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Nom : Underwood ◇ Prénom : Sidney Muse ◇ Âge : vingt-cinq ans, bientôt vingt-six ◇ Date et lieu de naissance : 17 octobre 1991, née à Boston ◇ Nationalité : Américaine ◇ Orientation sexuelle : Pansexuelle, tu sais c'que c'est, toi? ◇ Statut amoureux : célibataire, parce que ainsi va la vie ◇ Statut social : Elle se débrouille plutôt bien avec ses propres moyens, sans l'aide de personne. Elle se fout un peu de l'héritage qu'elle pourrait toucher, à vrai dire. ◇ Job étudiant : Elle se fait payer pour accompagner des têtes dirigeantes d'entreprise, en quête d'une charmante compagnie. Ne l'est-elle pas? Oui, vous avez compris! Elle se fait payer pour coucher avec des vieux et se montrer en leur présence. Sugar baby? Vous appellerez bien ça comme vous voulez... ◇ Études majeures : Architecture ◇ Études mineures : n'en n'a pas.. c'est déjà assez une majeure, non?
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Sidney Muse Underwood - 25 ans - Huitième année - Architecture - Escorte
Muse Underwood
feat Cora Keegan
feat Cora Keegan
MATHER
La solitude. Quel concept horrifiant. Tu as toutes les misères du monde à rester seule, alors il n'y a réellement que par les festivités et la débauche que tu te sentes réellement en sécurité, aussi ironique cela puisse paraître. Rien que l'idée de te retrouver seule te fait trembler de peur. Alors, plutôt que de te morfondre, tu cherches la compagnie autant en te «vendant» qu'en t'éclatant. Libre dans sa prison intérieure, c'est par ton caractère provocateur de dure à cuire et de bagarreuse que ta carapace s'est formée. Plus tu détestes les étiquettes sociales et la l'écart injuste et ridicule entre l'Élite et les pauvres de ce monde, et plus tu revendiques les droits humains, le droit à l'égalité. Plus tu te rebelles contre le système, et plus tu t'affirmes pour faire suer ceux qui te prennent de haut. Qui vous prennent de haut.
LOWELL
Et comme deuxième choix, aussi crève-coeur il est, te voilà à désirer tout autant faire partie de la Lowell House. La liberté ne se trouve pas que par les revendications et la rébellion, loin de là. Les formes d'arts que tu exploites sont toutes autant des façons de t'affirmer et de t'évader de la réalité. Ton petit plaisir, mais aussi ton talent, ce sont la sculpture et le dessin. Dans ces moments privilégiés, même la solitude ne t'effraie plus. T'arrives à t'échapper de ton trouble alimentaire, de ton trou noir, de ton désespoir parfois poignant. Tu étouffes dans la réalité, tu cherches l'air alors que tu te noies. Constamment. Il n'y a que tes mains, tes doigts, ta tête pour te sauver. Dans ces moments là, tu arrives à ne penser qu'à toi, qu'à ton art. C'est par ton art que tu t'exprimes le mieux, que tu t'affirmes le plus, aussi. Que tu t'évades et que tu survis. Que tu vis, pleinement. Tout simplement.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Amphitéâtre. 17 janvier. Tu y étais pour assister à une conférence sur le terrorisme. Les récents événements morbides et cruels semblaient nécessiter des explications, des réponses aux questionnements peut-être, des éclaircissements. La peur régnait un peu partout sur la planète. Le terrorisme, il faut en parler. Il fallait en parler. C'est ironique n'est-ce pas, que lors d'une conférence sur le terrorisme, un terroriste a fait apparition pour semer la terreur partout dans l'amphithéâtre. Tu étais terrorisée. Tu t'es jetée par terre, et tu tremblais à en perdre tous tes sens. Incapable de bouger, incapable de pleurer, incapable de crier. Seule la peur te prenais aux tripes, alors que tu voyais l'assassin, le fou furieux tirer sur des gens, crier après tout le monde de se fermer la gueule. Un vrai détraqué. Un vrai malade. T'es sortie de là sans pouvoir en parler ouvertement. L'événement est toujours flou dans ton esprit à ce jour, aucun souvenir ne se précise et c'est peut-être mieux ainsi.
Amphitéâtre. 17 janvier. Tu y étais pour assister à une conférence sur le terrorisme. Les récents événements morbides et cruels semblaient nécessiter des explications, des réponses aux questionnements peut-être, des éclaircissements. La peur régnait un peu partout sur la planète. Le terrorisme, il faut en parler. Il fallait en parler. C'est ironique n'est-ce pas, que lors d'une conférence sur le terrorisme, un terroriste a fait apparition pour semer la terreur partout dans l'amphithéâtre. Tu étais terrorisée. Tu t'es jetée par terre, et tu tremblais à en perdre tous tes sens. Incapable de bouger, incapable de pleurer, incapable de crier. Seule la peur te prenais aux tripes, alors que tu voyais l'assassin, le fou furieux tirer sur des gens, crier après tout le monde de se fermer la gueule. Un vrai détraqué. Un vrai malade. T'es sortie de là sans pouvoir en parler ouvertement. L'événement est toujours flou dans ton esprit à ce jour, aucun souvenir ne se précise et c'est peut-être mieux ainsi.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
L'une des pires périodes de ta vie. Au chevet de Nana pour plusieurs jours et même plusieurs semaines, tu l'as vue se détériorer à une vitesse fulgurante. Elle aura fait honneur à la force et au courage qui la caractérisent, comme toujours, en essayant de vous faire rire, toi et tes cousins/cousines. Un sourire ici, un rire là, et des larmes en abondance... Malheureusement, c'est impossible d'être présent en permanence, tes responsabilités prennent quand même un peu de place. La terre ne s'arrête pas de tourner pour autant. Pas encore. Un jour, alors que tu faisais les courses, tu reçois un appel d'une de tes cousines. C'est là que tout s'effondre. Le décès déclaré, il n'y a aucun moyen de revenir dans le temps, de retourner lorsqu'elle était encore vivante et pétillante, bien que chiante, parfois. Aucun moyen de revenir à ces rires et ces sourires. Tu as raccroché précipitamment. Ils t'attendent à l'hôpital. Ils t'attendent tous, mais tu ne t'y pointeras jamais. Jamais tu ne te montreras, pour pleurer avec les autres. Tu préfères le faire seule, dans ton coin, en solitude. Toi qui déteste la solitude, c'est là ton seul moyen de réconfort, en cette journée de deuil.
Vous aurez compris qu'elle n'y est pas allée, au Summer Camp. Elle aurait pu. Nana était toujours de ce monde, à ce jour. Et pourtant là... non. Elle est morte. Elle est morte, et tu ne t'en remets pas.
L'une des pires périodes de ta vie. Au chevet de Nana pour plusieurs jours et même plusieurs semaines, tu l'as vue se détériorer à une vitesse fulgurante. Elle aura fait honneur à la force et au courage qui la caractérisent, comme toujours, en essayant de vous faire rire, toi et tes cousins/cousines. Un sourire ici, un rire là, et des larmes en abondance... Malheureusement, c'est impossible d'être présent en permanence, tes responsabilités prennent quand même un peu de place. La terre ne s'arrête pas de tourner pour autant. Pas encore. Un jour, alors que tu faisais les courses, tu reçois un appel d'une de tes cousines. C'est là que tout s'effondre. Le décès déclaré, il n'y a aucun moyen de revenir dans le temps, de retourner lorsqu'elle était encore vivante et pétillante, bien que chiante, parfois. Aucun moyen de revenir à ces rires et ces sourires. Tu as raccroché précipitamment. Ils t'attendent à l'hôpital. Ils t'attendent tous, mais tu ne t'y pointeras jamais. Jamais tu ne te montreras, pour pleurer avec les autres. Tu préfères le faire seule, dans ton coin, en solitude. Toi qui déteste la solitude, c'est là ton seul moyen de réconfort, en cette journée de deuil.
Vous aurez compris qu'elle n'y est pas allée, au Summer Camp. Elle aurait pu. Nana était toujours de ce monde, à ce jour. Et pourtant là... non. Elle est morte. Elle est morte, et tu ne t'en remets pas.
TON ADMISSION À HARVARD
C'est tout naturellement que s'est imposé à toi le choix de l'université d'Harvard. Malgré tes quelques déboires, l'éducation fait partie de tes valeurs. Depuis toute petite, tu rêves de faire partie de ce prestigieux et célèbre établissement dont la réputation n'est pas à refaire. Nombreuses ont été les fois où Dylan et toi avez discuté de ce rêve qu'était le vôtre d'être admises. Les SATs réussis haut la main, c'est à tes dix-huit ans que tu as enfin intégré l'université de tes rêves: Harvard, en architecture. Mêlant rêve et passion, les années à venir s'annoncent être palpitantes. Magiques. Du moins, c'est ce dont tu t'es convaincue.
C'est tout naturellement que s'est imposé à toi le choix de l'université d'Harvard. Malgré tes quelques déboires, l'éducation fait partie de tes valeurs. Depuis toute petite, tu rêves de faire partie de ce prestigieux et célèbre établissement dont la réputation n'est pas à refaire. Nombreuses ont été les fois où Dylan et toi avez discuté de ce rêve qu'était le vôtre d'être admises. Les SATs réussis haut la main, c'est à tes dix-huit ans que tu as enfin intégré l'université de tes rêves: Harvard, en architecture. Mêlant rêve et passion, les années à venir s'annoncent être palpitantes. Magiques. Du moins, c'est ce dont tu t'es convaincue.
TELL US MORE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle .wild cygnus et j'ai vingt ans. Je suis québécoise et j'ai connu le forum grâce à Suzy, Lily et Dylan, Shiloh (les Underwood) et Jaimie. Le forum change depuis les premiers temps que j'suis passée ici, en tout cas il est joli alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Cora Keegan comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par killer from a gang & vercors. Je fais environ 200 à 900 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7707]►[/url] ► <span class="pris">AVATAR</span> ♦ “ S. Muse Underwood ”[/size]
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