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Cela ne faisait pas plus de deux semaines que j'étais sur Cambidge et déjà j'avais trouvé un petit boulot dans une chocolaterie. J'étais franchement content de l'avoir trouvé, cela me changeait des bars et restaurant, ou autre boutique en tout genre. J'aimais bien cette petite chocolaterie et j'avais de suite craqué de suite dès que j'y étais entré. J'avais de suite demandé aux patrons s'ils avaient besoin d'aide, et miraculeusement, c'était le cas. Je ne pris pas le temps de chercher le pourquoi du comment que j'étais embauché. Et à ma plus grande surprise, ils avaient une fille. Blueberry. Une jolie petite fleur. Enfin, elle était plus âgée que moi, mais j'avais de suite eu le sourire quand je l'avais aperçu pour la première fois. Le courant est très vite passé entre nous. Et puis fallait dire qu'on s'est de suite bien entendu parce qu'on se plaisait, c'était indéniable. Je me faisais donc toujours une joie de me rendre à la petite boutique pour avoir une chance de la voir.
Ce jour-là, j'avais eu mon après-midi de libre et j'avais aidé à la boutique. L'heure de la fermeture arriva bien vite et je vis enfin débarquer ma jolie fleur. J'étais en train de ranger un peu la boutique et le comptoir avant de pouvoir fermer ensuite la boutique quand elle me salua et vint m'aider à cette tache pas bien compliqué. Mais ça me faisait plaisir.
« Hey ! Alors ta journée ? Attend je vais t'aider
- Salut toi ! Merci. Et ma journée, toujours pareil.Ce matin foot, et cet aprem, boutique ! »
Lui avait-il confié en haussant les épaules et en lui affichant un petit sourire en coin. Il allait lui renvoyer la question, mais elle enchaîna sur autre chose. Quelque chose qui le fit rire et qui allait forcément le faire réagir, elle le savait.
« Tu sais que tu prends de la place ? Fais gaffe t'as pris du poids !
- Ouais en muscle ! Lui répondit-il tout fier. Tu veux voir peut-être ? Mais si tu me racontais d'abord ta journée ! »
La boutique était toute belle et parfaite. Il s'installa sur le comptoir et attira la jolie demoiselle vers lui, attendant qu'elle lui réponde, tout en ayant un chaud contact avec elle. Autrement n'était guère possible.
Plus les jours passés et plus je me disais que je me plaisais de plus en plus ici. Non pas parce que je ne faisais que du sport de mes journées, et pas seulement parce Marissa m'avait suivi dans mon aventure, mais surtout parce que j'avais fait des rencontres, et qui étaient devenues très fortes. Jamais je n'aurais pensé pouvoir rencontrer des jeunes femmes qui me touchent à ce point, comme Blue. Elle me donnait tout le temps le sourire, rien que lorsqu'elle apparaissait. Je savais qu'elle allait me mettre de bonne humeur, même si je déprimais ou même si je suis déjà heureux. Aussi, quand elle me taquina sur le fait que je n'avais pas d'abdos, j'ouvris en grand la bouche, comme choqué de ses propos, en version exagéré évidemment, et plaqua mes mains sur mes lèvres et ma bouche comme pour confirmer ses paroles sur le chocolat. J'en mangeais oui bien sûr, mais pas assez par rapport au nombre d'heure de sport que je m'enfilais par journée.
- Tu m'as démasqué vilaine !
Et puis, elle me sortit une blague. Comme ça, pour le fun. Enfin, un peu en rapport à ce que je venais de faire évidemment, mais ça eut tout de même pour effet de me faire sourire. Je n'avais pas éclaté de rire comme elle, tout simplement parce que j'aimais la voir heureuse et se mettre à rire de la sorte. Je ne voulais en rien gâcher ça par mon rire abominable. Et elle enchaîna sur sa journée. Quand elle commença à me la raconter dans les moindres détails, je me mis à soupirer, à baiser la tête et à la secouer, désespéré. Mais ça me faisait tellement rire, qu'il était impossible pour moi d'être sérieux. Et il l'écouta jusqu'à la fin. Il souriait toujours à ce qu'elle pouvait dire comme bêtise, mais je semblais passionné. Jusqu'à ce qu'elle arrive jusqu'à mon cas. Pour m'attirer davantage près d'elle pour m'embrasser tendrement avant de me relâcher.
- Ah ? Je ne savais pas que je te faisais un tel effet ! Je ne peux que m'en réjouir !
Ce fut à mon tour de la rapprocher de moi en passant ma main derrière sa tête et d'attirer ses lèvres contre les miennes pour les embrasser plus longuement, plus langoureusement et plus passionnellement. Je ne sais pas trop si ce qu'on ressent tous les deux est la même chose. Pour ma part, je l'aime vraiment beaucoup. Je ne vais pas dire comme une sœur, parce que sinon je vais me faire passer pour quelqu'un que je ne suis pas, mais je me sens bizarrement proche d'elle. Et pourtant on ne se connaît que depuis tellement peu de temps.
C'était fou comme j'aimais la compagnie de la jolie Blue' et le fait qu'elle s'amuse autant me pousse davantage à me mettre plus en confiance, à l'aise et sûr de moi. Bien sûr que tout ça fait parti de ma personnalité, mais j'ai toujours été respectueux et humble. Ce genre de relation, je n'y étais plus trop habitué. Cela faisait à peine quelques petits mois que je n'étais plus avec Sateen, et j'avais décidé d'abandonner les soirées de folies sans sentiments amoureux. Et je s'y étais remis assez facilement avec Blue'. Les bonnes vieilles habitudes ne se perdent pas, même si au fond, je savais que cela ne durerai pas éternellement, parce que je reste un romantique dans l'âme. Mais j'apprécie énormément la jeune femme et je ne me voit pas arrêter notre petit jeu et notre amitié.
Je m'étais mis à rire quand elle m'avait dit qu'elle me faisait de l'effet aussi. J'aime ce genre d'humour et c'était sûrement pour ça que je m'étais si vite lié d'amitié avec elle. J'étais toujours assis sur le comptoir et avant même que j'eus le temps de me relever, elle me fit remarquer que ce n'était pas très poli de s'y asseoir. Je répondis alors du tac au tac, quand elle me tira vers elle pour me faire descendre :
- Poli ? On a droit à une punition quand on est un mauvais garçon ?
Voilà maintenant que je devenais maso. Je délire complet là, même si j'avais toujours été obsédé au fond. C'était pour ça que lorsque je ne suis pas amoureux, je reste l'un des plus grand pervers du monde. J'aime m'amuser et me faire plaisir, toujours de préférence avec celle que j'aime, mais quand il n'y en a pas, cela tombe toujours sur mes amies proches ou sur les belles déesses que je rencontre en soirée.
Blue m'avait donc attiré vers elle et prit appuie contre le mur. On s'embrassait encore et toujours, quand elle rompit le contact pour me dire qu'elle ne respirait plus, tellement nos baisers étaient intenses.
- Il va falloir t'y habituer alors ...
Je la re-embrassais de nouveau, lui attrapa les jambes et les mit sur mes hanches. Je n'avais jamais l'habitude de passer par quatre chemins, parce que lorsque j'ai envie de quelqu'un, je ne veux pas perdre de temps. Un peu pressé parfois, mais quand il y a du temps, je me calme un peu, quand ça recommence. Et puis là, on était encore dans la boutique, alors soit on irait se cacher encore plus, soit on ferait ça vite fait et bien fait.
On était parti, et rien ne pouvait nous empêcher de continuer. Les bavardages, à ce stade là de l'envie, je n'aimais pas ça, et j'avais tendance à rester bien trop muet. Les bonnes choses se passent de commentaires, et j'ai toujours eu ce don pour savoir ce que l'autre voulait ou non. Je suis toujours à l'écoute, que ce soit de façon orale ou corporel. C'était peut-être ça qui faisait que j'ai toujours eu la côté avec les jeunes femmes. Les femmes plus mûres commencent d'ailleurs sérieusement à m'intéresser. Mais pour l'heure, j'étais avec Blue', et tout comme elle, j'avais envie d'elle. A chaque fois que je la voyais j'avais envie d'elle. Quand ce ne sera plus le cas, je pourrais m'en inquiéter. Mais pour l'instant, rien d'anormal que de succomber à son plaisir et d'écouter son corps, et celui de sa partenaire.
Elle retira alors ma chemise, et je fis de même avec son haut, et pendant qu'elle se baladait sur mon corps, j'en faisais de même sur sa poitrine, dans son dos, du peu que je pouvais atteindre, ainsi que sur ses jolies petites fesses arrondies. Elle prit la première l'initiative de me repousser contre le comptoir, ce qui eut pour effet de m'exciter davantage. Elle me prit en main et s'occupa de moi telle une experte. Je n'avais jamais été déçu avec elle et ne le serait jamais. Nos gestes devenaient de plus en plus assurés au fur et à mesure qu'on s'amusait ensemble. J'ai toujours été plus ou moins à l'aise la première fois avec une nouvelle fille, mais il n'y avait pas cette complicité que j'avais avec Blue', et ça donnait une autre dimension, encore plus agréable. C'est ce qui me fait dire que je suis fais pour être en couple, et pas bien longtemps pour faire comme mon meilleur ami, c'est à dire, de passer d'une fleur à une autre. Bien qu'en ce moment je suis incapable de me caser avec la moindre fleur.
Je poussais quelques gémissements, grognements quand elle s'occupait de moi, pendant que ma main s'aventurait dans ses cheveux, lui montrant grâce à ma poigne qu'elle me faisait du bien. Une fois qu'elle remonta jusqu'à mes lèvres et on s'embrassait de plus belle. Je me retrouvais donc nu comme un ver, et je m'appliquais à faire d'elle le même genre de ver que moi. Je lui retirais donc le reste de ses vêtements, tout en la portant jusque sur le comptoir pour que cela puisse être facilement d'accès. Je retirais ensuite mon pantalon et boxer entièrement pour être plus à l'aise et m'occuper à mon tour de mon amie, avant de remonter vers elle, de l'embrasser, de l'agripper avec plus d'ardeur et de m’immiscer en elle. Une fois fait, le plaisir était monté d'un coup, et attendit quelques secondes avant de commencer en douceur avec quelques va et viens en elle.
Toujours en ayant ce besoin de rester collé à elle, je lui donnais le maximum de plaisir que je pouvais, tout en faisant en sorte de me faire du bien grâce à elle aussi. C'était une sorte de symbiose, nous ne faisions pas du porno non, nous faisions l'amour, de façon un peu trop sensuelle certainement pour le qualifier de réel amour. C'était du désir mélangé à de l'affection. J'apprécie vraiment Blue', et je ne pourrais jamais imaginer lui faire du mal un jour, comme je n'aimerai pas qu'elle m'en fasse elle aussi. Voilà pourquoi je n'avais plus envie de me mettre en couple ou même de tomber amoureux. Ça finit toujours mal et les deux parties en souffrent toujours. Je me rappelle quand Sateen m'avait appelé pour me dire qu'elle partait loin de moi, j'ai cru que j'allais pas survivre sans elle, et elle pleurait tellement. Je sais qu'elle souffrait autant que moi, mais je préférais rejeter la faute sur elle pour que je puisse aller de l'avant, sinon je ne m'en serais jamais remis.
L'avantage, c'est que je sais que Blue' aussi ne veut rien de sérieux, qu'elle a souffert elle aussi, et qu'elle ne veut que s'amuser. Moi, je ne sais pas trop, j'ai toujours été perdu quand je n'ai pas de petite amie. Mais je ne peux pas en avoir. Je suis un euphémisme à moi tout seul, c'est assez perturbant, et je ne sais pas comment je vais m'en sortir. Voilà pourquoi je préfère prendre mon pied avec des jeunes femmes que j'apprécie tout de même un peu plus que de simples inconnues.
Puis après de longues minutes à nous faire mutuellement et physiquement du bien, je ne tenais plus et lâchais mon ultime plaisir. Je restais alors un moment en elle, l'embrassant de nouveau, et restait collé à elle. Oui j'ai toujours eu besoin d'affection après l'acte, même quand je crève de chaud. C'est sûrement mon côté romantique qui ressort, j'en sais trop rien. J'essayais aussi de reprendre mon souffle, tranquillement, et mes forces, parce qu'après une journée d'entraînement, cela requiert davantage de ressources et de force pour faire de nouveau du sport, surtout celui de la chambre. Je décollais alors mes lèvres des siennes pour lui sourire et lui demandais :
- Ça va ? Bien que c'était plutôt moi qui n'en pouvais plus ... J'aurais pu m'écrouler à terre à cette seconde précise, je crois que je l'aurais fait sans hésiter.