romane alors que je me sentais un peu calmée. La tempête était passée à mon humble avis, je reprenais timidement. « On retourne à la maison ? J'ai envie que tu me prennes dans tes bras. Une fois qu'on sera tous les deux, tranquilles. » Et encore, j'aurais pas été enceinte, je lui aurais sauté dessus pour le serrer fort contre moi au moment qu'il s'était stoppé sur le coté. J'avais surtout besoin de réconfort dans ses bras.
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J'étais dure JE SAIS mais là à mes yeux il le fallait, que ça la face pleurer ou non. Elle me répondit d'ailleurs un « Oui... » faiblard avant de revenir poser son regard humide sur moi « Excuse moi... ». Travailler avec elle était nouveau et j'avais bien vu là qu'elle n'avait vraiment pas la même philosophie et façon de faire que ma famille et c'est pour cela que je me sentais en besoin de la recarder. Car si mon père avait été là... Ça aurait été bien pire et je voulais agir comme tel afin qu'elle comprenne même si je n'aimais pas l'engueuler comme ça. C'était un mal nécessaire et maintenant, j'espérais seulement que c'était compris et passé. Après un instant, elle se mise à caresser ma main de la sienne, reprenant timidement « On retourne à la maison ? J'ai envie que tu me prennes dans tes bras. Une fois qu'on sera tous les deux, tranquilles. », la regardant quelques secondes, je serrais plus chaudement sa main en laissant aller un petit sourire en coin dans un soupire avant de hocher la tête en me léchant la lèvre pour répondre en regardant dans mon rétro "Ouais... On rentre.", pour redémarrer en douceur, roulant bien plus tranquille et serein maintenant que tout avait été dit. Comme quoi, tout n'était pas toujours rose entre nous, c'était peut-être la première fois mais sans doute pas la dernière et il fallait s'y faire. En tout cas, on était en route pour la maison et surement un bon moment de réconciliation et ça c'était tant mieux, on en avait besoin après tant d'émotions...


FIN DU RP
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